Gynerium sagittatum

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Canne flèche)

Canne flèche, Roseau à flèche

Gynerium sagittatum
Description de cette image, également commentée ci-après
Gynerium sagittatum au Costa Rica
Classification APG III (2009)
Règne Plantae
Clade Angiospermes
Clade Monocotylédones
Clade Commelinidées
Ordre Poales
Famille Poaceae
Genre Gynerium

Espèce

Gynerium sagittatum
(Aubl.) P.Beauv., 1812

Synonymes

selon tropicos :

  • Aira gigantea Steud.
  • Arundo fastuosa Willd. ex Steud.
  • Arundo festucacea Willd.
  • Arundo rugi Molina
  • Arundo saccharoides (Bonpl.) Poir.
  • Arundo sagittata Aubl. ex P. Beauv.
  • Arundo sagittata (Aubl.) Pers.
  • Gynerium levyi E. Fourn.
  • Gynerium parviflorum Nees
  • Gynerium procerum P. Beauv.
  • Gynerium saccharoides Bonpl.
  • Saccharum sagittatum Aubl. - Basionyme

[1] selon GBIF :

  • Arundo sagittata (Aubl.) Pers.
  • Arundo sagittata Aubl.
  • Arundo sagittata Aubl. ex P.Beauv.
  • Gynerium saccharoides Kunth
  • Saccharum sagittatum Aubl. - Basionyme[2]


Gynerium sagittatum est une espèce de plantes monocotylédones de la famille des Poaceae, sous-famille des Panicoideae, d'origine néotropicales. C'est l'unique espèce du genre Gynerium (genre monotypique).

Parmis ses noms vulgaires (vulgarisation scientifique) ou vernaculaires (langage courant) pouvant désigner éventuellement d'autres espèces : roseau (aux Antilles[3]), gynérium sagittée au Québec[4] mais aussi en Guyane canne flèche[5], roseau à flèche (Créole)[6], Wɨwa (Wayãpi), Yakot (Palikur), Uba, Flecha-verdadeira (Portugais)[7].

Elle est connue ailleurs en Amérique latine sous les noms de Caña brava (Pérou, Venezuela), Canna frecha, Frecheira, Caña flecha (Brésil), Caña de flecha (Paraguay), Cañaflecha (Colombie), Chuchío (Bolivie), Indiaansch pijlgras (néerlandais du Suriname)[8].

Description[modifier | modifier le code]

Gynerium sagittatum est une grande herbe qui peut atteindre et dépasser cinq mètres de hauteur. C'est une espèce particulièrement vigoureuse, qui se développe en peuplements très denses. Les tiges sont droites et verticales ; leur partie inférieure est recouverte par la base des feuilles dont les limbes sont tombés, tandis que dans la partie supérieure, les feuilles sont disposées éventail. C'est une plante dioïque, dont les hampes florales peuvent amener la plante jusqu'à plus de 9 m de hauteur sur les rives de l'Ucayali (Pérou).

En 1955, Lemée en propose la description suivante :

« Chaumes de 10-15 mèt. à entre-nœuds courts et couverts vers la partie inférieure par les vieilles gaines dont les feuilles sont tombées, les gaines poilues sur le dos et au sommet, les feuilles en général longues de 2 mèt. sur 0,04-0,08, planes dentées formant de grands éventails au sommet des chaumes stériles ; inflorescences en panicules denses, de 1 mèt. et plus à ramifications inclinée$, fleurs dioïques, épillets 2-flores, dans les mâles glumes égales (la seconde un peu 'plus large), longues de 2-3 mm., aiguës hyalines 1-nervées, les fleurs à lemma de 3 mm. aiguë glabre 3-nervée, palea plus courte à sommet bidenté ; dans les femelles glumes très inégales, la première de 4 mm., la seconde de 10-12, fleurs à lemma de 2 mm. atténuée en arête fine de 3-4 mm., velue par poils blancs qui dépassent l'arête, palea plus petite poilue à la base, axe de l'épillet glabre se désarticulant à la base de chaque segment. »

