25.2.11

Circuits sahariens

G. de Bonneval,


Circuits sahariens : 
Laghouat, le M’zab et Mettlili des Chambas,
Circular Saharian Tours.

122 p.
(1ère éd. 1930).
Français – Anglais.
112 photos rares + carte.



Table des Matières

-Laghouat et ses environs ………………………………………… 5
Laghouat and Neighbouring Country
-De Djelfa à Laghouat … ……………………………………………9
From Djelfa to Laghouat
-Laghouat … ……………………………………………………………11
-De Laghouat à Tadjemout. ……………………………………21
From Laghouat to Tadjemout
-Kourdane. … …………………………………………………………28
-Aïn-Mahdi et la confrérie des Tidjnia. … …………………35
Aïn-Mahdi and the Brotherhood of the Tidjania
-De Laghouat à Ksar el Hirane. … ……………………………45
From Laghouat to Ksar el Hirane
-Le M’zab et les Mozabites … …………………………………51.
The M’zab and M’zabites.
-Aperçu  historique sur le M’zab. … ………………………55
Historical Notes on the M’zab.
-Ghardaïa. … …………………………………………………………68
-Mélika. … ……………………………………………………………77
-Beni-Isguen. … ……………………………………………………81
-Bounoura. … ………………………………………………………85
-Al Ateuf. … …………………………………………………………88
-Beriane. … …………………………………………………………92
-Guerrara. … ………………………………………………………95
-Mettlili des Chambas. … ……………………………………103
-De Ghardaïa à Mettlili. … …………………………………103
From Ghardaïa to Mettlili
-Le Ksar de Mettlili. … …………………………………………111
-Retour à Ghardaïa. … …………………………………………115
Back to Ghardaïa.
-Conclusion. … ……………………………………………………116

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23.2.11

Isedraten

DUVEYRIER Henri, 

Isedraten et le schisme ibadite,

10 p.

(1ère éd. 1883).




L'histoire politique de la Sedrata (Isedrâten en berbère) est inséparable de celle de sa puissante voisine, Ouargla (Wârjelen en berbère).

Duveyrier Henri (1840-1892), voyageur et géographe. Après des études de commerce en Allemagne, il apprend l’arabe à l’université de Leipzig. En 1857, il se rend à Alger. A dix-sept ans et demi, il publie ses notes dans le Bulletin de la Société Orientale de Berlin et se met à correspondre avec Heinrich Barth. En 1859, il entreprend un long voyage au Désert, qui le conduit en Algérie (Le Mzab, El-Goléa), en Tunisie, et enfin, en Libye (Ghadamès, chez les Touareg). Il a eu la vie sauve grâce à son ami Ikhenoukhen. En 1864, il obtient la médaille d’or de la Société de Géographie. En 1885, il effectue une courte exploration du Rif, massif méconnu au nord du Maroc. Le 25 avril 1892, il se donne la mort à Sèvres. 

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18.2.11

Entraide et solidarité chez les Mozabites

FÖLDESSY Edina,

Entraide et solidarité chez les Mozabites Ibadites (L'Achira),

Mémoire de maîtrise, (ethnologie),

Paris, 1994,

152 p.


Sommaire

Introduction :
Chap. I : Aperçu historique … … … … … … … … … … … … … … … 5
Chap. II : La structure de l’Achira … … … … … … … … … … … … …19.
1.      Etymologie et signification du mot « Achira ».
2.      Composition de l’achira.
3.      La famille.
4.      L’ancêtre et les noms.
5.      Liens entre éléments constitutifs de l’achira.
6.      Relations inter-achira
Chap. III : Les fonctions de l’achira. … … … … … … … … … … … … 87.
1.      Sur la question de la solidarité.
2.      Les bases matérielles de l’achira.
3.      Les fonctions traditionnellement liées à l’achira. … … … … … …103.
Chap. IV : L’achira et une nouvelle forme de regroupement : l’association.
1.      Nouveaux domaines d’activité de l’achira.
2.      Nouvelle forme de regroupement : l’association.
3.      Les associations et l’organisation sociale traditionnelle.
Conclusion. … … … … … … … … … … … … … … … … … … … 140
Bibliographie. … … … … … … … … … … … … … … … … … …  144.
Annexe. … … … … … … … … … … … … … … … … … … … …  149.

Le livre du jeûne


Le livre du jeûne :

précis de fondements et de jurisprudence.

Extrait du livre el-Wadaa (الوضع)  de : 

Abu Zakaria Yahïa el-Djanawni.

