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collectif citoyen du sud gironde pour l'école

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12 mai 2010

Résultats enquête LE TEMPS A L'ECOLE

Résultats enquête LE TEMPS A L'ECOLE

Voici les résultats de l’enquête ‘le temps à l’école’ menée auprès de parents d’élèves et d’enseignants sur la faisabilité de leurs missions respectives.

 

Vous trouverez en pièces jointes :
- Les résultats bruts de l'enquête destinée aux parents
- Les résultats bruts de l'enquête destinée aux enseignants
- La mise en relief des questions posées en parallèle aux parents et aux enseignants

Ces  enquêtes sont transmises (sans analyse) à tous nos contacts, dont fédérations de parents d’élèves, personnes et organisations mobilisées pour la petite enfance (pas de bébé à la consigne, écoles, enseignants, crèches…), syndicats d'enseignants et élus locaux et nationaux.


E1

E2

E3

Enquete_version_parents

Enquete_version_enseignants

questions_paralleles

Un très grand merci à tous ceux qui ont donné de leur temps pour répondre à ces enquêtes.

 

Le collectif « L’école pour tous, tous pour l’école ! »

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20 janvier 2010

Pause blog et newsletter

Bonjour à tous,

Nous vous informons que nous allons faire une pause dans notre activité sur le blog et que, par conséquent, il n'y aura plus de newsletter pour le moment. Toutefois, nous poursuivons notre enquête sur le temps à l'école pour les parents et les enseignants. N'hésitez donc pas à la remplir et à la faire circuler.
 
Nous espérons que notre travail aura contribué efficacement à vous informer des problèmes rencontrés par l'école.
Au revoir,

Le collectif "L'ECOLE POUR TOUS, TOUS POUR L'ECOLE !"

3 janvier 2010

3 janvier 2010

Enquêtes : LE TEMPS A L'ECOLE

LE TEMPS  A L'ÉCOLE


PARENTS / Questionnaire clôturé

 

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ENSEIGNANTS / Questionnaire en ligne maintenant !

(Si vous n'avez pas souhaité comptabiliser votre temps de travail, vous pouvez quand-même répondre au questionnaire en commençant à la question N°18) Pour y accéder, cliquez sur le lien ci-dessous :

http://spreadsheets.google.com/viewform?formkey=dFRUMHdLWUs0NUR1RmtuVEx2enZFNnc6MA

 

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Pourquoi cette enquête ?

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Aujourd’hui,  face au mal-être, à la fatigue, à la démobilisation, nous nous interrogeons sur la faisabilité de nos missions de parents d'élèves (ou de futurs élèves) et d'enseignants.

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Parents et enseignants se reprochent parfois mutuellement de ne pas remplir leurs missions correctement : « Ils ont trop de vacances », « Ils ne se soucient pas de ce que leurs enfants font en classe du moment qu’ils sont gardés », « Ils redonnent le même travail chaque année » « Ils arrivent toujours en retard à l’école», « Ils finissent à 16h30 et se plaignent tout le temps », « Ils ne regardent jamais le cahier de liaison et se plaignent de ne pas être informés »

Nous culpabilisons tous de ne pas être de super-héros et nous souhaiterions parfois que les autres prennent le relais.

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C’est pourquoi  nous souhaitons engager un véritable dialogue sur le rythme que nos métiers respectifs imposent à nos enfants et sur les possibilités qui nous sont laissées pour que leurs conditions de vie soient les meilleures possibles.

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Ces questionnaires (anonymes) n’ont pas pour but de juger ou culpabiliser qui que ce soit.

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Ils permettront de mettre en évidence des problèmes qui ne tiennent peut-être ni aux parents, ni aux enseignants.

Peut-être ne nous désintéressons nous pas des problèmes de l'éducation, du devenir de nos enfants et de leurs conditions de vie pour les uns /  du devenir des élèves et du métier d'enseignant  pour les autres, mais peut-être manquons nous tout simplement de temps.

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Voilà la base de nos réflexions. La confirmation de notre hypothèse ou son infirmation pourraient peut-être nous permettre de cesser nos reproches respectifs et destructeurs.

