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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - octobre 2009



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

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1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009, juin 2009, juillet 2009, août 2009, septembre 2009.

 

 

 

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Journal « l’Union » - 091101a

Reims / Crime passionnel (suite) : Le témoin blessé est hors de danger

Des informations alarmantes circulaient sur son état de santé mais les jours de l’automobiliste blessé mardi soir par l’explosion d’une voiture sur l’A4, en marge du meurtre passionnel de Reims (nos précédentes éditions), ne sont pas en danger.

Maître d’hôtel à la Brasserie du Boulingrin, un établissement du centre-ville situé rue de Mars, Cyril Durand, 38 ans, est toujours hospitalisé mais il a repris conscience, a commencé à se réalimenter hier et a pu prononcer quelques mots en présence de ses proches.

Il a tenté d’éteindre le feu

« Il venait de quitter son service à la brasserie et rentrait chez lui au quartier Murigny lorsqu’il a vu cette voiture en flamme sur l’autoroute », indique un collègue de travail. Il s’agissait du Renault Espace dans lequel Mohamed Chouikine est accusé d’avoir placé le cadavre de sa femme Rita Hoareau, avant d’y mettre le feu.

La scène se déroulait sur la voie d’accélération de l’échangeur Saint-Remi, sous le pont de l’avenue de Champagne, en direction de Cormontreuil. Le maître d’hôtel s’est arrêté et a fait usage d’un extincteur pour tenter d’éteindre le feu de voiture, puis les flammes qui parcouraient le corps du mari.

Ce dernier s’étant effondré sur la chaussée, M. Durand avait pris du recul pour réguler la circulation. Il se trouvait à une cinquantaine de mètres du Renault Espace lorsque l’explosion d’une bouteille de gaz a détruit le véhicule. D’après de nouveaux renseignements recueillis hier, le maître d’hôtel n’aurait pas été blessé par un éclat mais en retombant violemment au sol après avoir été soufflé par l’explosion (fracture de la clavicule, fracture du rocher).

M. Chouikine dans un état critique

L’état de santé du meurtrier présumé reste préoccupant. Brûlé à 70 %, Mohamed Chouikine se trouve toujours dans un état critique au centre spécialisé de Metz. Saisis de l’enquête, les gendarmes de la section de recherches de Reims ont poursuivi vendredi les auditions des proches du couple, en attendant, peut-être, de pouvoir recueillir un jour prochain le récit du meurtrier présumé.

F.C.

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Journal « l’Union » - 091031f

Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier

Le poète châlonnais Romain Jeanssens va animer des ateliers de lecture à la Nacelle.
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Relogement

Un « atelier urbain de proximité s est programmé mardi 4 novembre à 18 heures dans la salle de l’Étoile Croix-du-Sud, pour présenter le relogement des locataires de l’immeuble du 15, place Auguste-Rodin. Seront présents Éric Quénard pour la Ville et un représentant de l’Effort rémois.

Bourse aux vêtements

L’Association de promotion de Pays-de-France organise samedi 7 novembre, de 10 à 17 heures, une bourse aux vêtements automne-hiver, au 5, allée des Picards (local APPF).

Écriture

Un atelier poésie encadré par Romain Jeanssens débutera lundi 10 novembre à l’espace la Nacelle pour préparer le Printemps des poètes de mars 2010. Inscriptions au 3, rue du Docteur-Billard (tél. 03.26.49.47.07.).

Belote

L’association Étoile Croix-du-Sud organise un concours de belote le samedi 14 novembre au : 5, avenue Léon-Blum (tél. 03.26.06.56.66.). Inscriptions dès 13 h 30, début du jeu à 14 h 30. Nombreux lots à gagner.

Conseil

Après la réunion du conseil de quartier du 27 octobre, Adeline Hazan viendra rencontrer les habitants de Croix-Rouge et des Hauts-de-Murigny, salle Mauriac, vendredi 20 novembre à 19 heures, en compagnie du premier adjoint Éric Quénard.

Au programme : ce qui a été fait à Croix-Rouge, l’avenir et questions/réponses.

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Journal « l’Union » - 091031e

Animations à la médiathèque Croix-Rouge.

- Mardi 3 et mercredi 4 novembre à 15 heures, Amdy Seck, musicien professionnel et animateur culturel de l’association Acao anime des ateliers d’animations rythmiques et musicales à partir d’une variété d’instruments à percussions africains tels que djembés, doums, sabars, tamas, balafons, krings … Pour les enfants de 5 à 8 ans (durée : 45 min), entrée libre sur inscription auprès du secteur jeunesse.

- Mercredi 4 novembre à 15 heures, Julie racontera « Tiguê-Guêlê, celui qui a la main dure », un Conte du Burkina-Faso : En Afrique, les lois de l’hospitalité et de la communauté sont sacrées. Il est inimaginable de tout garder pour soi, surtout de la nourriture … Pour tous à partir de 6 ans, entrée libre sur inscription au 03.26.35.68.5l.

Toutes les animations sont gratuites, sur inscription préalable. Médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis-Debar.

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Journal « l’Union » - 091031d

La concierge d’Arago serait morte de coups à la tête

« Nous n’en sommes qu’aux prémices d’une affaire qui s’annonce très compliquée… L’autopsie pratiquée jeudi après-midi sur le corps de la victime a bien confirmé l’aspect criminel de ce dossier. » Hier, le professeur Fornès, médecin légiste au CHU de Reims a corroboré ce que nous annoncions dans notre édition de vendredi, à savoir que Rita Hoareau était bel et bien morte avant d’être placée, par son mari, dans le Renault Espace du couple (l’union de vendredi).

Des zones d’ombres subsistent pourtant encore. Comment a succombé celle qui assurait les fonctions de concierge au lycée Arago depuis 2007. Quelques gouttes de sang ont été retrouvées sur les draps du lit par les enquêteurs de la section de recherches de Reims. Mais sans doute pas assez pour penser que cette mère de quatre enfants a pu être tuée par arme blanche ou arme à feu.

Paul Fornès a pratiqué lui-même l’autopsie, une expertise qui a duré pas moins de quatre heures. Tenu au secret médical et surtout ne pouvant divulguer la moindre information concernant une affaire criminelle, le légiste n’en dira pas plus sur ce qui a tué Rita Hoareau. « Elle n’est pas morte asphyxiée », assure-t-il pourtant. « Les investigations toxicologiques, pratiquées systématiquement lors des autopsies par ailleurs, ont nécessité de revoir l’enquête au domicile même du couple », a expliqué Paul Fornès. Effectivement, depuis jeudi soir, le logement de fonction occupé par Rita Hoareau, Mohamed Chouikine et trois de leurs enfants, a été placé sous scellés pour permettre aux gendarmes de la SR de poursuivre leurs investigations et mettre la main sur d’éventuels médicaments qu’aurait pu absorber la victime et peut-être sur des produits qui auraient servi à incendier le véhicule. Rappelons-le, le Renault Espace du couple avait été retrouvé en feu mardi vers 23 h 30 sur l’autoroute A4, à la hauteur de la bretelle Saint-Rémi.

L’automobiliste secouriste va mieux

« Il faudra environ dix jours pour obtenir les conclusions de ces nouvelles investigations », n’a pas caché le responsable du département de médecine légale de Reims. Difficile, donc, d’en savoir plus sur ce terrible fait divers qui a plongé une famille du quartier Croix-Rouge dans la détresse. Du moins côté Parquet. Invoquant une surcharge de travail, le Parquet ne communique pas. Pas aux journalistes de l’union en tout cas. Aucune information ne filtre ! Le substitut en charge de l’affaire aurait confié à d’autres sources (sûres) que Rita Hoareau aurait succombé à deux coups portés à la tête par un objet contondant.

Mohamed Chouikine, le meurtrier présumé de Rita Hoareau, se trouve toujours dans le service des grands brûlés à Clamart. Brûlé à 70 %, le pronostic vital de cet homme, âgé d’une soixantaine d’années, serait toujours plus qu’engagé. En cas de décès, et si sa responsabilité était établie dans ce drame, l’action publique serait bien évidemment éteinte, justice ne pouvant être faite.

En ce qui concerne l’automobiliste (dont nous ne connaissons toujours pas l’identité) qui a porté secours au couple ce soir-là, il semblerait que son état de santé évolue favorablement. Touché essentiellement au niveau du visage, le secouriste avait reçu de plein fouet la bouteille de gaz se trouvant dans la voiture et ayant explosé sous la chaleur des flammes.

Corinne LANGE

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Journal « l’Union » - 091031c

BEZANNES / Un gigantesque bassin paysager public pour contenir les eaux pluviales : Joindre l’utile à l’agréable

Les entreprises procèdent à l’étanchéité du bassin en étalant un mastic à base de sable et d’argile bentonite de 7 cm d’épaisseur.
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Jean-Pierre Belfie, vice-président de Reims métropole, avec les responsables des entreprises. Alain MOYAT
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Le projet prévoit des roseaux pour filtrer l’eau, des aménagements pour la flore et la faune, un parc et des sièges pour le public.
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Dans un an à peine, Rémois et Bezannais pourront aller se promener autour d’un beau plan d’eau artificiel, créé de toutes pièces par Reims métropole, pour contenir les eaux de ruissellement de la Zac.

ÇA bouge entre le quartier Croix-Rouge et la commune de Bezannes où Reims métropole urbanise une zone d’activités de 172 hectares à proximité de la gare Champagne-Ardenne TGV. Depuis quelques mois, les automobilistes, cyclistes et piétons, de passage rue Joliot-Curie, ont pu être intrigués par les 103.700 m3 de déblais (dont trois quarts de craie) extraits sur un terrain rectangulaire de près de 500 mètres de long pour réaliser une immense cuvette en pente douce dans laquelle s’activent camions, pelleteuses et rouleaux compresseurs. « Nous construisons un énorme bassin pluvial afin de contenir et de réguler la moitié des eaux de ruissellement qui viendront de la Zac. Il ne faut pas que l’imperméabilisation de la Zac et l’augmentation des eaux de ruissellement en cas de pluie augmentent anormalement le débit de la Muire avec pour conséquence d’inonder et/ou de polluer des habitations sur Bezannes, Reims et Tinqueux », explique Jean-Pierre Belfie, vice-président de Reims métropole, sous le contrôle d’Alain Jacquinet, directeur de projet. « Dans le cadre de la loi sur l’eau, on nous demande de limiter le rejet des eaux pluviales à 85 litres/seconde, ce qu’il est actuellement, alors que le débit de pointe à l’entrée de l’ouvrage a été évalué à 3.300 litres/seconde, ce qui correspond à une pluie centennale. Cela nous oblige donc à créer un énorme bassin tampon de 15.000 m3 au point le plus bas de la zone, juste au-dessus de la nappe phréatique qui n’est pas profonde à cet endroit. »

Rivière artificielle et lagune plantée de roseaux

Comment faire une cuvette étanche d’un tel volume ? Il y avait deux solutions. Ou on réalisait un bassin en béton très profond muni de pompes, ou on optait pour une technique, plus soucieuse de l’environnement, plus naturelle. La seconde solution a été retenue avec la réalisation d’une rivière artificielle et d’une lagune avec plan d’eau et traitement par filtre planté de roseaux avant rejet à la Muire (lire par ailleurs). Le bassin de 300 m de long sur 75 m de large a été creusé en pente douce au-dessus de la nappe phréatique. L’été ayant été sec, les travaux de pompage ont été limités. Pour assurer l’étanchéité du bassin pas de bâche plastique, mais sur 29.000 m2 une sorte de mastic constitué d’un savant mélange de sable, de polymère et d’argile bentonite à base de sodium, venant d’Inde, qui augmente de volume lorsqu’elle est humide et qui peut absorber jusqu’à sept fois sa masse en eau. Pour empêcher que cette gangue ne remonte à la surface, elle sera lestée avec 55.000 des 103.700 m3 de craie extraits sur le site en constituant plusieurs bassins de différents niveaux allant de 1,20 à 1,50 m. Le choix de ce process a permis de faire passer de 8 M€HT à 4,8 M€ le montant total des travaux.

Ouvert au public

Indispensable pour retenir l’eau, le bassin bénéficiera aussi d’un aménagement paysager. Pour mieux s’inscrire dans le paysage, pour créer un milieu riche et diversifié pour la faune et la flore et constituer un lieu de repos et de promenade agréable pour les riverains et tous les autres. Les bords des bassins aménagés en pente douce seront transformés en jardin avec des plantes aquatiques et des escaliers en gabions (cage métallique destinée à retenir des pierres, de la terre, ou tout autre remplissage) faisant office de bancs. Le public pourra accéder aux bassins en empruntant un chemin de digue arboré ou trois passerelles en bois. À côté du bassin, on trouvera un grand parc paysager engazonné et planté d’arbres formant des bosquets. Près de 400 arbres au total (érables, sycomores et arbres fruitiers) embelliront le site. Ouverture prévue fin 2010.

Alain MOYAT

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Journal « l’Union » - 091031b

Haltérophilie / Critérium national : Des billets à prendre

La 2e édition du Critérium national de la zone nord-est se tiendra à Reims. Ouvert aux séries interrégionales minimum, elle donne accès aux finales nationales. Le junior rémois Allan Poiret, champion de France des 56 kg, visera une sélection aux France tandis que sa sœur, Allyson, peut se qualifier pour le Grand Prix Fédéral en 48 kg cadette. Les seniors 53 kg, Abyr Touti et Stéphanie Liégeois, tenteront la série nationale tandis que les François Kesler, Ernest Dos Santos, Stéphane Magnin et David Baechler auront fort à faire face aux Alsaciens, Bourguignons, Lorrains et Franc-Comtois.

Gymnase François Legros. - 12 h 30 : 1er plateau, féminines ; 14 h 30 : 2e plateau, cadets et juniors ; 16 h 30 : 3e plateau, seniors.

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Journal « l’Union » - 091031a

Basket-ball / N1 féminine : Il y a urgence !

Seulement quinzième avec un piteux bilan de cinq défaites pour une victoire - mais un match en retard qui sera disputé mercredi à l’Insep -, le Reims Basket Féminin se trouve dans la position bien inconfortable du relégable. Au premier quart du championnat, le sort des Rémoises n’est évidemment pas scellé, mais il y a urgence à réagir. Au club, tout le monde en a conscience. Fabrice Lefrancois le premier.

Le collectif, une nouvelle force ?

« C’est une nouvelle saison qui commence, n’hésitait pas à lancer le coach rémois hier, à la veille de se déplacer à Charnay-Lès-Mâcon, autre mal classé (1 victoire - 6 défaites). C’est vrai que notre bilan est largement négatif avec cinq défaites. Mais nous avons perdu contre les quatre premiers (Dunkerque, Rennes, Strasbourg et Charleville-Mézières). Désormais, à l’exception du Hainaut que nous recevrons dimanche prochain (15 h 30), nous allons affronter des adversaires directs ».

L’objectif est clair et déjà presque incontournable : le RBF doit s’imposer lors de ses deux prochaines sorties. Fabrice Lefrancois semblait plutôt confiant : « Contre les meilleures équipes, nous avons montré que nous avions le niveau. Il nous manque juste un petit coup de rein ». Le technicien rémois espère que la force du collectif fournira ce petit plus.

Handicapé par les blessures et les absences, le RBF n’a jamais pu s’appuyer dessus jusqu’à présent. Cette semaine, pour la première fois depuis la reprise en août, l’entraîneur a pu disposer de ses neuf joueuses. « L’esprit de solidarité et la cohésion ont été nos axes de travail », précisait-il. Son groupe en aura besoin à Charnay-Lès-Mâcon pour contenir un secteur intérieur très athlétique avec trois éléments à 1,95 m et plus.

« Ce sera l’une des clés du match. Il faudra aussi s’adapter à leurs changements de défense. Ils peuvent tout faire. Enfin, nous sommes les deux équipes qui perdons le plus de balles. Celle qui en perdra le moins sera certainement le vainqueur », annonçait Fabrice Lefrancois.

Nicolas ROY

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L’hebdo du vendredi- n° 142 - 091030d

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 142 - Semaine du 30 au 05 novembre 2009
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EDUCATION : Vacances heureuses, vacances studieuses !

Les élèves volontaires se sont ainsi vu offrir gratuitement des cours de soutien et de renforcement scolaire dans plusieurs matières
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Mis en place en août 2008 dans le cadre du plan Espoir Banlieue, le dispositif de « Réussite scolaire » se poursuit cette année encore au lycée François Arago.

Ils étaient près de 60 élèves à avoir profité de cette première session de stages durant les vacances de la Toussaint.

Soixante courageux qui n’ont pas attendu la veille des examens pour rattraper quelques lacunes ou se perfectionner dans d’autres.

Une démarche volontaire…

Pour la 5e fois en un peu plus d’un an, le lycée Arago a ouvert ses portes aux élèves de seconde, première et terminale, générale, technologique et professionnelle des lycées marnais (un dispositif similaire étant en place au lycée Armand Malaise de Charleville-Mézières).

Du 27 au 30 octobre, ces élèves (tous inscris sur la base du volontariat) se sont ainsi vu offrir gratuitement des cours de soutien et du renforcement scolaire dans sept matières différentes, mais aussi des activités sportives et culturelles. « Les élèves viennent de partout dans le département, et même au-delà. On a par exemple une lycéenne de Soissons qui fait la route tous les jours » s’enthousiasme le recteur de l’académie de Reims, Alexandre Steyer, qui se réjouit aussi de « la grande motivation des élèves. On sent qu’ils ont vraiment le goût de travailler ».

En marge des cours, notons aussi qu’un partenariat avec l’Université et le Crous de Reims permet aux lycéens de découvrir l’enseignement supérieur au travers de visites des campus et d’interventions d’enseignants-chercheurs

…qui porte ses fruits

Sur tous les lycéens ayant profité du dispositif pendant l’année, ils sont 94% à avoir obtenu leur examen (Bac de français en Première, Bac en Terminale) ou à avoir pu accéder à la classe supérieure. « Ces stages volontaires sont efficaces car on n’y fait pas de cours classiques. Ici, on travaille par petits groupes, c’est en quelque sorte une approche de management, de coaching scolaire » clarifie le recteur.

Le plan de Réussite scolaire connait un succès croissant depuis un an avec des inscriptions en hausse. « Au début, nous étions contactés principalement par les élèves. Par la suite, on a vite constaté que les parents eux-mêmes nous appelaient » précise Benoît Dieu, chargé de mission auprès du recteur.

Laissant passer Noël, le dispositif sera remis en place aux prochaines vacances d’hiver.

Aymeric Henniaux


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Culture : Dispositif Jeunes Talents 2010

Le réseau Pôle Sud Musique organise, en partenariat avec La Cartonnerie, une nouvelle édition du dispositif Jeunes Talents. Ce tremplin, à destination de tout groupe amateur de la Marne travaillant sur un répertoire original, proposera aux groupes lauréats tout un accompagnement artistique, technique et administratif de janvier à juin, avant d’entamer une série de concerts qui passera par le Cabaret de La Carto, le samedi 5 juin prochain. Les dossiers d’inscription sont à retirer exclusivement sur rendez-vous du 5 novembre au 4 décembre auprès du coordinateur de Pôle Sud Musique (Boris Claudel).

- polesudmusique@maisondequartier-reims.fr ou
- www.polesudmusique.com

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« Les voyages de Lefranc, l’aviation »

Des planches de BD signées Jacques Martin et Regric complétées par celles de Fernandez et Wallace.

Médiathèque Croix-Rouge

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Journal « l’Union » - 091030c

Dispositif Jeunes Talents 2010 : qui veut tenter sa chance ?

Le public a entendu des messages d’optimisme
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Photos Christian Lantenois
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Le dispositif Jeunes Talents s’adresse à tous les groupes amateurs de la Marne travaillant sur un répertoire original.

Le réseau Pôle Sud Musique organise, en partenariat avec la Cartonnerie, une nouvelle édition du dispositif Jeunes Talents.

Ce tremplin, à destination de tout groupe amateur de la Marne travaillant sur un répertoire original, proposera aux trois groupes lauréats tout un accompagnement artistique, technique et administratif de janvier à juin 2010 (et notamment une série d’ateliers de pratique artistique et d’expression scénique, des cours de chant, des répétitions encadrées, une résidence à la Cartonnerie, un accompagnement administratif personnalisé) avant d’entamer une série de concerts qui passera par le Cabaret de la Carto, le samedi 5 juin 2010.

Après une étape de présélection sur dossier durant laquelle six groupes seront retenus, un jury choisira les trois lauréats lors de concerts de sélection les 15 et 16 janvier 2010 à la maison de quartier Val-de-Murigny, espace Le Ludoval.

Les dossiers d’inscription sont à retirer exclusivement sur rendez-vous du 5 novembre au 4 décembre auprès du coordinateur de Pôle Sud Musique (Boris Claudel)
- polesudmusique@maisondequartier-reims.fr
- ou www.polesudmusique.com

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Journal « l’Union » - 091030b

Multi-Échanges services : L’association tourne sans subvention

De gauche à droite : Éric Quénard, Martine Massart, présidente, et Rustique Adigoun, trésorier.
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- Voir toutes les photos.

 

 

Au cours de la dernière assemblée générale de l’association Multi-Échanges services, le trésorier Rustique Adigoun a révélé que « pour la deuxième année consécutive, nous ne demandons pas de subvention municipale. À la suite d’une gestion rigoureuse et au prix de beaucoup d’économies, nos réserves financières nous permettent encore de fonctionner pour un exercice ».

Une adhérente s’est inquiétée : « À force de vivre sur nos réserves, elles vont finir par fondre et nous ne pourrons plus fonctionner correctement… »

Avec prudence, Éric Quénard, premier adjoint, a tout de même conseillé aux administrateurs de présenter une demande de subvention pour la prochaine échéance.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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Journal « l’Union » - 091030a

Explosion sur l’A4 / Un crime : de la jalousie

Mohamed Chouikine a préparé méthodiquement le crime de sa compagne. Ils vivaient ensemble depuis 35 ans et avaient quatre enfants.
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REIMS (Marne). Il savait que l’amour que lui portait sa compagne était mort à jamais. Samedi dernier après, une énième discussion, elle lui avait répété « Je ne t’aime plus, ça ne sert à rien d’insister ».

Elle ne connaissait personne d’autre, elle était seulement épuisée par sa jalousie maladive. Mohamed ne l’a pas supporté. En trois jours, il a mis sur pied un plan qui allait lui permettre de tuer sa femme et de l’emporter avec lui à jamais.

« ADIEU, t’as plus de beau-frère, t’as plus de sœur… Le portail est ouvert, fais chercher la petite… »

Il est 23 h 15 en cette nuit du mardi 27 au mercredi 28 octobre. Ahurie, la sœur de Rita Hoareau qui réside à Paris, regarde le téléphone d’où son beau-frère Mohamed Chouikine vient de lui délivrer son ultime message. Elle compose à la hâte le numéro d’un de ses neveux et livre le contenu de l’appel en racontant les bruits curieux qui entouraient la communication.

A Reims, l’alerte donnée se répercute chez les proches du couple tandis que Mohamed achève son projet infernal.

Quelques minutes plus tôt, le drame s’est noué dans l’appartement de fonction qui jouxte la loge du lycée Arago, dans le quartier Croix-Rouge. Mohamed Chouikine qui partage la vie de Rita Hoareau depuis 35 ans s’approche du lit où celle qui lui a donné quatre enfants dort paisiblement. Il a un couteau à la main mais ne s’en servira pas.

Un coup pour l’estourbir (les enquêteurs de la section de recherche de la gendarmerie vont retrouver quelques gouttes de sang sur les draps) et il se jette sur elle pour l’étrangler ou l’asphyxier (l’autopsie pratiquée confirmera les hypothèses).

Calme et méthodique

Morte ou totalement inconsciente, il la traîne vers la porte de l’appartement. Sa voiture est déjà devant la porte. Il engage le corps dans le Renault Espace et l’avance vers l’accès de la loge avant de retourner dans le logement. Et là, il se change. Il enfile un costume-cravate, pour mettre en scène son horrible cérémonial. Il ressort peu après en portant un bidon d’essence, probablement vide. Les caméras de surveillance du lycée, qui n’ont rien vu du chargement du corps, filment cet incroyable instant. Il a l’air très calme, méthodique.

Lorsqu’il quitte les abords du lycée, c’est pour se rendre à Châtillon où sa belle-mère, décédée il y a trois ans, possédait une maison qu’elle a léguée à ses enfants. Il connaît bien la demeure. C’est lui qui entretient les lieux, le jardin en particulier. Il sait donc qu’il va y trouver ce dont il a besoin pour achever le scénario qu’il a imaginé : de l’essence pour son bidon, et surtout une bouteille de gaz.

Moisson faite, il ne part pourtant pas immédiatement. Il a encore un message à faire passer. Sur un tableau qu’il va abandonner par terre, les gendarmes trouveront le message qu’il adresse à sa belle-mère défunte au-delà du temps : « Ta fille m’a pris pour un con. Elle ne se doute pas que Mohamed est capable de tuer… Avec ses profs qui tournent autour d’elle… Arrivé en 1973, mort le 28/10/2009 »

Jalousie obsessionnelle

Un texte qui trahit la jalousie obsessionnelle qui taraudait le cœur et la raison de Mohamed.

Au sol, les enquêteurs vont encore trouver une note destinée à ses enfants avec toutes les indications concernant les cartes bleues, les comptes bancaires etc…

Quand il repart de Châtillon, il est déjà plus de 23 heures. Il met le cap vers l’autoroute urbaine et s’engage sur la bretelle d’accès qui conduit aux voies direction Tinqueux, Paris. Il immobilise alors son Espace sur la voie d’arrêt d’urgence, sous le pont de l’avenue de Champagne. Rita est à ses côtés. La bonbonne de gaz est à l’arrière.

Après avoir téléphoné à sa belle-sœur, il arrose l’intérieur d’essence et allume. L’habitacle du véhicule s’embrase immédiatement. Sur l’autoroute, peu fréquentée à cette heure, un homme s’arrête pour secourir les occupants d’une voiture qu’il croit accidentée. Mais la chaleur alentour est insupportable.

Enorme boule de feu

Et puis, soudain, la bonbonne de gaz léchée par les flammes explose. Le boum est entendu à des lieues. Un instant, la voiture a semblé prisonnière d’une énorme boule de feu.

Lorsque les pompiers arrivent, le drame est joué. Un corps carbonisé gît toujours à l’intérieur. C’est celui de Rita. Près de la carcasse de la voiture, Mohamed, éjecté par le souffle, est inanimé. Son corps est brûlé à 70 %. Il sera transporté de toute urgence à l’hôpital des grands brûlés à Paris. Hier soir, le pronostic vital était engagé. Le passant qui s’était arrêté pour porter secours est lui aussi gravement atteint par un éclat (voir notre encadré ci-contre). Au dernier bilan, sa blessure était très grave.

Christian CHARDON

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« Samedi dernier, il a compris que c’était cuit »

Les relations au sein du couple se sont dégradées lorsque Rita Hoareau a obtenu le poste d’agent d’accueil au lycée Arago. Mohamed ne supportait pas d’habiter « chez sa femme », un logement situé à l’entrée de l’établissement (notre photo).
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Farid, le fils aîné de Rita et Mohamed, a les traits tirés. Depuis le drame, il ne cesse de se torturer l’esprit pour comprendre comment son père en est arrivé à tuer sa mère.

« C’est fou, elle n’a jamais rien fait de mal. Il n’y avait aucune raison que mon père se montre jaloux, clame-t-il. Mes parents ont vécu des jours heureux, mais peu à peu leur couple s’est désagrégé. Elle n’aimait pas ses méthodes d’éducation, elle ne supportait plus ses remarques infondées.

Et les choses ont empiré lorsqu’elle a obtenu le poste d’agent d’accueil au lycée Arago. Lui l’ajusteur mécanicien vivait mal le fait d’habiter chez sa femme, de la voir parler avec des gens toute la journée.

« Il se sentait rabaissé »

Il était originaire du Maroc, c’était une question de culture. Il se sentait rabaissé. Et puis maman était une jolie femme, grande, fine, à la peau légèrement bronzée. Et la voir discuter avec les professeurs, ça ne passait pas. Et il était plus vieux qu’elle de plus de douze ans. Il se sentait vieillir.

Ce n’était pas son attitude à elle qu’il lui reprochait, mais le regard que les autres hommes pouvaient porter sur elle. Il lui disait du reste, lorsqu’ils plaisantaient ou se montraient trop galants : « t’a qu’à les rembarrer ».

Les choses avaient semblé aller mieux il y a six mois, lorsque mon père a perdu sa mère au Maroc. Mais très vite, la tension a repris et il y a trois semaines, il y a eu un conseil de famille. Notre père voulait que nous intervenions pour convaincre ma mère de lui donner une nouvelle chance. Mais c’est difficile pour les enfants de se mêler des affaires de leurs parents. L’ambiance était très froide, elle ne lui parlait qu’à peine. Lui tentait de récupérer son amour. Dans son verre, il remplaçait même son vin par de l’eau. Mais elle se libérait. Elle ne voulait pas le mettre dehors, mais manifestement, l’amour n’était plus là.

Et le week-end dernier, lorsqu’elle lui a encore dit : « je ne t’aime plus », il a compris que c’était cuit. »

C.C.

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Le "3e homme" dans un état critique

Quand il a vu la voiture en feu, un automobiliste a voulu porter secours à ses occupants.
Mais une bonbonne de gaz a explosé et a violemment heurté sa tête.
Le conducteur secouriste est aujourd’hui entre la vie et la mort.

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Depuis mercredi, ce ne sont non pas une, mais bel et bien deux familles qui vivent un véritable cauchemar depuis le terrible fait divers survenu sur l’autoroute A4 à Reims.

D’un côté, les quatre enfants de Rita Hoareau qui pleurent une mère et cherchent une explication au geste fou de leur père. De l’autre côté, une famille qui attend d’être fixé sur le sort d’un mari, d’un père luttant contre la mort.

Annoncé dans un premier temps comme « blessé légèrement », le conducteur, qui s’est arrêté pour tenter de porter secours aux victimes et réguler la circulation juste avant l’arrivée des pompiers, se trouve depuis mercredi dans un état critique.

L’homme est toujours hospitalisé dans le service de réanimation du CHU de Reims.

On apprenait hier après-midi que le pronostic vital était même engagé concernant cet automobiliste. Difficile d’en savoir plus pourtant, l’hôpital se retranchant derrière le secret médical ; les services de gendarmerie ne souhaitant pas divulguer certains éléments liés à l’enquête. D’autant que ce témoin n’a toujours pas pu être entendu par les enquêteurs.

Courage et civisme

Depuis hier soir, on en sait pourtant un peu plus concernant l’origine exacte de sa blessure. L’une des sources proches de l’enquête raconte : « Cet homme a fait preuve de beaucoup de courage et de civisme », tient à souligner ce professionnel. « Il circulait seul à bord de son 4 X 4 quand il a aperçu une voiture en feu sous le pont Rouillat. Le conducteur, disposant d’un extincteur dans son véhicule s’est arrêté pour, dans un premier temps venir à bout de l’incendie puis, par la suite pour tenter d’éteindre le feu qui touchait le conducteur de la voiture, sorti de son véhicule ».

