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Sylvio Brianti Arts

7 avril 2013

exposition Marion Rius, Château de Crouseilles

Exposition   Marion RIUS

« Photographies » 

Du 23 avril au 18 mai 2013

Château de Crouseilles

Vernissage de lexposition

Dimanche 28 avril 2013 à 11 heures 

Les 130 vignerons de la Cave de Crouseilles accueillent en leur château, du 23 Avril au18 Mai 2013, une série inédite de photographies, photomontages et photoreportages.

Marion Rius est née en 1986, d'origine cauterésienne, elle vit à Bagnères-de-Bigorre.

Elle a déjà pas mal circulé, multiplié les métiers, fabriqué des images...

Depuis 2003, Marion Rius a engrangé les apprentissages et diplômes techniques en photographie, arts appliqués, communication, infographie. Autant d’outils convergeant inexorablement vers les pratiques autour de l'image sous toutes ses formes.

Mais il ne faut pas voir là qu'une virtuose et exclusive technicienne, tous ces outils lui permettant de développer en parallèle une production artistique exigeante et sensible, menée de front en séries très structurées.

Cette première exposition d'envergure au Château de Crouseilles montrera plusieurs facettes de ses œuvres.

Une série de photoreportages réalisée en 2006 en Roumanie dans la région de Satu-Mare, à l’occasion d'une mission humanitaire.

Une suite inédite de photomontages, sortes de « portraits légumiers » déclinés à la manière des planches botaniques anciennes, teintées d'un clin d’œil à Giuseppe Arcimboldo.

Une vraie fausse histoire imagée, alternant paysages en grand ou en détail, et vues intimistes.

L'occasion de découvrir une œuvre naissante mais déjà très prometteuse, où avec discrétion et minutie, transparaissent curiosité et écoute du monde et de la vie.

Invitationofficielle

flyer expo Rius     

vin

www.crouseilles.com 

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1 octobre 2012

deux nouvelles publications...

Pendant le Salon du Livre Pyrénéen à Bagnères-de-Bigorre les 5-6-7 octobre prochains, je serai présent pour vous rencontrer sur les stands d'Édicité et des Éditions des Régionalismes (PyréMonde-Princi Negue) à l'occasion de la parution des deux livres :

> François Pellarey : la quête du cri (Édicité)

> Bagnères-de-Bigorre : anthologie poétique 1819-1934 (Éditions des Régionalismes)

Ces deux livres feront ensuite l'objet d'autres présentations qui seront précisées sur le blog

Au plaisir de vous voir lors de cette manifestation le week-end prochain,

bien cordialement,

Sylvio Brianti

 

Horaires du Salon du Livre Pyrénéen :

le vendredi 5 octobre de 14 à 19 h

les samedi 6 et dimanche 7 octobre de 10 à 19 h

Le Salon du Livre Pyrénéen se tient au Relais des Pyrénées à Gerde (> à la sortie de Bagnères-de-Bigorre direction Campan, prendre à gauche au panneau "Gerde")

le programme complet : www.salondulivre-pyreneen.fr

François PELLAREY
La quête du cri

À propos de François Pellarey (1938-2012) on pourrait penser à juste titre qu’il est de la catégorie de ces peintres à deux têtes, hydres menant en parallèle deux productions. Il parle lui-même avec lucidité de ses peintures « gentilles » et de ses « barnums », grandes et féroces fresques.

Il se tient à l’écart des modes et courants artistiques, mais dans la radicalité de son expression, la production de François Pellarey effleure les propos de la peinture du moment : les Nouveaux Fauves allemands, la Transavanguardia italienne, la Figuration libre, la fulgurance d’un Jean-Michel Basquiat.

Expressionniste ? Sûrement. Fauviste ? Bien sûr. Mais il était surtout singulier et profondément humain.

Pellarey la quête du cri couverture

Auteurs :

Sylvio Brianti est adjoint du patrimoine à la ville de Bagnères-de-Bigorre. Commissaire d’expositions, galeriste, enseignant en muséographie, auteur de catalogues et de monographies, il est également auteur chez Edicité du très remarqué « Dictionnaire de l’art moderne et contemporain dans les Hautes-Pyrénées de 1900 à nos jours ».

Anne-Marie David-Serres, professionnellement parisienne, est originaire des Hautes-Pyrénées où elle est installée. Elle est sensible aux histoires de vie qui transpirent dans les liens sociaux et toutes les formes d’art, dès lors qu’elles sont portées par des personnalités engagées et un style exigeant. Passionnément impliquée à l’École Boulle (Paris) pendant une dizaine d’années, en contact avec la création artistique, les sciences humaines et sociales, chargée de la communication à la Fondation Cénac-musée de Soues, elle écrit des billets pour divers médias. Proche de François Pellarey, elle a recueilli ses points de vue et participé ainsi à la rédaction du livre La quête du cri.

