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NOUVEAU : voir article en bas de cette page (Comment capturer le CO2…)

modifié le 08/08/2009

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Voir sur le site de l’ ADSN : 

Suite à l’ article paru dans la revue du

1er trimestre 2009 de la Chambre de

commerce et d’industrie de la Nièvre,

 l’ADSN a rédigé un tract, distribué

 dans toutes les boites aux lettres de

 nos deux communes et envoyé

également à tous les maires

de la Nièvre et de l’Allier.

Pour voir le tract 

Pour voir l’article de la CCI  

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 SITES A VISITER :

 http://www.adsn58.fr/

L’ADSN (Association de Défense du Sud Nivernais) est le fruit d’un collectif de riverains motivés pour lutter contre l’implantation d’une mine de charbon et la création d’une centrale thermique au charbon sur les communes de Cossaye, Lucenay-les-Aix et Toury-Lurcy.

——————————————————————————————————————————————————   ADENCA Association de Défense de l’ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours

http://adenca.over-blog.com/article-30662171.html

http://cap21-bourgogne.over-blog.com/article-3714792.html  

http://www.sne.asso.fr/index.htm

  

http://www.rivernet.org/loire/loiremail/loiremail07_90.htm

 

http://www.christianpaul2007.fr/spip.php?article17

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Bonjour,

   Le visiteur s’engage à ce que les propos tenus sur le Blog soient en conformité avec les lois et règlements en vigueur.

Ne contiennent pas de propos diffamatoires ou portant atteinte à l’image ou à la réputation d’une quelquonque personne physique ou morale, de quelque manière que ce soit.   

  Ce blog est à votre disposition pour vous exprimer sur les projets d’une éventuelle exploitation de mine de charbon sur les communes de :    Lucenay-les-Aix, Cossaye et Toury-Lurcy          Département de la Nièvre   

 Deux projets sont déposés: l’un par la société SEREN, l’autre par la société VALORCA

  Grâce à vous nous souhaitons qu’un maximum d’avis et d’opinions puisse être partagés en toute objectivité, qu’un grand nombre d’informations puissent être réunies.

 Tout un chacun peut librement s’exprimer, faire valoir ses arguments, afficher ses positions. 

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                   ETUDE DU PROJET VALORCA.     

       Saisir la signification réelle du projet VALORCA est chose ardue tant sont nombreux les passages ambigus, les redites, les non-dits, les inexactitudes. Ceci est une étude de la deuxième version du projet, la première ayant été retirée. De l’aveu même d’un de ses dirigeants VALORCA a suivi de près la campagne d’information de la SEREN. Le flou de sa notice puis l’abandon allégué de l’exploitation à ciel ouvert semble témoigner du souci de ne pas susciter une opposition telle que celle rencontrée par son challenger.   

 Les extraits du projet sont imprimés en noir,

les commentaires et critiques en rouge.   

 PREAMBULE:             L’exploitation du site de Lucenay, tant en matière de charbon, qu’en matière de gaz de mine, semble pertinente et en accord avec les expertises des besoins énergétiques européens, notamment après les coupures du réseau du mois d’octobre 2006.   

         Audition de François Loos sur LCP le 24 01 O7: La panne en question ( survenue le 4 novembre et non en octobre) n’était pas due à un déficit d’énergie mais à une erreur humaine.

L’utilisation du méthane pour pallier un besoin critique d’énergie électrique lors d’une telle panne serait tout à fait inutile. Les centrales hydrauliques sont là pour remplir ce rôle. Quant aux centrales thermiques au charbon leur délai de mise en route les exclut d’une telle utilisation.       

     VALORCA prend le pari d’exploiter ce gisement français exceptionnel comme un site de « charbon propre » et de le faire bénéficier des dernières innovations françaises et européennes en matière d’exploitation minière souterraine de – captage ou ( ! ) de séquestration du CO2.            

 Compte tenu que le problème est l’élimination du CO2, on ne peut concevoir de captage sans séquestration.  

           Les délais nécessaire à l’accès au charbon et aux diverses installations coïncideront avec l’aboutissement des nombreuses recherches tant en matière de captage que de séquestration du CO2. 

           VALORCA prévoyant le début de l’exploitation en 2012, les techniques de captage-séquestration seront à cette date loin d’être industriellement  exploitables, si toutefois elles le sont un jour.

 Témoins:         

 -une déclaration de Gilbert Ruelle (Blog de l’Académie des Technologies du 08 septembre 2006 à 17h45) à propos d‘une interview publiée dans le Journal du Centre: « je lui indiqué que la capture, qui par ailleurs détériore le rendement, n’a de sens que si on sait séquestrer le CO2, et lui ai exposé les diverses filières de séquestration en développement, dont la souterraine en couche géologique aquifère ou saline est la plus prometteuse, mais à échéance de 15 à 30 ans, et avec tous les problèmes d’acceptationpar par la population locale comme pour tous les déchets. ». Je signale que ce passage était absent du compte rendu de l’interview, ce qui donne un exemple de la désinformation dont nous souffrons depuis le début de cette affaire.         

-Dans: « QUESTIONS SUR L’AVENIR DU CHARBON »: Gilbert Ruelle écrit encore: « Aujourd’hui cet espoir est tempéré par quelques questions non résolues: -l’acceptation sociale de la séquestration du CO2.… – les coûts de capture sont encore trop élevés…. On peut penser que dans les trente prochaines années des solutions seront trouvées.          

Pierre Radanne lors de sa conférence de Lucenay indiquait les mêmes délais que Gilbert Ruelle, pour l’application des techniques de captation séquestration.            

L’exploitation du gaz de mine qui pourrait débuter au début de l’octroi de la concession…           

La question se pose de savoir en quoi le simple octroi de la concession autorise un début d’exploitation.  

 DEMANDE DE CONCESSION:   

 -P.4:          L’évolution des techniques d’extraction minières, de valorisation du grisou, d’amélioration des performances des centrales thermiques, d’une part et les techniques de développement à grande échelle de projets de séquestration de CO2 d’autre part, constituent une opportunité exceptionnelle de réaliser en France un site pilote de « charbon propre. ».            

 Il ressort de ce que nous avons établi plus haut qu’en 2012 et bien après, il ne saurait être question « de charbon propre ». Nous voyons ici apparaître l’expression « pilote ».  

 -P.5:          Le « coalbed methane » désormais reconnu comme une ressource énergétique propre.!             L’appellation propre est inadéquate, la combustion du méthane rejette tout de même dans l’atmosphère une quantité importante de CO2, qui, bien que moindre que celle rejetée par le charbon (à peu près la moitié), n’en est pas moins considérable. Il faut aussi tenir compte des fuites inévitables de ce gaz dont l’effet de serre est encore bien supérieur à celui du CO2.          Le document de VALORCA ne fait par ailleurs aucune allusion aux modalités d’extraction du Coalbed methane qui comporte la soustraction de quantités considérables d’eaux souillées. « Cette technique est utilisée aux USA en particulier dans le Wyoming où l’on pompe 54.000 litres d’eau par jour pour extraire le méthane. L’eau se retrouve dans d’énormes bassins ou est simplement pulvérisée en l’air avant de retomber sur le sol. Les minéraux et le sel que contient cette eau ont un effet dévastateur sur le sol. Ils en changent l’équilibre chimique, le rendant aussi dur que du ciment. ». (Reportage Radio Canada.).            La valorisation de l’énergie sur site sera étudiée en priorité.             Etant donnée la production excédentaire française d’énergie électrique, cette activité est, du point de vue de l’intérêt général, superflue.    -P.6: