L’UNI-Lycée fait son buzz !

L’UNI Lycée fait le buzz sur LCI autour de sa vidéo en faveur d’un meilleur enseignement des langues étrangères au lycée.

L’UNI-Lycée a mis en ligne une vidéo afin de défendre la création d’un ERASMUS lycéen, dans le cadre de la réforme du lycéen.
Cette vidéo a été reprise par LCi et TF1 news.

A la contestation stérile, l’UNI répond par la formation et les propositions.

uni-orleansCe week-end (6, 7 et 8 mars) les militants de l’UNI des académies de Rennes, Nantes, Orléans-Tours et Poitiers se réuniront à Saumur (Maine et Loire) à l’occasion d’une réunion de formation.

Bien loin des contestations stériles des diverses organisations syndicales de gauche orchestrant la mobilisation actuelle dans les Universités, les sympathisants et militants de l’UNI tâcheront de se sensibiliser aux problématiques de l’Enseignement supérieur autour d’invités politiques et universitaires.

C’est dans ce cadre que l’UNI a convié des enseignants-chercheurs, des experts ainsi que des élus locaux  à venir débattre des sujets brulants touchant l’actualité.

Ce rendez-vous sera ainsi l’occasion pour les militants de l’UNI de se former mais également de travailler sur de nouvelles propositions aux fins de répondre aux enjeux de l’Université de demain.

Nouvelle organisation de l’UNI Orléans

uni-orleans1L’UNi-Orléans, par la volonté de son responsable, a décidé de se réorganiser dans un soucis d’efficacité et de dynanisme sur un modèle d’un adhérent-militant responsabilisé et actif dans l’action de sa section.

Cette organisation s’organise notamment autour de trois pôles d’action :

– Un pôle « Etudiants » :  divisé en « sous pôles » par discipline et localisation ( UFR, IUT, écoles, …), il anime pleinement la vie de la section étudiante,

– Un pôle « Lycéens » : sous la responsabilité de Martin BERTHELOT, il a la charge de l’ensemble des lycées orléanais,

– Un  pôle « Communication » : qui cherche à approfondir la présence de l’UNi-Orléans sur les différents facteurs d’informations et de communication,

Ces trois poles sont, bien évidemment, sous la gouvernance de Baptiste DUBOUCHAUD, responsable de l’UNi-Orléans.

Cette nouvelle organisation est effective depuis le 20 février dernier et permettra un travail d’équipe plus poussé ainsi qu’un partage des responsabilités pour faire face à la stratégie actuelle des syndicats étudiants  et lycéens (UNEF, UNL, FIDL, SUD, CNT, …) qui cherchent à s’opposer systématiquement au gouvernement et à chaque changement du système éducatif et universitaire français mais également, pour etre une force de proposition afin de promouvoir le changement, au plus proche de notre section, dans le sens des valeurs et des convictions qui sont les notres.

Enfin, c’est avec plaisir que nous vous dévoilons le nouveau logo de l’UNi-Orléans, lui aussi efficace et dynamique, en cohérence avec l’idée que nous nous faisons de notre section.

Non à la rétention des notes à Orléans !

retentionLes professeurs ont lancé l’idée, à Orléans comme dans d’autres facs d’Orléans, à l’appel de la SNESUP (syndicat de gauche des profs) de faire une rétention de notes sur les partiels du premier semestre.

L’UNI-Orléans dénonce le fait que les étudiants de l’Université d’Orléans soient pris en otage par les professeurs pour défendre leurs causes. Il ne s’agit pas de juger les revendications mais de rejeter l’idée que les étudiants soient pénalisés pour faire reculer le gouvernement.

Pour les professeurs qui répondent qu’ils donneront les notes aux étudiants, certains profs, qui eux aussi vont peut être suivre ce mouvement, nous ont clairement dit qu’il était légalement interdit aux professeurs de divulguer les notes aux élèves directement. Donc les étudiants n’auront leurs notes ni par l’administration ni par les profs.

Même si pour le moment, tout cela reste au conditionnel à Orléans, vous pouvez montrer que vous êtes contre cette utilisation des étudiants d’Orléans pour accentuer les revendications des profs :

Rejoignez le groupe facebook : en cliquant ici

Echec de la mobilisation de la CALO pour le deuil de l’Education !

L’UNi-Orléans et l’UNi-Lycée d’Orléans constatent l’échec de la mobilisation autour de l’action de la Coordination Lycéenne Orléanaise (CALO) qui consistait à se réunir à 10h30, aujourd’hui, et faire le deuil de l’Education Nationale.