Photographies de Claude Lajeunie

Exposition Pellarey à l’Escaladieu (Bonnemazon – Hautes-Pyrénées)

En même temps que la parution de la monographie, une grande exposition rétrospective de l’œuvre du peintre se tient à l’abbaye de l’Escaladieu durant l’automne 2012.

éditeur : Édicité à Tarbes

ISBN 978-2-91665-018-0 - Format : 24 x 20 cm - 128 pages - Relié

Prix public : 30,00

Livre Pellarey fiche livre

 

BAGNÈRES-DE-BIGORRE

Anthologie poétique 1919-1934

Une anthologie qui prend comme sujet une célèbre cité thermale de la Bigorre, voilà qui est peu banal ! Véritable promenade dans la ville et ses environs, sur près de cent vingt années, ponctué de descriptions de lieux, de monuments, de personnages et de faits historiques qui nous éclaire sur les populations locale, thermale et touristique, ainsi que sur la vie quotidienne, les évolutions urbaines et architecturales. Bagnères, une ville thermale, cité de plaisirs et de loisirs, joyeuse, riche d’une culture foisonnante, mais qui est aussi une cité industrielle et ouvrière où la politique et ses conflits abondent. La poésie donne à voir Bagnères à travers ses différentes facettes, et tous les sens sont à l’affût : de la vision aux odeurs, grâce aux images et aux envolées poétiques.

Dix sept poètes locaux ou extérieurs se succèdent dans le temps. Ils ne sont pas tous connus ni consacrés, mais peu importe, puisqu’ils participent tous à l’esquisse de ce portrait d’une ville en vers. Les veines néo-classique, romantique, parnassienne ou virgilienne se succèdent : improvisations, fantaisies, pamphlets, célébrations, ou de façon à répondre à l’actualité, de manière plus didactique, voire descriptive, historique ou médicale. Sans oublier le théâtre populaire en vers libre ainsi que les chants et les cantates. Le panel s’avère étonnamment complet et constitue un ensemble très riche.

Bagnères-de-Bigorre anthologie poèmes

Natif des Hautes-Pyrénées, Sylvio Brianti est documentaliste et muséographe de formation. De 1998 à 2008, il a dirigé la galerie d’art contemporain L’Art en Stalles à Pouzac. Il a publié plusieurs monographies de peintres et catalogues d’expositions, ainsi qu’un dictionnaire historique sur l’art dans les Hautes-Pyrénées de 1900 à nos jours. Depuis 2010, il est adjoint du patrimoine à la médiathèque municipale et à la ville de Bagnères-de-Bigorre. 

Éditeur : Éditions des Régionalismes à Cressé

ISBN 2.84618.852.1 - FORMAT ; 15 x 21 cm – 198 pages

couverture originale de Jacques Brianti

code pyrémonde | avl155 - prix public ttc : 16,50 €

Fiche Bagnères-de-Bigorre Anthologie copie

 

20 février 2012

Marie Nigoul - multiples regards

Marie Nigoul
multiples regards

exposition du 12 au 31 mars 2012
ouvert tous les jours de 11 heures à 18 heures, et sur rendez-vous

Hôtel Bellevue Pyrénées - Séméac

Jean-Louis Caumont, directeur de l’Hôtel Bellevue Pyrénées
Sylvio Brianti, organisateur de l’événement,
sont heureux de vous inviter à l’inauguration de l’exposition  

le lundi 12 mars 2012 à 18 heures 30
l
ancée avec une improvisation dansée de Marie Nigoul et Tatiana Taneva

après l'inauguration, un repas sur réservation est proposé par le Bellevue (menu 19 euros)


multiples regards

Femme-orchestre, Marie Nigoul l'est indiscutablement, avec énergie et convictions. Peintre, plasticienne, illustratrice, décoratrice de théâtre, vidéaste, photographe, affichiste, comédienne, art thérapeute... La liste n'est pas close, elle pourrait peut-être prêter à confusion. Mais la multiplicité n'induit pas automatiquement la confusion. En bonne archéologue qu'elle fut – oui, nous avions oublié de le signaler, elle fut à ses débuts archéologue – Marie Nigoul stratifie ses pratiques pour mieux en entremêler ou extraire les regards. Elle réfute de fait le penchant de nos sociétés vers la spécialisation, la manie de l'étiquetage. Chacun des instruments dont elle use en soliste produit un résultat différent, spécifique. La capacité à démultiplier les regards artistiques se révèle étonnante. Elle touche à tout et fait mouche partout.
Marie Nigoul a initié depuis plusieurs mois une série d'œuvres que l'on pourrait de prime abord qualifier de peintures : de grandes boites d'où émergent en surface des toiles peintes dans lesquelles s'incrustent radiographies et photos. Chacun de ces caissons s'éclaire de l'intérieur pour mettre en œuvre et faire vibrer transparences et jeux de lumières. Chaque élément possède sa propre mise en scène, son histoire, sa vie. Une scénographie pensée de l'ensemble conduit à un parcours implacablement imposé et partagé.
Il faut assurément trouver dans cette série la part la plus profondément personnelle et intime de l'artiste.  Cette galerie de personnages, car il s'agit bien ici de figures humaines, surgit avec une subtile mais perturbante brutalité. Sortes de gisants - femmes et hommes, couples, enfants -, bien droits, aux yeux grands ouverts, qui, lorsque la lumière s'active, laissent paraître des bouts d'anatomies radiographiées. De fausses et partielles écorchures mises à vif, qui en négatif n’excluent bien au contraire pas de positives fenêtres. Marie Nigoul entreprend là une fouille acérée et chirurgicale d’elle-même, mais donc aussi de l'être humain. Parler de soi, certes, pour mieux parler aux autres, des autres. Du monde aussi qui s’est introduit en cours de route dans le travail, avec une œuvre évoquant Fukushima. La fragilité de la femme et de l’homme va de pair avec celle de la plasticité de l’oeuvre. Il y a du théâtre dans le travail de Marie Nigoul, rien d’étonnant à cela. Un théâtre d’ombre dressé en lumière. Les écorchés debout et dansants parlent aux vivants dans un acte de résistance rempli d’espoir. Regardons, et entrons dans leur danse sans crainte !