La tentative de sauvetage échoue et le mari de la victime s’écroule sur la chaussée, en plein milieu de la route. « Le conducteur du 4 X 4 comprenant le danger a commencé à réguler la circulation afin que le blessé ne soit écrasé. »

Rapidement, les sapeurs-pompiers arrivent sur place. « Malheureusement, la bouteille de gaz qui se trouvait dans le coffre de la voiture a explosé. Elle est venue heurter le pont avant d’exploser le gyrophare du véhicule des secours. La bouteille de gaz qui s’est littéralement éventrée a violemment percuté la tête du conducteur du 4 X 4. »

L’homme qui souffre notamment d’une fracture du crâne a été évacué, inconscient vers le CHU de Reims dans un état grave.

Considérer la blessure de ce « 3e » homme comme un dommage collatéral serait purement et simplement scandaleux. Car aujourd’hui, qui s’arrête encore sur le bord d’une route, au risque de mettre sa vie en danger, pour porter secours à d’illustres inconnus ?

Corinne LANGE

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Journal « l’Union » - 091029d

Réussite scolaire : Le recteur en visite au lycée Arago

Le recteur a rendu visite aux jeunes du dispositif « Réussite scolaire ».
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C’est devenu une tradition : hier et comme chaque année, Alexandre Steyer, le recteur de l’académie de Reims, a fait le déplacement pour rendre visite aux enseignants et aux élèves présents pour le dispositif « Réussite scolaire » qui a lieu du 26 au 30 octobre durant les vacances, au lycée Arago à Croix-Rouge.

« On n’attendait pas ce genre de choses ici, il y a dix ans. Pour ces premières vacances, les enseignants et les élèves volontaires d’Arago, mais aussi de tous les autres lycées de Reims, viennent travailler parce qu’avant tout ils en ont envie », explique le recteur de l’académie.

Son chargé de mission, Benoît Dieu, ajoute que les jeunes ayant participé à ce soutien scolaire l’année dernière ont eu un taux de réussite élevé de 94 % à leur examen. En tout, ce sont environ 70 jeunes dont 30 du quartier qui viennent bosser pendant les vacances différentes matières comme l’anglais, les maths ou encore la méthodologie. À noter que ce soutien scolaire est entièrement gratuit.

T.A.F.

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Journal « l’Union » - 091029c

La voiture explose, elle meurt brûlée

C’est sous ce pont que le drame s’est produit. Un feu tellement bizarre que le parquet a ouvert une enquête.
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REIMS (Marne). Les pompiers ont commencé à éteindre la voiture en feu sur l’autoroute urbaine. Quand une bouteille de gaz qui se trouvait dans le coffre a explosé… Accident, suicide ou crime ?

AU cours de la nuit de mardi à mercredi, vers 23 h 30, un boum inhabituel retentit à Reims. Il provient de l’autoroute A 4, à hauteur de la bretelle Saint-Remi. Un feu de voiture vient de se produire. Mais un feu de voiture pas comme les autres. Disons tout de suite qu’il s’est soldé par un mort et deux blessés, dont un grave, et qu’on a évité de façon heureuse un bilan qui aurait pu être plus lourd : le boum, en effet, était celui d’une bouteille de gaz, qui se trouvait dans le coffre du véhicule, et qui a explosé en pleine intervention des pompiers !

Quelqu’un dans la voiture

Ce sont des conducteurs circulant sur l’autoroute qui, ayant aperçu la voiture en flammes, donnent l’alerte. Quand les pompiers arrivent sur place, ils découvrent, en effet, un véhicule, une Renault Espace, en train de brûler sous le pont de l’avenue de Champagne, dans le sens Metz-Paris. Une personne est allongée par terre, qui semble blessée. Sur place se trouve aussi un homme, un conducteur qui s’est arrêté devant la scène et qui tente de réguler la circulation.

Les pompiers commencent l’extinction, quand tout à coup, c’est l’explosion ! Une grosse boule de feu envahit l’air. La bouteille de gaz (dont les pompiers ignoraient la présence) vient d’exploser.

C’est le fameux boum, qui sera entendu jusque très loin, jusqu’au boulevard Pommery, jusqu’à Tinqueux selon des témoins ! Les pompiers sont quelque peu bousculés, un peu sonnés, leur véhicule sera même endommagé par des éclats, mais les soldats du feu ne sont pas blessés, retrouvent leurs esprits et peuvent rapidement poursuivre leur intervention. Le quidam agent de police improvisé, lui, aura mois de chance : il reçoit un éclat, qui le blesse. Des ambulances de pompiers et des urgences arrivent successivement sur place. Viennent aussi gendarmes et policiers. Et lorsque le feu est enfin éteint, on découvre… qu’il y avait quelqu’un à bord de la voiture, un adulte. Pour lui, on ne peut plus rien faire, il est carbonisé.

Selon les éléments que nous avons pu recueillir hier, le mort de la voiture et le blessé allongé à côté sont un couple de Rémois, dont l’identité n’a pas été révélée. C’est la femme qui se trouvait dans le véhicule - âgée d’une quarantaine d’années, elle était employée au lycée Arago de Reims où elle était gardienne de la loge -, et l’homme qui gisait à terre à l’extérieur. Aux dernières nouvelles, ce dernier se trouverait désormais entre la vie et la mort.

Grande discrétion

Pour le reste et sur l’explication des faits en particulier, on en est réduit aux hypothèses, vu la grande discrétion qui a rapidement entouré cette affaire hier, renforçant son caractère mystérieux.

Suicide ? Accident ? Crime ? Cette mort est, en tout cas, suffisamment suspecte pour qu’une enquête ait été ouverte par le parquet. On peut, bien sûr, imaginer que la présence de la bouteille de gaz dans le coffre ne soit qu’une coïncidence, mais on peut tout aussi bien supposer qu’elle ne se trouvait pas là par hasard. Dans ce cas, y avait-il intention suicidaire de la part de l’une des personnes de la voiture ou des deux à la fois ? (le troisième protagoniste qui s’est arrêté pour faire la circulation semble pour sa part complètement à l’écart de l’histoire). Au contraire, y avait-il intention criminelle ? Pas impossible du tout ; on semblait même s’acheminer hier vers la version d’un drame passionnel. Aux circonstances pour le moins pas banales.

Antoine PARDESSUS

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Journal « l’Union » - 091029b

Horticulture : Festival de prix pour jardiniers d’exception

Entouré des élus et des lauréats, Jean Callot a reçu un diplôme national.
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La salle Royale du centre des congrès a accueilli dimanche 25 octobre les adhérents de la Société d’horticulture de Reims pour l’assemblée générale conduite par le président Jean-Paul Siméon, en présence également des lauréats du concours de la Ville de Reims (50e palmarès).

Concours de la Ville de Reims

Les prix aux lauréats de la Ville ont été remis par Catherine Vautrin, députée, et l’adjoint Raymond Joannesse, venus féliciter la SHR et ses sociétaires pour leur dynamisme. Ils ont été aidés dans cette agréable mission par Rosemarie Gatmana, présidente de la Société d’horticulture d’Aix-la-Chapelle, et Daniel Cloos, président du Cercle royal d’Arlon, tous deux fidèles aux assemblées générales de la SHR.

Balcons fleuris : hors concours Pierrette Million et Suzanne Porcheda, 1er prix Viviane Sanchez, 2e Raymond Boitrelle, 3e Maryse Gilbert (45 personnes ont été citées).

Petits jardins : 1er Hervé Boyer, 2e Annie Despierre, 3e Jean-Paul Kerhn (27 personnes citées). Grands jardins : hors concours Jean-Pierre Bourle, 1er prix Jean-Luc Laska, 2e Dominique Calabrese, 3e Roland Guay et Marie-Claire Lobry (22 personnes citées).

Hôtels-restaurants, divers : 1er Hôtel Chrystal (Mme Jantet), place d’Erlon, 2e Pharmacie Durand, avenue d’Epernay, 3e Restaurant Les Charmes , rue Brulart.

Les lauréats sont repartis les bras chargés de cadeaux : plantes ou billets pour des sorties à Paris ou au Luxembourg, ou encore à l’exposition Florissimo en mars 2010 à Dijon (le service des Espaces verts de la Ville de Reims participera à cette présentation florale de grande renommée).

Concours des sociétaires

Jardins potagers : 1er Henri Chauvière, 2e François Brugevin, 3e Robert Loiselet, tous trois de Reims.

Jardins mixtes : 1er Landry Breton (Gueux), 2e François Esposito (Reims) et Jean Callot (Sillery). Petits jardins : 1er Jeanine Mireux (Tinqueux), 2e Henri Chauvière et Ginette Lepissier (Reims pour les deux), 4e Denise Cornil (Vouzy).

Grands jardins (1) : hors concours Remy Aubert (Prosnes) et Pierre Virollet (Bétheny), 1er prix Jean-Pierre Bourlé (Reims), 2e Bertrand Pecheux (Cernay-lès-Reims), 3e Yvette Dessoye (Reims), 4e Katia Morin (Gueux).

Grands jardins (2) : hors concours Robert Giraud (Saint-Masmes), 1er prix Georgette Evrard (Vouzy), 2e Nicole Quatresols (Ludes), 3e Christian Beaufray (Corbeny), 4e Giselle Rodrigues et Elyane Hoerner (toutes deux de Tinqueux), 6e Bernard Devert (Cormontreuil).

Balcons : 1er prix non attribué, 2e Jean-Paul Debrosse (Trigny), 3e Marie-Claude Mouny (Reims) et Pierre Dumont (Bétheny).

Cours de ferme : 1er prix Noëlle Delanery (Saint-Hilaire-le-Grand).

Jardins de collection : 1er prix Frédéric Remi (Saint-Mard-lès-Rouffy).

Le prix de la persévérance a été attribué à Jean Callot, de Sillery, fidèle au concours depuis 1995. Il a reçu un diplôme de la SNHF.

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Journal « l’Union » - 091029a

Circulation : Le point sur les travaux

La chaussée Bocquaine sera fermée à la circulation demain vendredi 30 octobre de 7 à 9 heures.
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Pas de vacances pour les équipes qui réalisent le tramway. Voici le point sur les travaux en ville.

Rue Schweitzer

La circulation automobile sera totalement interdite du mercredi 4 au vendredi 6 novembre de 8 à 18 heures, entre la rue du Fond-Paté et la rue du Maréchal-Galieni.

Lors des travaux, les rues Fond-Paté, Pierre-de-Coubertin, Commandant-Lamy, Thierot et Jules-Laurent seront fermées au niveau de la rue Schweitzer avec une mise en impasse et une circulation à double sens.

Une déviation sera mise en place avec un accès au centre commercial par la rue du Maréchal-Galieni.

Avenue de Laon

Les travaux se poursuivent dans l’avenue selon le planning prévu. Le carrefour de la rue Danton est aujourd’hui achevé et à nouveau ouvert à la circulation permettant ainsi l’enchaînement de la fermeture du carrefour suivant (avenue de Laon/rue Goussiez).

La rue Goussiez est fermée au niveau de l’avenue de Laon avec une mise en impasse et une circulation à double sens. L’accès aux riverains est maintenu par les rues Krafft et Salengro. Pour les riverains de l’avenue de Laon, l’accès se fait par les rues Blavier, Boudet et Colonel-Moll. Début novembre, le chantier basculera entre la rue Goulin et la rue Emile-Zola côté droit (numéros impairs) permettant une circulation sur la voirie définitive.

Rue de Vesle

La première phase des travaux de plate-forme comprenant la réalisation d’une des deux voies du tramway, est en cours d’achèvement. A partir du lundi 9 novembre, le chantier basculera côté droit (numéros pairs) entre la rue Chanzy et la rue des Capucins afin d’effectuer la suite des travaux de plate-forme et la pose de la seconde partie de la voie ferrée.

Chaussée Bocquaine

Afin de permettre une intervention ponctuelle sur le chantier de la voie ferrée, la rue sera fermée ponctuellement à la circulation le vendredi 30 octobre de 7 à 9 heures.

Avenue du Général-Bonaparte

Appitrack, la machine de pose de voie automatisée, intervient depuis hier mercredi entre la rue Arago et la rue Degas.

Pour toute information Espace Tram Info : 0.800.10.87.26. Réseau de bus : 0.800.00.30.38.

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Journal « l’Union » - 091028d

Ascenseur en panne rue Alphonse-Daudet : 5e saison, 17e épisode

André Cantener, par la force des choses, s’est transformé en assistant-réparateur.
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André Cantener, un locataire de l’Effort rémois au 17, rue Alphonse-Daudet à Croix-Rouge, n’en peut plus. L’ascenseur de son immeuble, qui devait être remplacé en 2005, tombe en panne tous les deux jours ! Or, désormais, après la vente de certains appartements et la mise en copropriété, c’est le syndic qui gère toutes les parties communes « en évitant de faire la moindre dépense » ! Il s’agit là d’une sécurité évidente des locataires bafouée par le bailleur : « Nous en avons ras le bol ! »

L’Effort rémois reconnaît la vétusté

Un exemple : « Le 23 octobre à 14 heures, je rencontre sur le trottoir le technicien de la société chargée de l’entretien de nos ascenseurs. Il venait de contrôler son changement de pièces de la veille à la suite de pannes répétées. Je lui dis que, depuis hier, « ça » fonctionne. Hélas, le même jour, le « bazar » tombe encore en panne, bloqué à 16 h 15 ! »

C’est tellement énorme, tellement habituel, que M. Cantener se demande : « Dois-je en rire ou me tirer une balle dans le pied ? »

Sitôt informé, Nicolas Quinquis, à l’agence Effort rémois de Croix-Rouge, prend acte : « Sachez que nous transmettons systématiquement vos messages au syndic et bien qu’il soit intervenu auprès de la société responsable à plusieurs reprises, il apparaît compliqué d’effectuer une réparation « efficace » afin que l’appareil fonctionne correctement. Il est évident que la vétusté est la principale cause de tout ceci et qu’une modernisation de l’appareil serait l’idéal, cependant il nous est impossible de réaliser une telle opération dans des délais très brefs. »

Réplique de M. Cantener : « Nous sommes consternés que les locataires soient pris en otage par la décision d’un syndic et que notre bailleur direct ne se prononce pas sur une situation aussi grave ! Nous constatons un laxisme avéré des prestations et l’indifférence de l’Effort rémois depuis l’existence de la copropriété : la direction est muette mais les charges sont toujours en augmentation ! »

À l’Effort rémois, Nicolas Quinquis le promet : « Nous allons faire tout notre possible pour apporter une solution pérenne à ce problème. » C’est plutôt bon signe, car M. Quinquis a la réputation, auprès des locataires, d’être un homme de parole.

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Journal « l’Union » - 091028c

Livres : Trois nouvelles histoires de José Mendès

Un artiste multifacettes : acteur, auteur, plasticien et metteur en scène.
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José Mendès s’est fait connaître du public rémois en qualité de directeur artistique des festivals Croix-Rouge 2008 et 2009.

Il vient de publier, aux éditions l’Harmattan, trois nouvelles histoires pour le théâtre, « totalement différentes en style et en fond » : « De l’autre coté des rochers qui penchent » est un conte onirique ; « La morsure des hyènes », une pièce dure sur l’univers des bandes chez les jeunes adolescentes ; et « Des mots dans le brouillard », un voyage fantastique dans l’inconnu, « celui qu’on ne franchit que dans un sens ».

« Mon travail d’auteur est soutenu par la région Champagne-Ardenne. Ces livres sont un pas de plus dans un travail d’écriture que j’intensifie avec toute l’énergie que je peux y consacrer. Cette écriture est en constante évolution ou révolution », précise-t-il. Cet auteur confirmé, qui signe ses ouvrages Zemanel, est connu pour avoir déjà écrit plus de vingt ouvrages de littérature jeune public aux éditions Flammarion Père Castor, Bayard et Lito.

« D’autres textes, d’autres idées fourmillent nombreuses dans ma tête. Elles se bousculent impatientes en attendant de prendre vie », ajoute-t-il.

Bibliographie sur www.zemanel.fr

 

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Journal « l’Union » - 091028b

Tennis : Géo-André se penche sur le haut niveau

Anthony Petit : « Ce projet n’altère pas notre volonté de former les meilleurs jeunes du club ».
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Depuis la rentrée de septembre, le centre de formation du tennis club Géo-André a mis en place, avec la ligue régionale de tennis, un projet de filière d’accès vers le haut niveau. Il concerne quatre joueurs : Cindy Castille, Claire Maklo, Enzo Wallart et Aurélie Marchal.

« Ces éléments sont dans une structure clairement définie par la direction régionale du ministère de la Jeunesse et des Sports mais aussi par le Creps. Ce qui fait qu’ils ont un planning de scolarité et d’entraînement hebdomadaire extrêmement précis. Ils ont à leur disposition des enseignants relevant de l’académie de Reims qui viennent. Le tout étant suivi par le conseiller principal d’éducation du Creps », explique Anthony Petit, responsable du centre.

Cette organisation « nous permet ainsi de donner un volume d’entraînements suffisamment conséquents pour atteindre des objectifs élevés. Sur le plan sportif, l’ensemble du projet repose sur une collaboration entre la ligue et nous, aussi bien, sur le terrain avec l’entraîneur fédéral, Emmanuel Castille, qu’en dehors avec le conseiller technique régional, Yannick Lemaire. Sachez que ce que nous faisons n’altère en rien le second objectif du centre qui est de former les meilleurs jeunes du club. »

Actuellement, le centre est dans une phase de demande de procédure de labellisation auprès de la fédération française de tennis.

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Journal « l’Union » - 091028a

A la médiathèque Croix-Rouge : Deux spectacles avec Amadou Sanfo

Amadou Sanfo donne rendez-vous le samedi 7 novembre à 10 et 15 heures.
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Amadou Sanfo donne deux spectacles de contes samedi 7 novembre à la médiathèque Croix-Rouge - 19, rue jeanLouis-Debar.

À 10 heures : « Sur la route de la savane », une sortie en taxi-brousse à travers la savane africaine et les histoires qui s’y racontent, pour les enfants de 3 à 6 ans (durée : 45 min).

À 15 heures : « Sous l’arbre à palabres » où tout se dit, tout se sait, tout peut s’entendre, où l’on fait des choix, on annonce des bonheurs comme des malheurs, on trouve la sagesse qui nous fera grandir.

Pour tous, adultes et enfants à partir de 7 ans (durée : 1 h 15). Entrée libre, sur inscription auprès du secteur jeunesse ou au 03.26.35.68.51

Toutes les animations sont gratuites, sur inscription préalable.

Médiathèque Croix-Rouge 19 ; rue Jean-Louis-Debar.

 

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Journal « l’Union » - 091027d

ROLLER HOCKEY / Nationale 1 : Reims bousculé

Godefroy et ses coéquipiers rémois ont manqué de rigueur.
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Les Rapaces voyagent mal en région parisienne. Le déplacement chez les Corsaires de Paris XIII n’a pas fait exception.

Bousculés, inefficaces, les Champenois ont heureusement pu compter sur un excellent Haas dans les buts pour ne pas sombrer au tableau d’affichage.

Le gardien rémois ne parvenait toutefois pas à empêcher Sellem d’ouvrir la marque (1’16). Cependant, Fayault ne tardait pas à égaliser d’un tir du revers sous la barre (4’03). Plus déterminés, les Parisiens allaient faire la différence par leurs individualités, à l’image de Pascaud (16’54) et Mercier (21’51) traversant le terrain d’un bout à l’autre avant de conclure (3-1).

Godefroy, en puissance, réduisait l’écart en supériorité numérique juste avant la pause (24’25). Trop peu rigoureux, les Rapaces voyaient le match leur échapper, Silliès trouvant le chemin du filet à deux reprises en une minute (28’33, 29’40). Dans la foulée, Rogé reprenait son propre rebond et ajoutait une unité au compteur rémois (30’41, 5-3). Les occasions se succédaient, et à ce jeu, Sellem (37’07) et Karsenty (37’53) voyaient leurs efforts récompensés (6-4).

Les joueurs de la capitale, dominateurs sur le plan physique, s’assuraient le gain de la partie par un doublé de Mercier (39’45, 40’08) qui scellait définitivement le sort des Marnais.

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Journal « l’Union » - 091027c

MODIFICATIONS

51L1686750

Suite assemblée du 25 août 2009, M. Fabien SAVARIN, gérant de la société EPIPRO, capital 100 euros, 10, rue de Rilly-la-Montagne, 51100 Reims a décidé :

1. De modifier le capital pour le porter à 20.100 euros modifiant l’article 7 des statuts.

2. De déménager le siège social de la société au 104, avenue Route-Nationale, La Neuvillette, 51100 Reims modifiant l’article 4 des statuts.

Les autres articles des statuts restent inchangés.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 091027b

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7313 du 26 au 02 novembre 2009.

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La conduite accompagnée sécurisée

Les deux associées souhaitent étendre leur activité dans la région.
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Sandrine Coupé et Carine Sorriaux ont créé leur société « Bon plan permis » à Reims et proposent de la location de voiture double commande pour aider les personnes passant le permis de conduire.

En voyant un reportage télévisé sur les voitures à double commande, Sandrine Coupé et Carine Sorriaux ont compris que l’activité avait du potentiel.

« L’objectif est de proposer un perfectionnement à la conduite à destination des personnes inscrites en auto-école, des candidats libres pour le permis, pour de la conduite accompagnée sécurisée, ou dans le cadre de la validation d’un permis international », expliquent-elles. La seule condition est que l’accompagnant doit avoir plus de 21 ans et plus de 3 ans de permis (sans condamnation). Après avoir rempli un formulaire d’inscription, le client achète un forfait d’heures sur le site internet et peut ensuite réserver directement les heures voulues sur un planning. Il obtient alors un code qui permet d’ouvrir la voiture basée sur un parking à proximité de l’hippodrome de Reims, dans le quartier Croix-Rouge.

L’AIDE DU DISPOSITIF ENVOL…

Commerciales, il leur a fallu un an et demi pour monter leur projet de création d’entreprise. « Nous avons appris sur le tas car nous ne connaissions pas les structures d’accompagnement. Nous avons acheté le véhicule avec un système de géolocalisation, mis en place un site internet pour la réservation en ligne… et nous avons décidé de ne pas prendre de local. Ensuite, nous avons eu des informations auprès de la CCI et découvert la Boutique de gestion qui nous a aidées pour notre prévisionnel. Nous avons aussi reçu 7600 euros du dispositif ENVOL du Conseil régional ».

Les deux associées ont donc investi près de 35 000 euros en décidant de continuer leurs activités et de ne pas se rémunérer pendant les dix-huit premiers mois.

… ET DES AUTO-ÉCOLES

Pour se faire connaître, Sandrine Coupé et Carine Sorriaux ont fait de la publicité à la radio ou dans des journaux de petites annonces, distribué des flyers, etc. Elles ont également fait attention au référencement de leur site internet qui apparaît directement en tapant « bon plan permis » dans un moteur de recherche. « Nous comptons aussi sur les auto-écoles. Nous ne sommes pas en concurrence mais nous intervenons en complément car elles n’ont pas toujours d’heures ou de personnels disponibles. Nous avons déjà eu des clients envoyés par une auto-école », précisent les gérantes.

Leur activité « en progression constante » devrait les amener en 2010 à investir dans un deuxième véhicule.

Avant de s’implanter dans les autres villes de la région.

PHILIPPE DEMOOR


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MODIFICATION DE STATUTS

S.A. D’H.L.M. L’EFFORT REMOIS

Capital social 3.200.000 €uros
Siège social :
7 rue Marie Stuart - 51100 REIMS
R.C.S. B 335 480 679 Reims

NOMINATION ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LES LOCATAIRES

Aux termes de sa réunion du 24 septembre 2009, le conseil d’administration de l’EFFORT REMOIS, dont le siège social est à REIMS (51100), 7 rue Marie Stuart, a pris acte que Monsieur David BITON ne remplissait plus les conditions légales pour demeurer administrateur représentant les locataires du fait de son déménagement dans une autre région.

La réglementation prévoit, dans ce cas, que la personne suivante figurant sur la liste des élections pourvoit au remplacement, en l’occurrence Monsieur Gilles PIERSON.

Le conseil d’administration constate, a l’unanimité, la démission de Monsieur David BITON et nomme en remplacement Monsieur Gilles PIERSON en qualité d’administrateur représentant les locataires affilié à la confédération générale du logement.

79423

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RCA MA 091027a

Articles parus dans « RCA MAG »

Numéro 70 d’automne 2009.

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Une nouvelle gare pour les TER

Depuis le 31 août, la halte ferroviaire de Franchet-d’Espèrey à Reims est venue enrichir l’offre de transport du TER Champagne-Ardenne.

Financée à parts égales par la Région Champagne-Ardenne, l’État et Reims Métropole pour un montant global de 2,8 M€, la création de cette halte s’inscrit dans le programme de modernisation du réseau TER engagé par la Région.

Situé sur la ligne de chemin de fer Reims/ Épernay, ce point d’arrêt a pour vocation principale d’offrir une desserte complémentaire à celui de Maison-Blanche. Il permet d’améliorer les relations ferroviaires directes avec Épernay et la gare de Champagne-Ardenne TGV, ou les relations avec correspondances en gare de Reims-Centre vers Fismes, Châlons-en-Champagne, Charleville-Mézières ou encore Laon.

Située à proximité de Reims Management School, de la polyclinique Courlancy, du CROUS et des facultés de lettres et de droit, cette halte répond également aux besoins des salariés et des étudiants. Proche des quartiers Maison-Blanche et Croix-Rouge, elle est un complément essentiel aux offres de transport existantes (bus urbains) et à venir (futur tramway).

Franchet-d’Espèrey bénéficie de 13 arrêts quotidiens. Complémentaires à ceux de Maison-Blanche, les horaires ont été définis selon les besoins des usagers.

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Cadre de vie et développement durable

Les investissements lourds :

Au titre de l’amélioration du cadre de vie des élèves et des équipes, les interventions de la Région s’inscrivent dans des programmes d’investissements relatifs à la valorisation du patrimoine immobilier. Un grand nombre d’opérations est actuellement en phase travaux, parmi lesquelles les restructurations générales des lycées :

• Chanzy à Charleville-Mézières : achèvement prévu fin 2009, • Étion à Charleville-Mézières : démarrage des travaux au 1.2’ trimestre 2009 pour une durée d’environ 3 ans. Le premier externat a été livré a la rentrée scolaire 2C09-2010, • Val Moré à Bar-sur-Seine : fin de réparation prévue fin 2009, • Denis Diderot à Romilly-sur-Seine : les travaux devraient s’achever courant 2010, • et de rétablissement régional d’enseignement adapté à Wassy : les travaux ont débuté au cours du 2ème trimestre 2009 pour une durée d’environ 3 ans.

Les restructurations partielles :

D’autres opérations sont menées cette année dans les lycées :

• Paul Verlaine à Rethel (demi-pension). • Les Franchises à Langres (demi-pension, cuisine, administration, CDI), • François 1er à Vitry-le-François (maintenance), • agricole à Somme-Vesle (internat, secteurs d’éducation socioculturelle et EPS), • Yser et Europe à Reims (extensions Sur l’ancien CFA du bâtiment), • Roosevelt à Reims (externat), • Colbert à Reims (demi-pension), • François Arago à Reims (extension des ateliers), • Godart Roger à Épernay (externat), • Pierre Bayen à Châlons-en-Champagne027 (modernisation), • Des Lombards à Troyes (extension des ateliers), • Forestier à Crogny (chaufferie au bois), • Jean-Baptiste Clément à Sedan (internat, demi-pension), • Pierre Bayle à Sedan (demi-pension. gymnase), • Du Château à Sedan (gymnase), • Paul Verlaine à Rethel (demi-pension), • et hôtelier à Bazeilles (maintenance).

Par ailleurs, une dizaine d’opérations est actuellement en phase étude, dont l’importante restructuration du lycée Jean Moulin à Revin, basée sur une démarche de Haute Qualité Environnementale.

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Journal « l’Union » - 091026b

Elles vont avoir un nouveau logement : Exaucées au bout de deux ans

Dans quelques semaines, le vœu de déménagement de Paraschina sera réalisé.
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Quand on veut changer de logement, notamment de logement social, il faut savoir être patient. Angela et sa maman Paraschina ont dû patienter deux ans avant de voir leur souhait de déménagement exaucé. Cette quadragénaire et sa maman de plus de 70 ans, originaires de Roumanie, n’en pouvaient plus dans leur petit appartement près de l’hippodrome : « A cause du bruit des voisins, explique la fille, on dirait qu’ils bricolent tout le temps, on finissait par avoir l’impression d’être dans un atelier ! » Dur à supporter quand on est cloué dans un fauteuil comme la maman. Et puis l’appartement était devenu trop exigu pour les manœuvres du fauteuil roulant, et souffrait d’une mauvaise isolation.

Depuis deux ans les deux dames avaient donc engagé des démarches auprès de leur organisme logeur, en l’occurrence l’Effort rémois. Parmi les propositions qui leur étaient faites, rien ne convenait vraiment. Elles en venaient à désespérer, - « maman pleurait » témoigne sa fille -, et même à solliciter l’union. Et c’est là que l’histoire devient piquante : avant même que nous n’ayons entamé la moindre intervention auprès du logeur, celui-ci leur adressait une lettre la semaine dernière, pour leur proposer un autre logement, du côté de l’église Saint-Benoît ! « Je l’ai vu, et il nous convient ! » se réjouit Angela. Le déménagement va pouvoir se faire d’ici quelques semaines. Encore un miracle de la presse ?

Antoine Pardessus

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Journal « l’Union » - 091026a

basket-ball / Nationale 1 féminine : De la rigueur et du muscle

Nouveau statut aidant, Fatou Dieng a été serrée de près…
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La feuille de stats livre un début d’explication : c’est sur le banc que les Rémoises ont abandonné la victoire à leurs hôtes de Graffenstaden (67-77).

Si les joueuses majeures se sont neutralisées (53 points rémois pour le trio Dieng - Herrscher - Sinico et 51 pour Fischbach - Nsoki et Schmitt - Sendner), les Marnaises n’ont pas trouvé de relais, l’apport offensif de Bourdeau, Sy et Gujaraïdze (15 rebonds en contrepartie) étant trop minime.

Les retours de toutes les blessées, l’éclosion espérée des jeunes vont « titiller » l’émulation. Mais cela ne sera pas suffisant pour quitter la zone rouge même contre des adversaires moins huppées que la Sig.

Les protégées de Fabrice Lefrançois vont devoir apprendre à attaquer efficacement une zone (c’est quand les Alsaciennes ont opté pour cette défense qu’elles se sont échappées).

Elles vont devoir également « muscler » leur défense et gagner davantage de duels sous leur cercle. Elles vont devoir enfin être plus rigoureuses dans leur gestion : à mi-parcours, elles n’avaient perdu que 6 ballons ; au buzzer, ce sont 21 pertes qu’elles avaient à déplorer, dont 8 pour Fatou Dieng.

