J’ai découvert cet album et par la même occasion ce groupe au détour de la lecture d’une nouvelle chronique musicale. Et je dois avouer que c’est une belle surprise. Je reconnais que ce sont souvent de belles surprises dont je parle sur ce blog mais cette fois-ci je n’avais vraiment aucune idée de ce que j’allais entendre derrière cette pochette composée d’une peinture que j’ai du mal à déchiffrer.
Bref, nous ne sommes pas là pour parler du troisième art mais du quatrième. Revenons à la musique de ce quartet d’origine californienne qui est très riche, du folk alternatif, sublimé par des parties instrumentales subtiles fleuretant par moment avec le jazz (« Five little suits » ou « Can’t I know »). Je suis très impressionné par le niveau des compositions surtout de la part de musiciens d’une moyenne d’âge aux alentours de vingt ans. Ca sent bon la musique de la côte ouest, plus précisément la Californie. Influence que l’on retrouve dans la voix aigue d’Avigdor Zahner-Isenberg, le leader, chanteur- guitariste, qui m’évoque à la fois Andrew VanWyngarden et Troy Von Balthazar (« One Last »), mais aussi dans ce son de guitare très sixties.
Bref une musique qui donne envie de rouler en combi wolkswagen customisé avec des rideaux à fleurs !
Devant l'impatience de certains participants et afin de ne pas décevoir de futurs participants, voici le résultat du deuxième jeu concours. En effet, nous avons trois gagnants comme prévu dans le règlement : Marie, Clément et William.
En effet, c'est bien l'album Thriller de Michael Jackson qui fut ma première acquisition. Pour l'histoire je l'ai reçu pour mes 8 ans, en format K7, en même temps que mon premier baladeur rouge, acheté chez le photographe du coin (revendeur aussi de matériel hifi) et comportant deux boutons : play et stop. Et oui pas d'avance rapide ou de rembobinage sur ce premier modèle. J'étais fou de ce disque et du chanteur bien entendu. J'ai usé la bande à force de l'écouter, à part sur le morceau "Thriller" qu'il m'était impossible d'entendre, trop effrayé par le clip. Je vous laisse donc imaginer les moyens que je devais utiliser pour pouvoir passer rapidement cette plage compte tenu de mon baladeur.
Bref, c'était pour l'anecdote. Je vais donc pouvoir remettre en main propre deux des lots, pour le dernier, j'attends ton adresse William, au fin fond de la douce contrée de Saint Patrick !
J'ai choisi pour l'occasion un extrait de cet album un peu moins connu que tous les succès qui le composent. Ce titre qui se nomme "Human Nature" a notamment été repris par Miles Davis lors de sa magnifique tournée mondiale de 1988...Allez je vais même mettre les deux versions ! Je suis royal !
Je suis heureux de pouvoir vous proposer un deuxième jeu concours. Jeu qui a été mûrement réfléchi notamment en ce qui concerne le lot des vainqueurs (fabriqué par une société spécialisée). J'insiste sur le pluriel car cette fois-ci il n'y aura pas un, ni deux mais trois gagnants, les trois premières bonnes réponses pour être précis. Ils recevront, toujours en mains propres ou par courrier, un porte-clé décapsuleur à l'effigie de votre blog préféré !
Voici la question, à choix multiples, de ce deuxième jeu concours :
Quel est selon vous le premier album que le Muffin Man a eu dans sa vie (tout support confondu à savoir, disque, k7, cd, mini-disc,...) ?
a) "Strictly Commercial" de Frank Zappa b) "Hit Machine Volume 1" c) "Thriller" de Michael Jackson d) "Allo, allo monsieur l'ordinateur" de Dorothée e) "Nevermind" de Nirvana f) "Steam" de East 17 g) "The Sign" de Ace of Base h) "Definitly Maybe" d'Oasis
Vous vous doutez bien que pour le premier anniversaire de ma petite Lily, il allait de soit que je devais intervenir en tant que papâtissier ! J'ai choisi volontairement une recette que vous devez tous connaitre pour que Lily puisse goûter. Mais ce qui est intéressant c'est la décoration que l'on peut lui apporter !!