Sylvio Brianti

Marie Nigoul oeuvre Multiples regards

Marie Nigoul vit et travaille à Monfaucon dans le nord des Hautes-Pyrénées.

Diplômée en histoire médiévale puis en archéologie (1990-95), elle délaisse en 1999 les traces du passé pour s’intéresser à celles du présent et de l’avenir. Elle crée alors du mobilier et des environnements pour enfants (La Fée Nambule).
À partir de 2006, elle travaille comme illustratrice : des albums jeunesse pour le CRDP Midi-Pyrénées (Pailhassa avec Thérèse Pambrum et Polifonias avec Pascal Caumont) ; mais aussi  réalise  affiches et graphismes pour de nombreux événements culturels, dans le théâtre, le cirque et la musique. Elle œuvre en parallèle pour le spectacle vivant comme créatrice de visuels et de décors.
En 2009, Marie Nigoul conçoit avec la danseuse Tatiana Taneva le spectacle Voyage en Amnésie, qui voit le jour en avril 2010 lors d’une résidence au Pari à Tarbes. Elle poursuit cette collaboration avec le conte musical Le soldat malgré lui, mis en scène par Fabrice Guérin, où elle joue également (en tournée actuellement).
Elle est photographe de scène sur des festivals en Midi-Pyrénées (Jazz in Marciac, Jazz sur son 31, Circa…). Elle initie en 2011 une création plastique mêlant photos et installations avec Michel Labordes sur le thème de l’errance (présentée du 24 avril au 18 mai 2012 au château de Crouseilles). Elle participe également à la mise en place dans les Hautes-Pyrénées d’ateliers d’art thérapie pour les malades atteints de cancers.
Marie Nigoul décide pour la première fois de montrer et de mettre en scène son travail pictural le plus récent dans les vastes espaces de l’hôtel Bellevue à Séméac du 12 au 31 mars 2012.

pendant l’exposition
le samedi 17 mars 2012,
Marie Nigoul invite plusieurs artistes pour une soirée spectacle à 20 heures (durée environ 1h30)

lecture de textes par Marc Lallement et improvisations visuelles de Marie Nigoul, FIL, spectacle danse et voix de Sophie Barros et Maya Paquereau, acrobaties de Jonathan Frau, concert de Fabrice Guérin et Vincent Ferrand

entrée avec libre participation / il sera possible de manger sur place juste après le spectacle avec les artistes (menu 15 euros, réservation souhaitée)

contact artiste : 06.27.36.58.96

Hôtel Bellevue Pyrénées - 48, rue du 8 Mai - 65600 Séméac
Tél. : 05. 62. 36. 22. 30.
hotelbellevuepyrenees@wanadoo.fr
www.hotel-bellevue-pyrenees.fr
sortie A64 Tarbes-Est, 3ème rond-point à droite vers Tarbes, proche piscine Bellevue

20 février 2012

un livre sur François Pellarey

Nous avons décidé, amis et connaissances de François Pellarey, de lancer le projet d'une publication monographique consacrée à l'œuvre de cet artiste peintre. À la mesure de la densité et de l’importance de son travail sur un parcours de plus de 50 années de peinture, cette initiative apparaît à ce jour opportune et essentielle. Nous sommes persuadés qu’elle sera la bienvenue pour ceux d'entre vous qui le suivez et appréciez son itinéraire artistique. Pour d’autres ce sera l’occasion de découvrir cette œuvre riche et singulière.

Cet ouvrage contiendra 124 pages, dos carré, avec couverture cartonnée, et de format 24 x 22 cm.

Nous ferons le choix chronologique d’une centaine d'œuvres depuis ses débuts.