Y.D.

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Journal « l’Union » - 091025a

basket-ball / Nationale 1 féminine : Les Rémoises en progrès

Pendant trois quarts temps, Sokhna Sy et les Rémoises ont inquiété les Alsaciennes…
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Enfin au complet, le RBF a tenu tête à la SIG. Il ne lui manque plus que de la rigueur et un peu plus d’efficacité.

LES Rémoises ont prouvé hier soir que le meilleur était à venir. Pendant plus de trois quarts temps, elles ont regardé dans les yeux des Alsaciennes qui visent le Top 4. Que leur a-t-il manqué ? Un peu d’adresse, c’est sûr mais aussi un peu plus de travail en commun.

LA TENDANCE S’INVERSE
(24-25)

Les Rémoises prennent un départ idéal (10-2, 2e) dans le sillage d’une Sinico alternant shoot derrière l’arc de cercle et transition. Sans s’afoller, les Alsaciennes entreprennent leur opération remontée. Elles trouvent (trop) aisément Nsoki sous le cercle. Avec l’aide de Fischbach, à peine entrée, elle ramène les siennes à hauteur (11-11). La tendance vient de s’inverser. La fin de la période se résume en un chassé-croisé. Aux points rémois venant d’un peu partout, la Sig répond sur la ligne (Kadila) et à trois points (Fischbach (24-25).

SINICO : DEJA 15 POINTS (38-41)

La reprise est douloureuse. Graffenstaden inscrit sept points d’affilée (24-32). Sinico, l’arme offensive n° 1 du RBF, met fin à la série (27-32). Mais, les Marnaises offrent trop de 2es chances à leurs hôtes qui demeurent confortablement aux commandes (29-38, 16e). Heureusement pour les Rémoises, sa traction arrière (Sinico - Dieng) compense la discrétion de sa raquette et notamment de Gujaraidze en délicatesse avec son shoot. Les 15 points de Sinico à la pause (71 %) permettent aux filles de Fabrice Lefrançois de continuer à y croire (38-41).

LA SIG REPASSE DEVANT (56-58)

Un manque de concentration coûte cher aux Rémoises. Elles ratent le plus facile sous le cercle alsacien et oublient la grande Schmitt-Sendner sous le leur (38-49). Un 2 + 1 de Sinico donne le signal de la révolte. Herrscher et Bourdeau lui emboîtent le pas avant que Dieng, sur la ligne puis derrière la ligne des 6,25 m, ne fête son titre africain en replaçant les Marnaises en tête (52-51, 26e). Quatre minutes plus tard, les Banlieusardes strasbourgeoises sont repassées devant grâce à Fischbach et un bonus de Westerlynck juste avant le buzzer (56-58).

LA ZONE FATALE (67-77)

Encore une fois, le retour aux affaires est fatal aux Rémoises qui butent sur la zone adoptée par les Alsaciennes et qui ne parviennent pas à contrôler les jeunes du Graffenstaden Nsoki, Fischbach et Westerlynck (19 ans de moyenne). Repoussées à 11 longueurs (58-69, 33e), les Marnaises ne trouvent plus de solutions. Le chrono file inorexablement. La zone alsacienne finit d’enterrer les derniers espoirs locaux. Dommage !

Yves DOGUÉ

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Journal « l’Union » - 091024b

Effectif remanié : Ça bouge au FC Atlas

Les Atlatistes veulent construire une ossature ayant une âme.
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Engagé en première série du District Marne de football, le FC Atlas vit un bouleversement. 80 % de son effectif est remanié.

« C’est un grand changement pour nous. Nous avons plus de nouveaux joueurs que d’anciens. Ce qu’on envisage, c’est de mettre sur pied une équipe à la fois solidaire et homogène. Il faut que le groupe soit soudé pour assurer sa montée en première série », martèle Hichem Boussoufi, président. « Le niveau du championnat commence à monter petit à petit.

On a déjà réalisé un match contre Witry-lès-Reims. Nous voulons que nos joueurs soient combatifs sur le terrain tout en s’appuyant sur des valeurs de fair-play, de respect et la sportivité. L’idée, c’est de construire sur une longue période une ossature ayant une âme. Chacun doit donner le meilleur de lui-même », ajoute-t-il.

Tél. 06.67.28.54.76.

 

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Journal « l’Union » - 091024a

Nationale 1 féminine : La fin d’un cycle infernal

Championne d’Afrique avec le Sénégal, Dieng sera de retour.
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Fabrice Lefrançois et ses protégées attendent avec impatience la fin de la soirée. Vers 22 heures, les Rémoises en auront fini avec leur série de trois rencontres « infernales », à savoir Rennes, Charleville et Graffenstaden. « Nous pourrons alors commencer notre championnat », souligne le coach marnais.

Il ne faut pourtant pas croire que le technicien du cru baisse les bras avant même le troisième volet de cette série. « Chaque match, on le joue pour le gagner », affirme-t-il. Fut-ce contre un candidat déclaré au Final Four comme l’est Graffenstaden.

« C’est une équipe à dix joueuses. Tous les postes sont doublés et il y a un mélange harmonieux et efficace de jeunes comme Nsoki ou Kadila et de joueuses expérimentées. » Les Rémoises seront donc bien inspirées de se méfier de la meneuse Charline Servage, de l’ailière (ex-Jacquiste) Lina Brazdeikyte et de l’intérieure Céline Schmitt-Sendner. Ces trois-là ont été les « bourreaux » de l’Union Hainaut samedi dernier (75-65 ap)…

Avec Dieng

Le bel effectif alsacien n’est pas invincible. Deux fois déjà, il s’est incliné (à Pleyber-Christ et contre Tours). « Deux erreurs », comme l’image Lefrançois. « A nous de les ramener dans les erreurs », poursuit-il.

Leur dernière sortie à Charleville (défaite 69-47) n’incite guère les Rémoises à l’optimisme. Mais… pour la première fois de la saison, le RBF disposera de son groupe au complet. Fatou Dieng, revenue de Madagascar auréolée d’un titre de championne d’Afrique avec le Sénégal (*), réintègrera l’équipe tandis que Magali Mendy enfilera le maillot « magenta et noir » après une longue absence (sa dernière apparition remonte à mars 2009).

« C’est comme si on achevait notre préparation », conclut Fabrice Lefrançois. C’est comme si, les Rémoises en finissaient avec leur pain noir

Y.D.

(*) Le Sénégal a battu le Mali de la Carolo Diawara 72-57 avec 17 pts de Fatou Dieng et 10 de l’ancienne Rémoise Mame Marie Sy-Diop.

20 HEURES, RENE-TYS

REIMS : 4. Fouasseau ; 5. Bourdeau ; 6. Mendy ; 7. Sy (Sén) ; 8. Remazeilles ; 9. Dieng (Sén) ; 10. Herrscher ; 11. Sinico ; 12. Gujaraidze (Rtc) ; 13. Gabaud ; 14. Misset ; 15. Haidara. Entraîneur : Fabrice Lefrançois.

GRAFENSTADEN : 4. Battaglia ; 5. Privet ; 6. Westerlynck ; 7. Fischbach ; 8. Servage ; 9. Nsoki ; 10. Boissinot ; 11. Brazdeikyte (Lit) ; 12. Kadila ; 13. Nestor ; 14. Schmitt-Sendner ; 15. Mauler. Entraîneur : Philippe Breitenbucher.

Arbitres : MM. Ortillon et Achddou.

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L’hebdo du vendredi- n° 141 - 091023i

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 141 - Semaine du 23 au 29 octobre 2009
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RESTAURATION : La Baraque Chic d’Idir

Innover sans cesse et se lancer de nouveaux défis, deux principes chers à Idir Kemiche.
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Fins gastronomes, cette histoire est pour vous. Fort d’un concept inédit à Reims, Idir Kemiche a décidé de transporter ses saveurs, du restaurant au camion ambulant.

Dans l’avenue d’Epernay, son établissement est incontournable. Propriétaire de « Chez Lui », table rémoise renommée, Idir Kemiche s’est aujourd’hui lancé un nouveau défi : exporter toute la finesse de sa cuisine au beau milieu des campus universitaires tout proches.

Un projet inédit

La première impulsion est donnée, il y a quelques mois par des habitués du restaurant, regrettant de n’avoir ni l’argent, ni le temps nécessaire pour s’offrir quotidiennement de vrais bons plats cuisinés. « C’est là que je me suis dis qu’il y avait un créneau à prendre » se souvient Idir Kemiche. Quelques incontournables nuits de réflexion et autres démarches administratives plus tard, le projet a pris forme : il s’agira d’un camion ambulant, proposant toute une gamme de repas rapides à des prix raisonnables. Du déjà vu ? Pas vraiment. Car à la différence des traditionnelles baraques à frites vendant pour la plupart des produits décongelés, La Baraque Chic proposera, elle, uniquement des plats cuisinés le matin même au restaurant « Chez Lui ». « Il est important que les gens ne s’imaginent pas qu’on leur vendra de la malbouffe. Nos sandwichs seront faits avec du pain complet, il y aura des frites faites maison, des pâtes fraîches, de vrais hot-dogs américains, des soupes aux légumes de saison, des glaces à l’italienne, des crêpes et le spécial café Chic » précise Idir. Outre les recettes classiques de restauration rapide, le camion proposera aussi des saveurs plus atypiques comme les pâtes au poulet à l’indienne ou le sandwich au saumon fumé, ainsi qu’un sandwich du jour. Principale clientèle visée : les étudiants de Reims Management School, ceux du campus Croix-Rouge, et les salariés des entreprises environnantes. Le propriétaire espère vraiment que « chacun appréciera l’esthétisme du camion et la qualité de la cuisine. Toute la phase de création est intéressante mais ce qu’il y a de plus excitant dans ce projet, c’est de voir s’il va marcher… ». Planchant déjà pour l’avenir, Idir Kemiche souhaite installer son camion le soir et le week-end sur les parkings (sortie de boîtes de nuit, de congrès d’entreprise).

Un défi aux risques maîtrisés et qui, à l’image du savoir-faire du patron, devrait connaître un succès rapide et ouvrir d’ici 4 à 5 semaines. Comble de la nouveauté : une application IPhone pour La Baraque Chic sera même prochainement disponible.

Aymeric Henniaux

Renseignements : labaraquechic.com www.restaurant-chez-lui.com ou 06.34.20.58.42


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« Les voyages de Lefranc, l’aviation »

Des planches de BD signées Jacques Martin et Regric complétées par celles de Fernandez et Wallace. Médiathèque Croix-Rouge

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Journal « l’Union » - 091023h

Mondiaux juniors de judo / Tatami déroulé pour Mathias

Chez les - 66 kg, le Rémois essaiera de faire aussi bien qu’à l’Euro (3e).
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Le Rémois Mathias Boucher se lance aujourd’hui à l’assaut du gotha de la discipline, à Paris. IL va fêter ses 19 ans le 28 novembre et s’apprête à découvrir un nouveau monde.

Au moment où le député David Douillet (*) grimpe les marches de la République en s’installant au palais Bourbon, Mathias Boucher se lance à l’assaut du gotha de la discipline à Pierre-de-Coubertin. Depuis hier, la salle parisienne accueille les Mondiaux juniors. Le Rémois entre en lice aujourd’hui. Il tire en moins de 66 kg. Avec une double pression : celle d’évoluer à domicile pour défendre la couronne acquise en 2008 à Bangkok par le Rouennais Ugo Legrand.

Le leader du Dojo rémois prendra la température ce matin contre le vainqueur du duel entre l’Azeri Eminoglu et l’Israélien Pollack.

En stage à l’Insep depuis deux semaines, Mathias a hâte de monter sur le tatami pour en découdre.

Rêve de podium

Il le fera avec beaucoup d’ambitions. Tout neuf dans le circuit international, le lycéen en Terminale STI génie civil à François-Arago (Reims) veut encore créer la sensation. A la fin de l’été à Erevan (Arménie), il a épaté tout le monde en récoltant le bronze européen. Le même métal le comblerait ce soir. « Pour moi, cette compétition est un bonus. Déjà que je ne m’attendais pas à participer au championnat d’Europe, alors les Mondiaux… Les compétiteurs portent sans doute un nouveau regard sur moi mais j’ai pris confiance. Le déclic est venu de là, je n’ai plus peur de gagner », confiait l’élève de Baptiste Soyer sur les tatamis de René-Tys. Mathias Boucher veut rester fidèle au club rémois. Malgré les sirènes qui se font insistantes avec ses résultats 2009 : 3e à l’Euro juniors, 2e du tournoi international de France, 5e du championnat de France…

Philippe LAUNAY

(*) Elu pour la première fois, le double champion olympique a enfilé son écharpe tricolore (sa ceinture blanche en politique) dans la circonscription de Poissy.

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« Il doit sortir de ses gonds »

En équipe de France, Mathias Boucher travaille sous la direction de Franck Chambily.

L’entraîneur national apprécie le Rémois mais il lui demande de forcer sa nature : « Mathias est très motivé. Il n’est pas issu de la filière haut niveau. Ce n’est que plus méritant car l’opposition, en club, est inférieure à ce qu’il aurait dans d’autres structures. Elle n’est pas assez forte. C’est un problème car Mathias n’est pas préparé aux adversaires rugueux. En revanche, le fait d’être isolé en club renforce son autonomie et sa détermination. Maintenant, il doit se faire violence. Mathias est trop gentil. Il doit aller au-delà de son caractère et sortir de ses gonds. »

Recueilli par Ph.L.

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Journal « l’Union » - 091023g

Espace Billard : L’arbre de la solidarité est mort

Ce fut un bel arbre de 3 mètres de haut…
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« Pour marquer l’anniversaire des 20 ans de l’association Multi-Échanges services, en mars 2008, nous avions sollicité le service municipal des espaces verts pour qu’il nous offre un arbre à planter », se souvient Geneviève Pezzotta, secrétaire de l’association.

L’arbre fut planté avec grand soin en présence d’élus et des associatifs de Croix-Rouge.

Hélas, victime de deux calamités qui ne pardonnent pas : les déjections canines (un vrai champ de mines !) et le manque d’arrosage, l’arbre pompeusement baptisé « de la solidarité », est désespérément mort, réduit à l’état de lamentable « bout de bois ».

Faut-il y voir un symbole ?

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Journal « l’Union » - 091023f

Semaine bleue à la bibliothèque municipale : Restons connectés

Afin de créer du lien entre générations jusqu’au 25 octobre, la bibliothèque municipale participe à la Semaine bleue sur le thème « Jeunes et vieux, connectez-vous ! Pour vivre ensemble nos âges et nos cultures, restons connectés ».

La Semaine bleue, ou Semaine nationale des retraités et personnes âgées, sera à Reims l’occasion de créer de nouveaux liens entre tous les lecteurs de la bibliothèque municipale. Des seniors bénéficiant du service de portage de livres à domicile pour les personnes à mobilité réduite, à l’ensemble des autres usagers qui découvriront pour l’occasion des livres « lus et approuvés par les seniors »… Une initiative originale pour faire connaître à tous la politique d’accessibilité maximale de la bibliothèque municipale.

« L’ordinaire ment »

Proposées gratuitement à la médiathèque Croix-Rouge et dans des résidences Arfo à destination des seniors et notamment des bénéficiaires du service de portage à domicile de livres, les lectures théâtralisées du collectif artistique EutectiC s’inspirent du quotidien. Ou plutôt de sa non-existence. Deux conteurs, Pascal Salzard et Franck Moreau racontent : « Méfiez-vous du quotidien. A n’importe quel moment, nous y rencontrons l’inattendu, la poésie, le ridicule, la sagesse. Quand ce n’est pas l’amour. Ou le cruel. Ou le plombier. L’ordinaire n’existe pas. Ce sont nos yeux qui sont paresseux. Et pour le prouver, deux lecteurs ont fureté dans des bibliothèques et ont ramené des histoires à partager. Ils ont chauffé leur voix et accroché un sourire sous leur nez… »

Le service de portage à domicile

Le service de portage de livres à domicile s’inscrit dans une politique d’accessibilité maximale de la bibliothèque municipale, avec de nombreuses actions en direction des publics empêchés, non et malvoyants, ou personnes sourdes et malentendantes. Pour les personnes âgées qui n’ont plus la possibilité de se déplacer mais aussi pour toutes les personnes souffrant d’un handicap, le service de portage de livres à domicile, mis en place en novembre 2007 par la bibliothèque municipale en partenariat avec l’Aradopa (association de services à domicile) et Plurihabitat, leur permet de recevoir à leur domicile pour une durée de quatre semaines jusqu’à quinze documents (livres, revues, CD ou livres audio et, depuis septembre 2009, DVD ou VHS). Pour bénéficier de ce service de prêt à domicile, l’usager doit régler sa cotisation d’adhérent à la bibliothèque municipale au tarif de 10 € (gratuité en cas de handicap) et participer aux frais de portage par une participation mensuelle de 3 € perçue par l’Aradopa.

Tél. 03.26.35.68.00.

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Journal « l’Union » - 091023e

« Pendant les vacances d’automne, j’apprends à nager » : Qui veut se jeter à l’eau ?

Les adhérents et les associatifs sont mobilisés.

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La Ville de Reims met en place, pour la première fois pendant les vacances d’automne, un dispositif d’apprentissage gratuit pour les 9-11 ans dans les piscines Orgeval, Château-d’Eau et Nautilud.

Avec l’opération « Pendant les vacances d’automne, j’apprends à nager », la Ville de Reims poursuit sa politique d’apprentissage gratuit de la natation avec un dispositif de sept séances pour les 9-11 ans dans trois piscines municipales.

« Savoir nager fait partie des fondamentaux », selon Christine Michel, adjointe en charge du sport. C’est pourquoi, la Ville de Reims met en place pour la première fois pendant les vacances d’automne un dispositif d’apprentissage gratuit pour les 9-11 ans dans les piscines Orgeval, Château-d’Eau et Nautilud.

Ainsi, du 26 au 30 octobre, puis, du 2 au 3 novembre, des groupes de 12 à 15 Rémois (es) seront constitués pour cette activité d’apprentissage organisée en matinée.

Trois créneaux horaires sont prévus chaque jour : de 9 à 10 heures, de 10 à 11 heures ou encore de 11 à 12 heures.

Comment s’inscrire ? Dans l’une des trois piscines suivantes :
- Nautilud, 41, chaussée Bocquaine, tél. 03.26.82.60.00, nautilud@rems.fr ;
- Château-d’Eau, 12, allée des Landais, tél. 03.26.86.18.83, chateaudeau@rems.fr
- et Orgeval, 25, rue Raymond-Poincaré, tél. 03.26.77.49.60, orgeval@rems.fr

Jours et horaires d’inscription. Le mardi, le mercredi et le jeudi, de 9 à 12 heures et de 14 à 17 heures à l’accueil de la piscine Nautilud, Château-d’Eau ou Orgeval. Une fiche d’autorisation parentale doit être remplie. Trois groupes seront constitués dans chaque piscine en matinée.

Attention, la piscine Nautilud étant fermée le lundi, six séances y sont prévues par jeune. À Orgeval et Château-d’Eau, le programme comporte sept séances.

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Journal « l’Union » - 091023d

« Roller hockey : Bon début pour les Rapaces

Les Rapaces ont bien débuté cette nouvelle saison.
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Les cadets du Roller Hockey Reims ont débuté victorieusement leur championnat, dimanche, devant Besançon et le RRCC.

Dès le début du match, les Rapaces ont étouffé les Bisontins, menant en quelques minutes au score par 3 à 0. Les Rémois ont géré la fin du match, marquant un quatrième but dans les dernières minutes. Même scénario contre le RRCC mais cette fois avec un score plus lourd puisque le match se termine par la victoire du Roller Hockey Reims par 11 à 2.

Cette première journée a permis de faire tourner l’effectif ; les trois lignes de joueurs ont pris du temps de jeu. « La route est encore longue avant la fin du championnat, alors il faut rester concentrés et continuer à travailler, mais le potentiel est là », assure le président.

Pour plus d’information sur le Roller Hockey Reims et ses activités : tél. 06.72.79.51.51 et rollerhockeyreims.com

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Journal « l’Union » - 091023c

roller hockey / Nationale 1 : Un vrai test à Paris

Les Rapaces sont de retour aux affaires. Après quinze jours sans rencontre, les Rémois se déplacent chez les Corsaires de Paris XIII, leaders de la poule A, pour le choc au sommet de cette 4e journée. Un match capital pour Marc Thiébaut et ses coéquipiers qui occupent la 2e place.

« Trouver un match référence »

Marc, ce déplacement est-il un premier tournant ?

« Oui car on va vite savoir où on se situe exactement, vis-à-vis de l’objectif : play-offs ou maintien.

C’est le leader invaincu, une victoire là-bas permettrait de lancer une bonne dynamique et de trouver un match référence. »

Paris XIII est toujours difficile à manœuvrer, surtout à domicile…

« Effectivement. Nous les connaissons bien. Ils ont de bons jeunes, techniques et rapides, bien encadrés.

Ça va aller vite, mais nous devons leur opposer notre système de jeu, basé sur le collectif et la conservation du palet. »

Quels détails peuvent faire basculer le match en votre faveur ?

« Le réalisme sera décisif. Il faut impérativement tirer pour marquer, à chaque fois. Il nous faudra aussi exploiter les espaces du terrain parisien, bien plus grand que le nôtre. »

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Journal « l’Union » - 091023b

Ça fume à l’école de commerce

Hier vers 13 h 45, un court-circuit s’est déclaré dans la machinerie d’un ascenseur de l’école de commerce, avenue d’Epernay.

Il a provoqué un dégagement de fumée suivi de l’évacuation, par mesure de précaution, de toutes les personnes présentes dans le bâtiment.

Aucun incendie n’a été constaté par les sapeurs-pompiers. Ils ont mis l’appareil hors service et ventilé les locaux.

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Journal « l’Union » - 091023a

Feux de voitures

Mercredi vers 18 h 30, un début d’incendie s’est déclaré sur une voiture rue Raoul-Dufy (notre précédente édition).Il s’agissait d’un feu accidentel.

Hier vers 4 heures du matin, un autre incendie- suspect celui-là - a détruit une Renault, 25, rue de la Cerisaie.

Il pourrait s’agir d’un véhicule volé.

A 2 h 30, une poubelle a pris feu place Pierre-de-Fermat.

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Journal « l’Union » - 091022e

Association des Polygones : Des permanences sur le palier…

Les adhérents et les associatifs sont mobilisés.
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La présidente de l’association de locataires des Polygones a réalisé des aménagements dans son appartement et, ne pouvant plus entreposer tous ses dossiers et sa documentation importante, elle a dû installer le bureau de l’association sur son palier, au 1er étage du 8, Bernanos.

Cette association qui œuvre depuis plus de seize ans en faveur des locataires des 191 logements de l’Effort rémois, demande en vain, depuis huit ans, un local associatif à l’Effort rémois. Elle est la seule des huit associations de locataires de Croix-Rouge à ne pas bénéficier d’un local associatif : « Pourtant de nombreuses mutations ont eu lieu et nous aurions déjà pu bénéficier d’un petit appartement ! »

Les adhérents en colère

Pour la dernière permanence, la présidente a reçu deux messages de soutien de MM. Quénard et Guillaudeau, élus du quartier : « Nous étions vingt-deux personnes sur le palier ! » Et les protestations n’ont pas manqué.

Quant aux adhérents, ils ne mâchent pas leurs mots : « J’ai souvent recours aux services de Mme Kackowka, mais suis très gênée d’être reçue dans son appartement. Cette association dynamique a un besoin impératif d’un local dans le quartier pour effectuer son travail de conseil, de renseignements dans de bonnes conditions » (Mme Forget).

« Nous œuvrons pour les locataires depuis 1993. L’association est même connue à l’extérieur des Polygones. Nous avons des adhérents à Tinqueux et Bétheny. Nous avons même des adhérents-propriétaires ! Nous demandons un local depuis 7 ans, sans résultat. Pourtant de nombreux appartements ont été libérés, puis réaffectés ! » (Mme Terrugia).

« Nous déplorons de devoir nous réunir au domicile de Mme Kaczowka qui remise tous les dossiers dans ses placards personnels. Elle utilise son matériel (ordinateur, imprimante, téléphone, électricité) bénévolement et ne compte pas son temps pour répondre aux locataires et les renseigner. Nous ne comprenons pas pourquoi il faut tant de temps pour se voir attribuer un local ! Beaucoup de locataires n’osent pas venir la déranger et préfèrent lui téléphoner ! » (Mmes Dieulot, Duchozal, Leblus, M. Cantener).

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Le soutien des autres associations

La file d’attente sur le palier.
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« J’ai la chance de partager un local associatif de Reims habitat avec l’AFEV, esplanade Eisenhower, et je trouve indispensable pour une association de recevoir ses adhérents dans un local où il est plus aisé de donner des renseignements, de rechercher les textes dans la documentation, de dialoguer pour établir un relais entre le bailleur et le locataire ! » déclare Claude Stoltz, présidente de l’Union des locataires de Croix-Rouge.

« J’ai un local mis à la disposition de mon association par le Foyer rémois et j’y reçois les locataires à raison de deux demi-journées par semaine. Il n’est pas normal de recevoir les adhérents à notre domicile car cela empiète sur la vie privée et les nombreux dossiers doivent trouver une place à la portée des autres membres du bureau » confirme Roseline Marandon, présidente de l’association Croix-Rouge Pays-de-France et de la CGL-Marne.

« Depuis 8 jours, nous avons la chance d’avoir obtenu - après trois ans d’attente - un local de l’Effort rémois. Nous pouvons enfin recevoir les adhérents dans des créneaux précis et ranger nos dossiers et la documentation ailleurs qu’à nos domiciles. Les Polygones attendent un local depuis 7 ans et nous leur apportons notre soutien », témoignent Danielle Bonfils et Marie-Noëlle Dimanche, présidente et secrétaire de l’association At’Home (Hauts-de-Murigny).

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L’Effort rémois : « Soyez patients ! »

Patrick Sommet, directeur de la clientèle à l’Effort rémois, tient toujours le même discours : « Nous avons pris l’engagement de fournir un local (ou plutôt un logement de type T1 ou T2) à l’association des Polygones et nous le tiendrons dès qu’un des logements identifiés sera disponible (pour preuve le logement remis à l’association At’Home ces dernières semaines) ce qui n’est pas le cas. De plus nous n’avons pas pour l’instant de préavis de départ prévu. »

Dans cette attente, M. Sommet propose, si l’association en fait la demande, de lui prêter une salle de réunion sur Croix-du-Sud, « pour éviter les désagréments des rencontres sur le palier qui peuvent aussi déranger les habitants de l’immeuble ».

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Journal « l’Union » - 091022d

Ras-le-bol : Dix étages sans ascenseur

La colère gronde dans l’immeuble du 37, rue Pierre-Taittinger. Depuis ce week-end, les locataires doivent se passer de l’ascenseur, ce qui n’est pas marrant quand on habite au dixième et dernier étage avec trois enfants dont l’un est encore en poussette.

Au huitième, un monsieur handicapé ne peut plus descendre. « On en a marre. Cet ascenseur tombe souvent en panne et il faut attendre plusieurs jours pour qu’il soit réparé. On nous dit que ça prend du temps car ils n’ont jamais la pièce. » Vandalisme ou dysfonctionnement, les conséquences sont les mêmes pour les habitants. « On a beau téléphoner, ça ne change rien.

On nous promène entre Reims Habitat et Otis mais tous les mois, les 8,50 euros de charges pour l’ascenseur, qu’il marche ou pas, on n’oublie pas de nous les retirer », râle une dame du huitième.

Quant aux personnes sportives, prendre l’escalier n’est pas réjouissant non plus. « C’est dégueulasse et ça pue la pisse. »

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Journal « l’Union » - 091022c

Odeur de gaz : Un gymnase évacué

Mardi à 17 h 45, une « odeur de gaz » a été signalée dans un gymnase universitaire du stade Géo-André, avenue François-Mauriac.

Par précaution, les professeurs ont fait évacuer sur le parking les quelque 80 élèves présents en attendant l’arrivée des pompiers.

Ces derniers n’ont trouvé aucune fuite de gaz. L’odeur provenait des batteries en surchauffe d’une machine à nettoyer le sol.

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Journal « l’Union » - 091022b

Autour du verger, du potager et de l’art floral : Les passionnés d’horticulture ont rendez-vous dimanche

Jean Kozycki, secrétaire général, Jean-Paul Siméon, président, et Gérard Leick, vice-président.
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La Société d’horticulture de l’arrondissement de Reims tiendra son assemblée générale dimanche 25 octobre. Tous ses sociétaires et amis y sont conviés pour une matinée en forme de fête fleurie puisque, après les rapports d’activités et présentation des projets, le palmarès des sociétaires sera proclamé et suivi de celui concernant le concours de décoration florale de la Ville de Reims, une délégation confiée à la SHR depuis cinquante ans…

Après les excellentes manifestations qui ont rythmé la vie de la société depuis novembre 2008, plus de 80 nouvelles adhésions ont été enregistrées et le président Jean-Paul Siméon s’en réjouit : « Nous le devons au succès de la dernière exposition florale et au travail collectif fourni. Le Salon tendance et Nature et dernièrement le forum des associations ont montré que nos activités répondent aux besoins les plus précis par leur diversité autour du verger, du potager, de la floriculture, de l’art floral », ce dernier étant la principale activité de la SHR avec un programme de cours sur toute l’année.

De son côté, le secrétaire général Jean Kozycki souligne le partenariat avec le Comité départemental de tourisme dans le cadre du concours des villes et villages fleuris où les membres de la SHR s’investissent nombreux dans les jurys et « les communes font souvent appel à nos compétences pour des conseils concernant l’agencement des végétaux, la taille des arbustes d’ornement, etc. En plus, le partenariat avec les Jardins familiaux nous permet également de nouvelles ouvertures ».

Ateliers et conférences

La SHR édite un bulletin très complet qui donne dates, horaires et modalités de participation aux divers ateliers et sections spécialisées.

On y trouve aussi la liste des conférences et démonstrations pratiques prévues pour les douze prochains mois.

Le vice-président Gérard Leick y a inséré également son programme de voyages, à commencer par une journée à Dijon le 13 mars pour l’exposition Florissimo. Est également annoncée une visite en Franche-Comté du 4 au 6 juin 2010.

La SHR donne donc rendez-vous à tous ceux qui s’intéressent à ses activités le dimanche 25 octobre à 9 heures au centre des congrès de Reims.

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Journal « l’Union » - 091022a

Une voiture incendiée

Vers 18 h 30 hier soir, une autre voiture a pris feu rue Raoul-Dufy à Reims. L’origine n’était pas encore connue.

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Journal « l’Union » - 091021a

Indemnisation : « T’as eu combien toi ? »

Séparées de 30 mètres, l’une a touché 10.000 et l’autre 4.500 euros. Les boulangeries ne sont pas toutes logées à la même enseigne.
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Cela ne se fait pas de dire combien tel ou tel commerçant a reçu de la collectivité pour faire face à ses pertes. Tant pis, faisons-le tout de même.