— Albert Lemée, 1955.[9]

Liste des variétés[modifier | modifier le code]

Selon World Checklist of Selected Plant Families (WCSP) (10 novembre 2016)[10] :

  • Gynerium sagittatum var. glabrum Renvoize & Kalliola (1994)
  • Gynerium sagittatum var. sagittatum
  • Gynerium sagittatum var. subandinum Renvoize & Kalliola (1994)

Répartition[modifier | modifier le code]

Gynerium sagittatum est présent du sud du Mexique au nord de l'Argentine en passant par l'Amérique centrale, les Caraïbes, la Colombie, le Venezuela, le Guyana, le Suriname, la Guyane, l'Equateur, le Pérou, le Brésil, la Bolivie, et le Paraguay[11].

Écologie[modifier | modifier le code]

Cette plante dioïque vivace fortement rhizomateuse, ressemblant à un roseau géant haut de 2-8 m, pousse sur les berges des rivières, depuis le niveau de la mer jusqu'à 1 000 m d'altitude[11].

Présente dans les zones désertiques de la côte péruvienne, on la trouve également dans les zones inondables amazoniennes, sur les plages sableuses, où elle fait ainsi preuve d'une plasticité écologique remarquable, ainsi que l'a décrit Lamotte[12].

Plusieurs aspects ont été étudiés :

  • la dynamique de croissance de ses populations clonales[13],
  • sa variation intraspécifique, et écologique dans l'ouest de l'Amazonie[14],
  • la génétique de ses populations en Colombie[15],[16],
  • les effets de la variation d'humidité et des phases de la Lune sur la contration de ses tiges[17],
  • la prédation de ses tiges par les chenilles de Doratoperas atroparsellas Walk. (Crambidae)[18].

Utilisations[modifier | modifier le code]

En Guyane, la tige de la hampe florale du « roseau à flèches » est employée par les populations amérindiennes pour la confection des flèches pour la chasse et la pêche. Le cordon ombilical des bébés est sectionné avec un morceau de hampe florale chez les Wayãpi, tandis que les Palikur font une décoction contraceptive à partir des jeunes pousses écrasées[7]

préparation des feuilles de Gynerium sagittatum pour la confection de sombrero vueltiao à San José de Uré (Colombie)
sombrero vueltiao colombien en feuilles de Gynerium sagittatum

En Colombie, les Zenú emploient traditionnellement les fibres de Gynerium sagittatum dans leur artisanat[19],[20]. Cette pratique s'est répandue dans le pays pour l'élaboration artisanale d'objets comme des tapis, des paniers et des chapeaux, et notamment le sombrero vueltiao, symbole par excellence de la culture côtière colombienne. Les fibres sont obtenues à partir de la nervure centrale des feuilles, au moyen d'un processus complexe.

En Bolivie, les Mosetén préparent une tisane antiparasitaire et anti-dysentérique avec sa moelle[21]

On a isolé des flavonoïdes originaux dans les racines de Gynerium sagittatum[22].

Gynerium sagittatum est une plante hyperaccumulatrice de mercure[23].

Un procédé permet de fabriquer artisanalement des panneaux de particules sans additifs, à partir de Gynerium sagittatum[24],[25],[26],[27].

Des cultivars de Gynerium sagittatum ont été sélectionnés et testés en multiplication in vitro[28],[29], et testé pour la prodution de protoplastes[30],[31]

Les recherches ont été menées pour identifier les pratiques anciennes autour de Gynerium sagittatum sur les sites archéologiques[32].

Le potentiel de Gynerium sagittatum pour la biomasse énergétique a été étudié[33].

Gynerum sagittatum a été testé en association avec Colocasia esculenta et Heliconia psittacorum pour épurer les lixiviats de décharges[34].

