Critique : Border Line

Alberto Ammann et Bruna Cusí au milieu de passager sortant d'un avion

Thriller qui confronte un couple aux services d’immigration des États-Unis, Border Line dépeint un pays dont la protection des frontières dépasse les simples formalités administratives. Une xénophobie d’Etat, élevée à un niveau effarant sous l’administration Trump, ère où se déroule cette arrivée chez l’Oncle Sam pleine de turbulences.

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Critique : La Malédiction l’origine

Nell Tiger Free en nonne dans La Malédition : l'origine

Si le nom de David S. Goyer est attaché à quelques films ahurissants en tant que co-scénariste – au hasard, The Dark Knight (2008) de Christopher Nolan ou bien Dark City (1998) d’Alex Proyas –, en tant que producteur, sa filmographie se montre moins reluisante. Après avoir déterré la licence Hellraiser en 2022, voilà qu’il s’attaque à la saga La Malédiction,(…)

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Critique : Civil War

Kirsten Dunst et Cailee Spaeny sont couchées le long d'une voiture de police

Avec Civil War, Alex Garland s’écarte de la science-fiction pour nous plonger dans une dystopie ultra réaliste ébranlant les Etats-Unis. Par sa mise en scène, sa violence et sa trajectoire narrative, le film s’avère des plus anxiogènes et tétanisant.

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Critique : Rosalie

Une scène dans le café de Rosalie

Pour son deuxième long métrage, la réalisatrice Stéphanie Di Giusto s’inspire de la vie de Clémentine Delait, une femme à barbe ayant connu la célébrité au début du XXe siècle mais en décalant le récit en 1870. Dans une France meurtrie par la guerre franco-allemande, l’arrivée de cette femme singulière dans un village de Bretagne crée des remous dans un(…)

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Critique : Dune deuxième partie

Timothée Chalamet dans Dune deuxième partie

Le destin de Paul Atréides prend de l’ampleur avec Dune : deuxième partie de Denis Villeneuve. Avec un univers et des enjeux installés, ce second opus, qui débute à un moment critique, déploie son aventure avec retentissement. Un blockbuster puissant, à la résonance vertigineuse en cette période de guerres.

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Critique : La Bête

Léa Seydoux dans une baignoire futuriste dans La Bête

Léa Seydoux retrouve Bertrand Bonello, presque dix ans après Saint Laurent. Sans la tragique disparition de Gaspard Ulliel, auquel le film est dédié, La Bête, qui s’appuie sur le roman La Bête dans la jungle d’Henry James, aurait marqué les retrouvailles d’un joli trio. C’est George Mackay qui hérite du premier rôle masculin de ce film aussi troublant qu’imparfait, évoquant(…)

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