La DEL et la DEL2 ont prolongé l’accord sur la promotion/relégation jusqu’en 2030. Et pourtant, Augsbourg sera repêché pour la seconde année consécutive car le champion de DEL2 (l’inattendu Regensburg) ne peut pas monter.

La ligue a donc aménagé les conditions d’infrastructure requises pour que plus de clubs puissent se porter candidats, en enlevant les capacités minimales.

Ancien vainqueur de la Coupe Stanley au corps déjà marqué par les opérations, le gardien tchèque Pavel Francouz a annoncé officiellement sa retraite après une saison blanche. L’occasion de découvrir sa fiche complétée dans notre registre international. 

Malgré la concurrence supplémentaire des clubs allemands, et en dépit d’une polémique sur une décision de la ligue en demi-finale, les Bulldogs de Liège ont conservé leur titre en BeNe-League.

Les spéculations sur un changement des poules de qualification olympique et sur l’organisation d’un groupe en France (y compris par le président de la FFHG Pierre-Yves Gerbeau) semblent désormais vaines.

Après avoir longtemps annoncé que la décision sur la participation de la Russie et de la Bélarus aux JO aurait lieu en mars 2024, l’IIHF a changé son fusil d’épaule. Elle a prolongé la suspension d’un, jusqu’en 2024/25, ce qui prive de fait les Biélorusses des tournois qualificatifs. Mais en renvoyant jusqu’en mai 2025 le dernier délai sur une décision concernant la Russie, celle-ci reste qualifiée jusqu’à nouvel ordre.

La France jouera donc, une fois de plus, son avenir olympique à Riga. Elle y affrontera la Lettonie (médaillée de bronze mondiale), la Slovénie et l’Ukraine.

La seule différence est que le meilleur deuxième des trois groups pourrait être repêché en cas d’exclusion des Russes. Compter là-dessus semble très aléatoire.

Les qualifications olympiques

Ce fut le grand feuilleton de ce mois de janvier. L’exclusion d’Israël des Mondiaux juniors de division III A a suscité des réactions scandalisés et une volte-face abondamment commentée de l’IIHF de Luc Tardif. Des réactions souvent excessives et contradictoires entre elles.

Tout cela s’est terminé par une victoire de l’équipe israélienne jamais autant sous les projecteurs. Explications complètes sur la page des Mondiaux juniors.