Gynerum sagittatum peut être utilisé pour lutter contre l'érosion des berges, et pour la composition de bouquets secs[35].

L'extrait méthanolique de Gynerium sagittatum aurait des effets bénéfiques sur l'hyperplasie bénigne de la prostate chez le rat[36].

Histoire naturelle[modifier | modifier le code]

En 1741, Barrère écrit sur cette plante ainsi :

« ARUNDO Sagittaria. Vuba Braſilianis dicta MARCG. Kourou-Mary. Roſeau à flèches. »

— Pierre Barrère, 1741.[37]

En 1775, le botaniste Aublet en dit ceci :

« SACCHARUM ſagittatum.

Arundo ſagittaria, VUBA Braſilianis dicta. Marcg. Braſil.p. 4.

KoUROU-MARY. GAL. roſeau à flêches. Barr. Fr. aquinox. 19.


Cette eſpèce croît dans des lieux humides, ſablonneux & maritimes de la Guiane.

Les tiges mâchées rendent un ſuc doux & ſucré. L'extrémité de la tige porte les fleurs. Cette partie de la tige ſert pour faire les flèches. »

— Jean_Baptiste_Christian_Fusée-Aublet, 1775.[38]

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en-US) « Gynerium sagittatum (Aubl.) Beauv. - synonyms », Tropicos, Saint Louis, Missouri, Missouri Botanical Garden (consulté le ).
  2. (fr + en) Référence GBIF : Gynerium sagittatum
  3. Tela Botanica (Antilles), consulté le 10 novembre 2016
  4. « GYNERIUM SAGITTATUM », sur Termium plus, la banque de données terminologiques et linguistiques du gouvernement du Canada
  5. Jean Hoock, « Les Savanes guyanaises: Kourou , essai de phytoécologie numérique », thèse présentée à la faculté des sciences de Montpellier pour obtenir le grade de docteur es sciences naturelles.,‎ , p. 156 (lire en ligne)
  6. Écosystèmes forestiers des Caraïbes, Karthala Editions, (ISBN 2811100903 et 9782811100902), p. 502
  7. a et b Pierre Grenand, Christian Moretti, Henri Jacquemin et Marie-Françoise Prévost, Pharmacopées traditionnelles en Guyane : Créoles. Wayãpi, Palikur, Paris, IRD Editions, , 663 p. (ISBN 978-2-7099-1545-8, lire en ligne [PDF]), p. 257.
  8. (en) Dr. A. Pulle, Flora of Suriname : Gramineae - Amaryllidaceae - Iridaceae - Triuridaceae - Hydrocharitaceae - Alismataceae - Butomaceae - Portulacaceae. Additions and Corrections, vol. I, PART 1, Amsterdam, KONINKLIJKE VEREENIGING INDISCH INSTITUT, , 1-257 p., p. 273-524
  9. Albert Lemée, Flore de la Guyane française : Tome I - Ptéridophytes à Droséracées, Brest, LIBRAIRIE LECHEVALIER, , 701 p., p. 90
  10. WCSP. World Checklist of Selected Plant Families. Facilitated by the Royal Botanic Gardens, Kew. Published on the Internet ; http://wcsp.science.kew.org/, consulté le 10 novembre 2016
  11. a et b (en) Julian A. Steyermark (eds.), Paul E. Berry (eds.), Kay Yatskievych (eds.) et Bruce K. Holst (eds.), Flora of the Venezuelan Guayana, vol. 8, Poaceae-Rubiaceae, St. Louis, MISSOURI BOTANICAL GARDEN PRESS, , 888 p. (ISBN 9780915279524), p. 113
  12. Sandrine Lamotte, « Essai d'interprétation dynamique des végétations en milieu tropical inondable. Haute Amazonie. », Doctorate of Biogeography, Sciences Univ., Montpellier,‎ , p. 423 (lire en ligne)
