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Tous les commentaires

januel denise , le 27 février 2015 à 09:40

j ai assisté à la soirée chez Franck et Héléne . J organiserai avec plaisir une représentation chez moi . Est ce possible dehors ? A bientôt et merci pour ce beau moment partagé ;

LOUVRIER Michel, le 25 novembre 2013 à 16:04

j'ai grandi à Nozeroy et quel plaisir de participer à votre lecture qui a résonné très fort dans mes souvenirs
un grand merci de faire connaitre ce "bijou au centre d'un écrin l'été garni de velours vert, l'hiver de satin blanc..." comme l'écrivait André Pidoux de la Maduère dans son ouvrage "Nozeroy la vieille capitale des Chalons-Orange" ou vous pourrez trouver encore quelques beaux sujets de lecture tant l'histoire est riche
encore un grand merci
amicalement
PS on en parle autour de nous pour susciter un prochain spectacle

Christophe GIVEL, le 19 octobre 2013 à 09:04

Curieuse expérience en réalité … l’acteur finit par disparaître, devenir transparent, ce qui est un comble quand on connaît la présence de Christian, pour laisser le texte agir, nous pénétrer profondément au-delà de sa signification première, dépasser le stade de l’intellect pour s’adresser à nos sens, à notre âme et nous emporter dans un autre monde, imaginaire ou réel, on hésite tant il entretient subtilement le suspens jusqu’au dernier clignement de paupière !
Ventre premier ! Ravi de faire partie du 1er cercle et bientôt du 2ème !

Rémi Percier, le 14 octobre 2013 à 18:32

Le 17 septembre, j'ai accédé à la connaissance de l’œuvre de M. Girardot de Nozeroy. Merci à vous d'avoir porté ce texte inédit, que dis-je, cette philosophie de la vie, jusqu'à nos oreilles "modernes". Merci aussi de servir ces lignes avec justesse et sobriété, jusqu'à un final des plus surprenants.

Deborah De Wit-Konopnicki, le 13 octobre 2013 à 19:15

A Monsieur Girardot de Nozeroy,

Quelle belle rencontre de vous entendre hier soir à Paris (au Lucernaire) et de plonger dans vos pensées humanistes et universelles! L'acteur vous habitait à tel point que les frontières du temps et de l'espace étaient balayées et que j'ai pensé vous rencontrer réellement à Nozeroy même que j'eu la chance de visiter il y a 10 ans.

gerard Lombard, le 07 octobre 2013 à 21:19

Un regal au Lucernaire !
le plaisir des mots et une sobriété dans la mise en scene. Belle mise en lumière aussi, minimale, comme j'aime !
Bref, j'ai aimé et je l'ai dit à tous mes potes theatreux
nb : je suis le mec au pot ''cassé'' de confiture de figues et ami de Francois Achilli

Georges Berthoud, le 15 septembre 2013 à 07:25

Moment rare hier soir au Lucernaire. Un hymne au bonheur qui n'occulte pas les questions, mais les résout en positif.
Faire partie du troisième cercle (le cercle intérieur central?) serait un honneur et un bonheur. Je vais m'y efforcer.
Commentaires plus personnels directement à l'artiste.

martinet louis, le 13 septembre 2013 à 14:59

superbe lecture,completement fascinante.merci.

Mila Casals, le 30 août 2013 à 10:02

J'aime le théÂtre ou plus exactement le théàtre tel que nous l'a fait entendre, voir, sentir Mr Christian Pageault par le truchement de Mr Girardot de Nozeroy dans la petit salle du Lucernaire.
Merci et Bravo pour ce grand moment d'intelligence (dans tous les sens du terme).

Hervé Le Corre, le 29 août 2013 à 12:17

Quelle interprétation habitée du texte ambitieux de M. Girardot de Nozeroy. Merci pour ce délicieux moment au Lucernaire.

michel trossat, le 25 août 2013 à 20:17

Délicieux moment passé en compagnie du conteur et des écrits de M Girardot.
Voyage intérieur et moment sublime où le conteur se levant promptement nous fait découvrir l'Etre qui est en lui mais qui est aussi en nous ; merveilleux moment présent! Quant au nouveau Saint c'est génial!!