L'ensemble comportera un texte biographique général et une biographie-bibliographie rédigée par Sylvio Brianti. D'autres textes critiques  ayant jalonné son parcours rythmeront le livre.

La fabrication sera confiée aux éditions Édicité à Tarbes, qui assurera donc une diffusion en librairie.

Nous lançons auprès de vous une souscription pour réunir une partie du budget nécessaire.

La clôture de cette souscription est fixée au 31 mars 2012, pour une parution de l’ouvrage estimée rentrée 2012. La sortie de cette monographie donnera l’occasion de présentations et d’expositions. Les oeuvres de François Pellarey seront notamment présentées en 2012 à l'abbaye de l'Escaladieu et à la Fonadation Cenac à Soues

             > Le prix d'appel pour chaque exemplaire est de 25 euros (prix public 30 euros ensuite).

            > 35 exemplaires seront disponibles avec un dessin original de l'artiste (format 22 x 22 cm environ) au prix de 90 euros chaque exemplaire.

Téléchargez et imprimez le bon de souscription : Pellarey_souscription

Vous remerciant vivement pour votre attention, nous comptons et apprécierons votre participation et soutien, lesquels seront les bienvenus pour finaliser cette initiative.

 Renseignements et coordination : Sylvio Brianti : sylvio.brianti@wanadoo.fr

 

François PELLAREY

Né à Gisors en 1938, François Pellarey a commencé à dessiner à l'âge de 12 ans. Employé dans le bâtiment puis cheminot, il suit des cours à l'École des Arts de Tarbes sous la conduite de François Mengelatte et Jean Marquerie. Premières expositions à la galerie Dubernet à Tarbes en 1963 et 1964. Sa première période est classique : une peinture figurative moderne et colorée, à la touche épaisse. En 1970, il réalise des peintures en couleurs vives et acides, traitées au couteau, à la manière d'un Nicolas de Staël (série sur le rugby). C'est au milieu des années 1970 qu'il trouve sa voie, entre fauvisme et expressionnisme. Ses peintures sur panneaux usent d'une pâte très épaisse. Il multiplie les touches pour façonner de massifs portraits dont il exagère les visages et les cous. Sa peinture gestuelle, amenée sans dessin préalable, elle puise dans des couleurs vives : rouges, jaunes, bleus et verts et leurs variations mauves et orangées.

PellareyAuto

Petit à petit, François Pellarey délaisse la matière et les épaisseurs de peinture pour des œuvres plus lisses dans leur coup de pinceau. Expositions régulières à la Galerie Zeller à Tarbes (1986, 1989). Il revient toujours aux mêmes sujets. Des paysages des Pyrénées, d'autres intimes et resserrés hors de toute géographie, avec des personnages et perspectives de chemins sinueux, dans la lignée des expressionnistes allemands (Jawlensky ou Kirchner). De forts portraits de femmes aux visages allongés arborant chapeaux ou bérets, Les Adrienne. Des nus aux formes épanouies.

Pellarey est un peintre des petits formats aux compositions « léchées », mais aussi un peintre de grands formats dans un style plus hâtif d'une grande efficacité. Il a rompu avec ses sujets classiques en abordant au milieu des années 1980 la thématique difficile de la Shoah et des camps de concentration. De manière crue et un peu brutale, il fait surgir des rescapés hurlant derrière des barbelés, entourés de brasiers aux flammes immenses.

En parallèle, François Pellarey développe une œuvre graphique conséquente, plusieurs milliers de dessins au trait matissien, rapide et sûr, le plus souvent des portraits et des nus. L'homme est discret et ne se soucie que peu des tendances et des modes, ni d'ailleurs de la diffusion de son œuvre. C'est un artiste complet, dessinateur et peintre, fin connaisseur de l'histoire de l'art. Pour autant sa démarche, d'une certaine manière, peut s'assimiler à celle de l'art brut.

Il vit et travaille à Odos. Rétrospectives à Tarbes à la Chambre de Commerce (2000) et au Carmel (2006), au Musée Larrey à Beaudéan (2009). Exposition Galerie Valéra (2011). Collections publiques : à Tarbes, Match de rugby (1970), Musée Massey et Où est l'espoir ? (1988), au Musée de la Déportation et de la Résistance. Le Ténor, Musée des Beaux-Arts de Pau. Deux peintures au Musée d'Ovar au Portugal.

François Pellarey, notice parue in Traces d'artistes, dictionnaire de l'art moderne et contemporain dans les Hautes-Pyrénées de 1900 à nos jours, Sylvio Brianti, Tarbes : Édicité, 2010, pp. 281-282.

 

26 août 2011

Alain Guy CLÉMENT, une monographie

Une publication monographique consacrée à l'œuvre d’Alain Guy Clément, depuis ses débuts dans les années 1950 jusqu’à ce jour est en cours d'élaboration.