  13. (en) Hans de Kroon et Risto Kalliola, « Shoot dynamics of the giant grass Gynerium sagittatum in Peruvian Amazon floodplains, a clonal plant that does show self-thinning », Oecologia, vol. 101,‎ , p. 124-131 (DOI 10.1007/BF00328909, lire en ligne)
  14. (en) Risto Kalliola, Maarit Puhakka et Jukka Salo, « Intraspecific variation, and the distribution and ecology of Gynerium sagittatum (Poaceae) in the western Amazon », Flora, vol. 186, nos 3–4,‎ , p. 153-167 (DOI 10.1016/S0367-2530(17)30531-5)
  15. (es) RIVERA JIMENEZ, Hernando Javier, SUAREZ PADRON, Isidro Elias et PALACIO MEJIA, Juan Diego, « Analysis of the genetic diversity of 'caña flecha' Gynerium sagittatum Aubl. using the AFLP technique », Agricultura técnica en México, vol. 35, no 1,‎ , p. 81-87 (lire en ligne)
  16. (es) Hernando-J. Rivera-Jiménez, Bruno-C. Rossini, Alicia-Del-Carmen Humanez-Alvarez, Saura-R. Silva, Juan Yepes-Escobar et Celso-L. Marino, « Código de barras de ADN para la identificación molecular de Gynerium sagittatum (Poales: Poaceae): diversidad genética de genotipos de las sabanas de Córdoba, Colombia », Revista de Biología Tropical, San José, vol. 68,‎ (DOI 10.15517/rbt.v68i4.39350)
  17. (es) Wilver Contreras Miranda, Narcisana Espinoza de Pernía et Mary E. Owen de C., « VARIABILIDAD DEL CONTENIDO DE HUMEDAD EN LOS PERIODOS DE LUNA LLENA Y MENGUANTE, DENSIDAD Y CONTRACCIÓN DEL TALLO DE LA CAÑA BRAVA Gynerium sagittatum », Rev. Forest. Venez., vol. 42, no 2,‎ , p. 97-102 (lire en ligne)
  18. (es) SAÚL H. RISCO, « Doratoperas atroparsellas Walk. (Lep.. Pyral.) Barrenador de los Tallo» de la "Caña Brava" Gynerium sagittatum (Aubl.) Beauv. », REVISTA PERUANA DE ENTOMOLOGÍA AGRÍCOLA, vol. 6, no /,‎ , p. 66-69 (lire en ligne)
  19. (es) Pedro Arturo Martínez Osorio, Alexandra Castellanos Tuirán, Paula Da Cruz Landim et Tomás Queiroz Ferreira Barata, « Desarrollo de panel sostenible de Gynerium sagittatum para interiores arquitectónicos a partir de los saberes ancestrales Zenú de Colombia », Modul. Arquit. CUC, vol. 30,‎ , p. 191–210 (DOI 10.17981/mod.arq.cuc.30.1.2023.07, lire en ligne)
  20. OSORIO, Pedro Arturo Martínez, LANDIM, Paula da Cruz et BARATA, Tomás Queiroz Ferreira, « Conhecimento indígena e processos para o desenvolvimento de produtos de design sustentável com Cana-flecha (Gynerium Sagittatum) », dans Design, Artefatos e Sistema Sustentável, São Paulo, Blucher, (ISBN 9788580392982, DOI 10.5151/9788580392982-12), p. 247-266
  21. Munoz V., SAUVAIN M., BOURDY G., CALLAPA J., ROJAS I., VARGAS L., TAE A. et DEHARO E., « The search for natural bioactive compounds through a multidisciplinary approach in Bolivia. Part II. Antimalarial activity of some plants used by Mosetene Indians », Journal of Etnnopnarmacology, vol. 69,‎ , p. 139-155 (DOI 10.1016/S0378-8741(99)00096-3)
