galerie-photos

es quoi! tu es jalouse? 1891

Parc d'Oestervolt 1885

le cheval blanc 1898

la lune et la terre1893

Mon premier travail fut de recréer en dessins les visages qui voulaient bien, par des indices probants, se dévoiler au grand jour. J'ai découvert un total de 20 autoportraits-secrets à partir évidement du premier filigrane que le Maître a bien voulu me laisser entrevoir. Bien qu'essentiel pour définir le Modus Operendi de Gauguin, mes dessins, une fois entre les mains des spécialistes en Beaux-Arts mondiaux (France, USA, Russie, Suisse, Canada), se sont butés à une fin de non-recevoir. On me taxait bien sûr d'interpréter la réalité, estimant même dangereux de manipuler les reproductions d'oeuvres d'Art.

Et voici ma réponse; si un dessin est le prolongement de la main du créateur, et est soumis inévitablement au jeu des émotions de ce dernier. La photographie elle, se trouve à être le prolongement de l'oeil humain. Sans aucune altération ou manipulation (sinon que par une technique d'isolation lumineuse), elle devient le témoin principal. Laissant ici au spectateur le loisir de pénétrer dans un monde plus que secret, que même un siècle n'a pas réussi avant aujourd'hui, de vous permettre de voir le Maître sous ce nouvel éclairage.

Les alyscamps 1888