Elle mettra en relief le travail et le parcours de plus de 50 années de peinture de cet artiste. Cet ouvrage sera le bienvenue pour celles et ceux d'entre vous qui le suivez et appréciez son itinéraire artistique depuis la France et l’Italie. Pour d’autres ce sera l’occasion de plonger dans une oeuvre forte et authentiquement sincère.

Cet ouvrage contiendra 124 pages, dos carré, avec couverture à rabats, et de format 24 x 22 cm.
Nous ferons le choix chronologique d’une centaine d'œuvres dans ses séries depuis ses débuts.
L'ensemble comportera un texte biographique général et une biographie-bibliographie rédigée par Sylvio Brianti.
Plusieurs textes critiques importants ayant jalonné son parcours rythmeront le livre.
La fabrication sera confiée aux éditions Edicité, qui assurera une diffusion en librairie.
Cet ouvrage sera publié en bilingue français/italien.

Nous lançons auprès de vous une souscription pour réunir une partie du budget nécessaire.

La clôture de cette souscription est fixée à fin mars 2012, pour une parution de l’ouvrage estimée courant été / septembre 2012.
Une rencontre pour lancer ce processus se déroulera à l’automne dans les ateliers de l’artiste à Montauban.
La sortie de cette monographie donnera l’occasion de présentations et d’expositions.

> Le prix d'appel pour chaque exemplaire est de 20 euros (prix public 25 euros ensuite).

> 25 exemplaires seront disponibles avec une œuvre originale de l'artiste (format 22 x 22 cm) au prix de 120 euros chaque exemplaire.

Vous remerciant vivement pour votre attention, nous comptons et apprécierons votre participation et soutien, lesquels seront les bienvenus pour porter à bonne fin cette initiative.

Renseignements et coordination :
Sylvio Brianti : 06 09 35 82 13 / sylvio.brianti@wanadoo.fr

 Pour télécharger, imprimer et renvoyer le bon de souscription :
Bon_souscription_monographie_AlainGuy_Cl_ment

Alain Guy CLÉMENT

 Né à Cannes à 1938, il a étudie à l’École des Beaux-Arts de Paris de 1956 à 1959. Il quitte la capitale pour devenir italien dans l’après Mai 68. Il vit et travaille en Italie de 1969 à 1989 (Milan, Florence, Modène, Monza).
Là, il va mettre en place son univers et participer à l‘effervescence artistique en Italie en proximité d’artistes tels que Fabrizio Merisi, Tino Vaglieri, Luigi Achilli, Lino Marzulli, Attilio Forgioli, Vitale Petrus, Luigi Volpi et bien d’autres...
Dans les années 1980, en accentuant la métaphysique cultivée de ses œuvres, il rejoint naturellement le mouvement de la Transavanguardia.
Il a exposé dans les galeries les plus actives de Milan, Modène, Crémone, à l’Institut Français de Florence (sous la direction de Daniel Arasse).
Alain Guy Clément retourne en France en 1989, à Paris, puis s’installe à Montauban en 2000. Il garde un pied en Italie : résidant partiellement à Imperia, il continue de montrer son travail à Milan (galerie Spazioarte en 2009).
Il est suivi depuis de nombreuses années par le critique d’art milanais Giorgio Seveso .

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Sylvio Brianti

 Documentaliste et muséographe de formation, il a créé et dirigé la galerie L’art en Stalles dans les Pyrénées de 1999 à 2009. Là, il a organisé plus de 50 expositions. Entre autres artistes : Pierre François, Guy Boyer, Jean Lafforgue, Jacques Brianti, Gui Boyer, Thierry Le Saëc, Bessompierre, Jacques Taris, Brigitte Kühlewind, Albert Chaminade, Bernard Lorjou, Henri Borde.... Mais aussi par fort intérêt des artistes de la Figuration Narrative : Eduardo Arroyo, Bernard Rancillac, Christian Babou, Louis Quilici, la collection Georges Detais.
Il est également depuis une quinzaine d’année commissaire d’expositions pour des lieux publics et privés, et a écrit de multiples présentations pour des artistes. Aux éditions Atlantica, il a publié les monographies des artistes Jacques Brianti, Jean Lafforgue, Gui Boyer. En 2010, Traces d’artistes, dictionnaire de l’art moderne et contemporain dans les Hautes-Pyrénées de 1900 à nos jours(Édicité).

 

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29 avril 2011

Milène GIUSTI au Château de Crouseilles

Les 148 vignerons de la Cave de Crouseilles

ont la plaisir de vous inviter

à l'inauguration  de l'exposition de Milène GIUSTI

le dimanche 8 mai 2011, à 11 heures

Château de Crouseilles

Possibilité de se restaurer sur place avec des assiettes du terroir (crudités et foie gras) avec son verre de vin 8 € - Réservation vivement conseillée.