LE sujet est tabou entre commerçants. Mieux vaut ne pas dire combien on a touché comme indemnisation liée aux travaux du tram. Pas la peine de faire des jaloux. Surtout que la somme n’est la même pour personne et que personne ne sait vraiment comment elle est calculée.

« Nous devons déclarer notre perte de marge brute c’est-à-dire ce que nous avons gagné en moins sur une période donnée. C’est sur cette base que l’indemnisation est calculée », explique Jean-Hugues Fagot, patron des Bleuets.

Il a déjà présenté deux dossiers : « La première fois, j’avais déclaré une perte de 59.000 euros, j’ai obtenu 30.000 d’indemnisation. La seconde fois, j’ai demandé 53.000 et obtenu 21.000. » Cherchez la logique, il n’y en a pas. « Soit Reims Métropole a moins de sous, soit ils ont considéré que durant cette seconde période, mes pertes sont davantage dues à mon activité qu’aux travaux. »

Ce qui énerve le plus un commerçant, c’est d’avoir moins que le voisin alors qu’il exerce la même activité dans la même rue. Prenons les boulangeries de l’avenue de Laon par exemple. Richez, situé au 61 de l’avenue, décroche un maigre 3.500 euros. Darcq, au 159, obtient 10.000 euros, Hennig, au 177, encaisse 4.500 euros et De Baets, au 284, touche le jackpot avec 16.000 euros. Très embêté ce dernier d’avoir plus que les autres : « Je ne sais pas pourquoi il y a de telles différences. C’est peut-être parce que nous sommes les seuls de ce côté de l’avenue donc privé de circulation depuis dix-sept mois. On a tout de même été obligé de licencier une personne. » La patronne de Darcq, qui elle aussi a obtenu une belle somme, n’en a pas pour autant vu la couleur : « Les 10.000 euros étaient à peine sur le compte qu’ils avaient disparu dans les caisses de la sécu. » Quant à Hennig et Richez, ils n’ont eu que les yeux pour pleurer : « Je ne veux même pas en parler. C’est une goutte d’eau qui nous a été attribuée », grogne la boulangère chez Hennig.

« Ça se résume à du chantage »

Des grincheux dans un autre style, on en trouve cours Langlet où, là encore, les sommes allouées sont très disparates. Le gérant de Gérard-Darel a été le moins bien loti avec 3.500 euros. La somme n’a pas dû lui convenir car il est très désagréable quand on lui en parle.

La patronne des chaussures Podolinéa est beaucoup plus avenante. Elle assume ses 11.000 euros : « J’en avais demandé 22. Ce n’est pas assez pour sortir du rouge mais nous n’avons d’autre choix que d’accepter la somme proposée car sinon, c’est cinq ans de procédure au tribunal administratif. Leur système se résume à du chantage. » Car, qui accepte son indemnisation, s’engage en même temps à ne plus aller en justice ensuite.

S’il en est une qui pourrait se plaindre (et qui pourtant n’en fait pas un plat), c’est la propriétaire de Casa Nova à l’autre bout du cours Langlet. Elle a demandé à peu près la même somme que la chausseuse mais obtient deux fois moins. Allez comprendre. Dans ces conditions, c’est forcément tabou.

C.F.

Nous n’avons pas pu joindre le magistrat qui préside la commission d’indemnisation car il est en déplacement.

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Nous nous sommes procuré quelques montants d’indemnisation que nous vous livrons :

Secteur Vesle

Rondissimo : 10.000 euros
Pharmacie Champenoise : 5.000 euros
L’Aigle d’Or : 4.400 euros et 2.300 euros
Clinique Rasoirs : 3.000 euros et 1.000 euros
Dolce Vita : 34.000 euros
Pharmacie Kauffmann : 4.600 euros
Aux Bleuets : 21.000 euros
Ligne Roset : 5.000 euros
Rondissimo (3e dossier) : 8.200 euros
Institut Michelle Defrance : 4.000 euros
Enolise : 3.100 euros

Secteur Langlet

Podolinea : 11.000 euros
Artistic : 7.000 euros
Gérard Darel : 3.500 euros
Oliviers and Co : 9.000 euros
Le Jockey : 5.000 euros
Salon Mesch’hair : 3.300 euros
Jacquet Décoration : 3.600 euros
W Boutique : 3.000 euros
Monceau Fleurs : 9.500 euros.
Casanova : 6.000 euros

Secteur Laon

La Corne d’Or : 2.600 euros
Coco Boutique : 7.000 euros
Station BP : 2.000 euros
New Art : 2.000 euros
Jardin Fleuri (2e dossier) : 14.500 euros
Krys : 14.000 euros
Chic et Troc : 2.200 euros
C et D Photo : 2.200 euros
Happy Street : 3.000 euros
Lingerie Schmitt : 3.500 euros
Lilian’B : 3.600 euros
Hyundai : 16.300 euros
Boulangerie Hennig : 4.500 euros
Auto-école Pont de Laon : 2.000 euros
Speed Rabbit Pizza (2e dossier) : 5.500 euros
Bar des Amis : 4.000 euros
SA Digrazia : 8.700 euros
Le Coin des Crêpes : 3.000 euros
Informatiq’Discount : 15.000 euros
Hôtel Le Parisien : 8.500 euros
Boulangerie Darcq : 10.000 euros
Le Kilensandra : 2.500 euros
Ada Locations : 20.000 euros
Kebab Ali Baba : 1.500 euros
Boulangerie De Baets : 16.000 euros
Intérieurs Création : 9.000 euros
Hôtel Porte Mars : 14.500 euros
Feeling Féminin : 5.500 euros
Laforêt Immobilier : 10.000 euros
Tchip coiffure : 6.000 euros
Eurl Bison : 8.000 euros
Speed Rabbit Pizza (3e dossier) : 7.700 euros
Comme Chien et Chat : 400 euros
Dragon d’Or : 10.000 euros
Meubles MRM : 16.000 euros
$Le Kebab Doré : 16.800 euros
Boulangerie Richez (2e dossier) : 3.300 euros
Pharmacie Nouvelle : 15.700 euros
Lilian’B (2e dossier) : 2.500 euros
Amandine Boutique : 9.500 euros
Salon Créa’tif : 2.400 euros

Secteur Croix-Rouge

Quick : 23.000 euros et 30.000 euros
Amira Boutique : 4.000 euros
Mod’l : 2.500 euros
Pharmacie Croix-du-Sud : 7.800 euros

Autres secteurs

Sarl Rasmey-Sorya (Général-Leclerc) : 5.000 euros
Boulangerie Kharraz (Orgeval) : 4.000 euros

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Journal « l’Union » - 091020c

Croix-Rouge/Hauts-de-Murigny : réunion du conseil de quartier

La prochaine réunion du Conseil de quartier Croix-Rouge/Hauts-de-Murigny se déroulera mardi 27 octobre à 19 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

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Journal « l’Union » - 091020b

Multi-Echanges services : Du dépannage à l’amitié

Le public s’est montré intéressé par les rapports de la présidente, de la secrétaire et du trésorier.
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L’association Multi-Echanges-services (MutES) a tenu son assemblée générale samedi, à l’espace Billard de la maison de quartier. La présidente, Martine Massart, a accueilli le collectif Croix-Rouge accueil, la maison de quartier, les associations 2 Mains et Rencontres internationales de Reims, l’union des locataires de Croix-Rouge et le centre de soins, ainsi que Nicaise Rousseaux, curé de Croix-Rouge, et trois élus, Éric Quénard, premier adjoint, Michel Guillaudeau, conseiller régional, et la conseillère municipale, Saïda-Soumaya Berthelot.

MutES est basée sur le principe « une heure de service donnée, c’est une heure de service reçue » gratuitement, de particuliers à particuliers.

Charles Santini, fondateur de l’association en 1988, donnait comme exemple un étudiant qui, en échange du lessivage-repassage de ses chemises, assurait du soutien scolaire à l’enfant de la famille. Mais on échange également du bricolage contre un cours d’anglais, des leçons d’informatique contre du jardinage, de l’aide administrative contre une garde d’enfants, et toutes autres combinaisons, car tout le monde a des compétences à proposer !

Au-delà du dépannage réciproque, « les services deviennent réguliers dès que chacun connaît la valeur de l’autre et que la confiance s’établit entre les personnes. Ils se transforment souvent en liens d’amitié », expliquait Geneviève Pezzotta, secrétaire.

Certes, tout n’est pas rose : « On demande parfois un service à la MutES en oubliant le mot « échange »… » et Éric Quénard faisait apparaître un paradoxe : « Avec la crise du bénévolat et avec l’explosion des problèmes liés à la crise, dans une période où l’on a besoin de plus de solidarité et de fraternité, on a le sentiment d’avoir du mal à faire fonctionner les valeurs fortes d’échange de la MutES ! »

Mais les adhérents restent optimistes : « Nous constatons un réel besoin de rencontre, de convivialité, de solidarité. La MutES a toujours sa raison d’être ! »

Multi-Échanges services, 12/14, rue Pierre-Taittinger (espace Billard). Tél. 03.26.08.08.78. Permanences un lundi sur deux à l’espace Billard.

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Journal « l’Union » - 091020a

Grève des bus : galère dans les quartiers

A l’arrêt de bus de la fac de droit et lettres, à Croix-Rouge, on se bouscule…
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REIMS. Croix-Rouge, Châtillons et les autres : les habitants des quartiers sont les premières victimes des grèves de bus. Hier, la pilule avait du mal à passer pour les clients frigorifiés.

« QUAND on est aide à domicile, on n’a pas le choix, on est obligé d’aller travailler parce que derrière, il y a des personnes âgées qui nous attendent pour manger ou simplement être levées de leur lit. » Nathalie, assise sur son banc à Croix-du-Sud, était exaspérée hier en attendant son bus qui ne venait pas. « Et une de plus… Ça commence à devenir une habitude. Ce matin, j’ai dû aller bosser à pied et là, j’attends depuis une demi-heure. Tout ça pour une grève que, moi, je ne peux pas me permettre de faire, vu ce que je gagne. » Pour travailler, elle se déplace d’un client à l’autre à travers la ville, toujours en bus.

Adja, 19 ans, étudiante en droit, attend depuis un bon moment en face de la fac de droit et pourtant elle prend ça à la cool. « Je ne sais pas exactement pourquoi ils font grève mais c’est leur droit. Je vais juste mettre un peu plus de temps pour rentrer chez moi mais je finirai bien par avoir un bus. »

Mohamed est carrément fataliste. « Ce matin, j’ai fait une bonne partie du chemin à pied sans voir le cul d’un bus », explique cet étudiant en éco et gestion, planté comme un I à l’arrêt du H. « Il faut juste prendre son mal en patience. » Un peu avant, dans la matinée, c’est à la force des mollets qu’il a fait le chemin qui sépare son appartement de la place Luton jusqu’à la fac d’éco à Croix-Rouge.

1 h 30 pour aller travailler

Toujours devant la fac, Eugénie et Aurélie se disent solidaires du mouvement. « Je suis venue à pied du centre-ville », explique la première après 35 minutes de marche. « J’ai cours à 17 heures. Je vais devoir m’y prendre une heure à l’avance mais ça ne m’empêche pas de soutenir la grève », prévient la seconde. Tout le monde n’est pas aussi conciliant. « Ras-le-bol et en plus il fait froid. ». Hier, Grégory, travailleur handicapé, a dû marcher 1 h 30 pour aller travailler. Il habite Croix-du-Sud et se rend tous les jours à Saint-Brice-Courcelles pour prendre son poste dans un Centre d’aide par le travail. « Moi, depuis que j’ai un emploi, je n’ai jamais manqué mon travail mais on peut dire qu’on ne me facilite pas la tâche. »

Quand nous croisons Christiane et Claudine, elles poireautent depuis une heure à l’arrêt de bus près de la station essence du quartier des Châtillons. Elles sont toutes les deux aides à domicile. « Je vais devoir appeler une personne que je vois chaque jour pour lui dire que je n’irai pas aujourd’hui. Et ça veut dire que je ne serai pas payée. Pour moi, c’est une perte sèche. J’espère que les grévistes en sont bien conscients. »

Alexandre ROGER

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Grève des TUR : Seulement neuf bus dans les rues

Une délégation de gréviste a été reçue par la direction de Transdev hier matin.
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Neuf bus le matin et neuf bus l’après-midi. 75 % de grévistes tous services confondus : la mobilisation a été encore une fois impressionnante, hier aux Tur. Le mouvement a été particulièrement suivi par les personnels roulants avec 91 % de grévistes. Les employés des Tur étaient appelés à cesser le travail par la CGT, qui a décidé de durcir le mouvement face à la direction du groupe Transdev (exploitant du réseau des Tur), qu’elle juge sourde à ses revendications.

Celles-ci portent notamment sur le report de la mise en service du tram, sur la montée par la porte avant dans les bus et plus globalement sur une amélioration des conditions de travail. « Avec les travaux du tramway, les conducteurs font plus du 4x4 que de la conduite de bus », prévient Jérôme Briot de la CGT, qui dénonce également la détérioration du niveau de la maintenance des bus, mais rien sur les salaires.

Une revendication qui aurait pu être mal perçue par les clients des Tur, quelques jours après cette révélation de Transdev : « Les salaires ont progressé de 5,4 % sur les 20 derniers mois alors que dans le même temps, l’inflation n’a été que de 0,6 % ». Seules deux lignes ont été épargnées par le mouvement d’hier (Y et Z). Que les habitués de ces deux lignes ne se réjouissent pas trop vite car la CGT a déposé un nouveau préavis pour aujourd’hui, concernant ces deux lignes qui ne dépendent pas des Tur mais d’une filiale de Transdev. La direction de l’entreprise annonce qu’il n’y aura aucun bus sur la ligne Y aujourd’hui.

A.R.

Transdev a mis en place un numéro vert pour informer les clients sur l’état du trafic : 0.880.003.038.

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Journal « l’Union » - 091019a

BASKET-BALL / Nationale 1 féminine : Reims ne s’affole pas

A l’image du duel Manon Sinico - Carine Contessi, le RBF n’a pas pu stopper le FCBA.
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L’impact de Carine Contessi à l’aile s’est révélé déterminant.
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A consulter la feuille de statistiques, les chiffres sont impitoyables. Avec une évaluation collective trois fois supérieure (87 à 30), Charleville a outrageusement dominé le derby champardennais face à Reims (69-47).

« Il y avait la place de passer »

« Nous avons géré le match correctement, estime Romuald Yernaux. Nous savions que nous pourrions davantage courir au début qu’à la fin. Nous avons ainsi intensifié le rythme pour nous protéger. » La pénurie de rotations causée par l’absence de Djéné Diawara et les blessures d’Alexia Kusion et Elena Vishnyakova a en effet contraint les Flammes carolos à miser sur une stratégie de harcèlement précoce à laquelle les Champenoises n’étaient manifestement pas préparées.

« Nous n’étions pas prêts dans le premier quart temps, stigmatise Fabrice Lefrançois. Nous avons subi l’agressivité adverse, alors que nous savions qu’une pression serait exercée sur notre meneuse. Nous avons donné des ballons, nous n’étions pas présents en défense. Nous ne pouvons nous en prendre qu’à nous. Pourtant, je pense qu’il y avait la place de passer. » La réaction amorcée en deuxième période s’est toutefois révélée trop éphémère pour faire trembler une équipe ardennaise solidement armée avec ses deux capitaines Carine Contessi (17 points - 7 rebonds - 7 passes décisives) et Sarra Ouerghi (18 points à 75 %).

Après le coup d’arrêt subi au Hainaut, Charleville reste désormais bien calé derrière Dunkerque au classement, tandis que Reims se morfond dans les profondeurs du tableau. Le relégué de Ligue est-il inquiet ? « Nous le serions si nous enchaînions les défaites au complet, répond le technicien champenois. Or, j’attends le retour de certaines joueuses pour donner plus d’équilibre à ce groupe jeune, qui a besoin de temps. Il ne faut pas non plus oublier que nous avons déjà pratiquement affronté tous les favoris. » A quatre-vingts kilomètres d’intervalle, on n’a pas du tout les mêmes préoccupations…

C.G.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 091018c

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7311 du 12 au 18 octobre 2009.

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TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

LIQUIDATION JUDICIAIRE

Par jugement en date du 29/09/2009, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de :

ARCIMEX (SARL), 7 allée des Tourangeaux - 51100 REIMS. N° Registre du Commerce : (B 492 103 718). Activité : Activité de représentation commerciale, négoce, import et export.

Mandataire liquidateur : SCP DARGENT TIRMANT RAULET, (Maître Isabelle TIRMANT), 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.

Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-désigné dans les deux mois suivant la parution au B.O.D.A.C.C

79010


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MARCHE DE TRAVAUX

AVIS D’ATTRIBUTION

1) MAITRE D’OUVRAGE : MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE, RECTORAT DE ACADÉMIE DE REIMS, représenté par le Monsieur le Recteur.

2) Objet du marché : Restructuration du campus universitaire Croix Rouge à REIMS, 57, 57 bis rue Pierre Taittinger.

- Lot 3 - Désamiantage des bâtiments 1 et 8 ;
- Lot 4 - Démolition des bâtiments 1 et 8.

3) ENTREPRISES RETENUES :

- Lot 3 - SAS MIDAVAINE DGCN, Rue Cachera - 59252 MARQUETTE EN OSTREVANT - Pour un montant de 191.039.60 € H.T. ;
- Lot 4 - SA MELCHIORRE, 25 des Aulnes - 54630 RICHARDMENIL - Pour un montant de 176.215,00 € H.T. 4) DATE D’ENVOI A LA PUBLICAITON : 7 octobre 2009.

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MODIFICATION DE STATUTS

Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 5 octobre 2009, le gérant de

L’EURL EUROSUD,
au capital de 7.622,45 €,
29 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS,
R.C.S. REIMS 401 473 608,

a décidé de transférer le siège social de la société du 29 rue Pierre Taittinger, au 2-4 rue des Létis - 51430 BEZANNES.

L’inscription modificative sera faite au R.C.S. de REIMS.

79049


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MODIFICATION DE STATUTS

D.D.M. MACONNERIE
SARL au capital de 1.500 €uros
Siège social :
43 esplanade Eisenhower
51100 REIMS
480 858 208 R.C.S. Reims

Le 15 septembre 2009, L’AGE a décidé de transférer le siège social au 26 rue des Rigoles - 75020 PARIS.

En conséquence la société sera immatriculée au R.C.S. de PARIS.

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Journal « l’Union » - 091018b

Reims / 13e festival de l’écrit « Initiales » : Semer des mots pour mieux vivre ensemble

Des visages rayonnants autour d’Edris Abdel Sayed et Gilbert Soyer.
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La 13e édition du festival de l’écrit « Initiales » a pris une nouvelle dimension : il a été vécu en Champagne-Ardenne avec la Bourgogne et le Nord Pas-de-Calais.

MOMENT très attendu par les participants, la journée « Vivre ensemble le Festival de l’écrit dans la Marne » s’est déroulée à la médiathèque Jean-Falala de Reims, un lieu devenu « le temple » de la manifestation puisque sa directrice, Delphine Quereux-Sbaï, est entièrement dévouée à ce vaste projet. Elle a d’ailleurs été, cette année, la présidente d’un jury qui a reçu 672 textes recueillis dans les structures participantes de la Marne : à Reims, il y a eu l’Afpa, la Maison d’arrêt, les maisons de quartier Cernay-Europe, Châtillons, Croix-Rouge, Epinettes, Orgeval et Wilson ; à Bazancourt, c’était au PAIO ; à Vitry-le-François, les associations Alpha et Chrysalide ont apporté leur concours ; à Châlons-en-Champagne, le centre EPDM a joué le jeu, sans oublier le MAS de Cormontreuil.

Cette rencontre 2009 était interrégionale puisque s’y sont jointes la Bourgogne et la région Nord Pas-de-Calais, avec en particulier, la Direction régionale des services pénitentiaires.

Découvrir et partager

Après l’accueil en musique par le groupe Africaa, des ateliers conduits par des professionnels ont occupé toute la matinée autour de la calligraphie, de l’écriture, de l’expression corporelle et orale, de la langue des signes et du slam.

L’après-midi a été consacré à la remise des certificats aux personnes dont les écrits ont été retenus pour l’ouvrage 2009. Ils leur ont été offerts par Edris Abdel Sayed, coordinateur du Festival de l’écrit et directeur pédagogique régional de l’association « Initiales ».

Des mots sincères

Un choix de textes a été lu et à son écoute, les élus ont exprimé leur vive émotion : parmi eux, Michel Legros pour « Initiales », Nathalie Malmberg pour la Ville de Reims, Marie-Noël d’Hooge pour le conseil régional et Gilbert Soyer pour Jeunesse et Sports.

Parmi les auteurs, quelques phrases à l’oral : « Je suis contente car j’ai créé quelque chose… » ; « J’ai connu le bonheur d’apprendre et de se dépasser… » ou dans le livre : « J’écris pour marcher là où je n’ai jamais mis les pieds »…

Des mots sincères qui ont fait dire aux formateurs : « Ils donnent un sens à notre travail ».

L’édition 2009 d’« Initiales » peut être demandée à la médiathèque Jean-Falala ou à initiales2@wanadoo.fr

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Journal « l’Union » - 091018a

BASKET-BALL / Nationale 1 féminine : Les Rémoises s’enfoncent

Il était bien difficile hier pour Gujaraïdze et les Rémoises de s’extraire de l’étau carolomacérien.
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Les Marnaises n’ont jamais été en mesure de rivaliser avec les Carolomacériennes hier. Inquiétant !

EN s’appuyant sur une entame de match dynamique, les Flammes carolos ont enlevé la première manche de la confrontation régionale hier soir face à des Rémoises qui s’enfoncent dangereusement au classement.

L’IMPACT DES INTERIEURES (25-9)

Fidèle à son habitude, l’équipe ardennaise débutait en trombe, notamment grâce à l’influence d’Ondrejova dans la raquette. Particulièrement adroites aux tirs (8 sur 9), les Carolomacériennes s’offraient déjà quinze points d’avance sur un primé de Wane (17-2, 5e). Sonnées, les Marnaises ne répliquaient que par deux bonifiés de Sinico et Herrscher. Malgré un surcroît d’agressivité, la défense rémoise n’empêchait pas Ouerghi d’affirmer la suprématie du secteur intérieur du FCBA (25-9, 10e).

PLUS EQUILIBRE (44-27)

Plus consistant, Reims infligeait un 9-0 à son hôte. Sous le cercle, le duel tchèque entre Ondrejova et Gujaraidze s’intensifiait sérieusement, mais l’écart grimpait à vingt longueurs devant la faible adresse marnaise (36-16, 15e). La formation de Fabrice Lefrançois profitait alors des imprécisions d’un collectif ardennais aux rotations très limitées par les indisponibilités de Diawara (sélection), Kusion (déchirure au mollet) et Vishnyakova (fracture du pouce). Mais la belle séquence d’Ouerghi (80 % d’adresse) maintenait les Champenoises à distance (44-27, 20e).

L’ECART FAIT LE YO-YO (55-41)

A la reprise, Charleville subissait un passage à vide de presque quatre minutes. Incapables de scorer, les Ardennaises laissaient leurs voisines revenir à onze points (44-33, 24e). Ouerghi handicapée par quatre fautes, le FCBA ne pouvait plus défendre de la même façon. Grâce à un 6-0, Reims était complètement relancé (46-39, 26e). Mais après la concrétisation de deux lancers, Contessi décochait deux primés assommants à quelques secondes du buzzer (55-41, 30e).

EN ROUE LIBRE (69-47)

Cette fois, c’est Reims qui ne trouvait plus la cible. Plus de quatre minutes de mutisme qui renvoyaient l’ancien pensionnaire de Ligue, certes privé de Dieng (sélection), à vingt- quatre points, à l’instant où Ouerghi était éliminée (65-41, 34e). Herrscher stoppait l’hémorragie sur la ligne de réparation, mais Bouderra et Ondrejova conservaient toute leur lucidité en attaque et Wane chipaient des rebonds, si bien que la fin de rencontre ressemblait à un long calvaire pour des Champenoises résignées (69-47).

C.G.

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Journal « l’Union » - 091017a

basket-ball / Nationale 1 féminine : Au pied de la forteresse

Zuzana Gujaraïdze qui invective Floriane Herrscher et Sokhna Licka Sy : le RBF devra jouer l’unité ce soir en terre ardennaise.
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Le derby s’annonce compliqué pour Zuzana Gujaraïdze et le RBF. Mais les Rémoises joueront le coup à fond à Charleville-Mézières.

REIMS se remplume. Après le retour de Jenny Fouasseau la semaine dernière, Emilie Remazeilles a réintégré le groupe depuis quelques jours.

La jeune meneuse rémoise, victime d’une sévère entorse à une cheville, et arrêtée depuis la fin août, a pu participer aux séances d’entraînement de cette fin de semaine. « C’est une rotation pas négligeable sur le poste 1 », se félicite Fabrice Lefrançois, focalisé sur le derby qui attend ses protégées ce soir à Charleville-Mézières.

En effet, Emilie Remazeilles pourra relayer Manon Sinico qui assure l’intérim à la mène en l’absence de Fatou Dieng, retenue par la sélection sénégalaise pour la Coupe d’Afrique des Nations à Madagascar.

« Elles sont qualifiées pour les quarts de finale. Dans tous les cas, la compétition se termine lundi (19 octobre). Si tout va bien, elle devrait être de retour mercredi ou jeudi. Avec un peu de chance, on pourrait être au complet pour la première fois puisque Magali (Mendy) devrait reprendre également », précise le coach rémois.

Savoir défendre

En attendant, le RBF sera encore contraint de « bricoler » face aux voisines carolomacériennes. Les espoirs de succès paraissent infimes contre des Ardennaises impressionnantes de maîtrise, malgré leur dernière et unique défaite chez l’Union Hainaut (68-64).

Lors de ses quatre premières confrontations, le FCBA n’a concédé que 44 points en moyenne. Le RBF aura-t-il les moyens de faire sauter la forteresse ardennaise ? « Ça va être compliqué, reconnaît Fabrice Lefrançois. Mais comme pour tous les matches, on va jouer notre chance à fond. Pas question de tricher. On a des joueuses de qualités. Et si l’on reproduit les quelques phases intéressantes observées contre Rennes en première mi-temps, on peut les accrocher ». Une fois de plus, les chances de succès reposeront sur la capacité à défendre. Le technicien marnais de confirmer : « Plus le score sera élévé, moins on aura de chances de gagner. »

Nicolas ROY

ABSENCES. - Le FCBA sera privé de deux éléments majeurs : Djéné Diawara et Alexia Kusion. La première se trouve à Madagascar avec la sélection malienne, la seconde, victime d’une déchirure à un mollet, ne reprendra pas la compétition avant cinq semaines. Elena Vishnyakova, qui devait compenser ces deux absences, s’est blessée à un pouce jeudi à l’entraînement. La Russe est annoncée très incertaine.

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Journal « l’Union » - 091016e

HALTEROPHILIE / Nationale 1B : Entame difficile

Les Rémois ont connu une entrée en matière difficile à Gennevilliers.

En totalisant 281,40 pts, ils se sont classés troisièmes de cette première triangulaire derrière Comines et Gennevilliers. Au général, ils occupent la 6e place.

Ce week-end, ce sont les demoiselles du RHM qui entrent en scène, toujours en N1B, mais à Blanc-Mesnil où elles affronteront les locales et les Quimpéroises. Aux côtés des expérimentées Stéphanie Liégeois et Abyr Touti, le RHM alignera pour la première fois Marie Chevalier et la cadette Alyson Poiret.

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Journal « l’Union » - 091016d

Florent Baron, un marbrier hors pair : Tailler la pierre, un métier béton

Florent Baron : « Recréer à l’identique en partant d’un morceau ! »
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La pierre, le marbre, le staff… Florent Baron est tombé dedans tout petit. Son père avait installé son entreprise… au fond du jardin !

« Je passais toutes mes vacances à jouer et bricoler dans l’atelier. » Tout naturellement, il s’oriente vers le génie civil au lycée Arago. Mais c’était un peu trop « béton » pour lui. Il préfère le côté artistique.

Il prend la suite de son père et est installé à présent à Saint-Brice-Courcelles, où sortent de ses ateliers, corniches, cheminées, éléments de salles de bains, depuis les choses les plus simples jusqu’aux plus compliquées.

Sauver le patrimoine

« Ce qui me plaît, c’est qu’à partir d’un sac de plâtre et d’un seau d’eau, on arrive à faire des choses superbes. » Ses marbres viennent du monde entier. « En France, les carrières s’épuisent et les coûts d’extraction sont élevés. »

Dès le premier coup de ciseau, il sait comment travailler son bloc de matériau brut : « On le sent, on sait s’il faut se battre avec ou le caresser dans le sens du poil ! »

Il montre un morceau de cheminée en marbre jaune de style « Art nouveau » finement ornementé : à partir de très peu d’éléments (vestiges et photos), il a reconstitué ou entièrement refait celles de la Villa Demoiselle. « Quatre ans de recherches et de travail ! »

S’il en garde une fierté, elle n’est pas personnelle ; c’est plutôt la satisfaction d’avoir contribué à faire revivre un élément du patrimoine de la région.

Son plaisir ? « Faire du beau et savoir que ça va le rester. »

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Journal « l’Union » - 091016c

Formation d’assistantes sociales : Les étudiants manifestent ce matin

Le forum des métiers du social, organisé aujourd’hui par l’institut régional du travail social (lRTS), devrait être animé ce matin.

Les étudiants en deuxième année ont en effet prévu de manifester à 9 h 30 dans les locaux de l’institut, 8 rue Joliot-Curie. Ils seront habillés tout en noir et porteront un masque blanc.

« Nous voulons dénoncer la mort des stages », explique une des représentantes. « Nous sommes en deuxième année et normalement, le 26 octobre, nous devrions entrer en stage. Or sur 46, seulement 6 auront quelque chose. Car cette année, les conseils généraux ne nous proposent rien. Cela signifie, pour nous qui sommes en formation en alternance pour devenir assistance sociale, que sans stage, notre année ne sera pas validée ». C’est donc pour sensibiliser le grand public à cette situation, qui se retrouve aussi au plan national, que les étudiants ont décidé de manifester silencieusement ce matin à l’entrée de l’IRTS, en formant une « haie d’honneur » à l’ouverture du forum.

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Journal « l’Union » - 091016b

Vols à l’arraché

C’est malheureusement un classique aux abords du campus Croix-Rouge…

Mardi vers 20 h 3D, deux étudiantes ont été victimes d’un vol à l’arraché devant les coquilles, rue Pierre Taittinger.

Les faits ont été commis simultanément par deux individus qui ont chacun arraché l’ordinateur portable des jeunes filles.

Les recherches pour retrouver les voleurs sont restées vaines.

Les victimes n’ont pas été blessées mais sont choquées.

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Journal « l’Union » - 091016a

BASKET-BALL / Nationale 1 féminine : Destins croisés

Sarra Ouerghi (à gauche) et Floriane Herrscher pour un rendez-vous… particulier !

Floriane Herrscher et Sarra Ouerghi retrouveront leur ancien club demain. Le derby est lancé.

