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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

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Codestral, le tout nouveau modèle de code de Mistral AI, débarque pour le plus grand plaisir (ou pas) des développeurs ! Créé par l’équipe de Mistral AI et lancé hier, Codestral est donc un modèle de génération de code ouvert spécialement conçu pour les tâches de génération de code. Il maîtrise plus de 80 langages de programmation, dont les incontournables Python, Java, C++, JavaScript et même le vénérable Fortran.

Si vous galérez sur une fonction, il vous aidera à la compléter en 2 coups de cuillère à pot et si vous avez besoin de tests, cet expert les génèrera à votre place pendant que vous serez parti à la machine à café. Grâce à sa capacité de remplissage au milieu (fill in the middle), il pourrait ainsi compléter n’importe quel bout de code, même le plus complexe.

En termes de performance, il établit de nouveaux records. C’est un modèle de 22 milliards de paramètres, mais grâce à sa fenêtre contextuelle de 32 000 tokens, il surpasse les autres modèles sur de nombreux benchmarks, y compris le RepoBench pour la génération de code à longue portée. Sur des tests spécifiques comme HumanEval, MBPP pour le Python et Spider pour le SQL, Codestral affiche également des performances impressionnantes devant GPT-4-Turbo et GPT-3.5.

Ce modèle est accessible sur HuggingFace, où vous pouvez le télécharger et avec l’API de Mistral AI, quelques lignes de code suffisent pour l’intégrer dans votre projet. Les adeptes de VSCode et JetBrains seront ravis puisque les plugins Continue.dev et Tabnine ont également intégré ce modèle, pour coder et interagir avec lui directement dans votre IDE préféré. Vous pouvez également y avoir accès via le Chat de Mistral.

Perso, j’utilise Claude 3 Opus et GPT-4o pour mon code mais je vais commencer à tester celui-là également. En tout cas, si ça vous intéresse, rendez-vous sur la documentation officielle de Mistral AI ici.

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FlowTunes est une application de musique très sympa conçue spécifiquement pour booster votre concentration et votre productivité.

Le service propose plus de 3000 morceaux qui ont été générés en collaboration via Suno AI, ce qui garanti plus de 100 heures de musique en continu, toujours renouvelée. Suffit d’appuyer sur lecture, et vous voilà bercé par de la bonne Lo-Fi qui vous permettra de rester focus toute la journée.

L’auteur du site et de l’app iOS qui va avec a passé pas mal de temps pour rendre la musique plus harmonieuse et agréable à l’écoute, en relevant des défis comme la gestion des dégradations de qualité au fil du morceau. Et si un morceau ne vous plait pas, vous pouvez passer au suivant.

FlowTunes est gratuit et sans pub et propose également de personnaliser votre environnement sonore en y ajoutant des fonds sonores comme le chant des oiseaux ou une rivière qui coule… L’application iOS offre aussi une variété de chaînes musicales pour tous les goûts, telles que des beats de lo-fi, des symphonies classiques, des bandes son cinématographiques épiques, et bien plus encore.

Bref, ça vous plaira forcement si vous cherchez un peu de son détente histoire de vous concentrer sur votre travail ou votre code…etc.

Pour plus d’info, rendez-vous sur le site officiel ou téléchargez l’application sur l’App Store.

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— Article en partenariat avec Arx One —

Arx One est une solution de sauvegarde permettant aux petites comme aux grandes entreprises de protéger les données de leur parc machines. Conçue et développée en France, cette suite complète d’outils permet de sauvegarder simplement et efficacement tous types de données, peu importe la machine où elles se trouvent.

L’outil s’appuie en premier lieu sur une console centrale. C’est elle qui permet de superviser et d’administrer l’ensemble machines et leur sauvegardes. À travers cette console d’administration, on peut définir, entre autres, les machines à rattacher, la politique de sauvegarde, les plannings, les points de restauration, etc.

Ensuite, il y a les agents qui ce sont de petits logiciels discrets, déployés sur les machines à sauvegarder (Windows, Linux, macOS…) qui sont alors capables de réaliser des sauvegardes selon les paramètres définis à distance dans la console. Les données sont évidemment dé-dupliquées et tout est chiffré à la source avant d’être envoyées vers le stockage distant.

La solution est particulièrement adaptée aux boites qui manipulent des données sensibles et qui doivent les sécuriser (données de santé, données financières…) car tout est stocké sur le sol français. C’est parfait aussi pour les sociétés qui doivent respecter des normes strictes en termes de sécurité et de conformité (ISO27001, HDS, RGPD…).

Arx One est très complet puisqu’il permet ainsi de sauvegarder des choses aussi diverses que :

  • Des serveurs physiques Windows et Linux
  • Des machines virtuelles Proxmox, Hyper-V
  • Des postes de travail et ordinateurs portables Windows, macOS, Linux
  • Des NAS Synology, QNAP
  • Et également des applications telles que des bases de données (MySQL, HFSQL, SQL Server…etc.), des messageries Exchange / Microsoft 365, etc.