Malgré les 2800 tracts distribués en masse à la sortie des lycéens, à peine plus de 20 personnes étaient présentes à cette « cérémonie ».

Alors que cela montre bien que la mobilisation lycéenne n’a plus de souffle avec l’action ratée d’aujourd’hui, nul doute que les lycées d’Orléans seront quand même bloqués demain, jeudi 29. Et ils seront bloqués, comme toujours, par une dizaine d’engagés sur plusieurs milliers de lycéens qui ne demandent qu’à avoir leurs cours.

Les voeux de Valerie Pecresse aux membres de l’UNI

CP : UNi-Orléans dénonce les lycées bloqués et les intimidations

La section d’Orléans de l’UNi condamne les blocages intempestifs des lycées et les intimidations dont elle est la cible.

Hier, le Jeudi 8 janvier 2009, une partie des lycéens ont une fois de plus été manipulés par les syndicats et organisations de gauche. Cette journée de mobilisation juste après les vacances de Noël, ont permis de montrer au grand jour que ces organisations ne cherchent qu’à monter les lycéens contre le gouvernement et à jouer sur la peur de ceux-ci et que la Réforme des Lycées n’était qu’un faux pretexte.

Alors que la Réforme des lycées a été repoussée à une date ultérieure et qu’une vaste consultation a été lancée pour repartir à zéro et lancer un nouveau projet, le Ministre de l’Education Nationale, Xavier DARCOS, montre qu’il veut que la réforme se passe dans un climat serein et dans l’intérêt de tous.

Le blocage des lycées par une poignée de perturbateurs et d’agitateurs, sans aucune assemblée générale ni vote, et la manifestation d’hier  n’ont donc plus lieu d’être, les principales revendications ayant été entendues. Mais la volonté des organisations de gauche est bel et bien de continuer la mobilisation à des fins politiques pour lutter contre le gouvernement. D’ailleurs, les lycéens d’Orléans, et plus généralement de France, ne s’y trompent pas et ils montrent leur incompréhension devant la continuité de ce mouvement en ne suivant pas les différentes manifestations.

La section UNi-Orléans dit NON et s’oppose à toute forme de perturbation des lycées. En effet, les blocages sont dangereux pour la sécurité des élèves et il est bon de rappeler qu’ils sont catastrophiques pour la préparation de ceux-ci aux épreuves du baccalauréat qui arrivent très vite.

De plus, l’UNi-Orléans condamne fermement les attaques et intimidations personnelles et déplore que la vie privée de ses militants puisse être utilisée à des fins politiques. L’UNi-Orléans est toujours ouvert à la discussion et au débat mais lorsque des méthodes d’un autre âge sont utilisées, celle-ci se réserve le droit d’étudier d’éventuelles poursuites.

Face à  tout cela, l’UNI-Lycée, la branche cadette de l’UNi, a lancé, mercredi 7 janvier, une nouvelle campagne pour afficher son soutien à la réforme des lycées et rappeler la nécessité de cela : – Pour une meilleure orientation, OUI à la réforme du lycée, – Contre l’échec scolaire, OUI à la réforme du lycée.

Nicolas Sarkozy annonce 700 millions d’euros supplémentaires pour l’enseignement supérieur et la recherche

LE PRESIDENT OFFRE UN FORMIDABLE DEMENTI ENVERS TOUS CEUX QUI AFFIRMENT QUE L’ETAT DELAISSE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

Nicolas Sarkozy, Président de la République, vient de dévoiler aujourd’hui 4 décembre 2008 à Douai son plan « anti-crise » pour relancer l’économie.

Parmi les nombreux investissements annoncés, l’enseignement supérieur se verra doté d’une enveloppe de 700 millions d’euros, qui vient en supplément des augmentations importantes de crédits prévues pour l’année 2009.

Jamais autant de moyens n’auront été donnés à l’enseignement supérieur en France. Cela prouve bien que l’enseignement supérieur, et notamment l’université, sont une priorité du Président de la République, contrairement à ce qu’essayent de faire croire certains syndicats qui vilipendent la politique actuelle, en criant sans cesse au manque de moyens.

L’UNI félicite le Président de la République, qui donne un message fort aux étudiants. Il est désormais temps que les universités françaises deviennent les meilleures du monde. Elles en ont les moyens et les outils.

Les universités doivent désormais prendre leurs responsabilités

Les présidents d’universités ont maintenant la responsabilité de mener une politique efficace. L’UNI les appelle à agir vite, et à ne pas saupoudrer inutilement l’argent mis sur la table.