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Ainsi nous pourrions contribuer efficacement et ensemble à l'aménagement des conditions favorables à la réussite et à l’épanouissement de nos enfants.

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ALORS, SI NOUS COMPTIONS VRAIMENT CE TEMPS, JUSTE POUR VOIR, JUSTE POUR MESURER LA FAISABILITÉ DE NOS MISSIONS DE PARENTS D’ELEVES ET D'ENSEIGNANTS.

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Nous transmettrons les résultats de ces deux enquêtes aux fédérations de parents d’élèves et à toute personne ou organisations mobilisées pour la petite enfance (pas de bébé à la consigne, écoles, enseignants, crèches…), à tous les syndicats d'enseignants ainsi qu'à nos élus locaux et nationaux.

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Merci donc de nous accorder un peu de votre temps en remplissant en ligne ce(s) questionnaire(s).

Et faites suivre...

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3 janvier 2010

EVALUATIONS : TOUJOURS SANS NOUS ! APPEL DES 200 MAÎTRES CONTRE LES EVALUATIONS NATIONALES

ACTU / Appel contre les évaluations nationales

Au cours de l'année scolaire 2009, les évaluations nationales destinées aux élèves de CM2 et de CE1 - et voulues par le Ministre Xavier Darcos -  sont arrivées dans les écoles comme s'il s'agissait des sujets du baccalauréat (documents secrets fournis la veille pour le lendemain). Rarement un dispositif aura provoqué autant de réactions négatives, chez les enseignants du premier degré comme chez les parents d'élèves,  et pour cause. Il s'agissait en milieu d'année scolaire d'évaluer une année entière, qui plus est sur des nouveaux programmes récemment imposés. Plusieurs épreuves étaient inadaptées (niveau de difficulté, temps accordé). De plus le mode de correction qui n'admettait que 1 ou 0 pour évaluer rendait impossible l'analyse des raisons de l'échec d'un élève. Enfin, le risque d'une communication publique des résultats, et donc d'une mise en concurrence des écoles, était entier.

  Malgré les protestations massives et argumentées des professionnels de l'Education et la non communication de 30 % des résultats de CM2,  toutes les écoles de France retrouveront en janvier (CM2) et mai (CE1) prochains ces évaluations, dans l'état pédagogiquement irresponsable où elles étaient apparues, avec les mêmes aberrations, la même nuisance et les mêmes risques.

  Par ailleurs, la passation des épreuves était récompensée par l'attribution d'une prime de 400 €, dont la répartition va à l'encontre du principe républicain d'égalité, générant ici ou là tensions et conflits (partage entre collègues sur un même poste, problème des remplaçants, enseignants ayant changé d'école). Tout cela s'appliquant à géométrie variable : ainsi quand certaines académies distribuent facilement la prime, d'autres ne le font qu'après total respect de la procédure. De même, au prétexte "d"un service de fonctionnaire non fait", des collègues ont perdu, en plus de la prime, une journée de salaire.

  C'est donc avec un mépris affiché et infantilisant que l'administration va à nouveau réclamer la passation de ces évaluations à des enseignants qui ne seraient pourtant pas opposés à de véritables outils au service des élèves et de leurs apprentissages.

  Voilà pourquoi nous invitons les maîtres et maîtresses pour lesquels le ministère réduit le service à l'obéissance et à la gestion de la pénurie (suppressions massives d'emplois, semaine de 4 jours, nouveaux programmes, aide personnalisée, fichier informatique base-élèves, fin programmée des RASED et des IUFM), ainsi que les parents d'élèves, à s'opposer à ces évaluations selon les modalités de leur choix : boycott (un élève absent invalide les évaluations), simple passation des compétences déjà travaillées, notation plus intelligente, autre usage des documents... Dans tous les cas, nous demandons à nos collègues de ne transmettre aucun résultat à l'administration ou à le faire sous des formes qu'elle ne pourrait pas exploiter. Nous invitons les conseils des maîtres à soutenir publiquement ceux d'entre eux qui, au CM2 comme au CE1, seraient conduits à agir ainsi dans l'intérêt des élèves, premières victimes de cette ineptie.