Ensuite, pour le stockage, Arx One offre 2 possibilités. Soit de la sauvegarde externalisée et dans ce cas là, les données sont stockées dans leur cloud sécurisé. Ce sont leurs propres serveurs situés dans des datacenters en France (Nantes et Lyon) ce qui permet d’offrir à leur client un cloud souverain, certifié ISO27001 et HDS (Hébergeur de Données de Santé).

Ou sinon, y’a aussi moyen d’opter pour la sauvegarde centralisée. et dans ce cas, les données sont stockées sur vos propres infrastructures de stockage et tout est géré par vous.

Quoiqu’il en soit, dans les 2 cas, vos données seront toujours sécurisées avec du chiffrement de bout en bout en AES256, de la déduplication, des mises à jour automatique, des tests d’intégrité, une conformité RGPD, et ainsi de suite.

Alors maintenant comment ça s’installe ? Et bien j’ai fait des tests et je vais vous parler de mon expérience. J’ai commencé par la console de gestion qui s’installer en 2 secondes sur n’importe quel Windows. C’est cette machine qui fait alors office de poste de gestion central.

Visuellement, ça fonctionne sur un principe d’onglet comme un navigateur. L’écran de bienvenue permet de visualiser d’un seul coup d’oeil l’ensemble du parc des « agents », les opérations de backup ou de restauration en cours et les problèmes éventuels, ainsi que la place restante sur les serveurs d’Arx One pour le stockage. À partir de là, on commence à administrer des comptes et leur appliquer des stratégies de sauvegarde (j’y reviendrai plus tard). L’idée c’est que pour chaque machine à sauvegarder, vous allez devoir créer un compte descendant. Ce sont des comptes qui sont rattachés à votre compte principal. 1 compte par agent et donc par machine.

Une fois tout ça crée, y’a plus qu’à installer les agents sur les machines. Cela peut se faire en récupérant un binaire pour Windows, macOS ou Linux sur le site de Arx One, ou en lançant quelques lignes de commande si vous voulez par exemple déployer ça sur un serveur ou sur un NAS. La documentation concernant les agents est ici.

Ensuite, y’a plus qu’à rattacher votre agent à la console en saisissant au moment de l’installation de l’agent, l’identifiant du compte descendant et son mot de passe créé pour l’occasion. Pensez à bien rafraîchir la console pour avoir les données à jour ensuite.

Après au niveau de l’usage, la console web offre une excellente supervision et cela en temps réel. On peut y voir tous les agents rattachés, les paramétrer, mais également afficher différents tableaux de bord qui permettent d’avoir une bonne vue d’ensemble de l’état des sauvegardes, de l’espace de stockage qu’il vous reste, des derniers points de restauration, mais également de voir les alertes (sauvegarde en erreur, espace disque faible…).

Et bien sûr, même si on ne le souhaite pas, à un moment, il faudra restaurer des données. Et bien encore une fois, tout peut se faire à distance via la console. Il suffira de sélectionner les fichiers à récupérer et d’indiquer à l’outil leur destination. La restauration sera alors lancée sur le poste ou le serveur distant.

Concernant les stratégies de sauvegarde, c’est peut-être la partie la plus barbue de l’outil puisque cela va nécessiter de lire la documentation, mais si vous êtes administrateur système, vous avez forcément l’habitude de ce genre de chose. En gros, c’est une série de clés et de valeurs que vous pouvez définir pour permettre à l’agent plus ou moins de choses comme l’accès à l’interface, la sauvegarde continue, la taille maximale des objets à sauvegarder, l’endroit où sera créé le cache local…etc.

Voici un exemple qui permet d’avoir une sauvegarde continue sur les documents, avec un délai de déclenchement à 60 secondes, une taille max de fichiers à sauvegarder de 50 MB sans éclater le quota de 10 GB autorisé :

Voilà pour le tour d’horizon… Arx One est donc un excellent choix pour vos sauvegardes qui a réussi à éviter le côté usine à gaz d’autres solutions concurrentes que j’ai pu tester par le passé. Ça se déploie facilement, et le fait que le sauvegarde puisse être externalisée chez eux (en France !), de manière chiffrée et sécurisée, ça élimine pour leurs clients, la problématique parfois épineuse de la gestion et de la sécurisation du stockage.

Si ça vous dit de tester Arx One, je vous invite à cliquer ici pour en savoir plus.


Souvenez-vous, il y a quelque temps, je vous avais parlé de la fantastique petite console Pico-8. Eh bien, les créateurs de ce petit bijou sont de retour avec un nouveau projet tout aussi excitant : Picotron !

Il s’agit d’une station de travail 8-bit (workstation), c’est à dire un environnement de développement complet permettant de créer des jeux et des outils très cools. Tout comme Pico-8, Picotron repose sur le concept d’une machine imaginaire dotée d’outils intégrés mais attention, cela va encore plus loin que Pico-8 en termes de flexibilité et de puissance.