Exposition du 2 au 31 mai 2011 / BOUTIQUE et ESPACE DEGUSTATION OUVERTS 7J/7

De 9 h à 13 h et de 14 à 19 h – le dimanche de 10 à 19 h.

télécharger l'affiche : GIUSTI_affiche


Milène GIUSTI

Milène Giusti est née en Provence en 1956.

Installée dans le sud de la France, elle a mené de front, pendant plus de douze ans, la direction marketing d'une entreprise de support publicitaire et la création personnelle d'objets dans le domaine du luminaire notamment  (petites séries et pièces uniques). De 1995 à 2002, elle s’est installée à Pondichéry (Inde du Sud) pour se consacrer uniquement à la peinture. Elle partage désormais son temps entre l’Inde et les Hautes-Pyrénées. En juillet 2006, elle a, en effet, ouvert son propre atelier de peinture à Bagnères-de-Bigorre, ville thermale  pleine de charme.

De nombreuses toiles sont entrées dans des collections privées.

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Textures textiles

Les derniers travaux de l’artiste sont directement inspirés des textiles indiens, aux motifs complexes et aux tons si enjoués. Les peintures s’offrent dans un espace dynamique, mis en mouvement par les signes qui l’occupent. Craies grasses et pigments construisent les rythmes de la ligne, l’accélération du tracé. Puis vient la lenteur des phases nourricières où l’artiste imbibe le support de couleurs ; puis à nouveau le geste presque sauvage qui éteint pour un temps les couleurs afin de restituer par transparence les tons originels déposés les premiers. Quelquefois, le chatoiement de la surface picturale fait réellement croire à un tissu peint.
De ces palimpsestes colorés, Milène Giusti possède toute la maîtrise. Elle pourrait reprendre à son compte la phrase de Matisse « je travaille sans théorie, j’ai seulement conscience des forces que j’emploie ».

Roseline Wiedemann

 

A déguster pendant l’exposition….
De concert avec l’artiste, nous avons créé une cuvée inédite de 600 bouteilles d’AOC Madiran FOLIE DE ROI, millésime 2005 et lui avons confié la réalisation de l’étiquette spéciale de cette série. Ce vin, véritable référence de la Cave, est médaille d’argent au concours des vins de Bordeaux. Ce millésime aux tanins onctueux qui révèle toutefois une puissance en finale, révèle une homogénéité agréable à déguster en cette saison. Ses couleurs intenses et éclats brillants reflètent le travail de Milène GIUSTI…
A déguster absolument /  8.05 € la bouteille – 6ème offerte ou  -6 % à la bouteille.

voir l'étiquette créée par Milène Giusti : GIUSTI__tiquette

Crouseilles

Pour toute information, réservation ou inscription, n’hésitez pas à contacter Dominique ou Claude, au Château de Crouseilles : 05.59.68.57.14.

Les 148 vignerons de la Cave de Crouseilles

Exposition organisée en partenariat avec :

Plaimont Producteurs – www.plaimont.com

Sylvio BRIANTI - www.sylviobrianti.canalblog.com/

Milène GIUSTI : www.milenegiusti.com

29 avril 2011

exposition Emmanuelle HIRSH

Emmanuelle Hirsch
exposition du 20 avril au 21 mai 2011

Atelier 20#
20, rue des Pyrénées 65000 Tarbes / tél.: 05 62 37 00 96
ouverture du lundi au samedi de 15 à 19 heures et sur RDV

m_re__enfant__chien__acrylique_sur_toile_100x81cm__2007

 

Emmanuelle Hirsch est née en 1971 à Talence

Après des études en Arts Plastiques à l’Université de Toulouse Le Mirail (1995-2000), Emmanuelle Hirsch revient à Tarbes. Elle passe alors une année à l’École des Arts. Le fil conducteur de son travail repose sur l’idée de la mémoire et de son effacement. Jusqu’en 2006, ses premières œuvres présentent des hommes en costumes-cravates ou en jeans, puis des portraits de famille d’après des photos anciennes. Elle tronque ses modèles dans l’espace du tableau. Les fonds sont blancs ou bleutés, traités à la manière de la peinture « affresco ».

Avec la série des Instantanés (2008), Emmanuelle Hirsch utilise à nouveau le matériau photographique. Ses personnages marchent ou courent dans des parcs. Elle le fige, comme laissés en suspens sur la toile. Elle inscrit sa démarche dans la lignée des peintres Gerhardt Richter et Jean-Michel Alberola.

Emmanuelle Hirsch travaille en 2009 une série en mémoire d’Auschwitz. Elle peint hâtivement en gros plan des visages de rescapés des camps. Elle a exposé plusieurs fois en groupe à Toulouse depuis 1998. Sa première exposition personnelle eut lieu au château de Crouseilles (2007).

Elle ouvre en 2008 L’Atelier 20#, un lieu d’exposition aménagé dans un étage d’une maison de Tarbes.

Elle y présente jusqu’au 21 mai un panorama de ses peintures depuis 2005 ainsi que ses nouvelles œuvres sur papier.