Ingrédients : 1 yaourt 3 pots (de yaourt) de farine 2 pots de sucre 1/2 pot d'huile 1/2 paquet de levure 1 cuillère à café de vanille en poudre (ou de zeste de citron) 4 œufs
Pour le glaçage : 100 gr. de sucre glace 2 cuillère à soupe d'eau ou de jus de citron
Pour la décoration : Plein de smarties !!!!
Battre les œufs entiers et le sucre jusqu'à ce qu'il soient bien clairs.
Ajouter le reste des ingrédients et bien mélanger afin que ce soit bien mousseux.
Versez le mélange dans un moule à manqué beurré et mettre au four (180°C ou th 6) pendant 35 min en surveillant avec la pointe du couteau afin d'avoir un gâteau moelleux.
Une fois cuit, préparez le glaçage en mélangeant le sucre glace et 2 cuillères à soupe d'eau (ou de jus de citron) afin d'obtenir une crème blanche et épaisse que vous étalerez sur votre gâteau.
Reste à faire place à votre imagination concernant la décoration à base de smarties.
Tenez vous prêts chers lecteurs, le deuxième concours du blog du Muffin Man approche. Je vous donne rendez-vous en début de semaine prochaine pour une nouvelle question et un lot collector à remporter. Bon week-end à vous et à la semaine prochaine pour ce jeu !
Je me suis fait la réflexion suivante en écoutant l'album de The XX récemment : j'ai l'impression d'avoir trouvé l'album qui me correspond. Quand j'y repense, c'est un sentiment que j'ai déjà du ressentir mais là c'est différent. Avec le premier opus de ces trois londoniens j'ai vraiment le sentiment d'avoir toujours attendu cet album.
Pour ceux qui ne connaissent pas ce groupe, en quelques mots, c'est la rencontre de la new wave et du rock garage, une musique minimaliste qui résonne comme un battement de cœur, les dignes héritiers de Young Marble Giants.
Mais revenons au sujet de la réflexion en allant encore plus loin : et si il ne devait rester qu'un seul disque sur cette terre ? Et bien ce serait celui là je crois !Question qui au passage revient régulièrement dans mon esprit.
Maintenant ce qui m'intéresse c'est de savoir si vous aussi, chers lecteurs, vous avez aussi ressenti cela en écoutant un album, à savoir "c'est le disque qui me correspond, c'est celui que j'ai toujours attendu" ? Confiez moi tout ça dans vos commentaires !
En attendant, un petit extrait du "disc of my life" !
Aujourd'hui est un jour particulier que je veux dédier à ma petite Lily. Je te souhaite un très joyeux premier anniversaire.
Cela va de soit qu'une dédicace du Muffin Man passe forcément par un extrait musical. Mais je n'ai pas choisi la musique de doudours pourtant je sais que c'est celle-ci que tu aurais aimé entendre Lily vu le déhanché que tu pratique lorsque tu l'écoutes. Ce sera un titre qui est cher à tes deux parents, "Bittersweet Symphony" de The Verve. Un titre polémique car soit disant repris mais on s'en fout parce que c'est beau !
Vous le savez maintenant, il ne se passe pas un week-end pour le Muffin Man sans une expérience culinaire et pour être plus précis pâtissière. Une fois de plus je me replonge en enfance avec cette recette qui aura permis à ma petite famille d'enrichir son goûter. Pas vraiment de conseil à donner. Vous pouvez incruster du sucre en perle avant de mettre au four vos petits pains au lait histoire de les agrémenter d'une petite décoration. Pas besoin de robot pour mélanger vos ingrédients contrairement à ce que laisse penser la recette. Il va falloir mettre la main à la pâte, sans vouloir faire de jeux de mots !
Source : Les Gâteaux de Mamie, les recettes d'Amandine
Ingrédients : 250 gr. de farine 60 gr. de beurre salé tempéré, découpé en petits dés 30 gr. de sucre semoule 1 œuf entier + 1 jaune d'œuf 5 cl. + 5 cl. de lait 10 de levure de boulanger sèche 5 gr. de sel
une plaque de four tapissée de papier sulfurisé
Délayez la levure dans 5 cl. de lait tiède.