QUOI qu’on en dise, le « Charleville - Reims » demeure un match pas tout à fait comme les autres. Un rendez-vous vraiment particulier pour la Rémoise Floriane Herrscher et la Carolo Sarra Ouerghi qui jouaient dans le camp adverse la saison dernière.

Comment appréhendez-vous ces retrouvailles ?

Floriane HERRSCHER : « Je n’appréhende rien du tout. C’est un match comme un autre. J’aurai tout de même plaisir à retourner à la salle Bayard, à retrouver l’ambiance et les supporters. Mais ça reste avant tout un match de basket. »

Sarra OUERGHI : « Ce n’est pas la première fois dans la mesure où nous avons déjà affronté Reims en amical. Je suis très motivée, mais l’impact psychologique est moins important. A part l’entraîneur, il reste peu de monde de la saison dernière en face. Mais je n’oublie pas que j’ai progressé à Reims. Sportivement, nous avions atteint notre objectif. »

La notion de derby est-elle présente ?

F.H. : « Apparemment oui puisque tout le monde en parle. Mais personnellement, je n’ai pas plus de pression pour ce match. Il est au même niveau que tous les autres. Derby ou pas derby, c’est à prendre au sérieux et il faudra donner le maximum. »

S.O. : « Il existe une saveur particulière pour moi, car j’ai joué dans les deux équipes. Mais nous nous sommes préparées de la même façon, car la plupart des filles ne sont pas de la région. La seule différence, c’est que nous connaissons mieux les adversaires. »

Le match de préparation (très large victoire du FCBA) a-t-il marqué les esprits ?

F.H. : « Non, il est oublié depuis longtemps. Il faut avancer. Quand nous avons disputé ce match, nous avions repris depuis quinze jours seulement, alors que Charleville se préparait depuis un mois. Nous n’étions pas prêtes collectivement. »

S.O. : « Peut-être. Mais il ne faut pas s’y fier. La configuration est différente. Sans leur meneuse, les Rémoises seront plus solidaires. Il ne faudra pas être laxiste, car elles restent sur un bon match à Rennes. En plus, il nous manquera deux joueuses samedi (Kusion et Diawara). »

Quel portrait pourriez-vous tirer l’une de l’autre ?

F.H. : « Sarra est une joueuse combative, plus dangereuse sous le cercle qu’en périphérie. Son point fort offensif, c’est dos au panier. Et puis, il faut toujours se méfier au rebond. »

S.O. : « Floriane est une bonne intérieure, adroite au tir. Mais je ne veux pas en dévoiler davantage pour ne pas la préparer à ce qui l’attend… »

Recueilli par Nicolas ROY et Cédric GOURE

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L’hebdo du vendredi- n° 139 - 091015c

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 140 - Semaine du 16 au 22 octobre 2009
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« Les voyages de Lefranc, l’aviation »

JUSQU’AU 31 OCTOBRE
« Les voyages de Lefranc, l’aviation »
Des planches de BD signées Jacques Martin et Regric complétées par celles de Fernandez et Wallace.

Médiathèque Croix-Rouge


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Roller N1 : du mieux avant Paris

Les joueurs du RHR ont remporté le derby en disposant de Troyes (7-4).
Grâce à ce succès, les Rapaces sont 3èmes du classement.
Prochaine journée le 24 octobre avec un déplacement chez le leader Paris XIII.


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Basket NF1 : encore diminué

Défaite à domicile par Rennes, l’équipe du Reims Basket Féminin se déplacera ce samedi 17 octobre dans les Ardennes pour y défier Charleville.
Les Rémoises (14èmes), privées de leur meneuse Fatou Dieng, en lice en championnat d’Afrique des Nations avec le Sénégal, ne partiront pas favorites face à des Carolomacériennes en verve : 2èmes et une seule défaite après 5 journées

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Journal « l’Union » - 091015b

Forum des métiers du social

L’institut régional du travail social de Champagne-Ardenne organise son 16e forum annuel des métiers du social, demain dans ses locaux (8 rue Joliot-Curie) de 9 h 30 à 18 heures.

Cette manifestation a pour objectif de mieux faire connaître les différents métiers du social et les formations proposées par l’institut auprès des futurs travailleurs sociaux (lycéen, étudiant, salarié en reconversion) et des professionnels du secteur social en phase de construction de leur projet de formation.

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Journal « l’Union » - 091015a

Animation insolite / Le bibliobus stationne au pays des contes

« La Parolière » a emmené petits et grands à travers le monde.
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L’allée du bus est étroite, mais cela ajoute au côté convivial et bon enfant. Quelques chaises pour les adultes, les plus jeunes sont assis au sol, sur un petit tapis. « Nous avons sélectionné quelques histoires que nous avons le plaisir de partager avec vous » : Martine, Blandine et Anne-Marie, trois conteuses de « La Parolière » ont charmé les petites et grandes oreilles des lecteurs du bibliobus urbain, ce mardi à l’arrêt Mazarin.

André François et Laurence De Angelis, les adjoints du patrimoine de la médiathèque Croix-Rouge, qui accueillent le public, sont satisfaits : l’animation est appréciée, leur bus est plein !

Encore demain et samedi

« Nous avons déjà proposé d’autres actions de ce genre, mais c’est la première fois que les conteuses racontent dans le bus ». Tandis que la pluie cingle les vitres du véhicule, les enfants ouvrent de grands yeux en écoutant l’histoire du petit hippopotame qui… veut perdre du poids !

D’autres arrêts recevront les conteuses : Sainte-Anne demain à 15 heures et Châtillons samedi à 15 heures également. Toujours dans le cadre de la « Semaine Bleue », la médiathèque invite les bénéficiaires du service de portage à domicile à des lectures théâtralisées « L’Ordinairement » par le collectif artistique Eutectic, jeudi 22 octobre de 9 à 12 heures.

Quelques places sont ouvertes au public adulte.

Inscriptions obligatoires au 03.26.35.68.48.

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Journal « l’Union » - 091013h

Echanges

L’association Multi-Échanges-Services (Mutes) organise son assemblée générale samedi 17 octobre à 11 heures, à l’espace Billard de la maison de quartier (12-14, rue Pierre-Taittinger).

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Journal « l’Union » - 091013g

Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier

La Ville a annoncé un beau cadeau pour Noël au Tennis-club de l’Acrap.
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Tennis

L’Acrap a perdu un court de tennis, sacrifié pour les travaux du tramway. Éric Quénard vient d’annoncer la bonne nouvelle :

« En échange, la Ville va réhabiliter durablement l’autre court qui a mal vieilli. C’est promis, tout sera terminé pour le 31 décembre prochain ! ».

Local associatif

« Ouf, ça y est : nous avons pris possession de notre petit T1 à usage associatif ! Nous avons reçu les clés le 1er octobre et allons nous installer petit à petit, avec du mobilier de récupération des uns et des autres », se réjouit Danielle Bonfils, présidente de l’association de locataires du secteur At’Hom (Hauts-de-Murigny) : « Nous avons attendu trois ans, mais l’Effort rémois a tenu ses promesses envers nous et nous allons pouvoir travailler et recevoir le public dans de bonnes conditions. »

Ce local se trouve au 1, allée Yves-Gandon (2e étage porte D) avec ascenseur.

Pays-de-France

Roseline Marandon, présidente du comité de locataires de Pays-de-France, s’impatiente :

« Quand Mme Hazan a reçu en mairie les associations de locataires, elle a promis d’écrire pour revoir le mode de calcul de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères. »

Depuis, c’est le silence radio : « j’aimerais bien savoir si la Ville a reçu une réponse à son courrier et si c’est le cas, j’espère que les associations ne seront pas mises de côté, que nous pourrons travailler ensemble sur ce projet et que nous ne serons pas mises devant le fait accompli comme la première fois ! »

2 Mains

C’est tout frais : Jean-Michel Gauthier, président de l’association Étoile Croix-du-Sud, porte désormais une deuxième casquette, celle de président de l’association 2 Mains. Son vice-président est Michel Voisin, ancien conseiller général maire de Cormontreuil.

Premier projet, déjà bien ficelé : la création d’un lieu de restauration solidaire dans les locaux de l’ancienne Bibliothèque pour tous, avenue Léon-Blum.

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Journal « l’Union » - 091013f

Maison de quartier Croix-Rouge : L’espace Nacelle perd un animateur

Le poste d’animateur jeunesse de Patrick Gobin à la Nacelle ne sera pas remplacé.
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Patrick Gobin, animateur jeunesse à l’espace Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge, est parti.

« Je suis maintenant animateur global à l’espace Poincaré (Orgeval), sous la direction de Frédéric Destannes. Cette proposition m’a été faite par le siège de l’association des maisons de quartier de Reims et je l’ai acceptée comme une promotion. »

Marie-Élisabeth Causin, directrice de la maison de quartier Croix-Rouge, a précisé que le poste d’animateur jeunesse de Patrick Gobin à la Nacelle ne serait pas remplacé.

Patrick Gobin animait l’atelier théâtre « Les chiens de talus » qui proposait tous les ans un spectacle donné au Festival Croix-Rouge : « Mes attaches affectives avec ce quartier sont fortes et j’ai dans l’idée de rendre cette compagnie autonome. Les répétitions pourraient toujours se faire dans les locaux de la Maison de quartier Croix-Rouge. »

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Journal « l’Union » - 091013e

Comment les étrangers perçoivent la ville : Les Rémois froids ou chaleureux ?

Saïd (Iran) : « Un manque de confiance entre les gens ».
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Lotfi (Tunisie) :« Là-bas, tout le monde se dit bonjour ».
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LiYuan (Chine) : « Une ville trop calme ».
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Rosa (Espagne) : « Un accueil chaleureux
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Les étrangers sont d’accord pour dire que Reims est une belle ville. Les avis sont plus partagés sur les Rémois eux-mêmes.

HABITANTS froids ou chaleureux ? Ville plutôt morne ou plutôt jolie ? Climat pénible ou agréable ? Bien sûr, la perception que l’on peut avoir de Reims quand on arrive de l’étranger varie en fonction de nombreux critères : l’âge, le lieu d’origine, ce que l’on vient y chercher…

Ainsi, Kumar, étudiant de 24 ans, arrivé d’Inde, pays fort religieux, voit d’abord Reims comme une ville sainte ou sacrée, à cause des cérémonies intronisant nos rois d’autrefois ; Dias, lui aussi étudiant, mais originaire du Kazakhstan, soulignera plutôt l’aspect « sécurité » de la vie rémoise. Leah, la vingtaine, étudiante et citoyenne britannique, a, pour sa part, surtout noté qu’ici « les boîtes de nuit sont petites ». Alors que Maya, quinquagénaire qui a quitté Dakar (Sénégal) pour la cité des sacres il y a déjà 37 ans, confie : « Ma première impression était celle d’un temps gris et humide, ça se passait en novembre, et des bâtiments gris aussi. Par rapport à d’où je venais, c’était tout le contraire ! »

Personne dans les rues !

D’une façon générale cependant, tous les gens originaires des pays méditerranéens, et plus généralement méridionaux, sont frappés par le repli sur soi, et sur son « chez soi » des Rémois. Ainsi, ce qui a marqué Fatima, 38 ans, qui travaille comme femme relais au sein d’une association, quand elle est arrivée d’Algérie il y a 18 ans, dans le quartier Croix-du-Sud, ce sont « les rues vides ! Des voitures, oui, mais personne dehors, alors que j’étais habituée à la foule dans les rues ». Lotfi, 45 ans, enseignant en droit originaire de Tunisie, va dans le même sens : « Là-bas, tout le monde se dit bonjour, on parle aux autres assez spontanément ; un de mes premiers souvenirs en France, au contraire, c’est un gamin qui jouait dehors et qui était venu vers moi rechercher son ballon ; moi je lui ai fait un bisou tout naturellement, parce qu’on peut dire qu’en Tunisie, les enfants dans la rue sont un peu à tout le monde.

Là, à Reims, ça a fait un scandale ! La maman s’est fâchée : de quel droit est-ce que vous faites ça ? »

Saïd, quinquagénaire restaurateur-traiteur d’origine iranienne, croit déceler une caractéristique - pour ne pas dire un travers - typiquement rémois au niveau de la communication : « Il y a comme un blocage entre les gens, qui vient à mon avis d’un manque de confiance les uns envers les autres ». Bigre !

Mais cet avis n’est heureusement pas partagé par tout le monde. Rosa, mère de famille d’origine andalouse, confie au contraire que « ce qui m’a marquée le plus en arrivant à Reims, c’est l’accueil. Je l’ai trouvé très chaleureux ; j’ai tout de suite rencontré beaucoup d’autres femmes à l’occasion de cafés pris ensemble. »

On peut s’amuser

Ceux qui ont vécu à l’étranger notent encore quelques différences. Sabira, 33 ans, d’origine turque, pays où elle retourne régulièrement pendant les grandes vacances, indique : « En Turquie, on achète tous les jours ses produits frais sur le marché, donc on mange davantage bio qu’en France ».

Sinon, tous nos interlocuteurs s’accordent sur un point : à leurs yeux, Reims est une belle ville. « Je l’avais déjà visitée il y a cinq ans, se souvient Danny de Munich, et je l’avais trouvée intéressante d’un point de vue culturel. »

Et alors qu’il y est revenu il y a une semaine, en tant qu’étudiant, il trouve « que cette impression a été confortée ».

Autre point sur lequel les étrangers (surtout les jeunes) se rejoignent : Reims est une ville paisible, « trop calme » dit même la Chinoise Li Yuan, qui semble déplorer avec ses camarades de l’école supérieure de commerce le manque de distractions.

C’est peut-être qu’ils sont encore mal informés. Car comme le dit Lotfi, déjà cité, « c’est vrai que Reims est une ville bien faite pour les étudiants qui veulent bosser, mais quand on a décidé de s’amuser, on peut aussi très bien le faire ici ! »

Antoine PARDESSUS

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Journal « l’Union » - 091013d

Un audit sur les maisons de quartier

Depuis la fusion des MJC avec les maisons de quartier, force est de dire qu’on ne sait plus trop bien ce qu’est une maison de quartier et à qui ça doit servir.

Il est temps de clarifier les choses dans ce domaine aussi et c’est dans cet esprit qu’un audit a été commandé par la Ville à KPLG.

Objectif : dresser un état des lieux à la suite d’une audition des différentes parties en présence, pour connaître l’attente de la collectivité, des acteurs des maisons et de la caisse d’allocations familiales. L’idée urgente est de proposer aux 10.000 adhérents, et principalement aux jeunes, des projets qui correspondent à leurs desiderata dans des créneaux horaires qui correspondent à leur mode de vie. Le tout dans le respect de l’autonomie de la vie associative.

Délicat challenge.

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Journal « l’Union » - 091013c

Menace sur l’école de police

L’école de police de Reims, forte de 75 salariés, est-elle menacée, comme une rumeur l’a laissé entendre samedi place d’Erlon lors de la journée de la Sécurité intérieure ?

Si la responsable, Nathalie Bernard-Guelle, confirme bien qu’en 2009, huit petits centres de formation de la police seront fermés en raison de la baisse de recrutement, l’école de Reims n’est pas à court terme menacée.

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Journal « l’Union » - 091013b

ROLLER HOCKEY / Nationale 1 : Le RHR maître du palet

Les Rapaces ont évité le piège tendu par les Diables de Troyes. Il ne fallait pas arriver en retard, car le jeune Duplant ouvrait le bal pour Reims dès la troisième minute d’un lancer lointain. Ce dernier était imité dans la foulée par son coéquipier en équipe junior, Fayault, qui reprenait victorieusement de volée devant le but pour sa première réalisation en N1 (4’20).

Les Troyens ne se laissaient cependant pas distancer trop rapidement grâce à Deroin en contre (6’01), et recollaient à la marque quelques minutes plus tard par Duchamp (2-2, 11’25). La réaction rémoise était immédiate et Karsenty replaçait les siens en tête (11’46).

Les joueurs de Laurent Lexcellent se procuraient un nombre conséquent d’occasions, sans toutefois parvenir à concrétiser leurs moments forts. Le score n’évoluait plus jusqu’à la pause.

Au retour des vestiaires, le RHR gardait la maîtrise du palet, mais Deroin profitait d’un oubli derrière la cage des locaux pour inscrire un but plein de malice (30’35).

Supériorité numérique

Cela ne bouleversait toutefois pas le cours du match, même s’il fallait attendre huit minutes pour voir Karsenty redonner une unité d’avance aux siens (38’38).

Mais Duchamp ne laissait pas le temps aux visiteurs de douter sur un shoot en pivot (4-4, 39’28). Le sort de la rencontre allait être définitivement scellé sur une supériorité numérique, car Tarte, en puissance, trouvait le fond du filet (43’15), tout comme Godefroy (43’21 et 49’58).

Une victoire attendue pour les hommes du président Bock, qui ont globalement maîtrisé leur sujet et dont les nouvelles lignes semblent déjà prometteuses.

De bon augure avant un déplacement dans quinze jours chez le leader Paris XIII, invaincu, mais suivi de près par les Rapaces, à trois points.

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Journal « l’Union » - 091013a

APPEL À LA CONCURRENCE

Relatif au désenfumage et à la mise en conformité des installations de sécurité incendie à l’école nationale de police

13, avenue du Maréchal-Juin - 51100 Reims

Marché à procédure adaptée

(Article 28 du Code des marchés publics)

1. Nom du pouvoir adjudicateur : secrétariat général pour l’administration de la police (SGAP) Est, direction de l’administration générale et des finances, bureau des marchés publics, espace Riberpray, place du Pontiffroy, B.P. 51064, 57036 Metz cedex 01. Personne à contacter le cas échéant : Monsieur Norbert KEIp, tél. 03.87.16.12.49.

2. Objet de la modification : la date limite de réception des offres fixée initialement au 15 octobre 2009 à 11 heures est reportée au 3 novembre 2009 à 11 heures en raison :

- du rajout : d’un additif commun à chaque CCTP ; d’un plan d’implantation du SSI et du désenfumage en fonction de l’état existant pour les lots 01 "Electricité - Courant fort - Courant faible" et 02 "Gros œuvre - Désenfumage" (plans des niveaux et de la toiture) ; d’un plan modificatif du sous-sol (concerne uniquement le lot 02 "Gros œuvre – Désenfumage".

- De la modification du cadre de décomposition du prix global et forfaitaire du lot 01 "Electricité - Courant fort - Courant faible" avec des quantités en moins. .

3. Date d’envoi de l’avis rectificatif au BOAMP et au journal L’UNION : 9 octobre 2009.

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L’hebdo du vendredi- n° 139 - 091012c

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 139 - Semaine du 9 au 15 octobre 2009
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Croix-Rouge a son journal

A l’image de l’Hebdo du vendredi, le journal l’Union lance à son tour son hebdomadaire, payant et exclusivement à destination des habitants du quartier Croix-Rouge.
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Depuis deux semaines, le plus grand quartier rémois a le privilège de posséder son propre hebdomadaire baptisé « L’Hebdo Croix-Rouge ».

Dans les cartons depuis deux ans, la sortie dans les kiosques de « L’Hebdo Croix-Rouge » est aujourd’hui une réalité avec la parution du premier numéro qui a eu lieu mercredi 30 septembre dernier.

Tout en couleur, cet hebdomadaire a été créé par le quotidien régional « l’Union ». « Nous n’avions pas la place de relayer toutes les informations relatives à ce quartier » explique Guilhem Beauquier, directeur de la rédaction. « Partant de ce constat et du fait que Croix-Rouge compte plus de 20 000 habitants, nous avons réfléchi à un produit adapté ».Voilà rapidement pour la genèse.

Gratuit pendant quatre semaines, « L’Hebdo Croix-Rouge » sera ensuite vendu pour la modique somme de 10 centimes d’euros. « Car tout travail mérite salaire » justifie le directeur de la rédaction. Si ce nouveau journal sera donc payant, la filiation avec son grand frère « L’Union » s’arrête là.

Bien plus menu, huit pages, l’hebdomadaire entend traiter exclusivement l’actualité « positive » du quartier. Amateur de faits-divers et d’histoires sordides, mieux vaut passer votre chemin.

Pour s’occuper de son dernier-né, « L’Union » a volontairement recruté un habitant du quartier. Chose étrange, il n’y a eu qu’une seule candidature pour ce poste, celle de Thierry Accao Farias. « Quand j’ai eu connaissance du projet, j’ai tout de suite été intéressé » raconte le jeune homme de 32 ans. Vivant depuis toujours dans le quartier Croix-Rouge, il travaillait jusqu’alors pour l’association Eutectic, tout en écrivant des chansons et des critiques de disques. Formé pendant un an au sein de la rédaction du journal « L’Union » de Reims, Thierry Accao Farias s’est vite trouvé comme un poisson dans l’eau. « On a eu de la chance de tomber sur lui » avoue Guilhem Beauquier. « C’est exactement le type de journaliste que l’on souhaitait ».

Cas unique en France, une publication de quartier créée par un journal régional, « L’Hebdo Croix-Rouge » s’apparente donc à une expérience. En effet, dans un contexte difficile pour la presse-papier en général, les dirigeants de « l’Union » semblent davantage viser une réussite journalistique plutôt que commerciale, avec dans l’idée de bénéficier d’un retour positif en termes d’image.

J. D


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HIPPODROME DE REIMS : Où est le problème ?

La Ville de Reims souhaite remettre en cause le bail signé par l’ancienne municipalité juste avant les élections de mars 2008, bail la liant jusqu’en 2017 à la Société des courses de Reims pour l’utilisation de l’hippodrome. La raison invoquée : il serait illégal..
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La municipalité et la Société des courses de Reims se rencontreront le 20 octobre. Les deux parties trouveront alors peut-être un terrain d’entente évitant ainsi une bataille juridique.
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La Ville souhaite remettre en cause le contrat signé entre la Société des courses de Reims et l’ancienne municipalité qui, selon elle, serait « illégal ».

Il y a des sujets qui, dès qu’on en parle, suscitent la polémique et fâchent. L’hippodrome en fait partie ! Alors, quand Serge Pugeault, adjoint à la maire de Reims en charge du développement économique et des grands projets, a évoqué le champ de course, lors du dernier conseil municipal, le débat a vite tourné à la foire d’empoigne. Il faut dire que l’élu n’y est pas allé avec le dos de la cuillère, jugeant le contrat liant la Ville et la Société des courses de Reims « illégal et déontologiquement limite ». Le bail en question, dont le précédent arrivait à terme en 2010, a été signé à la veille de l’élection municipale, le 3 mars 2008, par Jean-Louis Schneiter. Il donne à la Société des courses de Reims le droit d’utiliser les 17 hectares de l’hippodrome jusqu’en 2017 et ce pour 1 500€ par an. Cette décision a un mérite : permettre à l’association, qui emploie six personnes à l’année et 50 autres, les soirs de course, de pouvoir continuer sereinement son activité. Serge Pugeault reproche notamment à l’ancien maire « qu’aucune délibération en conseil municipal concernant cette décision n’ait eu lieu ». De son côté, Michel Guillaudeau, élu communiste, a, lui dénoncé le montant du loyer, « moins cher qu’une chambre du Crous universitaire et non révisable ».

Loyer modeste mais plus aucune subvention

Devant toutes ces attaques, la Société des courses de Reims a tenu à réagir par la voix de son président Gilles Jéziorski.

Extraits :

« Je m’étonne que cette affaire sorte en conseil municipal alors qu’un rendez-vous avec la mairie est prévu le 20 octobre (…) Comme la ville, nous avons demandé à un cabinet juridique d’étudier la validité du bail. Pour lui, tout est légal car nous sommes dans un domaine privé dans la mesure où l’entrée est payante et que l’organisation des courses hippiques ne relève pas d’un service public (…). Quand j’entends dire que le bail est illégal, ça me fait sourire. Sil le faut, nous irons devant le tribunal même si je ne le souhaite pas (…). Si le loyer est aujourd’hui de 1 500€, il faut rappeler que jusqu’en 2008, la Ville nous versait une subvention de 100 000 € pour l’entretien des 17 hectares. Ce n’est plus le cas et personne n’en a parlé (…). Les Domaines estiment que le loyer devrait être de 15 000€. Sur le principe, nous sommes d’accord. Nous souhaitons trouver une solution harmonieuse ».

Devant tous ces éléments, une question se pose : quel est le véritable enjeu ? La municipalité souhaite-t-elle récupérer ce terrain de 17 hectares en plein cœur de la ville et dont la valeur foncière est estimée à près de 30 millions d’euros ? Si tel est le cas, il faudrait effectivement résilier le fameux bail et pour cela proposer une autre solution aux locataires des lieux.

Un nouvel hippodrome ? La Société des courses de Reims y est largement favorable.

D’ailleurs, un projet de déménagement sur un terrain de 21 hectares appartenant à la commune de Bezannes dort depuis plusieurs années dans les cartons de la mairie. Son coût est estimé à au moins 15 millions d’euros.

Si ce transfert aurait le mérite de satisfaire tout le monde, à l’heure actuelle, personne, ni la Ville ni la Société des courses, ne semble vouloir mettre la main à la poche.

Julien Debant


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« Les voyages de Lefranc, l’aviation »

JUSQU’AU 31 OCTOBRE
« Les voyages de Lefranc, l’aviation »
Des planches de BD signées Jacques Martin et Regric complétées par celles de Fernandez et Wallace.

Médiathèque Croix-Rouge


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Roller N1 : place au derby

Au repos la semaine dernière, les Rapaces accueilleront ce samedi 10 octobre, à 20h au gymnase François Legros, leurs voisins troyens.

Promue cette saison en N1, l’équipe de Troyes ne compte encore aucune victoire à son compteur.


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Basket N1 F : apprivoiser René Tys

On savait que le Reims Basket Féminin allait vivre un début de championnat difficile. Le groupe est jeune et les blessures n’ont pas épargné un effectif limité. Si bien qu’après trois matches de championnat disputés, l’équipe première du club présidé par Bernard Lavergne semble naviguer à vue.

Les deux défaites subies à René Tys, face à Dunkerque (59-73) puis Laveyron (59-68), ont confirmé la fragilité de la formation rémoise, qui semble ne pas supporter la pression à domicile.

Heureusement, entre-temps, le succès obtenu à Nice (72-82) a redonné du baume au cœur. Et aujourd’hui, les joueuses blessées retrouvent le chemin des parquets. Suffisant pour vaincre leur prochain adversaire, Rennes ? Rien n’est moins sûr. En effet, les Bretonnes (4èmes) semblent posséder un collectif mieux huilé. Certes elles restent sur deux défaites, face à Lyon (3ème) et l’Union Hainaut (5ème), mais leurs deux victoires acquises précédemment face à des formations de milieu de tableau, Pleyber Christ (7ème) et Val de Loire (8ème), situent leur niveau.

RBF-Rennes, samedi 10 octobre à 17h au complexe René Tys.

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Journal « l’Union » - 091012b

Une charte pour fixer les relations entre la Ville et les associations : Les règles du jeu ont changé

Pascale Martin (ci-contre) a piloté le projet avec une trentaine d’associations.
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Il a fallu six mois de concertation. Désormais, une charte régit les rapports entre la Ville et le monde associatif.

« LE bien vivre dans la ville passe par les forces vives du monde associatif. C’est pour cela que nous avons voulu la création d’une charte de la vie associative car il était nécessaire de remettre à plat des règles du jeu pour le moins floues et d’avoir des objectifs partagés. Désormais, les associations auront un interlocuteur unique avec la Ville. Et pour 2010, malgré les difficultés budgétaires, nous avons décidé d’augmenter de 1,2 % le montant de l’enveloppe attribuée aux associations. »

Une logique de partenariat

Entourée d’une petite centaine de responsables d’association, la maire Adeline Hazan a présidé hier à la présentation de la charte de la vie associative appelée désormais à régir les rapports entre la Ville et les 7 à 800 associations rémoises.

Comme l’a expliqué Pascale Martin, adjointe chargée de la vie associative, « il fallait sorti r de la relation d’interdépendance financière pour arriver à une logique de partenariat et de projets partagés ». Durant près de six mois, une trentaine d’associations ont planché pour établir les bases de la charte, huit s’attachant ensuite à la mettre en écriture. Le résultat se présente sous la forme d’une charte éthique dans laquelle on trouve la liste des valeurs et principes partagés et les engagements des différentes parties, « la Ville, reconnaissant le mouvement associatif comme un interlocuteur pertinent, partenaire de réflexion, de concertation qui favorise une meilleure définition des politiques locales publiques, conforte le développement de la vie associative avec la création d’un observatoire de la vie associative et développe la vie locale et l’animation de la cité ».

Un guide

Vieux réflexe, les responsables associatifs iront sans doute vite consulter les huit pages du guide pratique de la charte qui leur indique comment avoir des subventions, comment demander du matériel, organiser une manifestation sur la voie publique, louer un local ou une salle, obtenir une autorisation de buvette et mieux communiquer. Les demandes sont à déposer d’urgence à la direction des relations avec les citoyens et de la démocratie locale qui les ventilera aux délégations thématiques (vie étudiante, culturelle, sportive, sociale et sanitaire). Un conseil de la vie associative sera chargé de suivre le dossier. Un site internet devrait voir le jour pour mettre en place un calendrier commun des événements des associations et obtenir de la documentation. Pour la mutualisation des moyens par un secrétariat des associations, la maire a dit qu’« un groupement d’employeurs pourrait être la solution  ».

Alain MOYAT

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Journal « l’Union » - 091012a

BASKET / Nationale 1 féminine : En attendant des jours meilleurs

Jenny Fouasseau, opposée ici à l’ancien de Saint-Jacques Yvette Asilaméhou, a réussi une bonne rentrée.
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40 balles perdues, seulement 12 passes décisives, 47 fautes et une adresse moyenne de 36 %… ! Quand on cumule le rendu statistique de la confrontation entre Rémoises et Rennaises, on comprend vite que l’on était très loin de la soirée de gala samedi à René-Tys.

« C’est clair, ce n’était pas du grand basket, lâchait Frédérique Prud’homme, la coach bretonne bien heureuse et soulagée d’une issue finalement favorable pour sa troupe. « Reims a voulu fermer le jeu », soulignait-elle comme pour se dédouaner. De son côté, Fabrice Lefrançois assumait.

Condamné à bricoler

Toujours en manque de rotations, et surtout privé de sa meneuse titulaire (*), le technicien marnais n’avait guère le choix. Il savait que la seule chance de victoire passait par un travail de sape. Et cela a failli payer.

Repliées derrière leur zone, les Rémoises ont fait déjouer Yvette Assilaméhou (l’ex-Jacquiste) et ses coéquipières en première période. Sans adresse (seulement 27 % de réussite), les protégées de Frédérique Prud’homme tombaient dans le piège. Le RBF se frottait les mains et menait de 8 points à la pause (32-24). « Notre deuxième mi-temps a été meilleure, notre agressivité défensive nous a permis de développer plus de jeu rapide. On a provoqué les fautes », rappelait l’entraîneur rennaise.