 

Sylvio Brianti, à partir de la notice d’Emmanuelle Hirsch in Traces d’artistes, dictionnaire de l’art moderne et contemporain dans les hautes-Pyrénées de 1900 à nos jours (Édicité, 2010)

2 janvier 2011

BRIANTI voyage aux JACOBINS

Texte article d'Anne-Marie CHOUCHAN paru dans la Dépêche du Midi Toulouse du 8 décembre 2010

Bien qu'il vive près de Bagnères-de-Bigorre depuis longtemps déjà, le peintre Jacques Brianti n'a jamais oublié les années toulousaines passées à l'École des Beaux-Arts, ni la reconnaissance que lui a offerte cette ville en accueillant son œuvre au Musée des Augustins il y a vingt ans. Le voici de retour pour « Voyage de mémoire (s) », nouvelle exposition événement dans un haut lieu culturel de Toulouse, les Jacobins. « Un endroit comme celui-ci, il ne faut pas le rater », dit-il.

Les Jacobins après les Augustins : c'est un beau retour à Toulouse.

L'aventure du « Voyage à Pontormo », au cours des années quatre-vingt-dix, représentait une étape importante dans ma carrière. J'ai ensuite réalisé une grande installation au Festival Garonne. J'avais une vie d'engagement politique avant cette période. J'ai été premier adjoint de Bagnères-de-Bigorre durant douze ans. Toulouse est resté pour moi une ville de cœur. J'ai toujours entretenu des relations épistolaires avec les gens qui ont vu Pontormo.

Que signifie « Voyages de mémoires (s) », titre de l'exposition ?

Je me déplace beaucoup depuis une dizaine d'années. Je me sers de ces voyages comme support de mon travail. Je parcours un territoire qui va de Naples à l'Allemagne et à Séville. Et dont la pointe serait Toulouse. J'ai réuni aux Jacobins quelque cent quarante œuvres, des peintures de grands et petits formats, quelques installations. Ce voyage représente aussi pour moi une quête identitaire. Je suis né d'un père italien et d'une mère qui a des origines espagnoles.

Vos œuvres reflètent des préoccupations actuelles. Êtes-vous un artiste engagé ?

Je ne me prononce pas sur la notion d'engagement dans l'art. En revanche, je peux dire que je suis un spectateur du monde. Par exemple, j'étais en train de peindre dans mon atelier lorsque les avions ont percuté les tours de New York. J'ai ajouté des collages de minarets, de pompiers américains au campanile de Venise.

Réfectoire des Jacobins (entrée église des Jacobins, accès par la rue Lakanal. Ouvert tous les jours (y compris les jours fériés) de 9 h à 19h.

Réfectoire des jacobins jusqu'au 31 janvier

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Le peintre Jacques Brianti devant l'une de ses grandes toiles lors de l'inauguration de l'exposition./Photo DDM, Michel Viala.

à noter que Jacques Brianti sera présent dans son exposition tous les jeudis de janvier (www.jacquesbrianti.canalblog.com)

2 janvier 2011

Les Brèves d’archéologie de Stéphane Lévêque

Avec la publication des Brèves d’archéologie, Stéphane Lévêque entre avec brio dans la collection des Brèves des éditions Édicité. Dans une non moins brève biographie en fin d’ouvrage, il nous est rapporté que l’auteur aurait aimé être amiral, poète, philosophe, écrivain, archéologue. Certes, il est bel et bien devenu un très sérieux archéologue chargé d’opérations et de recherches à l’INRAP (Institut National de Recherches Archéologiques Préventives). Mais avec ses Brèves d’archéologie, Stéphane Lévêque fouille dans ses vocations enfouies, pour mieux exhumer au grand jour un métier ô combien mythique. Une science indispensable et salvatrice pour la compréhension de nos origines, de notre condition actuelle, et peut-être même de nos avenirs incertains. Du haut de sa vigie, l’ex-futur amiral nous emmène par l’écrit en une croisière ludique et savante au cœur de notre Histoire. Il distille tour à tour données précises irréfutables, informations didactiques implacables, histoires avérées, petits faits saugrenus et anecdotiques. Son navire à remonter le temps nous ballotte dans tous les terrains et les temps. Partout où lorsque l’on cherche, on trouve, plus ou moins... Du plus scientifique ou législatif des coups de pelle, jusqu’aux confins de l’imaginaire, souvent friands de l’archétypie archéologique. Il nous dépeint avec poésie et vivacité une belle brochette de personnages étonnants ou passionnés, réels, fictifs, ou les deux à la fois. Il nous apprend ou rappelle les découvertes les plus exceptionnelles, inattendues voire même dérisoires. L’ambitieuse manœuvre fut assurément périlleuse mais le paquebot -n’ayons pas peur du tonnage du bateau !- tient ferme son cap. La lecture de l’ouvrage se déroule d’une traite, sans haut-le-cœur ni le moindre mal de mer. Oui, la croisière s’amuse, même beaucoup grâce à l’humour acéré et flegmatique de l’auteur. Le philosophe fouilleur agite sa truelle décalée à tous les coins de brèves, et bien plus encore dans leur ponctuation, le fil conducteur du livre : ses « carnets de fouille ». Là, Stéphane Lévêque puise dans ses expériences et souvenirs de terrain, leurs à-côtés, qu’il teinte d’une philosophie de vie assurément bien personnelle. Il humanise avec recul, simplicité et verve une activité professionnelle où l’archéologue se mue en une goutte d’eau dans un océan vertigineux d’histoire(s), et souvent seul face au présent qui se construit sur les ruines du passé.

