Happy un-birthday !

Joyeux non-anniversaire !
Aujourd’hui, je poste mon 105e billet sur ce blog. (Non, ce n’est pas l’âge de La Fille du Consul, qui a osé ?!)
Et pour fêter ce chiffre mémorable, voici trois petits biscuits à accrocher là où vous voudrez (mur, porte, frigidaire…).

Mais on peut écrire comme ça beaucoup d’autres choses…

Qui saura faire la différence entre les vrais et les faux?

Jardin des Créateurs

Depuis quelques jours, La Fille du Consul est référencée sur le site Le jardin des créateurs, au côté de nombreux autres inventeurs de merveilles…


Le Jardin des créateurs : « Présentation de créateurs français indépendants (...).D 'inspirations diverses, ce sont ici des pièces uniques ou appartenant à de petites séries limitées. »

Hivernal

Petite nouveauté d’hiver : une edelweiss qu’on croirait faite en glaçage sucré pour les gâteaux ! Elle existe en épingle à chignon, montée en broche, ou sur un délicat ruban d'organza, à porter autour du cou.
Pour les commandes, c’est chez Les Fleurs.

Elle

Lu dans ELLE du 18 janvier 2007:

" On élève des escargots sur le revers de sa veste.
Ceux sculptés par La Fille du Consul sont en argile polymère. Leur coquille, elle, est bien naturelle. Et leur sillon de bave... en ruban blanc. Poétique et réaliste. "
(Vanessa Zochetti, le 18 janvier 2007)

« Le Prince Florizel a l'honneur de recevoir la Fille du Consul » et autres conversations

Un blog que j’apprécie, le Divan Fumoir Bohémien, vient de publier un article sur les créations de La Fille du Consul. (En illustration la capture d’écran)
Et c’est ICI.
Je vous laisse y jeter un œil, mais surtout découvrir, si vous ne le connaissez pas encore, ce blog qui ne traite que de sujets qui m’intéressent, et d’une façon que je trouve souvent très poétique.
Un petit mot sur le Prince Florizel, pour ceux qui comme moi ne connaissaient pas avant de ... le découvrir.

Pendant que suis à parler des blogs qui me font de la pub d’une façon adorable, il y a quelques jours, pour l’Epiphanie, ma couronne « pain d’épice » a remporté un franc succès auprès de Mes petits plats.
Et c’est ICI.

ET puis, le plus incroyable, (quoique… ?) ELLE.fr où j’ai droit à un petit article :

Ca se trouve ICI, en 2e page. (Il faut cliquer sur "l'an vert du décor", et l'article est en bas de page)

AJOUT du 20 janvier 2007 – 01h05 du matin…

Et je découvre, ébahie (oui, oui, ça m’épate !), que mon blog et mes créations ont également séduit « la mélancolie du caméléon», qui a pour joli sous-titre « Carnet de voyage de la pâte polymère ». L’article se trouve ICI.
C’est un autre site que je vais voir régulièrement, découvreur de merveilleux créateurs et délicieuses créations autour de la pâte (ou l’argile) de polymère.
Je suis très fière d'en faire partie, et le texte m’a beaucoup plu.

Je vous laisse le découvrir, c’est un peu plus de ce personnage « La Fille du Consul » que je ne le décris moi-même, - comme le texte de Florizelle.
Je suis très admirative de ce que d’autres peuvent en dire, sans pouvoir le formuler moi-même. Merci à vous.

Conte du fond des mers

Mariée océane, parée de coquillages et de coraux, une coiffure de princesse pour un mariage de contes de fées. On pouvait trouver une perle baroque, une délicate branche de corail blanc (sculpté en argile de polymère) ou un bouquet de coquillages dans chacune des volutes de ses boucles blondes.
Pour la petite histoire, ils étaient chacun originaires d’un côté et de l’autre du Couesnon, la rivière qui joue les frontières entre Bretagne et Normandie. (Celle qui, dans sa folie… disent certains.)

Pour réconcilier ces deux pays-frères ennemis, ils se marièrent un 24 septembre, jour de la St Michel, avec la mer comme marraine protectrice de ces deux amoureux.
Quelques photos de cette coiffure avec un clin d’œil à Paul Féval et sa Fée des Grèves. Le texte du roman peut être téléchargé ICI.

Et pour finir en poésie, un joli calligramme autour de la silhouette du Mont St Michel, écrit -dessiné- par obni dans son blog obni.net

Désolée !

Petite note à l’intention de celles et ceux qui suivent ce blog grâce à un fil d’abonnement RSS : je fais du rangement dans mes articles et leurs libellés, navrée pour les fausses « nouvelles publications » .
De plus, je réactive la modération des commentaires, le blog ayant été "spammé".

Nouvel an russe

Un rostre de bélemnite fossile transperçant un cœur de « bronze » en argile de polymère. Le fossile est réel, aigu et fragile ; le cœur martelé, se déchire sous la dernière torture, par ses plaies ouvertes dans le métal ; le symbolisme est bien grand. L’objet se suspend autour du cou, pour ne pas oublier, peut-être ?

Les interprétations sont nombreuses.

Laetitia Miéral

Une créatrice dans ses rêves…

Laetitia Miéral dans son blog Merveilles en Papier, présente ses créations de papier et dévoile différentes propositions pour des cartes et des marques-pages.

