Godewaersvelde

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Godewaersvelde
Godewaersvelde
L'ancienne gare devenue l'école Jaques Prévert.
Blason de Godewaersvelde
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté de communes de Flandre Intérieure
Maire
Mandat
Antoine Vermeulen
2020-2026
Code postal 59270
Code commune 59262
Démographie
Gentilé Godewaersveldois
Population
municipale
2 053 hab. (2021 en augmentation de 0,49 % par rapport à 2015)
Densité 173 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 47′ 41″ nord, 2° 38′ 39″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 163 m
Superficie 11,89 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Boeschepe
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bailleul
Législatives Quinzième circonscription
Localisation
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Godewaersvelde
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Godewaersvelde
Liens
Site web godewaersvelde.fr/

Godewaersvelde (prononcé [ɡɔdvaʁsvɛld] ; en néerlandais : Godewaarsvelde, en flamand occidental : Godsvelde) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Godewaersvelde est située dans le Nord, à moins d'une demi-heure de Lille et de Dunkerque, le long de la frontière belge.

Communes limitrophes de Godewaersvelde
Steenvoorde Watou  Drapeau de la Belgique Belgique(Poperinge)
Godewaersvelde Boeschepe
Eecke Flêtre - Méteren Berthen

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Un manteau de terre arable recouvre une épaisse couche d’argile dite yprésienne placée dans une dépression calcaire.

Le mont des Cats est constitué de sable ferrugineux dans lequel on trouve des grès diestiens ferrugineux chargés de silex.

Vue panoramique de Godewaersvelde

Le centre de Godewaersvelde (coordonnées GPS : 314744872E ; 56260N). est à une altitude de 41 m. Le mont des Cats est situé en partie sur son territoire. Le point culminant est situé sur le territoire de Berthen à l’emplacement de l’ancien moulin de pierre. Le point géodésique indique 164 mètres. L’assise de l’ancienne voie ferrée partage son paysage en deux entités totalement différentes. La partie Nord et Ouest est plus plate, recouverte de vastes champs cultivés.

La partie Est et Sud s’élève vers le mont des Cats, butte témoin constituée de sables et de grès ferrugineux. Cette partie est plus boisée, bocagère.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le cours d’eau le plus important qui traverse Godewaersvelde est la Vleterbeek (ou Becque de Flêtre) qui prend sa source au Mont des Cats, route de Méteren. Cette becque traverse l’agglomération puis s’en va vers Boeschèpe et Poperinghe où elle est canalisée: c'est le canal de Poperinghe (Poperingevaart). La Vleterbeek est un affluent de l’Yser qui se jette dans la mer du Nord à Nieuport.

Sur ce territoire, nous trouvons la Becque dite du Couvent qui descend du versant nord du mont des Cats et la Quaebecque qui prend naissance dans le bas du mont de Boeschèpe. Les crues de ces cours d’eau sont sporadiques. L’eau monte dans le lit, s’épanche dans les prés inondables. La baisse du niveau des eaux n'a aucun rapport avec le fait que les Belges ouvrent ou non les écluses à Nieuport. En effet celles-ci sont à plus de 20 m en dessous de l'altitude de la Vleter Becque à sa sortie de Godewaersvelde.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 783 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Steenvoorde à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 727,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Godewaersvelde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Boeschepe, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[10] et 4 232 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), zones urbanisées (4,1 %), forêts (3,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Godewaersvelde s’étend sur 1189 hectares soit près de 12 km2 (3 km sur 4) et est traversée par plusieurs routes départementales : la RD 948 qui relie l’échangeur de la A25 à Poperinge, la RD 139 qui nous mène à Boeschèpe et Eecke, la RD 18 qui relie la Route de Poperinge à Méteren. Par route, Steenvoorde est à 5,42 km, Lille à 40 km, Dunkerque à 35 km. Les échangeurs de Steenvoorde et de Méteren permettent d’accéder à l’autoroute A 25 qui relie Lille à Dunkerque.

Toponymie[modifier | modifier le code]

De Godafrithas feldu, pays rude, sauvage, lande de Godefried, champs de Godewaer (équivalent germanique de Geoffrey), nommée Gotsvelde ou Gode dans le langage parlé[16],[17]. Les soldats anglais la nommaient God lors de la première guerre mondiale. Une version populaire qui prétend que Godewaersvelde signifierait Dieu bénisse nos champs semble sans fondement, écartée par les linguistes et les historiens. Les appellations varient selon l'époque, on trouve ainsi :

  • en 1295-1296 : Gaudefroit camp ;
  • en 1300 : Godeverdesvelde ;
  • en 1318 : Godefroichamp.