الصوم، ترجمة مقتبسة من كتاب الوضع : 
لـ أبوزكرياء يحي بن الخير الجناوني


Traduit de l'arabe par Mohamed BAMMOUNE.

Revu et corrigé par Yahïa BAHAYOU.

9.2.11

Grammaire complète de la langue Mzabite

GOURLIAU Ernest, 

Grammaire complète de la langue Mzabite : 
comparée dans ses parties essentielles aux dialectes kabyle et tamachek’ (touareg)

216 p.
 

(1er éd. 1898).


Bien qu’il soit reconnu que tous les dialectes berbères ne forment, au fond, qu’une seule langue, on ne peut méconnaître que les dialectes principaux, dont le mzabite fait partie, présentent de nombreuses particularités qui leur sont propres et qu’il est de la plus haute importance de signaler.


IDOUX :
« Les études jusqu’à ce jour publiées sur la linguistique m’zabite étaient assez succinctes ; aussi peut-on remercier M. Gourliau d’avoir, le premier, donné une grammaire complète de cet idiome et une série de textes avec lexique.
Sans avoir la prétention de faire oublier les travaux si originaire de M. Basset sur l’argot du M’zab et la Zénatia du M’zab.
M. Gourliau a apporté dans cet ouvrage si consciencieux une érudition et une patience qui assurent à sa grammaire un accueil bienveillant auprès des érudits. (…)
J’ajouterai même que les circonstances ne l’ont pas toujours secondé pour composer ce long travail. Les Mozabites se refusent en effet avec obstination à rien communiquer touchant leur dialecte ; M. Gourliau se serait donc trouvé arrêté dès le début, s’il n’avait pu mettre la main (dans la ville de Constantine) sur un nègre de Ghardaïa, ancien esclave libéré, épave de quelques r’ezzou de Touaregs, et qui son long séjour au Mzab, avait appris la langue de ses anciens maîtres. (…)
La grammaire de M. Gourliau comprend sept parties, dont cinq composent la grammaire proprement dite, la sixième et la septième renfermant des testes et le vocabulaire. (…)
Nous ne possédons encore que de très remarquables travaux de détail, parmi lesquels celui de M. Gourliau est appelé à occuper un rang fort honorable. (…)
Si nous oublions ces critiques, qui ne sont que des observations de minutie, il n’en reste pas moins que ce livre est le premier ouvrage, aussi complet et aussi volumineux paru jusqu’à ce jour sur ces matières arides, qu’il apporte une sérieuse contribution à l’étude des dialectes berbères et qu’on doit encourager les efforts persévérants de travail, joignent à un labeur patient des connaissances aussi étendues et curieuses que celles de M. Gourliau ».

M. IDOUX (Professeur au Lycée de Tunis). « A propos d’une grammaire mozabite », in Revue Bourguignonne de l’Enseignement Sup. IX, 1899.
M. Idoux était professeur agrégé de grammaire. Après avoir enseigné pendant quelques temps à Constantine, il est parti, en 1898, au Lycée de Tunis. Idoux est mort à Dijon, âgé à peine de trente-deux ans, des suites d’une péritonite. Il laisse sur l’île de Djerba un travail inédit qui devait être sa thèse (latine).

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7.2.11

حياة سليمان باشا الباروني

 أبو القاسم سعيد الباروني


حياة سليمان باشا الباروني

160 p.

(1er éd. 1941)



Barouni (El-) Slimane, (Pacha), (ca. 1867-1940).