Ne vous creusez plus la tête, ne cherchez donc plus, vous avez trouvé… une bonne lecture… ou une belle vocation…

Sylvio Brianti

Brèves d’archéologie, Stéphane Lévêque, préface d’Indiana Jones…, Édicité, 162 pages, 15 euros.

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1 août 2010

Traces d'artistes...

texte article de Roseline GIUSTI paru dans La Dépêche du Midi et La Nouvelle République des Pyrénées le 16 juillet 2010

Artistes à suivre à la trace

Le 24 juillet, à la librairie Autres Termes (près des halles), de 9 h 30 à 13 heures, Sylvio Brianti , fils du célèbre peintre, dédicacera son livre « Traces d'artistes ».

Fils du peintre Jacques Brianti, Sylvio vient de publier un dictionnaire inédit recensant les artistes liés au département des Hautes-Pyrénées. La rencontre est organisée avec l'association Binaros qui programme un Salon du livre pyrénéen pour les 1er, 2 et 3 octobre prochain (www.salondulivre-pyreneen.fr)

Avec « Traces d'artistes », Sylvio Brianti signe là une œuvre précieuse et originale. Précieuse, car aucun recensement des artistes liés au département n'avait été fait jusqu'à présent. Original, car l'optique choisie est assurément généreuse. L'auteur ne s'est pas contenté de repérer les natifs du pays et ceux qui s'y sont installés, mais encore les créateurs qui ont fait l'objet de commandes, d'expositions importantes ou de dépôts de l'Etat dans les musées ou lieux publics.

Il a également retenu tous ceux et celles qui, d'une façon ou d'une autre, sont venus sur ce territoire, fut-ce pour quelques semaines ou de façon furtive et qui y ont laissé une empreinte significative. Ainsi s'éclaire le titre de l'ouvrage « Traces ».

Voilà qui est nouveau, inattendu et palpitant. Car les découvertes, au fil des pages, sont surprenantes.

Imaginait-on que Paris a disputé à Bagnères la bacchante ivre de Popineau placée à l'entrée des bains du Salut ?

Sait-on que le sculpteur Hajdu a travaillé pendant quatre ans aux marbreries de Bagnères ou que le photographe Brassaï est l'auteur d'une Vénus de Séméac en bronze ?

Que parmi les rares tableaux de Serge Gainsbourg échappés de l'incendie qu'il mit à ses propres œuvres, reste le portrait de l'une des filles du café Helder à Argelès-Gazost ?

Qu'Oiticica, épouse de Paolo Coelho, a investi les bois pyrénéens pour faire œuvre de land art et que la grande prêtresse de l'art contemporain Sophie Calle a, un jour de janvier 2006, pris Lourdes comme terrain d'action ?

Se rappelle-t-on que trois sculptures de Le Corbusier porte le nom d'Ozon, où il séjourna en 1940, et que Charlotte Perriand équipa de ses meubles le lycée climatique d'Argelès ?

Jeu de piste esthétique

Embrassant la période allant du XXe siècle (et même en deçà) jusqu'à nos jours, clairement écrit, bien mis en page, illustré de photos de qualité, l'ouvrage fait date en la matière. Doublant l'appréciation esthétique d'un regard sociologique ample, Sylvio Brianti rétablit ainsi les contextes de création, valorise le travail des écoles -la sculpture bagnéraise entre autres- et sort de l'ombre des œuvres oubliées.

On prend plaisir à lire les notices de ce dictionnaire qui, tel un jeu de piste, proposent des renvois d'un artiste à l'autre, créant ainsi des connexions très riches. Bibliographie et localisation des œuvres dans des collections publiques invitent à poursuivre les recherches.

L'immanquable réédition de ce bel outil sera-t-elle augmentée de cartes permettant de repérer les lieux où se sont illustrés ces artistes, facilitant ainsi un circuit pour partir à la découverte de leurs œuvres ?

Indispensable dans toute bonne bibliothèque de connaisseurs, cet ouvrage s'adresse également à un large public, curieux de l'histoire des arts dans les Hautes-Pyrénées.

Sylvio Brianti, « Traces d'artistes », Edicité, Tarbes, 2010.

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