Category: Peinture


Francine Van Hove

La danse

Christopher Zhang


 

 
Shaun Peck

Serguei Zlenko

 

Christopher Zhang

Alexander Sheversky

 
Konstantin Razumov

Alexi Zaitsev

Sandra Edwardssé seducir.

Ramón López Vela

Hamish Blakely
 
Stephen Pan

Andrew Atroshenko

Hugo Vilfred Pederson (Danish, 1870-1959)

KeDEB MAGELSSEN

Sherree Valentine

Joe Bowler

Joanna SzumskaJeffrey Terreson

Alan White
Scott Mattlin

[Robert+Hefferan+++Dance003.jpg]

Robert Hefferan

Joarez Filho

Denise Frazier Pettee

Franz von Stuck

 

Maria Pace

Alexi Zaitsev
White Vail

 

The Wash
On The Deck
Sleeping
Under An Umbrella
Vacationer
Umbrellas
Three Sisters
The Kiss
The Indian
Tango
Stranger
Parisian Cafe
Opium
On The Yacht
On A Skating Rink
Lady In A Black Coat
Laced Gazebo
In a Bar
Girl With A Pink Bunny
Girl With A Dog
Girl With A Black Umbrella
Girl in A Rocking
Eastern Couch
Dear Friend
By The Cliff
Blue Automobile
Before The Hunt
A London Bus

White Vail

 

The Wash
On The Deck
Sleeping
Under An Umbrella
Vacationer
Umbrellas
Three Sisters
The Kiss
The Indian
Tango
Stranger
Parisian Cafe
Opium
On The Yacht
On A Skating Rink
Lady In A Black Coat
Laced Gazebo
In a Bar
Girl With A Pink Bunny
Girl With A Dog
Girl With A Black Umbrella
Girl in A Rocking
Eastern Couch
Dear Friend
By The Cliff
Blue Automobile
Before The Hunt
A London Bus
Fortune Teller 

 High Up In The Mountains - 110 x 80 sm, oil, canvas, 2005

High Up In The Mountains

Sous le charme…….


 

 

 


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Trisha Lambi

Marai Antonia Dans Boado

Colette Calascione

Frida Kahlo

Toulouse-Lautrec

Jack Vettriano

Marc Chagall

Edward Hopper
Georgia Okeeffe

Salvador Dalí

Amedeo Modigliani

Trisha Lambi

Sir Frank Dicksee

Ignat Ignatov

John William Godward

Stanislav Plutenko

Sir Edward John Poynter

John Singer Sargent

Robert Henri

Ignat Ignatov

Ralph White

Otto Dix

Olga Akasi

Odilon Redon

Max Pechstein

Max Ernst

  • Rubios, pulidos senos de Amaranta,
    por una lengua de lebrel limados.
    Pórticos de limones, desviados
    por el canal que asciende a tu garganta.
  • Rojo, un puente de rizos se adelanta
    e incendia tus marfiles ondulados.
    Muerde, heridor, tus dientes desangrados,
    y corvo, en vilo, al viento te levanta.
  • La soledad, dormida en la espesura,
    calza su pie de céfiro y desciende
    del olmo alto al mar de la llanura.
  • Su cuerpo en sombra, oscuro, se le enciende,
    y gladiadora, como un ascua impura,
    entre Amaranta y su amador se tiende.


Rafael Alberti

Mary Qian

Fabián Pérez

Zhao Kailin

Tamara de Lempicka

Kees van Dongen

Kazuya Akimoto

John William Waterhouse

John White Alexander

José Luis Munoz

Jingzhou Bai

Jean-Jacques Henner

James Abbott McNeill Whistler

Jack Vettriano

Henri de Toulouse-Lautrec

Gustave Jean Jacquet

Élizabeth Louise Vigée-Lebrun

Giuseppe De Nittis

George Lambert

Tamara de Lempicka

Jack Vettriano

Walter Anderson

Max Pechstein

Zhao Kailin

Zinaida Serebriakova

Frank Desch

Fabián Pérez

Ekaterina Abramova

Domenico Morelli

Giovanni Costa

Andrey Aranyshev

Trisha Lambi

Montserrat Gudiol
 
Eugène Henri Paul Gauguin

Egon Schiele

Edward Hopper

Rufi Garcia Nadal
 
Lozzano

Wilson Irvine

Thomas Anshutz

Guy Rose

Xiang yuan Jie

William Shih-Chieh Hung

Sol Halabi

Diego Dayer

Louis Ritman

Anwen Keeling

James Wilson Morrice

James Abbott McNeill Whistler

Giovanni Boldini

Frank H. Desch

Chen Yang-chun

Federico Zandomeneghi

Anwen Keeling
Liu – Yuanshou

 

  •  

 

LIU – YUANSHOU

 

LIU – YUANSHOU

 

LIU – YUANSHOU

LIU – YUANSHOU

 

Soledad Fernández

 

Soledad Fernández

 

Soledad Fernández

 

Soledad Fernández

 

Soledad Fernández

 

Soledad Fernández

 

Philip Geiger

 

Soledad Fernández

, Soledad Fernández

L’Inspiration favorable, dit. aussi Sapho inspirée par l’Amour
huile sur toile

zoom -

Venus et Cupidon
c. 1760
Huile sur toile – 37 x 34 cm (oval)
Private collection

Jeune fille délivrant un oiseau de sa cage
Collection particulière

 