Versez la farine, le sucre, le sel, le lait avec la levure et l'œuf entier dans le bol de votre robot.
Mélangez les ingrédients puis versez le lait restant.
Pétrissez la pâte durant quelques instants jusqu'à ce qu'elle prenne une texture homogène.
Ajoutez les dés de beurre et mélangez encore, puis formez une boule de pâte et déposez-la dans un endroit tiède, couvert d'un torchon. Laissez-la reposer environ 45 min. Elle va peu à peu doubler de volume.
Formez des petits pains allongés que vous poserez sur la plaque de four tapissée de papier sulfurisé. Couvrez-les d'un torchon et laissez-les reposer dans un endroit tiède pendant 1h. Ils vont doubler de volume.
Préchauffez le four à 210°C (th 7)
Badigeonnez les petits pains d'un peu de jaune d'œuf battu et mettez au four. Baissez la température à 180°C (th 6) et laissez cuire une douzaine de minutes. Surveillez bien la cuisson. Les petits pains doivent être joliment dorés sur le dessus.
Pendant que certains se reforment (Pavement) ou restent sous silence (Guided By Voices), d’autres continuent de tracer leur route et c’est le cas du collectif de Spoon. Après avoir joué les seconds rôles dans la génération indie des années 90, les quatre texan vont peut-être s’affirmer et se révéler une référence dans la scène indépendante actuelle.
Leur septième album a tout pour confirmer cette hypothèse. Il y a d’abord cette intensité maintenue tout au long du disque et qui ne trouve répit que le temps de deux titres calmes et posés, « I saw the light » et sa superbe partie de piano à rendre jaloux Elton John dans sa période glam et « Goodnight Laura ».
Musicalement c’est la basse et son gros son qui nous tiennent en haleine (« The mystery zone », « Nobody gets me but you »), soutenue par une batterie carrée. Britt Daniel n’a plus qu’à poser sa voix éraillée qui me rappelle Kelly Jones voire même « E ». Une voix qui témoigne du temps et du coté underground de la musique de Spoon. Une voix qui ne laisse pas indifférent à l’écoute. Une voix qui après avoir envahi vos oreilles et votre cerveau, annexera votre cœur et vos tripes. Et c’est important pour moi cet organe dans le rock, c’est ce qui donne son caractère à cette musique et en particulier à la celle de Spoon.
Il n'y a pas de dimanche pluvieux sans que le Muffin Man ne revête son tablier d'apprenti pâtissier (il faudra d'ailleurs que je vous en fasse une petite photo car j'en suis fier). J'avais donc décidé de me lancer dans un goûter que je qualifierai de "à l'ancienne". J'entends par là un goûter traditionnel avec des chaussons aux pommes. Si je devais donner un seul conseil pour cette recette (ça tombe bien c'est le cas), je vous dirais de couper en petits morceaux les pommes et de les couvrir si vous voulez gagner du temps à la cuisson ! Place à la recette maintenant !
Source : Les Gâteaux de Mamie, les recettes d'Amandine
Ingrédients : 400 gr. de pâte feuilletée (cela représente deux pâtes feuilletées du commerce) 500 gr. de pommes (une fois épluchées et le coeur et les pépins otés) 60 gr. de sucre en poudre 1 jaune d'œuf 1/2 cuillère à café de cannelle en poudre
une plaque de four tapissé de papier sulfurisé
Epluchez les pommes, coupez-les en quatre, ôtez le cœur et les pépins. Déposez-les dans une casserole (je conseillerai une cocotte) avec 2 cuillères à soupe d'eau et le sucre.
Portez à ébullition et baissez le feu. Laissez cuire une quinzaine de minutes à feu doux. Saupoudrez de cannelle.
Préchauffez le four à 180°C (th 6)
Etalez la pâte et découpez des disques d'environ 12 cm de diamètre. Garnissez la moitié de chaque disque de compote en laissant un bord extérieur.
Humectez d'un peu d'eau les bords de pâte et repliez la pâte pour former un chausson.
