101 - Nizar Kabbani (traduction)

Publié le par Kinou


Je vous livre la traduction du poème qui faisait l'objet de l'article 91: Nizar Kabbani, poète de la femme. Je pensais l'avoir joint à la version originale... oups !

 

Comme toujours, je précise que je n'ai pas choisi ce texte au hasard

Est-ce que tu m’aimes après tout
Car moi j’ai oublié tout
Ton passé je ne compte pas le réveiller
Ça me suffit que tu sois là maintenant
Tu souris et tu tiens ma main
Et mon doute en toi devient une croyance
D’hier, ne parle jamais
Et laisse faire les yeux et les cheveux
Tes petites fautes, j’en passe
Et je transforme les épines en encens
Sans l’amour dans ses ailes
L’homme ne sera pas l’homme de maintenant…

Publié dans Art et culture

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Alors j'ai lu les contes d'enfantsJe suis entré dans les palais des rois géniesEt j'ai revé que la fille du sultan m'épousaitCelle aux yeux plus clairs qu'une eau limpideCelle aux lèvres appetissantes plus que les fleurs des grenadesEt J'ai rêvé que je l'enlevais tels que font les chevaliersEt de lui offrir des quantités de perles et corails Votre amour,madame, m'a enseigné ce qu'est le délireIl m'a enseigné comment le temps passesans que vienne la fille du sultan ...... <br /> De très grands chanteurs arabes ont aussi repris ces poèmes Kinou comme Kazim el Saher le grand chanteur irakien
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