Les moyens débloqués pour l’université ne doivent pas être gâchés par les présidents d’universités. Ils doivent servir à financer des projets modernes et innovants, qui puissent donner aux étudiants toutes les chances de réussir et de répondre à leur première aspiration : leur insertion professionnelle.

Remi Martial, Délégué National de l’UNi, répond à L’EA sur la Crise

remi-martialRémi Martial a 26 ans, est étudiant en master 2 communication et média à Assas, et délégué national de l’Uni. Interrogé sur les effets de la crise, les conséquences sur la vie étudiante ne seraient pas encore visibles.

Dans quelle mesure les étudiants sont-ils touchés par la crise économique ?

Les étudiants ne sont pas touchés directement par la crise économique, et nous sommes dans l’impossibilité de savoir précisément quelles seront les retombées indirectes de cette crise, et pour combien de temps. Nous devons prévoir un ralentissement net de l’économie qui aura pour principale conséquence une hausse du chômage.

Mais contrairement à ce qu’essaye de faire croire l’UNEF aux étudiants, ces derniers sont les mieux « sauvés », car le budget de l’enseignement supérieur et de la recherche est la priorité du gouvernement pour l’année 2009, avec une augmentation de plus de 6 %.  Au total, ce sera 50 % d’augmentation sur 5 ans, du jamais vu, qui seront investis pour améliorer le système universitaire, pour offrir des aides sociales plus conséquentes et plus efficaces, et pour offrir notamment des formations qui permettront une meilleure insertion professionnelle.

 » aucune remise en cause n’est prévue « 

Quelle doit être la réaction du gouvernement envers les étudiants ?

Le gouvernement doit continuer à investir pour les étudiants, et doit leur tenir un langage de vérité. Il doit surtout mettre l’accent sur l’insertion professionnelle. Si celle-ci est devenue avec la loi LRU une mission de l’université, cela doit maintenant se mettre en oeuvre.

Je crois que Valérie PECRESSE a entendu le message de l’UNI : elle réfléchit à un meilleur financement de l’Etat des universités, qui sera non calculé non plus seulement sur le nombre d’étudiants dans l’établissement, mais qui se calculera sur les performances de chaque université, en priorité en terme d’insertion professionnelle de leurs jeunes diplômés (en quantité et en qualité).

La crise remet-elle en question le plan de financement prévu pour les universités ?

Non aucune remise en cause n’est prévue. Le plan campus va notamment apporter de nombreux financements nouveaux. 300 millions d’euros seront débloqués pour valoriser les carrières des enseignants. 55 millions le seront pour créer les BAIP (bureaux d’aide à l’insertion professionnelle)

Quel conseil pourriez vous donner aux étudiants ?

– De bien se renseigner sur les débouchés des formations qu’ils souhaitent suivre, afin de ne pas risquer d’obtenir des diplômes qui n’offrent que trop peu de débouchés.
– De rester insensibles face aux prêcheurs de malheur qui refont surface chaque année en organisant des AG, voire en bloquant des facs sur des arguments souvent fallacieux
– D’avoir confiance, une grande confiance en eux, et de travailler pour réussir.

Propos repris du site : LEtudiantAutonome.fr

L’UNI-Orléans propose de l’aide à l’UNEF

Alors que la période est à la crise (même au PS) et que les études commencent à être de plus en plus proches des partiels, l’UNEF propose et demande aux étudiants d’aller manifester.

Toujours dans sa volonté de rester à l’écoute de tous les étudiants sans exception et leur apporter son aide, l’UNI-Orléans propose des cours à l’UNEF et particulièrement à la représentante du Bureau national (présente à toutes les AG), jeudi 20 novembre, au lieu d’aller à la manifestation.

Cours n°1 : J’écris correctement le nom de mon Président :

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Les devoirs à la maison pour préparer ce premier cours sera d’écrire plusieurs fois et correctement le prénom « Nicolas ». Nous verrons lors de cette séance comment écrire « Sarkozy » ou « Sarko ». Toutefois, l’excuse d’avoir écrit trop vite ne marchera pas, car à la limite, lorsqu’on écrit vite, on oublie des lettres, on n’en rajoute pas.

Bon dimanche !!

NB : Pourquoi précisemment à la déléguée du BN de l’UNEF ? Après une petite recherche, elle nous a répondu que c’était elle qui faisait les affiches d’AG. Et de rajouter « Pourquoi, il y a des fautes d’orthographe ? «