  22. (en) Angelyne Benavides, Carla Bassarello, Paola Montoro, Wagner Vilegas, Sonia Piacente et Cosimo Pizza, « Flavonoids and isoflavonoids from Gynerium sagittatum », Phytochemistry, vol. 68,‎ , p. 1277–1284 (DOI 10.1016/j.phytochem.2007.03.007, lire en ligne)
  23. (es) Rafael Esteban Ortega-Ortega, Javier Darío Beltrán-Herrera et José Luis Marrugo-Negrete, « Acumulación de mercurio (Hg) por caña flecha (Gynerium sagittatum) (Aubl) Beauv. in vitro », Rev. colomb. biotecnol, vol. 13, no 1 Bogotá,‎ (lire en ligne)
  24. (es) Giovanna Diossa Gallego, Jorge Alberto Velásquez Jiménez et Germán Camilo Quintana Marín, « TABLEROS SIN ADITIVOS A PARTIR DE GYNERIUM SAGITTATUM », Revista Investigaciones Aplicadas, Medellín - Colombia, vol. 8, no 2,‎ , p. 101-112 (lire en ligne)
  25. (es) Wilver Contreras Miranda, Vicente Cloquell Ballester et Mary Owen De Contreras, « Determinacion de los niveles de sostenibilidad del proceso de fabricacion de tableros de cana brava (Gynerium sagittatum), a partir del metodo ACV-Coclowen », La Revista Forestal Venezolana, vol. 52, no 1,‎ (lire en ligne)
  26. (pt) Pedro Arturo Martínez Osorio, Paula Da Cruz Landim et Tomás Queiroz Ferreira Barata, « PROCESOS ARTESANALES PARA LA PRODUCCIÓN SOSTENIBLE DE TABLEROS DE CAÑA FLECHA (GYNERIUM SAGITTATUM) », Mix Sustentável, Florianópolis, vol. 4, no 2,‎ , p. 59-70 (lire en ligne)
  27. (es) Giovanna Diossa, Jorge A. Velásquez, Germán C. Quintana et Viviana Gómez, « EFECTO DE LA PRESIÓN DE PRENSADO Y LA ADICIÓN DE LIGNINA KRAFT EN LA PRODUCCIÓN DE TABLEROS AGLOMERADOS AUTOENLAZADOS A PARTIR DE Gynerium sagittatum PRETRATADA CON VAPOR », Maderas. Ciencia y tecnología, vol. 19, no 4,‎ , p. 525-538 (DOI 10.4067/S0718-221X2017005000045, lire en ligne)
  28. (es) Jenry Rafael Hernández, Hermes Aramendiz et Carlos Enrique Cardona, « INFLUENCIA DEL ACIDO INDOLBUTIRICO Y ACIDO NAFTALENOACETICO SOBRE EL ENRAIZAMIENTO DE ESQUEJES DE CAÑA FLECHA (Gynerium sagittatum Aubl.) », TEMAS AGRARIOS, vol. 10, no 1,‎ , p. 5-13 (lire en ligne)
  29. (en + es) Claudia Marcela López Díaz, Isidro Elías Suárez Padrón et Alicia Humanez Alvarez, « Micropropagation of arrow cane, Gynerium sagittatum (Aubl.) P. Beauv. cv. Criolla, Criolla 1, and Martinera, in a double-phase medium », Ciencia y Tecnología Agropecuaria, Mosquera, vol. 22, no 2,‎ (DOI 10.21930/rcta.vol22_num2_art:1821, lire en ligne)
  30. (es) Luis Ramiro Ricardo-Navarro, Javier Darío Beltrán Herrera et María José Baquero Garrido, « Aislamiento enzimático de protoplastos a partir del mesófilo de vitroplantas de Gynerium sagittatum Aubl. Beauv. cv. “Criolla” », Revista Colombiana de Biotecnología, Bogotá, vol. 25, no 1,‎ (DOI 10.15446/rev.colomb.biote.v25n1.104551, lire en ligne)
  31. (es) Luis Ramiro Ricardo-Navarro, Javier Darío Beltrán Herrera et María José Baquero Garrido, « Aislamiento enzimático de protoplastos a partir del mesófilo de vitroplantas de Gynerium sagittatum Aubl. Beauv. cv. “Criolla” », Rev. Colomb. Biotecnol., vol. XXV, no 1,‎ , p. 26-35 (DOI 10.15446/rev.colomb.biote.v25n1.104551, lire en ligne)