Histoire[modifier | modifier le code]

Godewaersvelde veut dire en néerlandais le champ de Geoffroy. La région était habité par les Ménapes, tribu belge selon César, les Morins, peuple de navigateurs étant situés plus à l'ouest, les Atrébates plus au sud.

Avant la Révolution française, du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Poperinge[18].

Eustache Eugène d'Assignies, (famille ,d'Assignies), baron de Bailleul, seigneur d'Assignies, (baron d'Assignies[19] ?), est probablement le dénommé Eustache d'Assignies, seigneur de Godewaersvelde, qui donne ses armes à la commune en 1776[20].

Godewaersvelde a disposé entre 1870 et 1954 d'une gare (gare de Godewaersvelde) située sur la ligne de chemin de fer d'Hazebrouck à Boeschepe.

Pendant la première guerre mondiale, Godewaersvelde est une des communes avec Hondschoote, Abeele, Caestre, Oost-Cappel, Winnezeele, Hardifort, à faire partie du commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée, installé à Steenvoorde puis transféré à Rexpoëde, organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front[21]. De ce fait, des troupes ont séjourné à Godewaersvelde[22].

La gare et son bâtiment voyageurs vers 1900
La gare de Godewaersvelde et son bâtiment voyageurs vers 1900.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Circonscriptions de rattachement[modifier | modifier le code]

Godewaersvelde appartient à l'arrondissement de Dunkerque et au canton de Bailleul depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, la commune était rattachée au canton de Steenvoorde.

Pour l'élection des députés, Godewaersvelde fait partie de la quinzième circonscription du Nord, représentée depuis par Pierrick Berteloot (RN). Sous la Ve République, elle a successivement appartenu à la 12e circonscription (1958-1986), la 14e circonscription (1988-2012) et la 15e circonscription (depuis 2012).

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Depuis le , la commune appartient à Cœur de Flandre Agglo, intercommunalité issue de la transformation de la communauté de communes de Flandre intérieure en communauté d'agglomération. Celle-ci avait été fondée en 2014 par fusion de six anciennes intercommunalités et de 3 communes isolées. Avant cela, Godewaersvelde était membre de la communauté de communes Monts de Flandre - Plaine de la Lys, créée en 1992.

Institutions judiciaires[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[23].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Élection municipale de 2020
Tête de liste Liste Premier tour Sièges
Voix % CM CC
Antoine Vermeulen SE 577 68,77 16 1
Avec vous, Godewaersvelde pour un avenir durable
Jean-Francois Fournier SE 262 31,23 3
Godewaersvelde, demain
Source : [1]

La liste conduite par Antoine Vermeulen, maire de la commune de 2008 à 2014 et premier adjoint sous le mandat de Gérard Maris, remporte le scrutin avec 68,77 % des suffrages contre 31,23 % pour la liste citoyenne dirigée par Jean-Francois Fournier. Le taux de participation atteint 56,59 % (80,85 % en 2014).

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1987
(démission)
Daniel Vuylsteker[24]   Médecin

(démission)
Sylvain Vanbleus   Ingénieur
mars 1989 Paul Vermelle   Négociant en volailles
mars 2008 Jacques Defrancq PS Professeur de collège
mars 2014[25] Antoine Vermeulen DVG Responsable d'exploitation
[25],[26] mai 2020 Gérard Maris DVG Retraité de l'industrie
Premier adjoint au maire (2008 → 2014)
Vice-président de la CC de Flandre intérieure (2016 → 2020)
[27] En cours Antoine Vermeulen DVG Responsable d'exploitation
Premier adjoint au maire (2014 → 2020)

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 2 053 habitants[Note 3], en augmentation de 0,49 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0221 8401 8971 9801 8211 8361 8381 8031 776
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5951 6701 6751 6951 7601 7701 8631 9051 952
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9181 8961 9091 9471 9021 8101 8691 8821 803
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 7941 7981 6651 7131 7381 9271 8932 0262 055
2021 - - - - - - - -
2 053--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2020, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,1 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,9 % la même année, alors qu'il est de 22,9 % au niveau départemental.

