Ce fut, un soir, en septembre, Vous étiez venus m’attendre, Ici même, vous en souvenez-vous ? A vous regarder sourire, A vous aimer, sans rien dire, C’est là que j’ai compris, tout à coup, J’avais fini mon voyage, Et j’ai posé mes bagages, Vous étiez venus au rendez-vous, Qu’importe ce qu’on peut en dire, Je tenais à vous le dire, Ce soir je vous remercie de vous, Qu’importe ce qu’on peut en dire, Je suis venue pour vous dire, Ma plus belle histoire d’amour, c’est vous… Ce fut, un soir, en septembre, Vous étiez venus m’attendre, Ici même, vous en souvenez-vous ? A vous regarder sourire, A vous aimer, sans rien dire, C’est là que j’ai compris, tout à coup, J’avais fini mon voyage, Et j’ai posé mes bagages, Vous étiez venus au rendez-vous, Qu’importe ce qu’on peut en dire, Je tenais à vous le dire, Ce soir je vous remercie de vous, Qu’importe ce qu’on peut en dire, Je suis venue pour vous dire, Ma plus belle histoire d’amour, c’est vous…
Ah ! Les voyages Aux rivages lointains, Aux rêves incertains, Que c’est beau, les voyages Qui effacent au loin Nos larmes et nos chagrins, Mon dieu ! Ah ! Les voyages. Comme vous fûtes sages De nous donner ces images Car les voyages, C’est la vie que l’on fait, Le destin qu’on refait. Que c’est beau, les voyages Et le monde nouveau Qui s’ouvre à nos cerveaux, Nous fait voir autrement Et nous chante comment La vie vaut bien le coup Malgré tout ! Ah ! Jeunes gens, Sachez profiter de vos vingt ans. Le monde est là. Ne craignez rien. Il n’est pas méchant. Il vous guidera. Ah ! Les voyages Qui murissent nos cœurs, Qui nous ouvrent au bonheur, Mais que c’est beau, les voyages ! Et lorsque l’on retourne chez soi, Rien n’est comme autrefois Car nos yeux ont changé Et nous sommes étonnés De voir comme nos soucis Etaient simples et petits, Car les voyages Tournent une page. Ah ! Les voyages…
Et même, même si c’est un combat J’aime, j’aime même ces coups-là Peines, peines je vous prends cent fois Contre ses bras, lui tout contre moi Oh, oh ses bras, des mille et des millions de fois
L’enfance Qui se dépose sur nos rides Pour faire de nous de vieux enfants Nous revoilà jeunes amants Le cœur est plein, la tête est vide L’enfance L’enfance