Né à Nalout (Tripolitaine) en 1867, El-Barouni appartenait à une famille ibadite très respectée dans le Djebel Nefoussa. (Selon certaines sources, il serait né en 1870 (1287 h.) à Djadou (Djebel Nafoussa), et en 1872 selon une autre version).
Disciple de cheikh Téfieche, El-Barouni se rendit au M'zab en 1895 pour approfondir sa culture auprès de celui-ci. Il y séjourna de 1895 à 1898.
En 1900, il poursuivit des cours à la Zaïtouna.
En 1903, il partit au Caire où il entreprit ses études de droit. Il s'y initia aux langues : française, anglaise et italienne. Très surveillé par la police ottomane dans sa jeunesse, il fut arrêté plusieurs fois. Il dut s'enfuir pour regagner à nouveau l'Egypte en 1906.
En 1907, il rendit visite à son cheikh au M'zab. Il collecta, à l'occasion, des fonds pour son journal (الاسد الاسلامي) el-Assad el-Islami. Sa troisième, et dernière, visite au M'zab remontait à juin 1914, à la mort de ch. Téfieche.
En 1908, El-Barouni siégea au Parlement turc. Député du Djebel tripolitaine, il se fut élu Gouverneur de la Tripolitaine et de Barka avec le titre de Pacha
En 1913, ses principaux collaborateurs militaires furent rappelés en Turquie, El-Barouni ne s'y résigna pas. Toutefois, il finit par signer un compromis mettant fin aux hostilités. Vaincu en mars 1913, il quitta la Tripolitaine et se réfugia en Tunisie, puis à Bucarest et enfin à Constantinople. Les Italiens réussirent, enfin, à occuper le Djebel Nafoussa en 1913.
El-Barouni, qui déposa les armes, devait les reprendre en 1914, lors de la déclaration de la Grande Guerre. Les Italiens se replièrent alors sur la côte.
Nommé Sénateur ottoman, El-Barouni fut chargé d'organiser un soulèvement contre les Italiens et d'inquiéter les Anglais en Egypte.
En 1914, le Sultan rappela El-Barouni en Turquie où il siégea au Conseil Supérieur. Il occupa cette fonction jusqu'au coup d'état de Mustapha Kamel en 1919.
Emprisonné en janvier 1915, il s'évadait en janvier 1916. El-Barouni débarqua, en octobre 1916, d'un sous-marin turc en Tripolitaine et incita les habitants au soulèvement. Il prit la direction des opérations ; il fut battu et se réfugia à Tunis. Les autorités françaises le conduisirent ensuite à Paris.
En 1922, El-Barouni mena une violente campagne de presse contre l'action des puissances colonisatrices et plus particulièrement contre l'action italienne en Libye.
En 1927, il fut appelé par le Souverain de l'Oman (Mascate) où il était désigné Président du Conseil des Ministres. Il était reçu favorablement par le Sultan Taymur b. Faysal, ainsi que par l'Imam Mohamed  Abdallah El-Khalili.
Lors d'une conciliation entre le Roi Hassan du Hidjaz et Abd-El-Aziz b. Saoud, El-Barouni était le médiateur.
En 1930, il partit avec sa famille pour Baghdad. Son fils Brahim fut nommé Secrétaire particulier du Roi d'Irak.
En octobre 1938, El-Barouni quitta Baghdad pour Mascate où il devint Conseiller du Sultan Ibn-Timour.
El-Barouni se montra hostile à la France depuis 1914. De ce fait, sa demande de s'installer en Algérie fut rejetée. Il semble vouloir proposer une réconciliation avec le Gouvernement français et demander à résider à Alger, sous surveillance.
El-Barouni mourut à Bombay le 1er mai 1940, suite à une longue maladie.
A côté d'une carrière politique intense, El-Barouni était connu, également, comme écrivain et poète.

(Extrait de : BEBDRISSOU Salah, Implantation des Mozabites dans le département d’Alger entre les deux-guerres, tome III : Répertoire biographique).

5.2.11

Le Ksar de Tafilelt

CHABI Mohammed; DAHLI Mohamed,

Le Ksar de Tafilelt dans la vallée du Mzab :   
Une expérience urbaine entre tradition et modernité.
13 p.

Face à la crise nationale en matière d’architecture et d’urbanisme, une expérience assez particulière dans la vallée du Mzab mérite d’être étudiée, il s’agit d’une nouvelle ville, dénommée le ksar Tafilelt, réalisée au sud de Beni-Isguen.
Ses initiateurs, réunis autour d’une association non lucrative « Amidoul » se sont appuyés pour la réussite du projet, sur la mise en valeur de l’héritage patrimonial matériel et immatériel des ksour anciens du Mzab aux côtés des travaux de recherche sur l’architecture bioclimatique, tout en l’adaptant aux commodités de la vie contemporaine.
Les concepteurs de Tafilelt ont ainsi procédé en la réinterprétation des principes urbanistiques et architecturaux des maisons Mozabites traditionnelles, donné le vrai sens à la notion de concertation et d’entraide à travers la touiza, la redéfinition des savoirs faire et la réinterprétation d’éléments symboliques des anciens ksour, en mettant à contribution les institutions sociales traditionnelle.
Tafilelt est ainsi une nouvelle ville qui s’inscrit dans une optique sociale, économique écologique et patrimoniale, digne des valeurs actuelle de développement durable.

L’objectif du présent travail de recherche est l’étude comparative du nouveau ksar de Tafilelt avec l’ancien ksar de Beni-Isguen sur la base des techniques constructives, matériaux utilisés, formes architecturales et organisation spatiale. (Extrait de l'article).


Disponible en libre téléchargement sur :