Les Salles

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Les Salles
Les Salles
Entrée du bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Montbrison
Intercommunalité Communauté de communes du Pays d'Urfé
Maire
Mandat
Jean-Hervé Peurière
2020-2026
Code postal 42440
Code commune 42295
Démographie
Gentilé Salards
Population
municipale
566 hab. (2021 en augmentation de 10,12 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 50′ 55″ nord, 3° 47′ 40″ est
Altitude Min. 636 m
Max. 963 m
Superficie 25,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boën-sur-Lignon
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Les Salles
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Les Salles
Géolocalisation sur la carte : Loire
Voir sur la carte topographique de la Loire
Les Salles
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Les Salles
Liens
Site web lessalles42.fr

Les Salles est une commune française située dans le département de la Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Salards.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Les Salles fait partie du Forez et est située au nord-ouest du département de la Loire. C'est la commune la plus au nord de l'arrondissement de Montbrison.

Le territoire de la commune représente une superficie de 2 521 hectares et constitue la partie septentrionale de l'ancien canton de Noirétable. Il est limitrophe de huit autres communes, dont deux dans le département voisin du Puy-de-Dôme[Carte 1] :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le sous-sol est en grande partie granitique (type monzogranite) avec une zone calcaire du côté des Fialins et des Fours à chaux (tufs à éléments calcaires)[1].

Le relief est composé par :

  • une bordure montagneuse et forestière au nord-ouest qui constitue les premiers contreforts du massif des Bois Noirs ;
  • des collines en pentes douces dans la zone centrale (La Goutte - Le Bourg - Mérange) ;
  • des zones planes assez étendues au sud-est (Les Bataillouses, La Plagnette).

Le point culminant du territoire est situé au bois Saint-Thomas à 963 mètres d'altitude. Le point le plus bas est à 652 mètres, au Lac.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Les principaux cours d'eau sont le ruisseau de Royon, le ruisseau de La Goutte et le ruisseau de Bareille qui vont se regrouper pour former plus en aval le ruisseau des Salles.

La commune est parsemée de nombreux étangs : La Goutte, Royon, La Plagnete, Goutoule, Guirande, Saint-Claude, Relange, Rullion, les Traversières, etc.

Paysages[modifier | modifier le code]

Les tourbières[modifier | modifier le code]

De nombreuses tourbières sont situées sur la commune (les Roussis, la Plagnette, le Verdier…). Ces zones humides constituent la mémoire végétale de la commune. La matière organique (pollens, arbustes, plantes…) qui s'y trouve s'est accumulée sur plusieurs milliers d'années.

Les tourbières du Verdier et de la Plagnette, d'une superficie d'environ 3 000 m2 chacune, ont fait l'objet d'une étude complète par Hervé Cubizolle en 2004. Elles ont été datées de la fin de l'âge de bronze (1000 av. J.-C. pour le Verdier et 1500 av. J.-C. pour la Plagnette). Les archives végétales qu'elles renferment sont donc d'une valeur inestimable[2],[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 966 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Just-en-Chevalet », sur la commune de Saint-Just-en-Chevalet à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Les Salles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Panorama du village depuis les hauteurs de la Croix Blanche
Le village vu depuis les hauteurs de la Croix Blanche.
  • Les Arioux
  • Artuzet
  • Beurière
  • Le Bois Rizolle
  • Boulade
  • Brissay
  • Cadelon
  • Chaumette
  • Chapt
  • Charbonnières
  • Les Chassains
  • Les Chazelets
  • Coavoux
  • Le Collège
  • Les Combes
  • La Combelle
  • La Côte
  • Coubanouze
  • La Croix Blanche
  • La Cure
  • Chez Dambert
  • Fauchemagne
  • Les Fialins
  • Chez Georges
  • Goutoule
  • La Goutte
  • Gouttegente
  • Gouttenoire
  • Les Gouttes
  • Guirande
  • Le Lac
  • La Loge
  • Mérange
  • La Pique
  • Pierre-Plate
  • La Plagnette
  • Rapeaux
  • Relange
  • Les Ronzières
  • La Rorie
  • Royon
  • Rullion
  • Saint Roch
  • Les Serrots
  • Le Supt
  • Le Treyve
  • Le Verdier

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

L'autoroute A89 traverse le territoire de la commune selon une direction est-ouest. Elle passe à proximité du bourg. L'échangeur de la sortie 31 se trouve à l'entrée est du bourg.