Des fautes que Fabrice Lefrançois a estimées plutôt sévères. « On s’est fait sanctionner quand les filles en face ont commencé à se plaindre. Trois de chez nous sont sorties pour cinq fautes alors que l’on défendait en zone. Forcément, sans rotations, on manque de solutions à la fin », regrettait-il tout en soulignant le bon retour de Jenny Fouasseau (8 points et 6 d’évaluation) et les progrès de « Zuzi » Gujaraïdze. En attendant des jours meilleurs et un groupe au complet, le coach devra continuer à bricoler.

Nicolas ROY

(*) Après les Jeux de la Francophonie à Beyrouth, Fatou Dieng disputera la Coupe d’Afrique des Nations à Madagascar avec la sélection sénégalaise. La meneuse rémoise sera donc absente samedi pour le derby à Charleville-Mézières.

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Journal « l’Union » - 091011a

Au parc des expositions : leurs atours : Le programme des animationsu

À l’occasion du Forum des associations, organisé encore aujourd’hui au parc des expositions, de nombreuses animations sont prévues. En voici le programme.

Développement durable

Dans le hall 1, l’espace de la Ville de Reims et de Reims Métropole sera dédié au développement durable et à toutes les actions écocitoyennes des deux collectivités et de leurs partenaires. Présentation de l’agenda 21 de la Ville.

Projections

Le film « Home » de Yann Arthus-Bertrand sera projeté à 15 heures. D’autres films ou animations seront proposés avant et après, de 14 à 15 heures et de 16 h 30 à 19 heures.

Hall 3, Henri-Guillaumet (entrée C).

À 14 h 30, danses folkloriques par le groupe des Portugais de Reims.
A 15 h 05, défilé en robes traditionnelles par l’association des Travailleurs maghrébins de France.
À 15 h 25, percussions africaines avec Art et culture de l’Afrique de l’Ouest.
À 16 heures, chant Gospel par the flames Gospel Choir.
À 17 h 10, danses et musiques bretonnes par Kevreen Ker Ar Roué.
À 17 h 45, danses folkloriques par l’association culturelle sportive folklorique portugaise Lusitania.

Sports en extérieur

De 14 heures à 14 h 45, avec le base-ball club de Champagne concours initiation lancée de balle : « Mesurer sa vitesse de balle avec radar ».
De 15 heures à 15 h 30, animation roller de vitesse avec le Reims patinage de vitesse.
De 15 à 17 heures, parcours d’apprentissage de comportement à vélo en ville avec vel’oxygène.
De 15 h 45 à 16 h 15, flag foot avec les King’s.
De 16 h 30 à 17 h 30, démo de roller et de hockey avec le roller hockey Reims.

Sports en intérieur

Dans la zone A.

De 14 heures à 14 h 30, danse artistique sur roller avec le roller club rémois.
De 15 h 45 à 16 h 45, démonstration de danses standards et latines avec le club de danse sportive.
De 16 h 50 à 19 heures, tennis avec la ligue de Champagne-Ardenne, le comité Marne tennis, Reims Europe club 89, le TC André et le tennis club.

Dans la zone C.

De 14 heures à 14 h 20, Viet vo dao avec l’Acrap.
De 14 h 25 à 14 h 40, taekwondo avec Daehan taekkwondo.
De 14 h 45 à 15 heures, mini-cours de gym avec Accgea.
De 15 h 10 à 16 heures, jiu-jitsu traditionnel avec l’association artistique culturelle marnaise.
De 16 h 10 à 16 h 20, penchak silat avec AS Franck Roppers.
De 16 h 30 à 16 h 45, démonstrations de yoseikan Budo avec Ryba.
De 16 h 50 à 17 h 10, Aïkiryu par l’académie rémoise d’Aïkiryu.
De 17 h 15 à 17 h 45, gym ballon et gym posture par Elo forme et détente.
De 17 h 50 à 18 h 10, muaï thai par face à face.
De 18 h 15 à 19 heures, démonstration art martial chinois énergétique (avec armes factices et sans arme) par le Mei hua zhuang.

Zone D.

De 16 à 17 heures, haltérophilie, démonstration du geste technique de l’arraché par le Reims haltérophile musculation.

Zone E.

De 15 à 16 heures, danses diverses de l’Acrap.
De 16 h 45 à 17 heures, gym ballon par Elo forme et détente.
De 17 h 10 à 17 h 30, majorettes par l’Acrap.
De 17 h 40 à 18 heures, capoeira par l’As Capoeira de Reims.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » - 091010c

Les décisions des élus : Au fil du conseil

Au cours de sa dernière réunion, le conseil municipal a pris de nombreuses décisions (lire aussi nos éditions précédentes).

130 000 € pour les maisons de quartier. Une subvention de 130 620 € a été attribuée à l’association des maisons de quartier dont 2 500 € pour l’inauguration de la maison de quartier des Trois-Piliers, 7 500 € pour un projet de Noël par la maison de quartier Jean-Jaurès, 4 500 € pour initier un lieu de ressource pour l’émergence de projets culturels (sic), 4 500 € pour un projet d’actions dans le domaine des musiques actuelles proposé par le réseau Pôle sud musique et 4 472 € pour des animations dans le cadre de Reims Vital Ado.

80 000 € pour la Sève et le Rameau. Elle gère depuis plus de vingt ans un Foyer d’accueil de vie de 22 places pour des adultes souffrant d’un handicap physique. L’association La Sève et le Rameau a besoin d’argent pour son projet d’extension/ restructuration de ses locaux et de création d’un foyer d’accueil spécialisé estimé à 4,78 M€. Les élus ont accepté que la Ville prenne 80 000 € de dépenses à sa charge payés sur deux exercices (sous réserve d’ouverture de crédits au prochain budget 2010) pour l’équipement domotique de l’ensemble, la salle de kinésithérapie, la salle de soins, la cuisine et la lingerie ainsi que l’achat de lits médicalisés.

37 500 € pour aider les jeunes. La Ville participera à concurrence de 37 500 € (25 % de plus qu’en 2008) au fonds local d’aide aux jeunes de 18 à 25 ans qui rencontrent des difficultés d’insertion sociale et professionnelle. Le Département apporte le reste au titre de ses compétences.

35 000 € pour Intercampus. La Ville entend soutenir les initiatives étudiantes. Elle octroie 35 000 € à Intercampus (12 500 € de plus que l’an dernier) pour plusieurs événements dont une journée solidarité « Raconte-moi la fac », campustival, l’animation des campus à la rentrée des facs, la soirée Noctampus etc.

60 000 € pour le Crous. Afin de « favoriser une vie étudiante de qualité à Reims », la Ville accorde 60 000 € de subventions au Centre régional des œuvres universitaires et scolaires (Crous).

Aide à l’office des sports. Afin de permettre à l’office des sports de la ville d’avoir toujours une secrétaire à mi-temps, la Ville octroie 11 483 € à cette association (soit 80 % du montant du salaire).

110 000 € pour Reims scènes d’Europe. Pour la seconde édition de Reims scènes d’Europe parrainée par Umberto Ecco qui proposera aux Rémois un festival pluridisciplinaire (théâtre, danse, musique, opéra, spectacle jeune public, cirque, expo d’art contemporain), la Ville a voté 110 000 € de subventions dont 64 000 € à la Comédie, 12 000 € à Nova Villa, 10 000 € au Manège, 10 000 € au Frac, 6 000 € à Césaré, 5 000 € à la Cartonnerie et 3 000 € à Djaz 51.

22 700 € pour le cinéma. Une subvention de 22 700 € est attribuée aux cinémas Opéra et Gaumont pour l’opération « Un automne au ciné » prévue du 15 au 21 novembre qui proposeront des places au tarif de 4 € sur toutes les séances de la journée dans chaque cinéma. La subvention correspondra à une aide de 2 € pour 11 350 places.

Nouveau directeur à la Rems. L’ancien directeur de la Régie des équipements municipaux sportifs n’a pas accepté les nouvelles conditions de rétribution que lui imposait la Ville. Il a été licencié. Pour le remplacer, c’est Francis Assailly qui a été désigné sur proposition de la maire.

Son salaire coûtera 40 % de celui de son prédécesseur a dit l’adjointe aux sports Christine Michel en réponse à Jean-Marc Roze (UMP).

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Journal « l’Union » - 091010b

Echanges

L’association Multi-Échanges-Services (Mutes) organise son assemblée générale samedi 17 octobre à 11 heures, à l’espace Billard de la maison de quartier (12-14, rue Pierre-Taittinger).

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Journal « l’Union » - 091010a

BASKET / Nationale 1 féminine : A la recherche du temps perdu

Marlyse Bourdeau.
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Remi WAFFLART
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Après la défaite amère contre Laveyron à domicile (59-68), et en raison du match décalé contre le Centre fédéral qui se disputera finalement le 4 novembre à l’Insep, Fabrice Lefrançois disposait de 15 jours pour tenter de corriger le tir et rattraper le temps perdu suite à la reprise tardive au mois d’août.

« Il fallait gérer l’après Laveyron, mettre les choses au clair. Le groupe vit bien, ce n’est pas le problème. Mais on a beaucoup de travail pour améliorer le collectif », confie le coach du Reims basket féminin.

« On va bricoler »

Malheureusement, il n’a pas pu en profiter pleinement. D’abord, il était privé de sa meneuse, Fatou Dieng, retenue par la sélection sénégalaise pour les Jeux de la Francophonie et éventuellement la Coupe d’Afrique des Nations. Ensuite, Manon Sinico, l’une des cadres du groupe, désignée pour assurer l’intérim à la mène, a manqué les séances d’entraînement pendant une semaine à cause de soucis de santé. Autant de difficultés qui s’ajoutent aux convalescences des jeunes Magali Mendy et Emilie Remazeilles. Jenny Fouasseau fait quant à elle son retour à la compétition ce soir.

Bref, une situation guère confortable à l’heure d’accueillir des Rennaises ambitieuses qui restent sur deux défaites consécutives (Lyon et Union Hainaut) après deux succès (Pleyber-Christ et Tours). « C’est une équipe très athlétique avec des intérieures qui jouent comme des extérieures », souligne Fabrice Lefrançois qui le reconnaît : « On va bricoler et essayer de faire des coups pour les deux prochains matches, Rennes et Charleville. J’espère récupérer tout le monde dans deux ou trois semaines ».

N.R.

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Journal « l’Union » - 091009d

Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier

Mohammed El Haddaoui démarre l’alphabétisation à l’Atmf.
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Alphabétisation

Les inscriptions à l’atelier alphabétisation (action pour les femmes) de l’association des Travailleurs maghrébins de France seront reçues au local associatif du 6, allée des Picards (03.26.36.68.43.).

Ces cours auront lieu tous les lundis et jeudis de 14 à 16 heures. « L’objectif de cette action en direction des femmes étrangères est de briser leur isolement et de favoriser leur intégration et leur accès à la citoyenneté », précise Mohammed El Haddaoui, président de l’ATMF.

Subventions

Au cours de la réunion du conseil municipal du 28 septembre, des subventions ont été attribuées à des associations du quartier : 5000 euros à l’association Étoile Croix du Sud, 8000 euros à l’association des Travailleurs maghrébins de France (Atmf), 5000 euros à l’association pour la promotion de Pays-de-France (Appf) et 463 euros pour le club 3e âge de l’association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion (Acrap).

Locataires

À compter du 1er octobre, l’association Collectif de défense des locataires Croix-Rouge est dissoute. « Pour toutes questions locatives, nous vous invitons à vous rapprocher de l’association Union des locataires de Croix-Rouge (Ulcr) », invite Fabrice Lopez, président du CdlCR, qui remercie ses adhérents et les membres du bureau pour le travail effectué au sein de l’association.

Promotions

Béatrice Sicard, présidente de l’association MJC Croix-Rouge, signale deux promotions parmi les membres de sa structure : « Stéphanie Tadla est maintenant présidente des Francas et Muriel Jourdheuil a été nommée directrice de l’école élémentaire des Provençaux ».

Scoop

Alain Bisteur, président du conseil de quartier, l’a annoncé avant tout le monde à la fête de Pays-de-France : après le conseil de quartier du 27 octobre, Adeline Hazan viendra rencontrer les habitants, salle Mauriac, vendredi 20 novembre à 19 heures, salle Mauriac.

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Journal « l’Union » - 091009c

Association de promotion de Pays-de-France : Thomas, créateur d’une section Wizards

Avec Thomas, 14 ans, l’initiative associative n’attend pas le nombre des années ! La nouvelle section Wizards, qu’il vient de créer, est ouverte à tous.
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De redoutables dragons, de puissants magiciens, des sorcières fourbes, des châteaux mystérieux et des sorts surpuissants : c’est « Wizards of Mickey », le jeu de cartes qui fait fureur dans les cours de récréation.

Des personnages de Disney comme Donald, Mickey, Dingo, Daisy, Minnie, Miss Tick, les Rapetous, mais aussi le Fantôme Noir, évoluent dans un univers fantastique mêlant aventures et magie.

Mordu par ce jeu « où l’on s’affronte un contre un pour gagner des diamagiques », le jeune Thomas Gerny, 14 ans, a décidé d’organiser des rencontres amicales, dans le cadre de l’association de promotion de Pays-de-France.

Le local est situé au 5, allée des Picards à Croix-Rouge. Cette nouvelle section ouverte à tous, à partir de six ans et sans limite d’âge supérieur.

Renseignements au 06.83.26.64.69 après 17 h 30.

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Journal « l’Union » - 091009b

Conseil municipal (suite) :Des subventions à la pelle

Après la première partie publiée hier, voici la suite de la liste des subventions accordées par le conseil municipal.

Lutte contre les discriminations

Le théâtre à pattes : 1.500 € ; association des maisons de quartiers : 4.500 € ; Ex æquo : 2.500 €.

Fonctionnement des clubs 3e âge

Office rémois des retraités et personnes âgées : 2.080 € ; association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion : 463 € ; visite des malades dans les établissements hospitaliers : 580 € ; association rémoise des foyers logements pour retraités : 6.544 € ; au sourire de Reims : 587 € ; qualité de vie Wilson : 1.160 € ; union nationale des retraités et des personnes âgées : 466 € ; association des Maisons de quartiers de Reims : 3.027 € ; amicale des retraités Valéo Chausson thermique : 185 € ; association des retraités et préretraités Force ouvrière de Reims : 150 € ; rassemblement des énergies pour une gérontologie active et des réalisations diverses : 725 € ; joie de vivre : 725 € ; la 5e saison association des résidents personnels et amis de la résidence Roux : 1.015 € ; amicale du club du 3e âge des sourds et muets de la Champagne : 580 € ; union nationale des indépendants retraités du commerce 51 : 217 € ; amicale des anciens des avions Max Holste et Reims aviation : 203 € ; union départementale des retraités du ministère de l’Intérieur, union nationale des retraités de la police nationale : 217 € ; club Saint-Thomas du Mont d’Arène : 653 € ; club 3e âge des Châtillons : 913 € ; association nationale des retraités de la Poste et de France Télécom : 464 € ; association club Talleyrand : 829 € ; le fil et l’Amitié : 217 €.

Sanitaire

Association des coronariens de Champagne-Ardenne la Cordiale : 1.500 € ; visite des malades dans les établissements hospitaliers : 2.000 € ; association française contre les myopathies : 2.500 € ; mouvement marnais pour le planning familial : 1.500 € ; centre d’accueil et de soins pour les toxicomanes : 2.000 € ; amicale des donneurs de sang bénévoles de Reims et des environs : 6.500 € dont 4.600 € de dédommagement des donneurs ; autisme Marne : 950 € ; maison de la nutrition cœur obésité diabète de la région : 7.600 € ; Institut Jean-Godinot : 10.000 € ; association solidarité des Sclérosés en plaques : 350 € ; centre départemental des professions de santé de la Marne : 5.000 € ; école du chat comité de défense des bêtes libres : 7.500 € ; Aides : 4.000 €.

Commercial

Association les commerçants du Faubourg de Laon : 5.000 €.

Touristique

Souvenir et histoire de l’American expediationary force : 15.000 €.

Economique

Rassemblement d’entreprises industrielles marnaises sous traitantes : 3.344 € ; association des entreprises d’Ecoparc Reims Sud : 10.000 €.

Egalité femmes-hommes

Onc24o bleuets : 1.500 € ; centre d’information sur les droits des femmes de la Marne : 1.100 € ; association contre les violences infligées aux femmes : 1.000 €.

Associations familiales

Association familiale catholique de Reims et de sa région : 300 €.

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Journal « l’Union » - 091009a

ROLLER HOCKEY / Nationale 1 : « Rester maîtres chez nous »

Arnaud Maujean : « Important pour relancer l’équipe »
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Les Rapaces reçoivent demain les Diables de Troyes à l’occasion de la 3e journée. Auteurs d’une entame de championnat quelque peu mitigée, les hommes de Laurent Lexcellent abordent ce derby champenois avec déjà la nécessité, voire l’obligation, de s’imposer pour rester dans le peloton de tête.

La rencontre semble à la portée des Rémois, mais la tâche sera assurément plus difficile qu’il n’y paraît pour Arnaud Maujean et ses partenaires.

Arnaud, quel est l’enjeu de ce match ?

« Disons que c’est un match important, pour relancer l’équipe après un coup d’arrêt à Viry. Nous devons rattraper ces points perdus, et surtout repartir sur une bonne dynamique. La série à venir est très importante, avec des matchs à notre portée. »

Comment évolue le groupe en ce moment ?

« Nous serons pratiquement au complet, et nous enregistrons le retour d’Emilien Rivard, après dix mois d’absence. Nous avons également renouvelé nos lignes, ça travaille, et nous en attendons des résultats positifs dès demain. »

Craignez-vous votre adversaire ?

« On les connaît peu, mais le championnat est serré et homogène et il ne faut sous-estimer personne. Troyes ne doit pas venir chercher sa première victoire à Reims. On reçoit beaucoup en phase aller, et il est essentiel que personne ne s’impose ici. On doit rester maître chez nous. »

DEMAIN, 20 HEURES, GYMNASE LEGROS

REIMS RHR : Muller, Haas ; Tarte, Duplant, Lexcellent, Godefroy, Thiébaut, Maujean, Caron ; Lhoste, Rivard, Karsenty, Fayault, V. Capitaine, Rogé, Morel, A. Capitaine

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Journal « l’Union » - 091008d

Reims / Vandalisme : L’incendie de la supérette est bien criminel

L’incendie qui a détruit dimanche matin la supérette de M. Faina aux Pays-de-France est bien d’origine criminelle.
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Dimanche vers 5 heures du matin, un incendie a détruit la supérette du centre commercial des Pays-de-France à Croix-Rouge, allée des Béarnais (l’union de lundi).

Gérant du magasin, Mustapha Faina fut convaincu d’emblée qu’il s’agissait d’un acte criminel (il avait subi fin juin un cambriolage suivi d’un début d’incendie).

Le commerçant avait vu juste. Les constatations menées par la police ont permis d’établir l’origine volontaire du sinistre.

Le ou les auteurs ont allumé le feu dans la réserve. On ignore s’ils ont volé des marchandises.

M. Faina et son salarié sont aujourd’hui au chômage technique. Une rencontre est prévue ce jeudi avec le Foyer rémois et le premier adjoint au maire Eric Quénard pour tenter de trouver une solution.

Un local associatif inondé

L’incendie a également eu des répercussions sur la maison de quartier Pays-de-France qui disposait d’un local de 128 m2 sous la supérette. Sous l’effet de la chaleur, un compteur d’eau a explosé, provoquant une inondation. Le mobilier, l’informatique et le matériel d’animation ont subi d’importants dégâts.

Baptisé « Aquarelle », le local est inutilisable. Il abritait une activité patchwork, des permanences de l’assistante sociale, de la circonscription de solidarité départementale, de la protection maternelle et infantile ainsi que de l’association Promotion Pays-de-France (des solutions de repli ont été trouvées).

La réouverture du local Aquarelle n’est pas programmée pour l’instant mais elle sera de courte durée. Dans le cadre de la reconstruction du secteur Pays-de-France, la maison de quartier devait rendre les clefs au Foyer rémois début 2010 pour aller s’installer ailleurs. C’est également le cas de la supérette qui devait déménager dans les nouvelles cellules commerciales en cours d’achèvement avenue Bonaparte.

F.C.

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Journal « l’Union » - 091008c

Conseil municipal (1re partie) : Des subventions en nombre

Subvention d’équipement

Unis-Cité : 1.906 € ; réseau de cancérologie Champagne-Ardenne : 10.000 €.

Subvention à caractère divers

Amicale des porte-drapeaux : 700 €.

District athlétique club : 409 € ; service universitaire d’éducation permanente Champagne-Ardenne, Institut universitaire du temps libre : 720 € ; société d’horticulture de l’arrondissement de Reims : 775 € ; comité de Reims et de la Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc, Tunisie : 307 € ; arts, loisirs et culture à Reims : 307 € ; commissariat à l’énergie atomique : 6.766 €.

Subvention à caractère socio-éducatif

Fédération des conseils de parents d’élèves : 8.500 € ; scouts unitaires de France : 3.000 €.

Reims Vital ado

Groupe d’activités subaquatiques marnais : 300 € ; société de tir : 776 € ; association marnaise de vol à voile : 450 € ; tennis racing club de la Muire : 360 € ; toutes recherches artistiques et de créations : 720 € ; centre loisirs jeunes de la Sécurité publique : 3.129 € ; foyer rural de Pogny : 450 € ; les Termites du Chemin Vert : 309 €.

Associations d’étudiants

Association pour l’accueil des étudiants étrangers à Reims : 2.800 € ; courtisez-moi : 2.200 € ; la mutuelle des étudiants : 2.500 € ; lycée Franklin-Roosevelt : 10.000 €.

Subventions à caractère sportif

Association de badminton champenois : 5.000 € ; association culturelle et sportive Chalet Tunisie : 800 € ; cyclo-club rémois : 500 €.

Cercle rémois d’arts martiaux : 7.190 € ; base-ball club Reims champagne : 350 € ; Reims enduro model club : 630 € ; roller hockey Reims : 460 €.

Reims palmes apnée : 450 € ; Reims Paca : 350 €.

Subventions à caractère culturel

Société mycologique rémoise : 400 € ; cercle aquariophile et terrariophile de Reims : 1.525 € ; compagnie c’est la nuit : 3.000 €.

Les amis marnais de l’Appel des cent : 420 € ; Ex æquo : 1.075 € ; Oxal’art : 1.500 € ; Pseudomyno : 3.000 €.

Manifestations culturelles

Régie des équipements musiques et cultures actuelles : 30.000 €.

Logement social

Consommation, logement et cadre de vie, union locale de Reims : 900 €.

Quartiers

Association Etoile Croix du Sud : 5.000 € ;

confédération nationale du logement : 900 € ; travailleurs maghrébins de la Marne : 8.000 € ; amicale des locataires des Jardins suspendus : 500 €. Association socioculturelle des Algériens de Champagne-Ardenne : 3.519 €. Amicale des locataires Brossolette : 250 €. Amicale des locataires Maison Blanche Bons malades : 500 € ;

association pour la Promotion de Pays-de-France : 5.000 € ;

femmes relais 51 : 4.500 €.

Prévention de la délinquance

Mouvement d’action et de réflexion pour l’accueil et l’insertion sociale : 11.000 € ; association d’accompagnement éducatif de la Marne : 350 €.

Maisons de quartier

Fédération régionale de la maison de jeunes et de la culture de Champagne-Ardenne : 5.000 €. Associations caritatives

Secours catholique : 7.500 € ; Secours populaire français : 300 €.

Union régionale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux de la région : 600 €.

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Journal « l’Union » - 091008b

Reims : La ville balayée par une mini-tornade

Plusieurs voitures ont été abimées par des chutes de branches, comme ici rue du Châtelet à Saint-Remi.
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« C’EST arrivé d’un seul coup ! J’ai vu comme un rideau d’eau, une barre s’avancer vers moi et les arbres tomber au même moment. C’était très impressionnant. On aurait dit une mini-tornade. Elle a cassé des troncs à deux mètres de hauteur qui sont tombés sur des voitures ou en travers de la route. C’était très ciblé. Dans les rues d’à-côté, il n’y avait pas de dégâts particuliers. »

Des arbres dénudés

Hier soir à 22 heures, devant ce Rémois ébahi, les bourrasques d’un bref mais violent orage ont couché au sol de nombreux arbres avenue Georges-Hodin au quartier des Châtillons. La même scène s’est déroulée en de multiples endroits de l’agglomération noyée sous les trombes d’eau.

Rue du Châtelet à Saint-Remi, deux voitures ont été abîmées par des grosses branches, deux autres place du Chapitre près de la cathédrale de Reims (une Peugeot et une Clio dont le hayon a volé en éclats). Boulevard Pasteur, le vent a littéralement dépouillé plusieurs arbres de stature pourtant respectable. « Il ne reste plus que les troncs et quelques branches », indique un témoin.

Tinqueux n’a pas été épargné avec la chute d’un arbre sur un lampadaire rue Claude-Bernard, sur une caravane au camping du bois d’Amour. Les pompiers ont sorti les tronçonneuses pendant que les derniers bus de nuit, dans certains secteurs, se retrouvaient avec de l’eau jusqu’aux roues, notamment avenue Bonaparte.

A minuit, la plupart des chaussées étaient dégagées mais des demandes d’interventions pour des caves inondées commençaient à arriver chez les pompiers.

Météo France avait annoncé pour hier une journée lourde et humide, digne d’un plein été, consécutive à la remontée de masses d’air chaud par le sud, mais le phénomène orageux de Reims semble avoir pris de court les prévisionnistes.

F.C.

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Journal « l’Union » - 091008a

haltErophilie / Reims : De belles performances

Claude Baechler va bientôt prendre la direction de l’Australie.
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Le Prix des Vendanges à Reims a apporté son lot de satisfactions avec les bonnes performances des plus jeunes aux plus chevronnés.

Après les belles prestations techniques des minimes, les jeunes Ducourty, Poiret, Colombo et Alysson Poiret se situaient déjà à leur meilleur niveau pour la rentrée du RHM.

Mais ce sont les Masters (vétérans de 35 ans et +) qui étaient les plus affûtés en alignant six records de Champagne. La néo-master 1, Stéphanie Liégeois avec ses 3 records devrait dominer la scène nationale dans cette catégorie.

Olivier Dehu affiche aussi ses ambitions dans sa nouvelle tranche d’âge en Master 4.

Quant aux 3 « Australiens », Stéphane Magnin, David Baechler et Claude Baechler en partance pour Sydney et les Jeux Mondiaux Master, ils peuvent partir à l’assaut des médailles.

 

 

 

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Journal « l’Union » - 091007d

Pays-de-France : Dé-goû-tant !

 

 

Le conseiller municipal Salah Byar est un peu déçu : « Je suis intervenu plusieurs fois auprès du Foyer rémois pour qu’il fasse nettoyer l’esplanade des Béarnais avant la fête du secteur, mais malgré tout, l’endroit est loin d’être propre ! » regrette-t-il.

« Quand on pense que nous payons l’entretien des abords dans nos charges ! » se lamente Yves, un locataire du secteur Bonaparte.

« Et encore ici, ça peut aller » interviennent d’autres locataires : « Allez voir du côté des Bourguignons ! Ça vaut le déplacement ! »

 

 

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Journal « l’Union » - 091007c

Animations dans les bibliothèques

Atelier : « Paroles en l’air », atelier d’écriture et de création de mobiles en papier plié, à la bibliothèque du Chemin-Vert, place du l1-Novembre, de 10 à 12 heures. Pour les enfants de 6 à 10 ans. Inscription sur place ou au 03.26.49.06.52.

Atelier d’aéronautique :

- animé par l’association « Les Petits Débrouillards » à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar, de 14 à 17 heures.
- Pour les enfants de 6 à 8 ans.
- Inscription en secteur jeunesse ou au 03.26.35.68.51.

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Journal « l’Union » - 091007b

Comparution immédiate : Vol à la roulotte : les portes étaient, selon lui, déverrouillées

Aomar Ben Bella (37 ans) a, pour ainsi dire été pris, dimanche « la main dans le sac ».

Une patrouille de la bac - brigade anticriminalité - qui passait rue Newton vers 1 h 30, a aperçu un homme qui dissimulait dans une haie divers objets pour les reprendre quelques minutes plus tard, après le passage de la voiture de police. Interpellé, l’homme était porteur d’un GPS, d’un téléphone portable… qu’il a indiqué avoir dérobés dans un fourgon stationné plus loin et dont les portes étaient déverrouillées.

Alors qu’il était en garde à vue, le propriétaire d’une Mercedès stationnée rue Newton et dont une fenêtre avait été brisée, s’est présenté au commissariat. Les policiers lui ont montré les objets volés par Aomar Ben Bella et le propriétaire de la Mercedes a reconnu ses propres affaires, volées dans la Mercedès.

Six mois ferme

Ce qu’a nié Aomar Ben Bella… jusqu’à hier, à la barre du tribunal correctionnel de Reims qui le jugeait en comparution immédiate. « Je l’ai cassé, c’est vrai. J’avais pris plusieurs Valium, je n’étais pas bien, je ne sais pas ce qui m’a pris ». « On peut dire que vous êtes un voleur, » commente la présidente du tribunal à la lecture du casier judiciaire du prévenu. Vingt condamnations y figurent en effet, dont 17 pour des vols. « Non ! j’ai arrêté. C’était avant ! ».

La substitut du procureur de la République a demandé au tribunal d’appliquer « la peine plancher, en matière de récidive, soit deux ans de prison », tout en assortissant une partie de la peine d’une mise à l’épreuve, avec « obligation de se soigner ».

L’avocat d’Aomar Ben Bella, a certifié que son client « assume aujourd’hui les faits. Certes, il a un long parcours de délinquance, mais il faut noter une pause depuis 2006. C’est important. » Et d’insister sur les efforts faits par son client pour se réinsérer : « il a suivi une cure de sevrage, il peut justifier de la recherche d’un emploi. » Et de demander au tribunal d’écarter la peine plancher.

Le tribunal a condamné Aomar Ben Bella à 2 ans de prison dont 18 mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant 3 ans, avec obligation de se soigner et d’indemniser la victime. L’homme a été conduit dès hier soir à la maison d’arrêt.

P.B.

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Journal « l’Union » - 091007a

BASKET-BALL / Cadets nationaux : Reims sur une bonne dynamique

Gabaud et les Rémoises ont relevé le défi à domicile et ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin.

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Avec deux victoires consécutives à domicile, les Rémoises ont bien débuté. Reste maintenant à confirmer pour atteindre l’objectif fixé : figurer dans le quatuor de tête à l’issue de la saison régulière.

STEPHANIE VIVENOT dresse un bilan réaliste du match Reims - Chalon-sur-Saône. « Il y a eu de quelques bonnes séquences défensives mais aussi des moments de relâchement. Il faut maintenant intégrer les joueuses qui reviennent de blessure », explique-t-elle.

Cette saison, l’objectif du groupe emmené par l’ex-internationale est de terminer la saison régulière dans le quatuor de tête : « Nous voulons éviter les barrages et une deuxième partie de saison qui n’amènerait rien d’intéressant pour les filles ».

