C'est l'été, et même si pour une bonne partie de la France, depuis 15 jours, le beau temps n'est pas au rendez-vous, ca reste pas moins un moment privilégié pour les apéros. Alors, troisième billet sur les amuses bouche.
Le roulé de noix de saint jacques constitue un truc ultra simple à faire. Couteux, mais bon et simple. Voyons ca après le break.
Un dessert n'est pas coutume. Je suis pas doué pour les dessert et ce n'est pas ma spécialité. Voici la recette d'un riz au lait au chocolat blanc. En petite quantité, c'est un carton!
J'ai pris, dans un restaurant, une entrée que j'ai bien apprécié : une terrine de lapin au miel, coriandre et citron vert accompagné d'un roulé d'aubergine.
Malheureusement, je n'ai pas encore tenté de reproduire la terrine, ca viendra. Toutefois, j'ai testé les roulés. Ca constitue un apéro plutôt sympa (faut pas tenir compte de la photo pourrie). La suite après le clic!
Je sais pas comment Lucile fait, mais moi je mélange d’un côté les ingrédients secs (farine et sucre) et après j’ajoute les ingrédients liquides un à un (oeufs, beurre, chocolat fondu).
J'avais deux petits homards à cuisiner et pas de recette. J'ai cherché sur mon site préféré et j'ai trouvé celle ci proposée par le Chef Olivier Muguet du restaurant La Poularde. Elle m'a plu car elle se décompose en trois éléments distincts qui ont plus ou moins d'intérêt : la cuisson du homard (rien de bien particulier de ce côté là), la semoule aux épices (c'est déjà intéressant de la maîtriser pour d'autres plats), la brunoise (ca, j'ai adoré, et j'adore depuis l'utiliser!).
Passons dans le vif du sujet, Ingrédients (pour 4 personnes) :
Abandonné sur le bord de la route suivant le falacieux prétexte du fameux “régime d'après les fêtes”, je me retrouve avec un frigo plein de quelques ingrédients que s'ils ne finissent pas dans une assiette, finiront leur triste vie au fond d'une poubelle, or on va pas au marché pour jeter mais pour cuisiner, manger et déguster. Ce sera seul que je dégusterai quelque chose, mais quoi?
Dans le fond de mon frigo, ce dimanche, j'ai du bacon, des oeufs, de la salade encore bonne (quelques feuilles à écarter), du pain de mie complet.
Je me saisi d'un livre de cuisine de Jamie Oliver. Je le parcours et j'y trouve une recette d'une salade tiède que j'adapte ainsi :
Quelques jours passés en Catalogne m'ont permis de découvrir les anchois marinés. De retour en France, du côté du Pays Basque, j'ai appris la seule et unique façon de les apprécier : des anchois marinés au vinaigre recouverts de gousses d'ail vinaigrées… un délice.
Librement inspirée d'un livre de recette, déjà cité ici, cette sauce est une tuerie. Elle accompagne en Italie, l'équivalent de notre très français “purée+saucisse”, à savoir des lentilles et des saucisses italiennes délicatement recouvertes de cette sauce tomate. C'est une recette du sud de l'Italie mais qui accompagnera à merveille la recette du poulet à la cocotte d'ici…
Les grands chefs (re)descendent dans le métro: pendant 3 jours (23-25 novembre), plusieurs toques de renom se retrouveront a la station Miromesnil poir partager leurs œuvres. Miam Miam !
Ma semaine de vacances à commencer, je sais désormais par où je passerai!!
Le principe si cher à ce blog : satisfaire vos hôtes.
Voici quelques temps, ma chère et tendre a eu le malheur de diner à la table d'un vieil ami de mon père. Un homme profondément respecté par ma famille : un certain Yves. Homme de principes, respectueux de certaines valeurs et notamment celles de la table, une personne qui a toujours aimé bien recevoir et satisfaire ses hôtes. Ce jour là, il nous recevait “avec trois fois rien”. Parmi les délicieux plats, j'ai le souvenir d'un gigot d'agneau, de vins rouges, d'un vin blanc, de fromages, pas de dessert. Parmi tout cela : un plat de pâtes, en entrée, au parmesan, à la crème fraiche, et au poivre. Yves a vécu et vit encore aujourd'hui la majorité de l'année à Rome. Une entrée toute simple mais magique. Une véritable entrée italienne.
Le pistou est quelque chose que mon père m'a appris à faire. Ma soeur m'a aidé à le perfectionner. Ma chère et tendre m'a fait comprendre qu'il était simple à faire.
Partant de ces trois éléments, des séjours récurrents chez le père ont permis à mon pistou de se laisser aller : aillé comme il se doit, équilibré malgré tout entre le goût du basilic et celui du parmesan, assez huilé pour ne pas être trop sec, mais pour autant pas trop pour bas être trop gras, la puissance et le corps de l'ail bien présents sans étouffer les autres saveurs. Et les pignons. Les pignons c'est magique dans le pistou.
Préparé à la main avec un mortier pour obtenir son caractère franc : des morceaux de feuilles échappant à la vigilance du mortier, des pignons à moitié écrasés, du parmesan pas totalement mélangé… hmmm. Un régal.
"En matière de cuisine, il n’y a pas DES principes: il n’y en a qu’UN, celui de donner satisfaction à qui l’on sert" Auguste Escoffier
Un site sur la cuisine, sur sa pratique. Quelques recettes y seront publiées de temps à autre dont les origines seront présentées. Les passages dans certains restaurants, autour de certaines tables feront aussi l'objet de billets.