Toponymie[modifier | modifier le code]

La plus ancienne mention du nom de la commune date des environs de l'an 1000 dans le cartulaire de l'abbaye de Savigny Ecclesia de Sales[15].

On retrouve dans une autre édition de ce même ouvrage une mention Ecclesia de Salis en 1225 et Sancti Petri di Salis en 1361[15].

Jusqu'à la Révolution, le village commune s'est appelé Saint-Pierre-des-Salles.

Les spécialistes de toponymie sont très partagés sur le sens du nom :

  • pour Albert Dauzat le nom viendrait du mot germanique saal : chambre ;
  • de même pour Pierre Louis Augereau, le nom provient du mot salle qui en ancien français désignait le siège d'une seigneurie, une maison noble ou un logis fortifié. Ce mot dérive du bas latin sala après emprunt au francique sal qui a donné en allemand saal : chambre, château.

Les autres explications sont plutôt fantaisistes :

  • certains font un rapprochement avec Saint François de Sales ;
  • d'autres font dériver le nom du latin saltus : lieu boisé ;
  • une autre hypothèse le rattache au nom du saule, et plus particulièrement de sa traduction germanique Salt ;
  • Charles Jacquet, historien local, émet quant à lui, l'hypothèse d'une origine liée au mot latin sala qui, en son temps, signifiait hôtellerie, taverne. Il fait allusion à un relais situé en bordure de la voie romaine Lugdunum (Lyon) - Burdigala (Bordeaux) qui passait dans la commune et qui aurait été à l'origine du village. Cette explication est à rapprocher des deux premières et c'est la plus vraisemblable.

Il est à noter qu'en France, 28 communes portent le nom de Salles, toutes situées dans la moitié sud de la France[16].

Influence linguistique[modifier | modifier le code]

Située aux confins des trois grandes zones linguistiques françaises (dialectes d'oc, dialectes d'oïl, dialectes francoprovençaux), le parler local est de type francoprovençal.

Histoire[modifier | modifier le code]

Vue du bourg depuis la Croix de Charbonnières
Le village des Salles.

Vestiges néolithiques[modifier | modifier le code]

Vue de la plaine des Bataillouses
Plaine des Bataillouses.

Dans les années 1930, un instituteur, André Breasson, a trouvé plusieurs silex taillés sur la commune confirmant une occupation humaine relativement ancienne du territoire[17].

Vestiges de l'âge du bronze[modifier | modifier le code]

L'étude de la tourbière du Verdier (voir plus haut) a mis en évidence que son origine vers 1000 av. J.-C. est liée à des aménagements d'origine humaine. Cette étude confirme la présence fort ancienne d'habitants sur le territoire de la commune[2].

Vestiges gaulois et gallo-romains[modifier | modifier le code]

En contrebas du chemin qui va du Verdier à la Plagnette, des sondages effectués en 2003 par le GRAL ont mis en évidence une occupation gallo-romaine.

Des éléments de poterie sigillée avec décors ont été découverts. Ils sont datés du IIe siècle de notre ère.

À proximité a aussi été découvert un autre site qui n’a pas été daté avec précision, mais qui pourrait être d’origine gauloise.

Évènements historiques[modifier | modifier le code]

  • En 1181, Guy II, comte de Forez, fit bâtir sur le territoire de la paroisse des Salles une fortification en un lieu nommé Cervières. Cette construction avait pour but de protéger le comté de Guy II de Forez des velléités de ses puissants voisins d'Auvergne, de Couzan et d'Urfé lors de sa présence aux croisades. Plus tard, de nombreuses maisons s'étant construites autour de la garnison, le territoire de Cervières fut démembré de la paroisse des Salles[18].
  • En novembre 1567, une troupe de protestants, conduits par Poncenat, lieutenant du baron des Adrets et Verbelais est vaincue par les catholiques du marquis de La Chabre et les seigneurs de Terris et de La Valette dans la plaine des Bataillouses. Cette bataille coûta la vie à environ 300 soldats[19]. Le capitaine-châtelain de Cervières était Antoine Meaudre. Ce dernier convoquera le ban pour s'opposer aux protestants de Poncenat. Il est représenté sur la face de la croix des Meaudre qui sera érigée pour commémorer la victoire.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1935 Petrus Chaux    
1935 1949 François Brissay    
1950 1975 Joseph Brunet    
1975 1998 Charles Pilonchery    
1998 2014 Philippe Godard    
2014 En cours Jean-Hervé Peurière[20]    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Salards et les Salardes[21].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