  Enfin, nous appelons tous ceux – enseignants, parents, syndicats, mouvements pédagogiques, associations de l'éducation populaire, fédérations de parents d'élèves - qui se reconnaîtraient dans la justesse de cette action à rejoindre cet appel et à le diffuser largement autour d'eux dans l'intérêt et le respect de nos élèves et des valeurs qui fondent l'école de la république.


(Source Résistance Pédagogique)

http://resistancepedagogique.blog4ever.com/blog/lirarticle-252147-1578743.html
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2 janvier 2010

Doublement du nombre de postes aux concours du privé

ACTU / Mail adressé au secteur "formation des maîtres" du SNES.

Le nombre de postes aux concours du privé (CAFEP) a été publié (pas en même temps que le nombre de postes aux concours du public, mais cette fois-ci ce n'est peut-être pas anodin...).

Alors que le nombre de postes au CAPES externe (enseignement public) est en lègère diminution (5006 postes cette année contre 5095 l'an dernier), et toujours largement inférieur au nombre de départs en retraite, le nombre de postes au CAFEP-CAPES (concours externe du privé), lui, est cette année multiplié par deux et même plus (1260 postes contre 569 l'an dernier) !
Répartition 2010 : http://www.education.gouv.fr/cid4588/contrats-offerts-cafep-capes.html
Répartition 2009 : http://www.education.gouv.fr/cid48867/cafep-capes-session-2009.html

Il n'y avait jamais eu autant de postes au CAFEP depuis au moins 2004 (statistiques sur le site du Ministère), alors qu'on continue à supprimer massivement des postes dans le public.

Quelques exemples précis par discipline :
- lettres modernes : 40 postes en moins au concours du public, et dans le même temps 126 postes en plus au concours du privé (200 postes contre 74 l'an dernier) ;

- anglais : 42 postes en moins pour le public, 52 postes en plus pour le privé (95 postes contre 43 l'an dernier) ;
- philo : nombre de postes dans le privé multiplié par 4 (20, contre 5 l'an dernier), alors que le public n'offre que 32 postes.

Les économies budgétaires ne concernent-elles que certains secteurs de l'Education (le secteur public) ? Le Ministère compte-t-il médiatiser, assumer et justifier cette différence de traitement entre le public et le privé ?

Les jurys de concours auront-ils la décence de ne pas pourvoir tous les postes aux concours du privé (c'est déjà le cas depuis très longtemps dans plusieurs disciplines) si cela est nécessaire pour que la barre d'admission ne soit pas plus basse dans le privé que dans le public (question de justice et d'égalité de traitement dans l'accès à l'emploi) ?

 

Avons-nous des éléments de réponse ?
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2 janvier 2010

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29 décembre 2009

Formation des enseignants : pas de trêve des confiseurs !

ACTU / Communiqué de la FCPE, 24 décembre 2009

La FCPE le répète : cette circulaire ne cadre en rien la formation des enseignants en ce qui concerne son aspect professionnel (pédagogie, psychologie de l’enfant et de l’adolescent, conduite de classe, connaissance du système éducatif). Aucun horaire, aucun contenu ne sont imposés aux universités.

La ministre de l’enseignement supérieur continue par ailleurs à faire l’impasse sur la question des bourses accordées aux étudiants pour supporter l’année supplémentaire d’études non rémunérée qui s’imposera désormais à ceux qui choisiront la carrière d’enseignant.

La FCPE dénonce une circulaire vide sur le fond et dont le seul objet est de supprimer 14 500 postes d’enseignants à la rentrée 2010.

La FCPE s’adressera au ministre de l’Education nationale pour obtenir des garanties sur la qualité de la formation des enseignants.

Enseigner est un métier qui s’apprend ! La FCPE ne se satisfera pas d’enseignants qui n’ont qu’une vague idée de ce qu’est un élève.

a FCPE constate avec colère de ce que la circulaire de cadrage des masters d’enseignement ait été publiée sans que la ministre de l’enseignement supérieur ait tenu aucun compte des remarques qui lui avaient été faites par l’ensemble de la communauté éducative et universitaires, ce qui avait conduit au rejet du texte par le CNESER réuni lundi 21 décembre.
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29 décembre 2009

Les fonctionnaires appelés à faire grève le 21 janvier

ACTU / Trois syndicats de la fonction publique (CGT, FSU et Solidaires) ont appellé mercredi 23 décembre les fonctionnaires à "un temps fort, de grèves et de manifestations", le 21 janvier, contre "la politique destructrice du gouvernement".

