Sacs de farine d’avoine pour les bains.

On fait ces sacs avec un morceau de flanelle ou grosse toile d’environ six pouces carrés. On les remplit de farine d’avoine et de savon dans la proportion d’une livre et demie ou deux livres pour un quart de savon  râpé et de racines d’iris en poudre. On mêle bien le savon et la farine et on y incorpore plus ou moins de racine d’iris suivant son goût.

Pour adoucir l’eau

Faire des petits sacs en étamine, les remplir de farine d’avoine.

avoine

En mettre un dans l’eau quelques minutes avant de commencer la toilette.

Si l’on prend de l’eau de toilette dans le bain-marie, mettre dans le fond une coquille d’huître qui absorbera le sable et ne tardera pas à être couverte d’une sorte de couche pierreuse.

Alimentation des oiseaux d’appartement (insectivores)

FORMULE DES MARCHANDS D’OISEAUX.
     Cette formule fort simple, généralement employée par les marchands d’oiseaux, n’est pourtant pas assez riche en matières azotées pour former l’alimentation exclusive des oiseaux. On doit forcément y ajouter soit des œufs de fourmis, des vers de farine coupés en morceaux, soit encore du cœur de bœuf ou du sang granulé. Cette pâtée qui doit conserver une certaine consistance, être fraîche au toucher sans humidité, se compose de deux parties de mie de pain blanc, finement pulvérisée, deux parties de verdure, mouron, choux, etc., haché fin, mêlé d’un peu de carotte râpée et d’une partie de chènevis.

Contre les pucerons

La Revue horticole recommande l’emploi d’une émulsion de pétrole avec de la farine : (on verse dans un tonneau 5 litres de pétrole, puis 560 grammes de farine ou le double si l’on veut conserver l’émulsion un certain nombre d’heures), et on brasse bien ; on ajoute ensuite 16 à 18 litres d’eau, et on bat violemment pendant quatre à cinq minutes, puis on verse le reste des 40 litres d’eau. L’émulsion est alors prête à être employée.

Remèdes contre les brûlures

La Gazette des Sapeurs-Pompiers indique, avec une compétence professionnelle indiscutable, deux formules anodines de remèdes contre les brûlures qui ne sont pas à négliger, précisément parce qu’elles sont très simples et parce que l’on en a, le plus souvent, les éléments sous la main.

La première formule consiste à plonger la partie brûlée dans un vase contenant de l’eau tiède additionnée de lo grammes par litre de teinture d’arnica. La douleur cesse aussitôt, d’après ce que dit l’auteur du pro­cédé.

L’autre formule est la suivante : on imbibe fortement d’huile d’olive la partie atteinte. Sur l’huile on répand de la fécule, ou même de la farine, jusqu’à ce que cette huile n’en absorbe plus. On fixe alors sur la partie ainsi traitée une bande de toile bien propre. Ce procédé a, paraît-il, l’avantage delle laisser aucune trace de la brûlure lorsque, trois ou quatre jours après, on enlève le pansement.

N’oublions pas d’ailleurs les excellents services que rend l’oléocalcaire, c’est-à-dire l’huile d’olive dans laquelle on met de la chaux en poudre et que l’on remue avant de l’appliquer sur la partie brûlée. Ce remède classique supprime aussi la douleur et empêche les traces persistantes.

L’acide picrique est très bon, mais il demande à être appliqué par un médecin ou par un pharmacien, en raison même de son activité chimique.

Ce sera le 151e anniversaire de la naissance de Marie Brassart25 février 2025
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