Pincez soigneusement les bords avec les doigts.
Badigeonnez d'un peu de jaune d'œuf battu et mettez au four. Laissez cuire pendant environ 20 à 25 min.
Mercredi soir j’ai assisté au concert de Minor Majority. Un grand bonheur de pouvoir les voir du coté de Bordeaux quand on connaît leur popularité en France à savoir… faible, ce qui a le don de m’énerver fortement. A croire qu’en France nous n’avons pas les oreilles pour apprécier la musique folk. Il suffit de constater les difficultés qu’ont les artistes de ce genre à percer, qu’ils soient français ou internationaux. La musique folk est pourtant une source musicale riche et ancestrale, empreinte de poésie.
Il n’est pas question de faire débat dans ce post mais de parler de ce concert donc revenons à cette soirée que j’ai passée en compagnie de ma complice de soirée live.
L’ambiance était donc à la balade au cœur de l’Amérique vue par les cinq norvégiens de Minor Majority. Je n’avais pas de visa sur moi mais avec ces fabuleux musiciens ce n’était pas utile, je savais que l’on allait pouvoir voyager au-delà des frontières. Je n’avais pas beaucoup écouté le dernier album Either Way I Think You Know mais j’ai vite retrouvé l’ambiance de celui avec lequel je les avais découvert, Up For You & I à travers des titres percutants comme « To let go ».
Et puis il y a toujours ces textes qui évoquent l’amour, le cœur des chansons de Pål Angelskår ce qui ne laisse pas insensible comme « Song for Sybil » ou « Dorian leaving the table rouge ». J’ai aussi eu droit au titre que j’attendais avec impatience, le fameux « She gave me away ».
Enfin musicalement c’est en place du début jusqu’à la fin avec de très belles envolées du guitariste Jon Arild Stieng, la voix chaude du chanteur-leader et un son irréprochable. Et pour parfaire cette soirée, un contact très agréable avec leur public, témoignant de l’accessibilité et de la simplicité de ce groupe majeur dans le catalogue folk contemporain.
Exceptionnellement ce nouveau message du Muffin Man n'est pas centré sur sa petite personne. En effet j'avais envie de rendre hommage ou plutôt dédier cette journée à un cousin que je me suis découvert, quelqu'un qui me ressemble beaucoup.
Je te souhaite un joyeux anniversaire Jérémie.
Mais bien sûr c'est aussi pour moi l'occasion de partager un petit extrait, cadeau de ma part au vieux truand de l'ouest américain que tu es et surtout amateur de belouse !!!!!!!
Une partie de mes lecteurs est déjà au courant de la dernière nouvelle concernant le Muffin Man alors j'ai le plaisir d'annoncer aux autres que vous pourrez dorénavant me retrouver sur le site Indiepoprock. En effet, j'ai intégré la formidable équipe de ce site et j'en suis très heureux et très fier. Pour ceux qui me connaissent, vous savez à quel point cela me tenait à cœur de pouvoir être dans la peau d'un critique musical et bien ce souhait est réalisé maintenant et c'est le pied !
Ce matin, sur le trajet du travail, j'ai croisé sur mon vélo un jeune homme attendant son bus, vêtu d'un t-shirt à l'effigie de Frank Zappa. A vrai dire ce n'est pas la première fois que je le vois sur mon chemin et cela éveille fortement ma curiosité parce que je me demande toujours ce qui pousse une personne à écouter ce génie un peu fou ! Comment en arrive-t-on à Zappa et comment en devient-on addict ?
C'est donc l'occasion pour moi d'ouvrir un deuxième chapitre sur ma relation avec Frank Zappa. J'emploie le terme de relation car j'ai vraiment l'impression de l'avoir vécu comme l'on vit un échange amical voir amoureux avec une personne. Je n'ai pas connu Zappa de son vivant. Je ne l'ai pas écouté lorsqu'il était productif et pourtant il a vraiment fait partie de ma vie pendant deux années entières (et il en fait encore partie). J'ai l'impression d'avoir consacré tout mon temps d'écoute musical à cet artiste. Je mangeais Zappa, je buvais Zappa, je lisais Zappa, je pensais Zappa, je dormais Zappa. J'avais l'impression que je m'attaquais à une encyclopédie. C'est peut-être pour cela que j'ai du y consacrer deux années afin de profiter pleinement de toute son œuvre.