Ces trois syndicats, représentant plus de 45 % des voix aux dernières élections professionnelles, dénoncent notamment la suppression de "plus de 100 000 emplois dans la fonction publique d'Etat depuis 2007, l'individualisation des rémunérations et la mise en concurrence des agents". Il s'insurgent aussi contre les "conséquences néfastes sur les conditions de travail" et "la qualité du service rendu" de la révision générale des politiques publiques (RGPP), le vaste – et controversé – programme de réorganisation et d'économies de l'Etat.

Ils s'opposent également au projet de réforme territoriale, qui "constitue un recul démocratique important" et "met en danger le service public", et la suppression de la taxe professionnelle, qui va conduire à "l'assèchement des ressources des collectivités locales". Pour eux, nombre de services publics, comme l'hôpital, l'éducation nationale, l'enseignement et la recherche, sont "en danger".

Les trois syndicats appellent "à débattre et à agir dès la semaine du 11 janvier pour permettre de faire converger les mobilisations et de construire un temps fort, de grèves et de manifestations, le 21 janvier". "Face à la politique destructrice du gouvernement, les personnels organisent la résistance", ajoutent-ils, rappelant que "depuis des mois, les mobilisations se succèdent : les agents territoriaux, les hôpitaux publics, la Poste, l'éducation, la culture, l'ONF, la DGCCRF, les finances publiques, l'équipement, etc".

(Source Le Monde.fr)

http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/12/23/les-fonctionnaires-appeles-a-faire-greve-le-21-janvier_1284411_3224.html

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29 décembre 2009

Formation des enseignants : Le CNESER vote contre le texte gouvernemental


ACTU / Réuni le 21 décembre le CNESER a voté contre le projet gouvernemental de formation des enseignants par 35 voix contre et 3 pour (Medef et Uni).

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Une motion déposée par la Fsu, le Se-Unsa, la CGT, le Sgen, les autonomes, et l'Unef  a recueilli 27 voix. Elle dénonce "l’entêtement gouvernemental consistant à entraver les capacités de l’université à développer des formations de haut niveau intégrant disciplines universitaires et savoirs professionnels en lien avec la recherche, alliant les potentiels avérés des UFR et des IUFM -dont le maillage territorial est un atout-, et s’appuyant sur des concours nationaux. Il est inacceptable de réduire la formation professionnelle à quelques modules complémentaires ou à de très courts stages et de bouleverser l’ensemble de l’offre de master existante au détriment de la recherche. Par ailleurs, l’absence d’aides financières conséquentes pour les étudiants dont la durée d’études s’allongera, risque de faire régresser un peu plus la diversité sociale et décourager les jeunes issus des milieux populaires de choisir le métier d’enseignement".

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Le texte de la circulaire fixe les principes généraux d'organisation des cursus en termes assez vagues. La formation proclame qu'il ne "saurait y avoir de master sans un adossement à une équipe de recherche" mais affirme aussi que les masters "intégreront une forte composante de formation professionnelle". Celle-ci prévoit des stages d'observation et de pratique accompagnée puis des stages en responsabilité. L'étudiant doit à la fois acquérir une culture scientifique, disciplinaire ou pluridisciplinaire et professionnelle, le tout en deux ans, ce qui semble une gageure. Comme l'affirme Jean-Louis Auduc dans son analyse, " indiquer, notamment pour les admissibles des concours du second degré, qu’ils pourront dans le court laps de temps imparti « se préparer aux épreuves d’admission, grâce à des enseignements spécifiques et aux stages en responsabilité, parallèlement  aux épreuves et travaux permettant l’obtention du master », c’est les placer devant un choix impossible qui ne peut qu’entraîner des conflits et des différenciations entre les universités". Encore les étudiants sont-ils susceptibles d'effectuer aussi un stage en entreprise… Dans cette situation, c'est bien la formation professionnelle qui risque de souffrir.

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Motion Cneser

La circulaire officielle

 

Source Café Pédagogique

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2009/12/28122009Accueil.aspx

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