Contrairement à l’an passé, l’effectif rémois est important puisqu’élargi à onze joueuses : « C’est un groupe jeune dans lequel il n’y a aucune cadette troisième année. L’an dernier, on a dû composer. Cette saison, chaque poste est bien défini et il y a de grands gabarits, ce qui nous amène à jouer différemment ». Les jeunes s’entraînent tous les jours et certaines ont même l’opportunité de participer aux séances de l’équipe première. « Pour l’instant, à cause des blessures, nous n’avons eu qu’un entraînement en commun. Mais la saison a bien débuté avec deux victoires consécutives à domicile », conclut Stéphanie Vivenot. Un avenir déjà bien tracé pour le collectif du RBF.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 091006c

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7310 du 05 au 11 octobre 2009.

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Bras de fer autour de l’occupation de l’hippodrome de Reims

La Ville et la société des courses s’opposent sur le caractère privé ou public du terrain.
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Hippodrome. La société des courses et la Ville de Reims s’opposent sur la validité du bail en cours signé par l’ancienne municipalité à la veille des élections de 2008.

Ni la Ville de Reims ni la société des courses n’avaient encore souhaité rendre l’affaire publique. Mais c’était sans compter sur le conseiller municipal Michel Guillaudeau. C’est lui qui a soulevé la question lors de la dernière session du Conseil rémois en s’interrogeant sur la nature du bail d’occupation de l’hippodrome signé entre l’ancien maire de la ville, Jean-Louis Schneiter et la société des courses de Reims en mars 2008 à la veille des dernières élections municipales. En cause, le montant du loyer versé par la société - 1500 euros annuels - estimé trop faible par rapport aux estimations des Domaines - autour de 15 000 euros annuels -, une absence de concurrence et le caractère irrégulier, selon la Ville, d’un acte signé sans consultation du Conseil municipal. C’est pourquoi la nouvelle équipe a d’ores et déjà dénoncé ce bail auquel elle souhaite mettre fin.

PRIVE OU PUBLIC ?

La discorde entre les deux parties tourne essentiellement sur un problème purement juridique à savoir la nature de l’occupation et de l’exploitation de l’hippodrome. Du côté de la Ville, on estime que le terrain appartient au domaine public - et donc que le bail n’aurait pas dû être consenti sans un appel d’offres -tandis que la société des courses défend la thèse selon laquelle le terrain fait partie du domaine privé de la Ville. Dans ce cas, le bail serait alors juridiquement valable. Rapports d’avocats et de spécialistes à l’appui, chaque partie reste campée sur ses positions : « Nous sommes bien sur le domaine privé de la commune et le bail est totalement légal », assène Gilles Jeziorski, président de la société des courses de Reims. « Les conditions pour affirmer que le terrain est sur le domaine public ne sont pas remplies. Le rapport édité par le cabinet d’avocat de la Ville n’est ni plus ni moins qu’un rapport de complaisance ». Serge Pugeault, adjoint au maire en charge du développement économique estime quant à lui que l’invalidité du bail réside à plusieurs niveaux « Il est clair aujourd’hui que la Ville ne peut pas librement donner 17 hectares pour 1 500 euros annuels. Et que ce soit un terrain public ou privé, la règle veut qu’il y ait une mise en concurrence pour l’exploitation de l’hippodrome ».

APPEL D’OFFRES ET CAHIER DES CHARGES

D’autre part, pour Gilles Jeziorski, il est aujourd’hui inconcevable de remettre en cause fin acte signé par l’ancien maire et rédigé par le service juridique de la Ville : « Cela soulève le problème de la responsabilité juridique et contractuelle de la Ville ». En filigrane de cette passe d’armes, il y a aussi l’aspect stratégique de cette superficie de 17 hectares en pleine ville qui représente aussi une manne foncière estimée à une trentaine de millions d’euros. Serge Pugeault nie toute volonté de Ville de mettre la main sur ces terrains : « Nous ne voulons pas nuire à la société des courses mais nous voulons mettre fin à une situation d’insécurité juridique et à cette sous- valorisation de la valeur locative. Nous allons mettre en place un cahier des charges, lancer un appel d’offres et nous retiendrons le meilleur candidat ».

Président de la société des courses depuis 8 ans, Gilles Jeziorski ne compte pas en rester là et entend bien faire valoir ses droits. « Nous sommes une association Loi 1901. Avant ce nouveau bail nous recevions une subvention de. 100 000 euros de la Ville - pour l’entretien du site - à laquelle j’ai renoncé », rappelle-t-il. Concernant la réévaluation du loyer, le président est très clair : « Je suis légaliste. Si les Domaines ont fixé le montant du loyer à 15 000 euros, la municipalité a d’ores et déjà mon accord pour cette somme ». En revanche, pas question pour lui et son conseil d’administration de céder un pouce de terrain sur la validité juridique du bail. « Nous avons commandé un troisième rapport à un cabinet spécialiste français de la domanialité publique. S’il le faut, même si je ne le souhaite pas, nous irons jusque devant les tribunaux ».

BENJAMIN BUSSON


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LIQUIDATION

SOFEX

Société à responsabilité limitée au capital de 12.000 €uros

Siège social 26 rue de Rilly la Montagne 51100 REIMS

R.C.S. Reims 494 625 395

L’assemblée générale extraordinaire réunie le 30 novembre 2008 a décidé la dissolution anticipée de la société à compter de ce jour et sa mise en liquidation amiable sous le régime conventionnel dans les conditions prévues par les statuts et les délibérations de ladite assemblée.

Elle a nommé comme liquidateur Monsieur TEKIN Halil, demeurant 5 rue Monod - 06400 CANNES, pour toute la durée de la liquidation, avec les pouvoirs les plus étendus tels que déterminés par la loi et les statuts pour procéder aux opérations de liquidation, réaliser l’actif, acquitter le passif, et l’a autorisé à continuer les affaires en cours, et à en engager de nouvelles pour les besoins de la liquidation. Le siège de la liquidation est fixé 5 rue Monod - 06400 CANNES. C’est à cette adresse que la correspondance devra être envoyée et que les actes et documents concernant la liquidation devront être notifiés.

Les actes et pièces relatifs à la liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS, en annexe au Registre du Commerce et des Sociétés.

78869

Pour avis : Le liquidateur.

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Journal « l’Union » - 091006b

Nouvelle halte ferroviaire Franchet d’Esperey : Pour relier les modes de transport

Adeline Hazan a confirmé la mise en place, à l’avenir, de services de « vélo » et d’« auto-partage
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La nouvelle halte ferroviaire répond à une attente de transports enfin reliés entre eux. Christian LANTENOIS
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La nouvelle halte ferroviaire de Franchet d’Esperey préfigure les liaisons entre les différents modes de transport qui vont s’intensifier.

ADELINE HAZAN sait conduire un train ! C’est ce qu’on a pu constater hier matin à la halte ferroviaire Franchet d’Esperey. C’est donc Mme Hazan, maire de Reims, qui a piloté le TER parti de la gare centrale pour amener les personnalités sur place. Une manifestation présidée par le président de la Région, Jean-Paul Bachy et par le préfet, Gérard Moisselin.

« Tram et modes de transport doux »

L’ensemble des orateurs s’est prononcé en faveur des nouveaux modes de transport. « Il faut bannir le tout voiture ou le tout camion », a martelé M.Bachy.

« On réfléchit de plus en plus à la suppression de la voiture en centre-ville et au transfert vers le tram et les modes de transport doux », a renvoyé en écho Adeline Hazan, confirmant par ailleurs la mise en place à l’avenir de services de « vélo » et d’« auto-partage ».

1000 voyageurs par semaine

Cette halte ferroviaire Franchet d’Esperey répond à une attente, selon le directeur régional de la SNCF, puisque de 250, le nombre de voyageurs est passé à 1000 par semaine en moins d’un mois. Les étudiants du secteur sont les premiers bénéficiaires de ce nouveau service qui sera en lien avec le tram en 2011.

Quant au préfet, Gérard Moisselin, il a confirmé l’engagement de l’État dans tous les grands projets transport de la région.

J.F.SCHERPEREEL

 

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Journal « l’Union » - 091006a

Problèmes de radiateurs

Il a plu abondamment hier, mais ce n’est pas pour cette raison que les pompiers ont dû intervenir dans deux appartements inondés du secteur Eisenhower hier matin : l’eau provenait non pas du ciel, mais du système de chauffage, plus précisément des radiateurs victimes d’une rupture.

Car l’automne, c’est aussi la période où l’on remet le chauffage en route …

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 091005g

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7309 du 28 septembre au 04 octobre 2009.

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MODIFICATION DE STATUTS

L’AGE du 21/09/2009, de la SARL ADVANCED ELECTRONIC SYSTEMS, au capital de 7.500 €, siège social 2 place Toulouse Lautrec - 51100 REIMS, R.C.S. REIMS 508 011 269, a décidé de modifier le capital social de la société en le portant de 7.500 € à 27.500 €. Modification au R.C.S. de REIMS.

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CONSTITUTION DE SOCIÉTÉ

Suivant acte reçu par Maître Vincent CROCHET, Notaire associé à REIMS (Marne). 15 rue Clovis, le 22 septembre 2009, il a été régularisé les statuts d’une association syndicale libre dont les caractéristiques sont :

DENOMINATION : ASSOCIATION SYNDICALE LIBRE LES HAUTS DE MURIGNY.

FORME : Association syndicale libre régie par la loi du 21 juin 1865, les lois qui l’ont modifiée, les décrets d’application et les articles R. 315-6 et 315-8 du code de l’urbanisme.

SIEGE : REIMS (51100), 71 avenue d’Epernay.

OBJET : La gestion, l’entretien des biens dont elle aura la propriété, au profit de tous les propriétaires de l’ensemble immobilier. Ladite gestion s’entendant savoir :

— La police desdits biens nécessaires ou utiles à la bonne jouissance des propriétaires dès leur mise en service et la conclusion de tous contrats et conventions y relatifs ; — La répartition des charges d’entretien desdits biens ;

— La répartition des seules charges qu’un des membres de l’association devrait supporter du chef de sa propriété et qui profiterait aux autres membres

Ladite répartition s’entendant des charges liées aux espaces verts et extérieurs, aux portes automatiques des garages ou barrières de parkings, aux chemins piétons et voies privées, aux canalisations et réseaux, ouvrages ou constructions nécessaires au fonctionnement ou à l’utilisation des réseaux et plus généralement sans que cette liste ne soit exhaustive à l’entretien, au remplacement, à la reconstruction de tous biens profitant aux autres membres

— La répartition des frais, dépenses et honoraires de gestion de ladite association entre ses membres et leur recouvrement.

DURÉE : Illimitée.

MEMBRES DE L’ASSOCIATION :

2° - L’adhésion à l’association résulte soit de la participation du propriétaire à l’acte portant constitution de l’association, soit de tout acte de mutation à titre onéreux ou gratuit de tout ou partie desdits immeubles, soit un ou plusieurs lots les composant.

ASSEMBLEE GENERALE Composée des membres de l’association, se réunit une fois par an et, sauf exception, statue à la majorité des voix exprimées par les propriétaires présents ou représentés.

MODE D’ADMINISTRATION : Un président et un secrétaire général nommé par l’assemblée générale, pour 3 ans et ayant les pouvoirs les plus étendus dans le cadre et pour la réalisation de l’objet de l’association.

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Pour avis Le Notaire.


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Les nouveaux défis de l’Université de Reims

La faisabilité du rapprochement des campus sur le site de Croix Rouge devrait être bientôt connue.
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À l’occasion de la rentrée, le président de l’Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA) rappelle l’imminence du rendu des résultats de l’étude de faisabilité du transfert du campus Moulin de la Housse sur le site de Croix Rouge.

Richard Vistelle souhaite ce rapprochement des campus et espère autant de soutien des collectivités que celui affiché en vue de l’arrivée de l’École centrale de Paris ou Sciences Po.

L’URCA qui a accueilli 22 241 étudiants en, 2008-2009, affiche des premiers chiffres d’inscriptions en hausse (+ 8 %) au 19 septembre.

Et l’Université se prépare à de nouveaux défis tels que le passage aux compétences élargies dès 2011.

Mais en attendant l’avancée du projet de fusion des campus, l’URCA a inauguré de nouvelles installations sur le Moulin de la Housse : une chaufferie bois-gaz, une halle technologique et un nouveau bâtiment pour la fac de sports.

Avec une hausse du nombre d’inscrits de +8 % au 19 septembre, l’Université de Reims Champagne-Ardenne aborde sa rentrée de manière sereine. À l’image de son président Richard Vistelle, qui souligne l’aspect positif de cette tendance, aussi ponctuelle soit-elle, les inscriptions n’étant pas encore clôturées : « Si cette tendance corrobore celle rapportée au niveau national, elle est d’autant plus encourageante que l’évolution démographique de la Champagne Ardenne n’y est guère favorable avec une fuite notamment de la population dans la tranche d’âge des 15 à 29 ans ». Si elle débute bien au niveau des effectifs, cette année 20092010 est aussi celle de nombreux défis pour l’Université, à commencer par le passage aux compétences élargies de l’établissement.

« Au début de l’année 2010, l’URCA fera l’objet d’un audit qui devrait aboutir à un passage aux compétences élargies au 1" janvier 2011. Cela signifie que nous allons avoir des marges de manœuvre élargies pour conduire une véritable stratégie de formation et de recherche, pour bâtir une politique des ressources humaines cohérente et ambitieuse et pour piloter un budget global incluant la masse salariale, nous imposant à la fois rigueur et créativité ».

Un passage qui se traduit d’ores et déjà dans les faits par la mise en place d’un nouveau logiciel de gestion et d’une nouvelle pratique comptable et financière qui sera effective dès le 1er janvier 2010.

OUVERTURE VERS L’ÉCOLE CENTRALE ET SCIENCES PO

Richard Vistelle a également rappelé l’imminence du rendu des résultats de l’étude de faisabilité du transfert du campus Moulin de la Housse sur le site de Croix Rouge, à quelques encablures de la gare TGV de Bezannes. « J’espère que ces résultats nous permettront de donner une suite favorable à ce projet, certes ambitieux, mais nécessaire pour garantir de meilleures conditions de vie à nos étudiants et personnels, pour répondre aux exigences de la politique d’ouverture à l’international que nous conduisons, pour gagner aussi une lisibilité sur le plan de la recherche réclamée par les grands organismes, la plupart de nos équipes étant éclatées en différents sites, et pour mettre en valeur l’ensemble des plateaux technologiques mis à disposition des entreprises ».

L’occasion aussi pour le président de l’Université de formuler quelques regrets : « Si l’équipe municipale soutient ce projet en ayant parfaitement saisi tout l’intérêt d’une telle opération, cela ne semble pas en revanche avoir déclenché l’enthousiasme du Conseil général ni du Conseil régional ». La mise à disposition de constructions neuves pour le laboratoire de l’École Centrale et les 19 000 m2 de bâtiments rénovés en cinq ans pour Sciences Po semblent agacer Richard Vistelle : « A croire que sur le plan de l’économie locale, le rôle de l’URCA est moindre que les retombées attendues de l’arrivée de ces deux nouveaux acteurs de l’enseignement supérieur ». Et d’ajouter : « Bientôt il fera mieux vivre sur les sites de Châlons-en-Champagne et de Troyes que sur le site rémois ».

Dans l’hypothèse de l’infaisabilité de ce projet, le président envisage une reconstruction du campus du Moulin de la Housse dont il a rappelé la vétusté et « l’état de délabrement ».

Enfin, Richard Vistelle a tordu le cou aux rumeurs de fermeture de la Faculté de Droit, avant de conclure sur une note d’ouverture : « Bien que les prises de décision n’aient pas fait l’objet d’une concertation approfondie avec les établissements existants, c’est le moins que l’on puisse dire, l’URCA a décidé de réagir en optant pour une politique d’ouverture, c’est-à-dire de travailler en totale collaboration avec les nouveaux arrivants, comme cela est entrain de se formaliser avec l’École Centrale et ce que nous souhaitons aussi vivement voire se développer avec Sciences Po ». Le président souhaite cependant que l’URCA ne soit pas réduit à un rôle de second plan et bénéficie des mêmes moyens que les nouveaux arrivants. « N’ayant jamais fait preuve d’une langue de bois, je ne cacherai pas que cela constitue pour l’Université un véritable enjeu dans les élections à venir ».

BENJAMIN BUSSON

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Journal « l’Union » - 091005f

Le gérant dénonce un acte criminel : Une supérette ravagée par un incendie

Avec le sinistre, le gérant ne sait pas ce qu’il va devenir.
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Le gérant de la supérette, Mustapha Faina, était installé depuis dix ans, allée des Béarnais. « J’emploie un salarié. Je ne sais pas ce que nous allons devenir. »
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L’incendie s’est déclaré dans la réserve avant de se propager à la surface de vente.
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L’incendie a semé la consternation chez les habitants du quartier. Beaucoup sont venus réconforter le gérant. Photos Remi WAFFLART
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Matériel, marchandises : tout est détruit dans le magasin.
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Un incendie a ravagé hier matin une supérette du quartier Croix-Rouge à Reims. Pour le gérant, il s’agit d’un acte criminel. Des cambrioleurs avaient tenté de mettre le feu à son magasin il y a trois mois.

« TOUT a brûlé ! Je n’ai plus rien. Ils ont cramé une voiture hier soir avenue Bonaparte et ils ont fini ici au magasin. C’est toujours les bons qui payent pour les mauvais. »

Gérant de la supérette du centre commercial Pays-de-France au quartier Croix-Rouge à Reims, Mustapha Faina est en plein désarroi. De son magasin, situé allée des Béarnais, il ne reste plus qu’une ruine fumante. Un violent incendie l’a détruit hier en fin de nuit. Un acte de malveillance, il en est convaincu, alors que les premières constatations policières menées dans les décombres n’ont pu formellement établir l’origine du sinistre.

Le contexte, il est vrai, donne du crédit à l’hypothèse criminelle. Il y a trois mois, des cambrioleurs avaient tenté de mettre le feu au magasin.

Grosse fumée

L’incendie d’hier s’est déclaré dans la réserve avant de se propager à la surface de vente. Les pompiers ont été prévenus à 5 h 10. De grandes flammes sortaient du toit à leur arrivée. Une quinzaine de sauveteurs ont été mobilisés pour éteindre le sinistre. « Notre principale difficulté a été de désenfumer le local. Le vent rabattait la fumée à l’intérieur », indique le capitaine Nicolas Ruinet, chef des opérations de secours. Le quartier aussi a été enfumé, jusqu’en milieu de matinée.

Spécialisé dans la vente de produits exotiques orientaux et africains, Mustapha Faina avait ouvert son magasin en 1999. Il emploie un salarié. « Je ne sais pas ce que nous allons devenir. C’était la seule supérette des Pays-de-France. Nous devions prochainement déménager dans le nouveau centre commercial en construction, de l’autre côté de la rue, mais je n’ai plus rien à mettre dedans. Mes congélateurs, mes frigos, mes étagères, mes rayons… J’ai tout perdu. Après une année difficile à cause des travaux, je n’avais pas besoin de ça. Ça fait mal au cœur. »

Un secteur chaud

Convaincu de l’origine criminelle du sinistre, le commerçant ne peut s’empêcher de faire le lien avec le cambriolage d’il y a trois mois. « C’était le 26 juin. Ils ont cassé la porte principale et volé plein d’affaires dans les rayons : des fruits, des bonbons. Ils ont tout transporté dans des paniers pour clients. Ils ont mis le feu avant de partir mais ça n’a pas pris. Il n’y avait pas eu beaucoup de dégâts. »

En dix ans de présence aux Pays-de-France, la supérette fut déjà cambriolée « plusieurs fois, avec les portes arrachées, mais il n’y avait jamais eu d’incendies. Aujourd’hui, c’est une nouvelle génération. C’est de plus en plus difficile ici. Pays-de-France est devenu un point chaud », regrette M. Faina

Aucun élément ne permet de rapprocher les différents événements entre eux mais force est de constater que ça brûle souvent dans le secteur. Pas plus tard que samedi, deux voitures ont flambé avenue Bonaparte, à quelques pas de l’allée des Béarnais, la première à 0 h 15 (une Renault 19), la seconde vers 20 heures (une Audi A6 avec propagation à une Peugeot).

Pays-de-France aura bientôt un centre commercial tout neuf, mais les scènes d’incendies restent à éradiquer du paysage.

Fabrice CURLIER

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Journal « l’Union » - 091005e

Tramway : Pas de trêve pour les travaux

Ce début de semaine est marqué par plusieurs changements dans les travaux du tramway.

Rue du Petit Four

Mise en impasse et à double sens avec une entrée par la rue du Général-Sarrail (jusqu’à la fin du mois).

Cours Langlet

Réalisation des trottoirs côté gauche (numéros pairs) entre la rue des Élus et la rue Carnot. L’accès aux garages des riverains est maintenu avec une entrée et une sortie par la rue Carnot.

Place Myron-Herrick

Réalisation des trottoirs devant le Grand Théâtre.

Rue de Vesle

Basculement des travaux du côté gauche (numéros impairs) vers le côté droit (numéros pairs) entre la rue des Capucins et la rue Clovis pour la réalisation de la seconde phase de la plate-forme de tramway.

Rue Arago

Jusqu’à fin décembre, fermeture avec une mise en impasse au niveau de l’avenue du Général-Bonaparte.

Avenue du Maréchal-Juin

Basculement des travaux du côté droit vers le côté gauche, pour la réalisation des travaux de la plate-forme.

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Journal « l’Union » - 091005d

Vols de sacs à main : Deux femmes victimes d’un vol à l’arraché

Deux vols à l’arraché, sans lien entre eux, apparemment, ont été commis samedi après-midi à Reims.

Le premier s’est produit vers 16 heures aux Hauts-de-Murigny. Une femme de 61 ans qui marchait place Maurice-Utrillo a été bousculée par un individu qui a surgi derrière elle. Il s’est enfui à pied avec son sac à main.

Légèrement blessée à l’épaule et à la main, la victime a dû être transportée au CHU par les sapeurs-pompiers.

A 17 h 40, ce sont deux individus à scooter qui ont arraché le sac à main d’une dame de 64 ans rue Pierre-Brossolette (secteur avenue de Laon).

Le sac contenait un collier, des clefs, une paire de lunettes et divers documents. La dame n’a pas été blessée.

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Journal « l’Union » - 091005c

Séances de vaccination

Le service communal d’hygiène et de santé organisera une séance de vaccination,
- mercredi 7 octobre
- de 9 h 30 à 10 h 30,
- à la maison de quartier Croix-Rouge,
- espace Pays de France, 1 allée des Béarnais.

Renseignements au 03.26.82.53.48.

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Journal « l’Union » - 091005b

Permanence de la CPAM

Dans le cadre de la promotion du compte AMEU,la Caisse primaire d’assurance-maladie va organiser des permanences dans les antennes municipales selon le planning suivant (sous réserve qu’il n’y ait pas de permanences d’élus de 16 h 30 à 17 h 30) :

- demain de 14 heures à 17 h 30 à l’antenne municipale Orgeval et
- de 14 heures à 17 h 30 à l’antenne municipale Europe ;
- mercredi 7 octobre de 14 heures à 17 h 30 à l’antenne municipale Croix-Rouge.

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Journal « l’Union » - 091005a

Passeports biomètriques

Afin de limiter l’attente des usagers, le dépôt des dossiers auprès des services de la Ville de Reims, s’effectue désormais uniquement sur rendez-vous.

- Auprès de l’hôtel de ville, bureau des formalités administratives (du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 11 h 30 et de 13 heures à 16 h 30) ;
- auprès de l’antenne Orgeval (du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 11 h 30 et de 14 à 17 heures) ;
- auprès des antennes Murigny, Croix-Rouge et Europe (du lundi après-midi au samedi matin, de 8 h 30 à 11 h 30 et de 14 à 17 heures).

Les rendez-vous sont fixés par demi-heure.

Un couple avec un enfant souhaitant effectuer trois demandes de passeport devra prendre trois rendez-vous consécutifs et non un seul.

Les rendez-vous peuvent être pris sur place ou par téléphone directement auprès des sites concernés.

Le retrait des passeports s’effectue sans rendez-vous auprès du lieu de dépôt du dossier, aux horaires habituels d’ouverture.

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Journal « l’Union » - 091003f

REIMS / Concurrence déloyale : La justice suspend l’activité des Taxibus de Transdev


Les Taxibus de la société de transport Transdev : une concurrence déloyale pour les Taxis de Reims.
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Les Taxis de Reims jugeaient déloyale la mise en place de Taxibus depuis la gare TGV de Reims Bezannes par la société Transdev.

La justice leur a donné raison.

Acompter du lundi 5 octobre prochain, « TransdevReims n’assu-rera plus le service Taxibus mis en place en avril dernier, et permettant de rejoindre la gare Bezannes TGV".

Dans un communiqué envoyé hier après-midi, la société Transdev, qui gère les bus à Reims, annonce la fin (provisoire ?) de son service à la carte mis en place il y a quelques mois.

Jugeant l’exploitation de la ligne K pas rentable jusqu’à la gare de Bezannes, l’entreprise avait décidé à l’époque de la suspendre sine die et de la remplacer par des navettes appelées Taxibus, des voitures, qui ne pouvaient être réservées qu’à l’avance. Le tout moyennant une somme de trois euros. Une formule qui n’a pas été appréciée par les Taxis de Reims qui ont alors intenté une action en justice pour concurrence déloyale. « Ils faisaient la prestation d’un taxi sans en avoir toutes les contraintes », explique une responsable des Taxis de Reims. « Exercer et avoir l’appellation Taxi requiert des examens, des autorisations. Ce n’était pas le cas. »

Des arguments reçus par la justice. Le tribunal de Commerce de Reims a en effet décidé que Transdev Reims devait cesser toutes activités de Taxibus au sein de l’agglomération rémoise. L’entreprise a interjeté appel.

« Dans l’attente de ce deuxième jugement, des navettes supplémentaires de la ligne K seront mises en place dès le lundi 5 octobre afin de compléter la desserte actuelle de la gare Bezannes TGV par la ligne K », explique un responsable de Transdev. « Dans un premier temps nous devrions prolonger une ligne sur deux depuis Croix-du-Sud vers la gare. Nous verrons ensuite comment adapter au mieux notre service à la demande sachant que l’appel devrait être examiné le 14 octobre. En fonction du résultat on s’adaptera. »

G.A.T.

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Journal « l’Union » - 091003e

Animations à l’Etoile Croix-du-Sud : A noter dans vos agendas

Les dames ne sont pas les dernières à taper le carton.
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L’association Étoile Croix-du-Sud organise deux manifestations :

- un loto vendredi 9 octobre

    • ouverture des portes à 18 h 30,
    • 2 euros le carton),

- et un concours de belote dimanche 11 octobre

    • ouverture des portes à 13 h 30,
    • 16 euros par équipe).

Renseignements et inscriptions au secrétariat, 5, avenue Léon Blum (tél. 03.26.06.56.66.).

 

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Journal « l’Union » - 091003d

De nombreuses offres d’emploi à la médiathèque Croix-Rouge : L’aviation en vedette

Samedi 10 octobre de 14 à 17 heures, la médiathèque Croix-Rouge accueillera l’école internationale Tunon pour présenter les formations liées à l’aviation proposées pour les personnels navigants et les personnels au sol.

Un stand d’information sera installé en secteur Emploi-Formation. Un chef d’escale, une hôtesse de l’air et un chef de sécurité répondront aux questions des visiteurs et leur remettront de la documentation. Du matériel de vol (masque à oxygène, etc…) sera exposé ainsi que des costumes du personnel. Entrée libre.

Samedi 17 octobre de 14 à 17 heures, le Centre d’information et de recrutement des Forces armées (Cirfa) fera découvrir les métiers de l’aviation militaire à la médiathèque Croix-Rouge. Un film documentaire sur les métiers de l’aviation militaire sera diffusé en salle d’exposition.

Un stand d’information sera ouvert dans le secteur Emploi-Formation de la médiathèque avec de la documentation et de nombreuses offres d’emploi.

Les visiteurs pourront également s’informer auprès de professionnels, dont un pilote et un mécanicien qui témoigneront et expliqueront leur métier. Entrée libre.

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Journal « l’Union » - 091003c

Un mois d’attente : L’ascenseur ne monte plus, les charges vont descendre

A partir du 5e étage, l’ambiance était plutôt colère dans l’immeuble.
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Ayant dépassé les délais convenus pour réparer un ascenseur, l’entreprise devra payer des pénalités. Qui abaisseront les charges des locataires.

SI vous deviez rendre visite cette semaine à Stéphane B., au 46 groupe Eisenhower à Croix-Rouge, vous aviez cinq étages à grimper à pied. Et si vous deviez aller chez Betty, vous pouviez en ajouter quatre de plus ! (Heureusement, on ne peut pas aller plus haut, leur immeuble ne fait que neuf étages.) Car l’immeuble en question, comme on l’aura deviné, était privé d’ascenseur ; et cela durait depuis déjà pratiquement un mois ! « Depuis le 4 septembre précisément, stipule Stéphane ; et on n’a constaté une première intervention que le 9. On nous a mis un petit papier qui annonçait que la réparation serait faite pour le 21 ; et puis le 21, la date a été changée sur le papier et devenait le 25 ! Aujourd’hui (avant-hier, NDLR), on est le 1er octobre, et ça n’est toujours pas réparé ! » Inutile de dire par conséquent que du côté de Stéphane et de ses amis des étages supérieurs, obligés d’enchaîner les grimpettes dans les escaliers, ça râlait sec ces jours-ci ! (Voir par ailleurs.)

Calculs compliqués

Alors, une bonne nouvelle leur mettra peut-être un peu de baume au cœur. C’est que cette panne de longue durée entraînera une diminution (ponctuelle) de leurs charges. C’est effectivement ce qu’affirme l’organisme logeur, en l’occurrence Reims habitat : « Nous avons changé de prestataire pour la maintenance des ascenseurs depuis l’été 2008 (maintenant c’est Otis), et une nouvelle disposition de notre contrat prévoit qu’en cas de dépassement des délais pour les réparations, l’entreprise nous versera des pénalités, et celles-ci seront rétrocédées aux locataires, sous forme de réduction de leurs charges ! » Cette réduction sera effectuée le mois suivant l’application de la pénalité, par conséquent, dans le cas présent, en novembre. Quel en sera le montant ? Hier, le logeur n’était pas en mesure de répondre de façon précise, car il y a quelques calculs un peu compliqués à faire (évaluer le montant de la pénalité et la répartition entre les locataires concernés, a priori tous ceux de l’immeuble en dehors du rez-de-chaussée), mais ce qui est sûr, c’est que cette réduction sera bien appliquée !

Cela dit, ce qui intéressera sans doute Stéphane et ses amis, avant même la perspective d’économiser quelques euros, c’est de savoir quand leur ascenseur sera réparé. Or, alors que l’on nous avait annoncé initialement le 5 octobre, c’est finalement dès hier que l’appareil a été remis en marche ! Miracle de l’intervention de la presse ?