La première année correspond à mon année de Terminale ; comme vous avez pu le lire dans mon premier chapitre, ça a été l'année de la découverte. J'ai appris à connaitre le musicien et pour cela j'ai préféré m'attaquer au flanc de montagne le moins abrupt. J'ai donc choisi de me concentrer sur les albums les plus abordables, ceux que l'on peut classer dans le rock des années 70 : Over-nite Sensation, Apostrophe, Roxy & Elsewhere, One Size Fits All, Bongo Fury. A ce moment là je ne cherchais pas à connaître le guitariste. Je n'appréciais pas encore les prouesses instrumentales. Il me fallait donc de la mélodie. Et puis techniquement il fallait être patient pour récupérer des albums car je vous rappelle que j'étais au fin fond de la campagne et que ma seule source était mon compagnon d'écoute, qui de manière aléatoire allait se réapprovisionner sur Bordeaux. Restait ensuite à se fournir en cassettes Sony UX bleues, ou vertes quand le budget le permettait...ah les UX !!! Je les adorais !!!!!
Je pense que vous aurez compris le lien très fort qui me lie avec Zappa. Un lien spirituel, comme s'il répondait à mes attentes musicales. Je vais en rester là pour ce chapitre qui se conclue avec l'obtention du bac, direction la fac à Bordeaux et donc un nouvel univers de Frank Zappa qui s'ouvre à moi !!
Un extrait maintenant, car c'est bien beau de parler mais j'imagine que vous avez envie d'entendre le phénomène qui hante ma vie. Ca tombe voici la fameuse chanson "Muffin Man"
Voici une recette qui présente bien ! La pâte à choux c'est un peu la classe je trouve ! Et bien finalement c'est relativement simple. Pas vraiment de gros conseils à donner pour améliorer cette recette.Le seul point à travailler c'est le sucre. Personnellement je n'avais pas de sucre en grains, je me suis donc contenté de mettre du sucre en poudre mais le souci est que les choux sont saupoudrés après cuisson donc le sucre ne se maintient pas... Peut-être faut-il placer le sucre avant cuisson ou pendant cuisson... A vous de me le dire !
De mon coté je me suis permis une petite amélioration en recouvrant mes choux d'une "légère" sauce chocolat (carrés de chocolat, crème fraîche, eau), avis aux gourmands !
Source : Les Gâteaux de Mamie, les recettes d'Amandine
Ingrédients : 2 oeufs 50 gr. de beurre 75 gr. de farine 30 gr. de sucre en grains 20 cl. d'eau 1 pincée de sel
une plaque de four tapissée de papier sulfurisé
Préchauffez le four è 150/180°C (th 5/6).
Versez le beurre et l'eau dans une petite casserole à fond épais. Faites chauffer quelques instants. Dès que les premiers bouillons apparaissent, ôtez la casserole du feu.
Versez la farine en une seule fois et mélangez avec une cuillère jusqu'à ce que la pâte forme une boule élastique qui se décolle facilement des parois de la casserole.
Ajoutez alors les oeufs un à un sans cesser de mélanger, puis ajoutez le sel. Votre pâte doit avoir une consistance lisse et ferme.
Formez des petites boules en vous aidant de deux cuillères et déposez-les sur la plaque.
Bien entendu laissez un espace suffisant entre les petits choux car ils vont gonfler à la cuisson.
Mettez au four environ 15 mn.
Sortez les chouquettes et saupoudrez-les de sucre en grains.
J’ai découvert cet album et par la même occasion ce groupe au détour de la lecture d’une nouvelle chronique musicale. Et je dois avouer que c’est une belle surprise. Je reconnais que ce sont souvent de belles surprises dont je parle sur ce blog mais cette fois-ci je n’avais vraiment aucune idée de ce que j’allais entendre derrière cette pochette composée d’une peinture que j’ai du mal à déchiffrer.