En 2020, la commune comptait 1 074 hommes pour 996 femmes, soit un taux de 51,88 % d'hommes, supérieur au taux départemental (48,21 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,2 
5,5 
75-89 ans
6,7 
17,8 
60-74 ans
18,1 
22,3 
45-59 ans
20,3 
19,2 
30-44 ans
21,9 
12,6 
15-29 ans
13,1 
22 
0-14 ans
18,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre
Le géant Henri le douanier
« La seigneurie d'Hagedoorne situé le gros du fief en la paroisse de Godewaersvelde châtelenie de Cassel, se consistant en un château, hautte motte entourée de fossez, cour basse, singles, drèves, pâtures, pretz, bois et terres labourables… » (1726, cité dans rapport et dénombrement par F. Marie De Vos)

Depuis 2009, Godewaersvelde fait partie du réseau Village Patrimoine, coordonné par les Pays de Flandre.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Le chanteur Raoul de Godewarsvelde a pris le nom du village comme pseudonyme, village dont son arrière-grand-père était originaire.
  • Le peintre Nicolas Ruyssen (né à Hazebrouck le ) fonde la communauté du Mont des Cats (moines cisterciens - trappistes). Il meurt le et est inhumé dans la chapelle de l'abbaye.
  • Géraud Venzac (1901-1981), mort à Godewaersvelde, prêtre catholique français, moine à l’abbaye du Mont des Cats, professeur de littérature, chevalier de la Légion d’honneur, auteur de Lettres de la Trappe, Gerbert, Aurillac, 1988.

Godewaersvelde dans la littérature et le cinéma[modifier | modifier le code]

La commune est présente dans plusieurs films et romans pour enfants de la série Les Fabuleuses Aventures de Jean et Henri de Grégory Soodts (Les soeurs "de Catsberg" sont originaires de Godewaersvelde et le Seigneur d'Assignies, chatelain du village, est un des personnages principaux).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Godewaersvelde se blasonnent ainsi : « Fascé de gueules et de vair de huit pièces ». Elles seraient issues des armoiries de la famille d'Assignies, à laquelle appartenait le château du village[34].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Nederlanden in Frankrijk, Jozef van Overstraeten, 1969, éditions Vlaamse Toeristenbond, Anvers

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Godewaersvelde et Steenvoorde », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Steenvoorde » (commune de Steenvoorde) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Steenvoorde » (commune de Steenvoorde) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Boeschepe », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Jozef Van Overstraeten (nl), De Nederlanden in Frankrijk: Beknopte encyclopedie, Vlaamse Toeristenbond, 1969.
  17. La Voix du Nord, édition du dimanche 24 avril 2005, p. 4, rubrique Actualité / Hazebrouck.
  18. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 66, lire en ligne.
  19. Jean Charles Joseph de Vegiano, Supplément au Nobiliaire des Pays-Bas, et du comté de Bourgogne, Louvain, 1775, p. 263, lire en ligne.
  20. « Godewaersvelde », sur L'Armorial des villes et des villages de France.
  21. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  22. Journal de marche du commandement d'étapes de Steenvoorde Décembre 1914- Janvier 1915, p. 18, lire en ligne.
  23. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  24. Valse des maires à Godewaersvelde, L'Indicateur des Flandres, article du 12 février 2014.
  25. a et b « Godewaersvelde : Union pour l’avenir de Godewaersvelde, la liste de Gérard Maris se veut au service de la commune : Antoine Vermeulen, élu en 2008 ne repart pas pour un mandat de maire en 2014. Mais le maire de Godewaersvelde apparaît tout de même sur la liste Union pour l’avenir de Godewaersvelde qui sera conduite par l’actuel premier adjoint, Gérard Maris. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant).
  26. « Godewaersvelde : l'adjoint Gérard Maris devient maire et le maire Antoine Vermeulen, premier adjoint : Antoine Vermeulen a, comme prévu, laissé son fauteuil de maire à son premier adjoint et tête de liste, Gérard Maris. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant).
  27. « Maire de 2008 à 2014, Antoine Vermeulen revient aux affaires à Godewaersvelde : Mercredi, Antoine Vermeulen, 58 ans, responsable d’exploitation a pris la succession de Gérard Maris. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Commune de Godewaersvelde (59262) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  34. « Armorial des communes de la Flandre Française », sur westhoekpedia.org (consulté le ).