En 2021, la commune comptait 566 habitants[Note 2], en augmentation de 10,12 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9007488481 0021 0481 0869681 0321 021
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9409921 0331 0631 0619811 0501 0061 090
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 024874850804734664666691572
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
527505412518441424466477513
2018 2021 - - - - - - -
554566-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

  • Club de foot ASCLS (Association Sportive Chausseterre Les Salles) créé en 1973. Couleurs jaune et bleu.
  • Société de chasse communale. Organisation de la Marche de la Bouillie chaque année le 14 juillet.
  • Le Collège : Foyer pour adultes handicapés vieillissants géré par l'APAJH.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Vue de l'église
L'église datant du XIIe siècle.
La Croix des Meaudres
La Croix des Meaudres.
  • Les pierres druidiques : la pierre branlante, La pierre du sacrifice, le dolmen de La Goutte.
  • Mérange, lieu le plus anciennement cité : en 982 dans le cartulaire de Savigny.
  • La voie romaine Lugdunum (Lyon) - Augustonemetum (Clermont) (les Meaudres-Le Bourg-La Croix Blanche-Relange-L'Étrat).
  • L'église paroissiale Saint-Pierre des Salles date du XIIe siècle (l'une des plus anciennes de la région) ; à l'intérieur, la statue de sainte Anne et la Vierge en bois ciré datant de la fin XVIIIe ou du début XIXe siècle est classée monument historique[26].
  • La chapelle Saint-Roch, érigée dans les années 1630 à la suite d'un vœu fait par les habitants des Salles et de Cervières lors de l’épidémie de peste.
  • Les souterrains : Le Bourg (ex-presbytère), Chapt, Fauchemagne, Le Lac, Coavoux, La Cure, Mérange[27]...
  • Des fermes fortifiées : Relange, Rullion, le Verdier, le Lac...
  • Des châteaux : château de la Goutte, les Serrots, Chapt...
  • Des lieux légendaires : le tombeau de Mona, le rocher de la Mule.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armoiries des Salles se blasonnent ainsi :

Écartelé en sautoir : au 1er d'azur au casque d'argent taré de profil, aux 2e et 3e d'or au pic de mineur de sable, les deux pics affrontés, au 4e d'azur à trois dauphins d'argent ployés et appointés en lunel ; sur le tout d'or à la herse de sable cloutée d'or ; le tout enfermé dans une filière componée de gueules et d'or.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes

Références[modifier | modifier le code]

  1. M. L. Gruner, Description géologique et minéralogique du département de la Loire, Paris, Imprimerie Impériale, (lire en ligne).
  2. a et b Hervé Cubizolle, Vincent Georges, Catherine Latour, Jacqueline Argant et Karen Serieyssol, « La turfigenèse à la fin du Subboréal et au Subatlantique dans les tourbières basses du Massif Central oriental granitique (France) : une manifestation de l'action humaine ? », Quaternaire, vol. 15, no 4,‎ , p. 343-359 (DOI 10.3406/quate.2004.1780, lire en ligne Accès libre, consulté le ).
    Étude de sept tourbières dans une partie du Massif central, entre les monts de la Madeleine, du Livradois et du Forez, dont celles de la Plagnette et du Verdier.
  3. Hervé Cubizolle, Céline Sacca et Fabrice Grégoire, « Quand l'Homme crée des tourbières ou comment les tourbières d'origine anthropique changent la manière de percevoir les écosystèmes tourbeux », Géocarrefour, vol. 88, no 4 « Nouveaux regards sur les zones humides »,‎ , p. 257-272 (DOI 10.4000/geocarrefour.9252, lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Les Salles et Saint-Just-en-Chevalet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Just-en-Chevalet », sur la commune de Saint-Just-en-Chevalet - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Saint-Just-en-Chevalet », sur la commune de Saint-Just-en-Chevalet - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. a et b Dictionnaire topographique du département de la Loire, Publications de l'Université de Saint-Étienne, (ISBN 2-86272-412-2, lire en ligne), colonne 926.
  16. lion1906.com
  17. « Silex taillé trouvé aux Salles », Bulletin de la Diana, Montbrison, La Diana, t. XXXVIII, no 8,‎ , p. 288-291 (lire en ligne, consulté le ).
  18. Aspect de la vie religieuse en Forez, p. 51.[réf. non conforme]
  19. André Imberdis, Les guerres religieuses en Auvergne.[réf. non conforme]
  20. « Les Salles », sur le site de l'association des maires de France (consulté le ).
  21. « Les Salles (42440) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Notice no PM42000886, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  27. prospections [GRAL]