Vincent Bidault, le 14 avril 2013 à 14:32

Merci de vous avoir fait découvrir M. Girardot de Nozeroy, hélas, beaucoup trop méconnu!

M.A. Billet, le 08 mai 2012 à 22:25

De part cette intimité si inhabituelle entre le comédien et le spectateur, c'est un spectacle étrange et mystérieux. Ou comment réveiller son âme à ses sens d'une façon si contemporaine, avec des mots et des tournures d'hier...On se laisse porter par ce récit et on en ressort tout surpris et amusé à la fois. Belle bouffée d'oxygène dans notre monde si pressé...Chapeau l'artiste!

nicole lançon, le 24 avril 2012 à 13:42

Un fauteuil de planétarium,s'il eût été installé là comme je l'étais, à deux pas de vous, eût porté mon bonheur à son comble. Vous, étonnant magicien à la fois philosophe et bon terrien, maître à bord d'un monologue dialogué dans un va-et-vient qui nous empoigne, nous relâche, nous reprend, nous invite à la détente, nous étreint jusqu'à suspendre avec vous notre souffle...Ensorcellement des mots, de vos regards, de vos douleurs, et de vos élans si beaux ! Ah ! Monsieur Girardot de Nozeroy, quelle écriture est la vôtre ! Quelle complicité n'éveillez-vous point dans votre approche de la peur, dans celle de l'âme ! Quel talent ! J'en reste encore tellement touchée ! MERCI !

Antoinette Mercier, le 21 avril 2012 à 16:05

Merci encore, pour ce moment, hors du temps, beau, poétique,
merci pour cette grande humanité ! Belle et douce rencontre en vérité !

Claude, le 21 avril 2012 à 14:39

<<<<<<<<j'ai dû décoller sévèrement hier-soir, car j'ai eu par moments, envie de demander au conteur,-entendu dans l'inoubliable "Guerre de dix ans" avec Natalie Malitchenko, si ce vénérable Monsieur Girardot n'était pas né début septembre 36; de quel Siècle, à vous de deviner. Encore Bravo et merci
Claude

Marie-Dominique LOISEAU, le 21 avril 2012 à 06:11

Ce matin j'en suis encore à me demander si ce monsieur Girardot de Nozeroy n'a pas eu une existence intemporelle, auquel cas il aurait véritablement existé et existerait encore...dans notre imagination.
Merci pour ce voyage.

Patrick Verroust, le 12 mars 2012 à 13:49

Votre verbe est étonnant d'une beauté très XVIII° , vous menez avec verve, une réflexion philosophique personnelle, hors sentiers battus, nourris de Montaigne, Spinoza et des philosophes des lumières.Votre jeu d'acteur est agréable, vous avez plaisir à jouer et savez le faire sentir, vous dégagez une ironie corporelle et maintenez une distance avec ce personnage que vous savez bien incarner, par ailleurs. Vous faites des allers retours complices entre lui et les spectateurs.Votre quête philosophique sait se faire sensuelle, très charnelle et crue par moment. Vous démontrez,ainsi, que l'éthique n'est pas parole mais acte. Vous semblez cultiver une sorte d'amateurisme élégant qui suscite l'empathie...Bref, si je me fis une douce violence pour venir, il n'y eut pas dol, je vous le jura, je souhaite que Grenoble accueille vous et ce Nozeroy.

Mark Rondot, le 27 février 2012 à 20:24

Je vient d'assister aux écrits de Mr. Girardot de Nozeroy et souhaiter vous féliciter pour la performance.

Une pièce bien inspirante, bravo et merci.

Karen T, le 22 mai 2011 à 23:21

Dimanche 15 mai 2011 dans la Chapelle des Augustins de Poitiers. J'étais arrivée un peu stressée par les activités de la semaine sans savoir trop ce que je venais chercher. Je suis repartie le coeur léger, complètement aérienne avec la volonté de communiquer à tous mes amis cette sensation de bien être. Comme une transfusion de sans neuf, un lavage de cerveau, une greffe de cœur vierge...Transportée par cette lecture, en communion avec vous lorsque les regards se croisaient. Un grand moment.