Fragonard

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                                                  Le feu aux poudres Fragonard

 "Sans alibi mythologique et sans fausse pudeur, il dénude les seins, soulève les chemises. Aux détails surabondants et égrillards, aux contenus excessivement narratifs des estampes populaires ou des gouaches de maîtres renommés, Fragonard préfère l’essentiel: l’abandon d’un corps nu, la sensualité d’une étreinte à laquelle la jeunesse des modèles confère spontanéité et fraîcheur…le style très peu apprêté, fluide, presque allusif, de Fragonard, ainsi que la douceur de ses coloris font de toiles telles que le Baiser ou l’instant désiré de purs moments de poésie""

 File:Fragonard ma chemise brule louvre.jpg 
Ma chemise brûle

https://i0.wp.com/lunettesrouges.blog.lemonde.fr/files/2007/10/fragonard-les-debuts-dumodele.1191587853.jpg

Les débuts du modèle de Fragonard 1769

Les débuts du modèle, où la scène classiquement chargée d’érotisme du peintre et son modèle est aimablement détournée : ici la mère vante les charmes de sa fille, modèle débutante. Elle lui dénude les seins, d’une blancheur immaculée; le peintre, voulant mieux s’informer, soulève le jupon avec une longue baguette, bien évidemment symbolique. Touchée ! La jeune fille, faussement effarouchée, fait mine de résister et détourne la tête. Il suffit de suivre le regard de la mère (ou serait-ce une entremetteuse ?), dirigé sans vergogne vers le renflement du pantalon rose du peintre, pour saisir toute l’ambiguïté charmeuse de la scène. D’un tiroir entrouvert pend un mouchoir; et que peuvent bien être les trois trous carrés dans le pied du chevalet ? Je ne suis pas certain d’y percevoir la  part sombre de Fragonard, mais c’est aimablement réjouissant.  

https://i0.wp.com/correcteurs.blog.lemonde.fr/files/2009/08/gimblette.1251704248.JPG

Le feu aux poudres

Jeune fille faisant danser son chien sur son lit dit la gimblette – Fragonard
vers 1770 version de Munich La
 
"Une gamine aux bonnes joues rose et son king-charles blanc paraissent s’amuser innocemment. La complicité de ces deux-là n’est pas mince: le même ruban bleu vif ceint le cou du chien et le bonnet de la fillette, qui, dans l’agitation, a glissé sur l’oreiller! "
[La+Gimblette.jpg]
 
La gimblette vers 1768

zoom -

Les hasards heureux de l’escarpolette
1767

 
 

Fragonnard

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Jean-Honoré Fragonard (1732-1806)
                    Les Lavandières
 
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3. Jean-Honoré Fragonard (1732-1806)
             L’Enjeu perdu ou Le Baiser gagné

L’enjeu perdu, connu également sous le nom du baiser volé ou du baiser gagné, montre une heune homme aux joues bien rouges qui, dans son empressement à embrasser sa voisine, et à recevoir le prix de l’enjeu, perd son chapeau. Celle-ci se débat ou plutot fait mine de se débattre et de se refuser mais en est empêchée par sa compagne qui lui maintient fermement les mains sur la table.

photo

Fragonard, Le Baiser volé, 1756-1761

Metropolitan Museum of Art


Le baiser volé, huile sur toile, aprés 1870, 45,1cm x 54,8cm, Saint-Pétersbourg, musée de l’Ermitage

Le Grand prêtre Corésus se sacrifie pour sauver Callirhoé,  1765, huile sur toile, 3m09 x 4m, XVIIIème, Musée du Louvre, Paris

Il s’agit du plus grand tableau de Fragonnard. L’histoire peu connue, tirée de l’Itinéraire de la grèce de Pausanias, se passe à Calydon, ville dédiée à Bacchus. Le grand prètre du temple, blessé par l’indifférence de la belle Callirhoé, demande vengeance à Bacchus, qui rend ivre tous les Calydoniens. Pour apaiser la colère du Dieu, le sort a désigné une victime propriatoire en la personne de Callirhoé. Mais Corésus, plutot que de sacrifier la jeune fille, préfère se poignarder. Ce tableau, présenté pour sa réception devant le jury de l’Académie, lui valut l’approbation de la critique, et notamment de Diderot pour qui Fragonnard a acquis" toute la magie, toute l’intelligence et toute la machine pittoresque. La partie idéale est sublime dans cet artiste à qui il ne manque qu’une couleur plus vraie et une perfection technique que le temps et l’expérience peuvent lui donner …C’est en effet une belle chose, et je ne crois pas qu’il y ait un peintre en Europe capable d’en imaginer autant"

Ce tableau tranche dans la production du peintre par sa mise en scène dramatique. Les deux colonnes qui structurent la composition,  en soulignent le coté théatral.  Fragonnard témoigne d’une grande habileté à peindre l’expression des passions: sur les visages, on peut lire l’effroi, la surprise, le stupeur, la consternation

                                                              Les Baigneuses, huile sur toile, 64 cm x 80 cm, 1765, Musée du Louvre, Paris