C’est féerique, et je suis très sensible à son univers, surtout quand il s’agit de princesses Grenouille ou de Lapins Blancs.

Et j’ai eu la jolie surprise de retrouver mon blog dans ses favoris, Merci !

Lien vers son site : www.laetitiamieral.fr
Avec l’aimable autorisation de Laetitia Miéral.

Un concours de Girafe

Je m’y prends très tard pour l’écrire ici, d’autant plus que Sharon m’en a parlé il y a un certain temps, déjà :

« Le cri de la Girafe organise en début d’année 2007 un concours de créations ouvert à tous sur le thème de la Girafe, au profit d’une association humanitaire d’aide à l’enfance.
Les créations offertes pour le concours devront être envoyées ou déposées à la boutique entre le 15 janvier et le 15 février. (…)
Les votes se feront sur le site web et/ou sur le blog durant tout le mois de mars. (…).La vente des produits aura lieu à la boutique et sur le site web durant tout le mois d’avril. Le gagnant du concours recevra un bon d’achat de 100€ à la boutique, le second, 50€ et le troisième 25€.
Si les fonds collectés sont suffisants, l'objectif est d'envoyer un groupe d'enfants défavorisés passer une journée au zoo (…) »

Je vous renvoie au blog du Cri de la Girafe pour plus d’infos.

Le Cri de la Girafe,
49, rue des vinaigriers,
75010 Paris

Noël orthodoxe

Dans la série des inspirations historiques, voici une croix que l’on pourrait croire sortie du trésor d’une église russe du XIIIe siècle. Promis, je n’ai pillé aucun retable, je ne cache aucune icône ancienne, et cet objet est encore une fois, une « illusion » bien réelle.

Joyeux Noël « russe »!

Épiphanie

Voici une création qui a déjà quelques mois, mais elle est particulièrement de circonstances : Une couronne de pain d’épices qui désignera tout simplement la reine de la journée ! Et qui sera son roi ? Je ne saurai vous le dire.

Hiver vénitien

Hasard de calendrier ? Heureuses circonstances ? 2006-2007 est pour beaucoup de musées en France une année de célébration de l’art vénitien du XVIème siècle. C’est l’âge d’or artistique d’une cité mythique qui est exposé à Paris et en Province, remettant plus que jamais au goût du jour une peinture fondamentale pour l’évolution de l’art occidental, qui n’a de cesse de m'émerveiller.
J’ai eu envie de ressortir quelques créations pas très récentes, inspirées des bijoux de tableaux et du magnifique livre « Bijoux de musées » de Cris Dupouy.

Ainsi la broche des « Trois Grâces », vue dans le Printemps de Botticelli (le tableau est aux Offices de Florence)

Enrobées ou Gracieuses ? Qui sont les trois Grâces ? Filles de Zeus, Euphrosyne, Thalie et Aglaé, président à la conversation et aux travaux de l'esprit.
Euphrosyne est la joie poussée à son sommet, l’allégresse, la joie de vivre que l'on ressent dans un banquet.
Thalie est la personnification de l’abondance, voire la surabondance, le trop-plein de vie, qui se prodigue comme un don.
Enfin la plus jeune, Aglaé est la beauté dans ce qu'elle a de plus éblouissant, la splendeur. Elle est aussi messagère d' Aphrodite.

Mais même avec cette explication (merci Wikipédia), je suis incapable de dire qui de Euphrosyne, Thalie ou Aglaé porte cette jolie broche. Peut-être le saurez-vous ?

Une autre pièce que j’apprécie est le Cœur de l’Archange Gabriel (Zurbaran, Musée Fabre à Montpellier), sur un ruban large de satin moiré, incrusté de petites perles de rivière.

Et pour parler des tableaux dont je n’ai pas encore tiré des merveilles, voici Isabelle d’Esté par le Titien, - avec quelques détails en exergue, exposée au Musée du Luxembourg, à Paris jusqu'au 21 janvier 2007.

Peut-être de prochaines inspirations pour de nouveaux bijoux sculptés…

Mais encore une série de personnages sévères : Au centre, le doge Andrea Gritti, peint par Le Titien, à droite Le Sultan Mehmet II, 1480 par Bellini et à gauche, un détail du portrait d’un autre sultan dont le site de l’Institut du monde arabe ne veut vraiment pas dévoiler l’identité et qui porte un très beau pendentif sur son turban.

L’exposition « Venise et L’Orient » se termine le 18 février 2007 à l’Institut du Monde arabe à Paris.

Pour info, il y a également à Montpellier une exposition de dessins XVII et XVIIIe siècles intitulée « Venise : l’Art de la Serenissima » jusqu’au 14 janvier 2007 au Pavillon du Musée Fabre.

Et il y a eu en 2006 à Caen au Musée des Beaux–Arts, une exposition vénitienne : « Splendeur de Venise 1500-1600 », rassemblant des tableaux vénitiens du XVIe siècle venus de toute la France, autour de grands peintres tels Titien, Tintoret ou Véronèse.

Mais également au Louvre début 2006 « Le Paradis de Tintoret : un concours pour le palais des Doges », les dessins préparatoires et autres esquisses pour les travaux du palais des Doges après l’incendie de 1577 ; une exposition qui faisait le parallèle avec « Véronèse et le dessin vénitien »

je pense que les catalogues sont toujours disponibles.