  32. Feren Castillo Luján, « Trabajo experimental para el entendimiento del uso ritual de Gynerium sagittatum “caña brava” y Typha angustifolia “enea” », Revista ARCHAEOBIOS, vol. 1, no 11,‎ (ISSN 1996-5214, lire en ligne)
  33. (es) Jorge Alberto Aponte Cárdenas et Gerardo Gordillo Ariza, « Caracterización de las propiedades energéticas de Gynerium sagittatum para ser usada como biomasa », Universidad de los Andes - Facultad de Ingeniería Mecánica, Bogotá D.C,‎ , p. 53 (lire en ligne)
  34. (en) C. A. Madera-Parra, E. J. Peña-Salamanca, M. R. Peña, D. P. L. Rousseau et P. N. L. Lens, « Phytoremediation of Landfill Leachate with Colocasia esculenta, Gynerum sagittatum and Heliconia psittacorum in Constructed Wetlands », International Journal of Phytoremediation, vol. 17, no 1,‎ , p. 16-24 (DOI 10.1080/15226514.2013.828014, lire en ligne)
  35. John K. Francis, « Gynerium sagittatum (Aubl.) Beauv. - wild cane », dans Wildland Shrubs of the United States and Its Territories: Thamnic Descriptions: Volume 1, United States Department of Agriculture - Forest Service, , 830 p. (lire en ligne), p. 370-371
  36. (es) Domínguez Huarcaya, L. R., « Efecto beneficioso del extracto metanólico de Gynerium sagittatum (caña brava) en la hiperplasia prostática benigna inducida por testosterona en ratas en comparación con finasteride », Universidad Nacional Mayor de San Marcos,‎ (lire en ligne)
  37. Pierre Barrère, ESSAI SUR L'HISTOIRE NATURELLE DE LA FRANCE EQUINOXIALE. OU DÉNOMBREMENT Des Plantes, des Animaux, & des Minéraux, qui ſe trouvent dans l'Iſle de Cayenne, les Iſles de Remire, sur les Côtes de la Mer, & dans le Continent de la Guyane. AVEC Leurs noms differens, Latins, François, & Indiens, & quelques Obſervations ſur leur uſage dans la médecine et dans les arts., PARIS : PIGET, (lire en ligne [PDF]), p. 19
  38. Jean Baptiste Christian Fusée-Aublet, HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE, rangées suivant la méthode sexuelle, avec plusieurs mémoires sur les différents objets intéreſſants, relatifs à la culture & au commerce de la Guiane françoiſe, & une Notice des plantes de l'Iſle de France. volume I, Londres et Paris, P.-F. Didot jeune, Librairie de la Faculté de Médecine, quai des Augustins, (lire en ligne), p. 50

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Références taxinomiques[modifier | modifier le code]

Autres[modifier | modifier le code]

  • (en) Ken Fern, « Gynerium sagittatum », sur Useful Tropical Plants Database, (consulté le ).
  • (en) W.D. Clayton, M. Vorontsova, K.T. Harman & H. Williamson, « Gynerium sagittatum », sur GrassBase - The Online World Grass Flora, (consulté le ).
  • (en) John K. Francis, « Gynerium sagittatum (Aubl.) Beauv. », sur Core.ac.uk, U.S. Department of Agriculture, Forest Service, International Institute of Tropical Forestry, Jardín Botánico Sur, San Juan Porto-Rico (consulté le ).