Antoine PARDESSUS

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Un mois, ça commence à faire longuet !

« Ma femme qui souffre de la colonne vertébrale ne pouvait plus monter et descendre sans arrêt les escaliers, elle est allée s’installer chez ses parents ! Et maintenant, comme tout ça perturbe les enfants, qui ont papa ici, maman ailleurs, elle fait en plus de la dépression ! » Stéphane ne cachait pas son mécontentement devant la panne d’ascenseur qui se prolongeait dans son immeuble depuis bientôt un mois (mais qui a pris fin dès hier, voir ci-dessus). Pour ce qui le concerne lui-même, réparateur informatique de son état, il commençait à trouver plus que pénible de devoir monter ou descendre à bras sur cinq étages des tours d’ordinateur qui pèsent parfois jusqu’à 15 kilos !

Betty, dans son 9e étage, en avait pour sa part plus qu’assez de se faire « jusqu’à six montées et descentes par jour, avec les enfants ou avec les sacs de courses » ! Quant à Cendrine, un étage plus bas seulement, elle s’inquiétait de savoir que son mari, « qui rentre du boulot à minuit, est obligé de monter les escaliers alors qu’il est déjà bien fatigué ». Bref, tous avaient hâte de voir le bout du tunnel ou plutôt le retour de l’ascenseur. « Et surtout on veut des explications ! On nous dit qu’il faut changer une pièce ; mais ils sont en train de la fabriquer ou quoi ? » Peut-être pas de la fabriquer (encore qu’avec la mode du flux tendu, on ne sait jamais), mais au moins de la commander. Mais elle a fini par arriver.

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Journal « l’Union » - 091003b

Travaux du tram : Que de bouchons !

Depuis une semaine la circulation est devenue encore plus difficile dans trois secteurs de la ville
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Que de bouchons cette semaine ! Alors que les automobilistes commençaient à s’habituer aux multiples déviations et ralentissements liés aux travaux du tram, les embouteillages sont revenus en force depuis lundi dernier.

L’avenue Charles-de-Gaulle qui conduit à Croix-Rouge via Courlancy est de plus en plus pénible à parcourir. La place de la République (celle où il y avait l’œuf) est devenue un point noir à contourner.

Quant au secteur de Laon, ceux qui en viennent ne savent plus par où passer pour avoir une chance d’avancer.

Pour Mars, le retour en force des bouchons s’explique aisément : « Les travaux se sont intensifiés dans certains secteurs avec des changements de circulation. Ce à quoi il faut ajouter la rentrée universitaire et le retour des vacanciers de septembre ».

Il y aurait toutefois de l’espoir : « Comme après chaque nouvelle phase de travaux entraînant des modifications, de nouvelles habitudes de déplacement devraient se créer, favorisant une amélioration ». Le tout c’est d’y croire.

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Journal « l’Union » - 091003a

Chutes et collisions : Accidents en série

Le pilote d’un scooter a perdu le contrôle de son engin mercredi un peu après 16h30 dans la rue du Lieutenant-Ovington à Lagery. Au vu de son état, les urgences médicales ont dû intervenir pour lui porter secours. La victime est un Rémois de 44 ans.

Ce même après-midi, à 14 heures, une collision impliquant deux voitures s’est produite sur l’avenue d’Epernay à Reims. Seuls des dégâts matériels ont été déplorés.

Jeudi à 14 h 30, un piéton a été renversé par une voiture rue de Neufchâtel. Il est blessé légèrement.

Hier à 7 heures du matin, une moto Suzuki est entrée en collision avec une voiture Suzuki avenue Nationale à la Neuvillette. Le motard âgé de 32 ans a été légèrement blessé.

Une heure plus tard, une voiture a accroché un cycliste rue Joliot-Curie.

Nouvel accident à 11 heures, rue Dumont-d’Urville, où un cyclomotoriste s’est blessé au coude en tombant par terre

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L’hebdo du vendredi- n° 138 - 091002a

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 138 - Semaine du 2 au 8 octobre 2009
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ÉVÈNEMENT : RATJ à pleins poumons !

L’édition 2009 battra-t-elle le record de 11090 participants enregistrés en 2008 ?
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La vingt-sixième édition de « Reims A Toutes Jambes » se profile à l’horizon et, si le programme 2009 s’inscrit dans la continuité des précédents, quelques nouveautés sont tout de même prévues.

Le 18 octobre prochain, il y aura ceux qui courront, et il y aura les autres, spectacteurs - amateurs s’installant le long du parcours. Cette tendance, les organisateurs de RATJ l’ont bien compris en faisant, cette année, la part belle aux animations.

Plusieurs courses pour un même Objectif

Peu de modifications concernant les épreuves, seulement un départ avancé de 10 minutes (9h15) pour le 10 km France Bleu et une ligne de départ déplacée le long du canal, quai du Pré aux Moines. Cette course accueillera cette année deux nouveaux challenges : le Challenge Etudiants et le Challenge Apprentis, le premier étant réservé aux étudiants de l’Université de Reims et le second aux élèves du Centre de Formation des Apprentis du Bâtiment de la Marne. Le semimarathon connaitra, lui, un léger changement de tracé, dû aux travaux du tramway. Comme pour le 10 km, le départ est prévu quai du Pré aux Moines, mais à 10h. Néanmoins c’est bien sur le marathon qu’en découdront les plus athlètiques d’entre-nous. Le départ est annoncé à 10h35, rue Libergier. Afin d’insuffler du rythme à la course, des meneuses d’allure seront présentes ; reconnaissables à leurs flammes de couleurs, elles seront là pour donner le tempo aux concurrents qui les accompagneront. Seront également courus : le Challenge Jeunes Crédit Agricole du Nord-Est, les Relais des Ecoles USEP et le Challenge Entreprises.

Les animations au rendez-vous

Elles seront présentes du 16 au 17 octobre sur le Village Expo au Parc des Expositions, et sur tout le tracé de la course le dimanche 18. Parmi les activités proposées : dégustation de donuts, démonstration de skate, de roller, de BMX Trial (avec Simon Rogier, spécialiste en VTT), de Hip Hop, un atelier graff etc. Plus original, un spectacle d’acrobaties est également prévu. Les Yamakasis, fameux gymnastes-acrobates héros d’un film, ont inspiré des jeunes du quartier Croix-Rouge qui ont fini par créer leur association : Parkour. Pendant le week-end, ces derniers auront l’occasion de prouver leur agilité au public en utilisant escaliers, murs et mobilier urbain. Dans un autre registre, l’animation viendra aussi d’Internet avec une nouvelle application du site www.ratj.fr permettant de connaître en temps réel les horaires de passage des coureurs à différents points de la course.

Avec déjà 1 037 coureurs inscrits pour l’épreuve reine de 42 km, le vingt-sixième marathon rémois promet déjà d’être un succès. Reste une éternelle incertaine : la météo, qui pourrait facilement gâcher cette journée d’effort.

Aymeric Henniaux

Inscriptions jusqu’au 14/10 sur www.ratj.fr, et jusqu’au 17/10 au Centre d’Inscription situé au Complexe René Tys.


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ÉDUCATION : Prise de pouls chez les étudiants

Reprise des cours chez les étudiants… en attendant des mouvements de protestation ?
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Le 21 septembre marquait la rentrée universitaire pour beaucoup d’étudiants, celle-ci est un peu particulière. En effet, pendant plusieurs mois au cours de l’an dernier l’université de Reims Champagne Ardenne (et plus particulièrement le campus Croix-Rouge) avait été bloquée.

De nombreuses revendications et manifestations ont secoué la vie étudiante et par là même celle de Reims.

Mais cette nouvelle année s’annoncet- elle plus calme ? Pour certains rien n’est moins sûr : « Personnellement je pense que ça va recommencer », affirme Grégory, étudiant en 3ème année d’histoire, même certitude pour des étudiants de 1ère année de LEA (Langues Etrangères Appliquées) à qui l’on aurait dit que des assemblées générales (AG) étaient déjà programmées.

La rentrée ne se fait donc pas tout à fait sereinement et les pronostics quant au déroulement de l’année vont bon train. Le relâchement de la mobilisation en juin dernier laisse un goût d’inachevé pour bon nombre d’étudiants mobilisés. Peu de revendications ont en effet été entendues (report d’un an concernant la mesure de fermeture des IUFM, ainsi que pour la gestion des financements destinés aux IUT par la présidence, entre autres…). Il avait d’ailleurs été dit à plusieurs reprises au cours des AG de l’année passée, que si le mouvement prenait fin sans que les revendications ne soient entendues, alors il faudrait se préparer à de nouvelles actions en 2009-2010.

Pour Ambre, trésorière de l’UNEF, « les AG sont avant tout là pour conscientiser les étudiants », les réformes contestées de l’année passée étant remises à plat, il n’est pas question de reparler de mobilisation autour de ces questions avant de connaître l’aboutissement des révisions.

Malgré tout, les revendications étudiantes restent nombreuses (revalorisation des aides au logement, création d’un 10ème mois de bourse, lutte contre la précarisation des étudiants…). Mais, si rien pour le moment ne laisse présager des évènements semblables à ceux de l’année dernière, les étudiants, anciens comme nouveaux bacheliers, s’interrogent et gardent en mémoire l’année mouvementée qu’ils ont, de près ou de loin, connue.

Coline Sinzot


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LIVRE : L’envol étrange des « Ombres folles »…En bref

13 aventures étranges prennent place dans des lieux pourtant familiers…
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Pierre Coulon, natif du pays rethélois, publie un recueil de 13 nouvelles ancrées entre Charleville et Reims. Plongée régionale et surnaturelle à la rencontre de personnages.

Auteur du roman historique « Une Etoile m’a dit » (prenant place près de Rethel lors de la seconde guerre mondiale), Pierre Coulon, 50 ans, propose aujourd’hui de vivre quelques aventures au rythme d’évènements clef : « la folie et la mort sont des thèmes récurrents dans le recueil : l’association des deux mots, baudelairienne, a naturellement donné naissance au titre ». « Les ombres folles » sont ainsi saisies au coeur de l’étrange, mêlant mystère et réalité. Une armoire ardennaise et magique vendue sur le stand 13 d’une brocante à Merfy, un vendeur d’aspirateur insidieux qui s’invite dans un appartement de Croix- Rouge, un studio de la rue Jeanne d’Arc reconstitué à l’identique à Signy l’Abbaye… Ancrées dans des lieux réels, les nouvelles permettent au lecteur de trouver ses repères. « Dans l’écriture, je cherche des espaces pouvant servir de théâtre à mes histoires, j’aime emmener le lecteur avec moi au bout de l’aventure ». En ouvrant, par exemple, sa première nouvelle avec « tout est de ma faute », Pierre Coulon capte l’attention et suscite des questions. Rencontres étonnantes des narrateurs avec une foule de personnages qui passent au cœur de quartiers familiers, s’aperçoivent en terrasse des cafés avant de prendre la fuite entre ville et campagne. Monsieur le Maire, un étudiant, de braves femmes ou vieilles presque folles, des créatures de rêve se côtoient… Tous inspirés de balades ou d’anecdotes entendues. La première nouvelle du recueil, « La Bonne-femme de neige », a, par ailleurs, obtenu un prix littéraire en 2007, ayant permis de financer l’impression de l’ouvrage.

Un moyen efficace de réconcilier les territoires marnais et ardennais.

Pauline Godart


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Roller N1 : premier dérapage

Surpris le week-end dernier par Viry, défaite (2-6), les Rémois ont encore une semaine pour essayer de corriger leurs défauts et se préparer à la venue, samedi 10 octobre, de l’équipe de Troyes.

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Journal « l’Union » - 091001c

Lancé hier dans le quartier : L’Hebdo Croix-Rouge en marche

Distribué gratuitement pendant quatre semaines, l’Hebdo Croix-Rouge sera vendu ensuite 0,10 euro.
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Valérie découvre l’Hebdo Croix-Rouge chez son marchand de journaux.
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Le premier numéro de l’Hebdo Croix-Rouge sorti hier dans le quartier a été accueilli avec satisfaction par les habitants. UN hebdomadaire spécialement dédié à leur quartier… Si certains habitants de Croix-Rouge avaient entendu parler du projet, via des associations ou les maisons de quartier, ils ont pu le découvrir concrètement hier matin dans leurs boîtes aux lettres ou chez leurs marchands de journaux.

Et le premier accueil a été chaleureux devant ce journal lancé par l’union et entièrement consacré à la vie du secteur.

Pour l’occasion, des affichettes spéciales avaient été mises chez les différents diffuseurs pour annoncer la nouvelle.

« C’est vraiment une très très bonne initiative, on va enfin savoir dans le détail ce qui se passe dans le quartier », explique Valérie, qui travaille dans le secteur de Croix-du-Sud.

« Quarante ans que j’habite rue Pierre-Taittinger, j’ai toujours dit qu’ici, il y avait vraiment un problème de communication. Aujourd’hui, grâce à l’Hebdo Croix-Rouge nous serons informés sur la vie du quartier », précise Édith du secteur Université.

« C’est vraiment bien, cela prouve qu’il y a des choses bien à Croix-Rouge », affirme Didier, un autre habitant.

Un parfait complément de l’union

Unanimes ou presque, les habitants du quartier ont maintenant toute la semaine pour découvrir leur nouvel hebdo, en attendant le numéro 2 qui sera disponible mercredi prochain.

Misant résolument sur l’actualité positive dans le quartier, le journal devrait rapidement devenir indispensable aux habitants de Croix-Rouge et être un parfait complément de l’union qui au quotidien continuera de parler des grandes manifestations de la vie du quartier.

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Journal « l’Union » - 091001b

Bon vent

Fabrice Lopez, président du collectif des locataires de Croix-Rouge et responsable d’une formation … politique baptisée « Démocratie rémoise », va quitter la ville.

L’ennemi juré d’Eric Quénard part à Paris.

Après avoir tanné l’Effort rémois pout obtenir un local, au moment où il vient de l’obtenir, il quitte la cité rémoise.

Nul doute que cette salle pourra être attribuée rapidement à l’association Polygones qui, elle, attend d’en avoir un depuis sept ans.

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Journal « l’Union » - 091001a

1.500 euros par an pour 17 hectares : Hippodrome : un bail très controversé

Pour les 17 hectares de l’hippodrome, le bail, signé en mars 2008, prévoit un loyer annuel de 1.500 euros.
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La Ville va dénoncer le bail de l’hippodrome signé, juste avant l’élection municipale, par l’ancien maire. Elle dénonce un contrat « illégal » et des méthodes « limites ».

CELA s’est fait discrètement, à la veille de l’élection municipale de 2008. Le 3 mars précisément, l’ancien maire Jean-Louis Schneiter signait un nouveau contrat avec la Société des courses de Reims pour l’utilisation des 17 hectares de l’hippodrome de Reims. Sur le papier rien à redire, si ce n’est que cela a été fait dans la précipitation et que le document signé contient un certain nombre de données qui ont du mal à passer dans la nouvelle équipe.

« Ce contrat est parfaitement illégal et déontologiquement limite », souligne Serge Pugeault, adjoint en charge notamment du développement économique et des grands projets. « Il n’y a eu aucune délibération en conseil municipal concernant cette décision comme cela aurait dû se faire. De plus, comme le domaine public est en cause, ce bail entre dans le cadre de la loi Sapin qui prévoit une mise en concurrence avec un cahier des charges, un appel d’offres et ensuite seulement l’attribution à telle ou telle société. Rien de tout cela n’a été respecté. »

Autres points d’achoppement, la durée de ce bail, jusqu’au 31 décembre 2017, et surtout le loyer demandé à la Société des courses de Reims : 1.500 euros par an « soit moins qu’une chambre du Crous en cité universitaire », dénonce Michel Guillaudeau, élu communiste. « Et cerise sur le gâteau, le montant n’est pas révisable. » Il est certain que nombreux sont ceux qui aimeraient bénéficier de tels prix, qui plus est lorsque cela concerne 17 hectares… Tout en sachant qu’avant la Société des courses ne payait aucun loyer.

« Grotesque, ridicule et mensonger »

Selon les estimations des Domaines obtenues par la Ville, le loyer devrait être d’au moins 15.000 euros par an, soit dix fois plus.

« Tout le monde se souvient de l’acharnement de M. Beaupuy (dans la majorité début 2008) contre la gratuité d’accès au parc de Champagne », stigmatise Michel Guillaudeau. « Dans cette logique, on pouvait penser que le coût de la location a été soigneusement étudié en fonction des prix pratiqués pour la location de terrains de notre agglomération. Ce n’est pas le cas. Inflexible pour les visiteurs du parc de Champagne, M. Beaupuy a accordé un prix d’ami à la Société des courses. »

« Grotesque, ridicule et mensonger », rétorque Jean-Marie Beaupuy. « Jean-Louis Schneiter a fait en sorte à l’époque que l’hippodrome puisse continuer à fonctionner. Il n’y a pas eu de cadeau d’ami. La vraie question, c’est de savoir ce qu’a fait la nouvelle municipalité sur ce dossier depuis dix-huit mois… »

Dénonçant le bail signé, la Ville a rencontré le président de la Société des courses de Reims il y a deux mois pour lui signifier qu’elle allait lancer un appel à concurrence sur ce dossier d’ici la fin de l’année. Quelle que soit l’issue de la procédure, nul doute que sur un point au moins, celui du loyer annuel, les choses seront très différentes.

G.A.-T.

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« Il était important d’agir vite »


Mis en cause dans la procédure, l’ancien maire Jean-Louis Schneiter se défend de tout favoritisme ou de tout copinage. « Au départ, on devait transférer l’hippodrome vers Bezannes. Compte tenu que cela ne s’est pas fait, il a fallu reconduire rapidement le bail de la Société des courses de Reims sur le site actuel. L’idée était de donner les moyens à la Société des courses de pouvoir continuer son travail, charge ensuite à ceux qui seraient en place de travailler sur l’avenir du site. Rien d’autre. »

Sur la durée du bail, Jean-Louis Schneiter explique qu’il a simplement prolongé le bail dans les conditions du précédent et que de toute façon, si nouvel hippodrome il y a, la Ville a le pouvoir de résilier le bail avant 2017.

Sur le montant du loyer annuel, particulièrement bas, l’ancien maire se défend en expliquant « qu’il y a plein de travaux à faire qui seront à la charge de la Société des courses. On en a tenu compte dans ce loyer ».

« Si on n’avait pas prolongé le bail rapidement, il n’y aurait plus eu de courses à Reims. Que ne nous aurait-on pas alors reproché ! Il était important d’agir vite pour une structure et des manifestations auxquelles les Rémois sont attachés. »

Validé par le service juridique de la Ville

Président de la Société des courses, Gilles Jéziorski s’étonne de la montée en puissance de cette affaire. « Nous avons rendez-vous le 20 octobre avec la mairie pour en parler. Je trouve étonnant que tout cela sorte ainsi en conseil municipal. » Sur la légalité du bail signé avec l’ancienne municipalité, le président Jéziorski est très clair. « Je rappelle que ce bail a été rédigé par le service juridique de la Ville. Il ne posait de problème à personne jusqu’à présent. La question est de savoir concrètement si nous sommes sur un domaine public ou privé. Nous avons demandé à un cabinet parisien indépendant d’étudier le bail. Pour lui, nous sommes dans un domaine privé car il faut notamment payer pour entrer et l’organisation des courses hippiques ne relève pas d’un service public. »

S’il faut revenir sur le bail, Gilles Jéziorski est prêt à jouer le jeu. Sur le loyer de 1.500 euros, il rappelle qu’avant il « ne payait rien ». « On m’a imposé 1.500 euros. Si le loyer paraît faible, je n’allais pas demander plus… Mais si on me dit 15.000 euros, cela ne pose pas de problème. On s’adaptera », poursuit le président tout en rappelant que, dans le nouveau bail signé, une clause non négligeable a disparu : « On touchait de la part de la Ville une indemnité d’entretien des lieux de 100.000 euros. Elle a disparu et là, étonnamment, personne n’en parle. Dans l’histoire, ce n’est pas la Société des courses qui est la plus gagnante… »

G. A.-T.

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Journal « l’Union » - « L’HEBDO CROIX-ROUGE » - 090930h

Expos et ateliers à la Médiathèque

Exposition

Jusqu’au samedi 31 octobre, des planches de la série de bande dessinée Les voyages de Lefranc, l’aviation (scénario de Jacques Martin ; dessin de Regric), parue aux éditions Casterman.

Cette série raconte l’histoire de l’aviation depuis les origines jusqu’à 1918. Cette exposition est complétée par des planches de l’album Le vol des anges de Cédric Fernandez et Wallace (éditions Zéphyr).

L’histoire de cet album se déroule en partie durant le meeting aérien de Reims en 1909.

Mercredis 7 et 14 octobre de 14h à 17h (6 à 8 ans).

Atelier jeunesse, 1er étage

Ateliers d’aéronautique animés par l’association des Petits Débrouillards, dans le cadre de l’opération Décollage immédiat.

Comment un avion fait-il pour décoller et rester dans le ciel ?

Essaye de comprendre ce curieux phénomène et construis toi-même ton avion !

Inscription pour deux séances consécutives : en secteur jeunesse ou au 03- 26-35- 68-51.

Rencontres

Dans le cadre de la manifestation « Décollage immédiat » : Samedi 10 octobre de 10h à 17h. La médiathèque accueillera l’Ecole internationale Tunon.

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Journal « l’Union » - 090930g

Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier

Christiane Monflier, présidente de l’association de promotion de Pays-de-France, est très en colère.
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Grosse colère

Elle a découvert, sur la plaquette de présentation des activités 2009-2010 de la maison de quartier Croix-Rouge, distribuée dans toutes les boîtes aux lettres, que son association n’y figure pas : « On cite, et c’est bien normal, le Collectif Croix-Rouge accueil et l’association MJC Croix-Rouge, mais pas l’APPF ! Nous sommes exclus de la vie associative de ce quartier ! Pourtant nous travaillons beaucoup en liaison avec l’espace Pays-de-France ! On est pourtant bien contents de nous trouver en cas de besoin, par exemple pour la fête du secteur. » Christiane Monflier, présidente de l’APPF, ne décolère pas ! Basket loisir

Reims Basket Féminin

Le Reims Basket Féminin annonce l’ouverture d’un créneau « loisirs » le vendredi de 19 h 30 à 21 heures au gymnase Léo-Borgniet à Croix-du-Sud. Inscriptions sur place.

Etoile Croix-du-Sud : le site

Jean-Louis Rumério, administrateur, le regrette : « Plus de sous, plus de site ! », ce qui explique que l’association Étoile Croix-du-Sud a dû fermer son site Internet http://www.etoilecroixdusud.com/

Zone franche : du nouveau

    • L’Eurl Alerte-Vigilance vient de se créer au 43, rue Pierre-Taittinger. Gérée par Jean Guemati, elle propose tous types de surveillances, de gardiennage et de sécurité.
    • Tout le quartier Croix-Rouge est pré-câblé Numéricâble. Un distributeur agréé vient d’ouvrir sa boutique au 63, esplanade-Eisenhower.
    • La Sarl DR Création a quitté le 43, rue Pierre-Taittinger pour s’installer au 4, avenue Eisenhower.
    • L’Eurl Logisat (installations et formations en informatique et multimédia) a quitté le 4, place Toulouse-Lautrec pour s’installer au 63, avenue du général-Eisenhower.
    • La Sarl Iso-Confort (6, rue de Rilly-la-Montagne) a quitté Croix-Rouge pour s’installer 17, boulevard Paul-Doumer.
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Journal « l’Union » - 090930f

L’HEBDO CROIX-ROUGE voit le jour

 

 

 

Croix-Rouge est devenu en quelques années l’un des plus grands quartiers de France.

Véritable ville dans la ville, son actualité est désormais trop importante pour figurer intégralement dans les pages de l’union. Ce reproche de trop les oublier, les habitants nous l’ont souvent fait. D’où la décision de créer L’HEBDO CROIX-ROUGE.

Le premier numéro de cet hebdomadaire - ci-dessus, la Une - qui se consacre uniquement à l’actualité du quartier sort aujourd’hui. Une actualité positive, il faut le préciser, où tous ceux qui font vivre le quartier trouveront la place de s’exprimer.

Durant quatre semaines, ce journal sera offert. Il deviendra ensuite payant - normal, il est écrit et fabriqué par des salariés - mais pas cher, à 0,1 euro, car de cette expérience unique, nous souhaitons faire une réussite citoyenne.

Guilhem BEAUQUIER

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090930e

Campus Croix-Rouge : Le local de l’Unef vandalisé

Installé sur le campus Croix-Rouge, le local de l’association étudiante Unef a été vandalisé au cours du week-end.

Les auteurs ont fracturé la serrure de la porte d’entrée avant de retourner du mobilier et de jeter des documents à terre.

Un petit fond de caisse de 10 euros a disparu lors de la fouille. La piste politique est à privilégier car des tags à la peinture hostiles à l’Unef ont été barbouillés sur les murs du local.

Coïncidence ? Parmi les inscriptions figure l’injure « corrompus » taguée ce même week-end sur la maison de deux responsables de l’université, l’une à Tinqueux, l’autre à Ville-en-Selve, près de Louvois.

S’agit-il des mêmes auteurs ? Une enquête est en cours à la police et à la gendarmerie.

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Journal « l’Union » - 090930d

Perte de contrôle : Une voiture percute violemment un poteau sur le pont de Gaulle

Le portique des panneaux indicateurs a été arraché par la voiture venue le percuter.
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Grosse frayeur pour les quatre occupants de la voiture qui a causé d’importants dégâts lundi soir sur le pont de Gaulle, toujours fermé hier en direction du centre-ville (notre précédente édition).

Heureusement sans gravité, l’accident s’est produit vers 23 h 30. Au volant d’une Renault Clio, une jeune Rémoise de 18 ans descendait l’avenue de Gaulle pour rejoindre le centre-ville lorsqu’elle a perdu le contrôle de son auto au niveau du carrefour avec la chaussée Bocquaine. La voiture est partie sur la droite de la chaussée où elle a violemment percuté le portique des panneaux indicateurs avant de tournoyer et de rebondir contre la rambarde du pont pour finalement s’immobiliser en pleine voie.

Des quatre occupants du véhicule, seul un passager légèrement blessé a été transporté au CHU par les pompiers. Souffrant de quelques égratignures et de douleurs cervicales, il a pu rentrer chez lui.

La voiture de la jeune fille est hors d’usage. « D’après ce qu’elle nous a dit, elle a bondi sur une bosse au milieu du carrefour », indiquent ses parents. « C’est pour cette raison qu’elle a eu l’accident. »

Le portique a été arraché à sa base sous la violence de l’impact. Il tient encore debout mais n’a plus d’accroche au sol côté parking du stade Delaune, d’où la fermeture du pont dans le sens Croix-Rouge/centre-ville en attendant les travaux de consolidation qui devaient être engagés hier soir avec rétablissement normal de la circulation ce matin. Une déviation a été mise en place à partir du rond-point Franchet-d’Espérey.

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Journal « l’Union » - 090930c

Hockey-sur-glace : Les tout-petits s’initient aux frissons du patinage

Deux patinoires accueillent les enfants : Barot et Bocquaine.
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L’école de glace du Reims Champagne hockey ouvre ses portes aux 4 ans. À l’instar des plus anciens (c’est-à-dire des enfants nés entre 2003-2004), ils vont s’initier tout au long de l’année sportive aux joies et frissons du hockey. « Leur rentrée s’est faite le 2 septembre. Grâce à nos partenaires, on a eu une recrudescence d’inscriptions. Les gamins qui veulent s’adonner à cette pratique ont droit à trois essais gratuits. Ils seront entraînés par l’entraîneur principal, Vladmir Kovin, ancien champion olympique. Ce dernier est aidé soit par les juniors élite ou les joueurs de la première division. Ce qui fait qu’il y a beaucoup d’encadrants pour le nombre d’enfants. De plus, il y a possibilité de louer le matériel », déclare Emmanuel Clergue, dirigeant sportif.

Cette année, le club a procédé à une révision de ses horaires qui étaient peu commodes. Les jeunes hockeyeurs sont accueillis à la patinoire Barot, le mercredi, de 15 h 15 à 16 h 15 et à la patinoire Bocquaine, le vendredi, de 18 h 15 à 19 h 15. « A la différence des autres catégories, l’école de glace est un apprentissage en douceur du hockey, du maniement de la crosse, du patinage. Il y a deux ou trois rassemblements par an qui permettent de disputer les petits matches amicaux notamment à Noël et en fin d’année sportive où là d’autres clubs sont invités », tient à indiquer Emmanuel Clergue.

 

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Journal « l’Union » - 090930b

Volley Ufolep : Une saison bien lancée

Le championnat débute le lundi 5 octobre.
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Après la période consacrée aux vacances et au repos bien mérité de (presque) tous les sportifs, l’Ufolep de la Marne a récemment convié les représentants de ses 44 équipes de volley-ball à la réunion de rentrée précédant la reprise des activités.

L’occasion comme à l’habitude d’échanger sur la pratique, de décider ensemble du déroulement de la saison.

Les membres bénévoles de la commission départementale ont donc eu du pain sur la planche pour organiser et dresser le calendrier du championnat. Quatre poules ont été constituées, permettant à chacun de pratiquer le volley-ball selon son niveau de jeu. Comme toujours, la saison débute le premier lundi d’octobre (le 5 donc !) avec un tour de coupe départementale dont le tirage au sort a été accueilli mardi par le magasin Saint-Remi Sports, partenaire de la compétition.

Tous les tirages et calendriers sont désormais disponibles sur le site Internet Ufolep 51, mais aussi toutes les coordonnées des clubs marnais : avis aux amateurs de pratique sportive accessible et conviviale !

Ufolep 51, tél. 03.26.84.32.26. Site : www.ufolep51.org Courriel : ufolep51@wanadoo.fr

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Journal « l’Union » - 090930a

HALTEROPHILIE : Et ça repart !

Les vacances sont bel et bien terminées pour Abyr Touti.
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Le prix des vendanges de Reims annonce la reprise des compétitions dans la Marne.

Cette revue d’effectif sera le prélude d’un mois d’octobre chargé avec la première journée du championnat de France des clubs de Nationale 1 B chez les hommes (10 octobre à Gennevilliers contre les locaux et Comines) suivie une semaine plus tard par la N1B féminine (à Blanc-Mesnil contre les Franciliennes et Quimper).

Pour bien finir le mois, le RHM organisera le 31 octobre la première finale de la zone nord-est, qualificative pour les France.

Samedi : au gymnase François-Legros à Reims, premières barres à 15 heures.

 

 

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Journal « l’Union » - 090929g

Séances de vaccinations

Le service communal d’hygiène et de santé organisera une séance de vaccination ce mardi 29 septembre de 17 h 30 à 19 heures, à la maison des préventions, 11, rue Eugène-Wiet.

Renseignements, tél. 03.26.35.60.50.

La séance suivante aura lieu le mercredi 7 octobre, de 9 h 30 à 10 h 30, à la maison de quartier Croix-Rouge, à l’espace Pays de France, 1, allée des Béarnais.

Renseignements, tél. 0326.82.53.48.


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