Déjà, côté specs, on a droit à un affichage plus grand (480×270 pixels contre 128×128 pour Pico-8) et une capacité de stockage des cartouches étendue à 256Ko. Mais la vraie force de Picotron, c’est son approche des outils intégrés. Contrairement à Pico-8, tous les outils de création de Picotron sont écrits en Lua et peuvent être modifiés directement dans la machine. Même des éléments comme l’explorateur de fichiers ou l’éditeur de code font partie de l’espace utilisateur.

Comme ça, vous pouvez créer vos propres logiciels from scratch, et ils tourneront en plein écran au même titre que les outils fournis. C’est cette orientation vers la personnalisation et l’extension qui vaut à Picotron le titre de « Workstation » plutôt que de simple « Console ». Cela dit, les aficionados de Pico-8 ne seront pas dépaysés puisque Picotron supporte la même syntaxe et une bonne partie de ses API. Moyennant quelques ajustements (Picotron utilise des nombres à virgule flottante là où Pico-8 se contente de nombres entiers), il est assez facile de porter les cartouches Pico-8 vers ce nouvel environnement.

Et ce n’est pas qu’un simple Pico-8 Plus puisque la machine apporte également son lot de fonctionnalités, à commencer par son moteur graphique avec 64 couleurs affichables simultanément, entièrement paramétrables via des valeurs RGB. On peut même basculer entre 4 palettes de 64 couleurs à la volée, et ce à chaque ligne de balayage ! De quoi faire des effets de ouf.

Il intègre aussi un « moteur » sonore maison baptisé PFX6416 qui vous permettra de produire des sons riches et variés tout en restant concis en terme de données. Les instruments sont définis via des arbres de « nœuds » qui génèrent ou modifient un signal, le tout séquencé à la façon d’un tracker. Un seul instrument peut ainsi mobiliser jusqu’à 64 nœuds répartis sur 16 canaux !

Évidemment, on retrouve dans Picotron le workflow typique des consoles fantaisies. Un fichier de cartouche unique (*.p64) qui encapsule le code, les graphismes, les sons, etc. Et ces fichiers peuvent aussi également manipulés comme des dossiers depuis l’OS de la machine. C’est pratique pour copier des ressources directement d’une cartouche à l’autre.

Niveau performances, Picotron se veut à la fois plus véloce que Pico-8 (environ 2x plus rapide en instructions Lua pure) et suffisamment efficient pour tourner sur des configs modestes, y compris dans un navigateur web. Des primitives comme le rendu de triangles texturés permettent de réaliser des prouesses techniques sans sacrifier la fluidité.

C’est dispo sous Windows, Mac, Linux ainsi qu’en HTML5 alors vous n’avez aucune excuse pour ne pas essayer.

En effet, Picotron incarne, selon moi, le fantasme parfait du geek : un ordi 8-bit idéal et hyper versatile, qui carbure à l’imagination de ses utilisateurs et dont le code est totalement ouvert et hackable. Bref, j’ai hâte de voir l’écosystème qui va se développer autour de ce truc : Outils dédiés, démos techniques, jeux old school ou petites pépites… les possibilités offertes par Picotron semblent infinies.

A vous de jouer maintenant !


Les ransomwares, ces programmes nuisibles qui prennent vos précieux fichiers en otage contre une rançon, font trembler pas mal de monde, même les plus expérimentés. Mais c’était sans compter sur RansomLord qui pourrait peut-être bien vous sauver la mise si vous avez été infecté.

Cet outil open source, conçu par John Page (alias hyp3rlinx), a pour mission de mettre des bâtons dans les roues des cybercriminels en exploitant les failles de sécurité présentes dans le code de ces virus modernes. Et on parle quand même de ransomwares assez balaises comme Conti, REvil ou LockBit, mais aussi de nouveaux venus comme StopCrypt, RisePro, RuRansom, MoneyMessage, CryptoFortress et Onyx.

Pour réussir cet exploit (sans mauvais jeu de mot), RansomLord génère des fichiers « DLL » qui se font passer pour des fichiers légitimes dont les rançongiciels ont besoin. En réalité, ces DLL sont remplis de code malicieux qui court-circuite le processus de chiffrement et met fin à la carrière du malware avant même qu’il n’ait pu crier « Bitcoin » !

Le plus impressionnant, c’est que RansomLord est capable de cibler spécifiquement les rançongiciels qui menacent votre entreprise ou votre secteur d’activité grâce à sa base de données de plus de 49 familles de ransomwares. Comme ça, il vous concocte le DLL parfait pour mettre hors d’état de nuire ces logiciels du démon.

Cette dernière version 3 de RansomLord intègre également une fonction de journalisation qui enregistre le hash SHA256 et le chemin d’accès complet du malware intercepté. Comme ça, vous pouvez garder une trace de l’attaque et communiquer ces détails à des experts cyber qui viendraient mener l’enquête ensuite.

Respect à hyp3rlinx pour cette trouvaille ingénieuse ! Et pour télécharger RansomLord v3 c’est par ici.

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