.
 
             

Les extraterrestres dans les religions d'Afrique
 

Dans la plupart des anciennes traditions africaines il est question, dans leurs mythes et légendes, de Dieux au pluriel, humanisés, on pourrait dire plus simplement : "humains", avec des traits et caractéristiques d'êtres humains, de petite taille ; ce sont bien des êtres physiques.

Déjà nous savons que dans l'Ancien Testament HEBREU [la Torah], il y a trois principaux personnages de caractère qui sont : Yahvé, Lucifer et Satan. Or, Ces mêmes Dieux humanisés reviennent dans beaucoup de mythes et légendes des peuples bantous ; par contre ils y portent souvent des noms différents.

Mais avant d'entreprendre notre grand voyage en Afrique pour vérifier qu'il en est bien ainsi, offrons-nous, d'un coup d'ailes, un crochet vers les Indes et l'Asie.

En effet il y a, dans la RELIGION HINDOU, des milliers de Dieux, de Divinités, mais malgré leur grand nombre, nous trouvons là aussi, trois personnages principaux, à savoir : "Brahma" (Yahvé), "Shiva", souvent présenté comme androgyne (Satan), et "Vishnu" (Lucifer).

Maintenant, en avant pour notre grand parcours africain :

Partons du Nord nous traverserons le désert et, avec un peu de chance, nous y trouverons bien quelques-uns des derniers NOMADES TOUAREGS ; ils nous apprendront que, pour eux, l'ensemble des divinités du ciel s'appellent "Emeli-hin". Phonétiquement ce nom parait assez proche d'Elohim... un bon début !

Sortant du désert et nous dirigeant vers l'Atlantique, faisons une première halte, histoire de faire connaissance avec les YORUBAS. C'est au Nigeria et/ou au Bénin qu'on va les découvrir. Les Yorubas sont, tout à la fois, une tribu et une Religion. Et dans leur Religion il est question de plusieurs Dieux, de toute une panoplie de Dieux, dont les trois principaux sont : "OBATALA", le chef créateur, qui est androgyne [homme/femme] et qui correspondrait au "Yahvé" de la Torah, puis "YEMAYA", la force maternelle de la création, qui correspondrait au Lucifer de la Torah, et le troisième "ELEGUA", qui est la tentation et correspondrait, lui, au "Satan" de la Torah. Il est aussi à noter que cette Religion Yoruba s'est exportée au moyen de l'esclavagisme et elle est devenu le berceau du "SANTERIA" qui est pratiqué au Brésil, à Cuba et aux USA, chez des descendants d'esclaves, ceux-là ayant continuer à pratiquer la vénération de leurs "Dieux", mais ayant changé - ce qui est bien regrettable - les noms de ces Dieux en noms de Saints Chrétiens, d'où ce nom de "Santeria" qui veut dire "la vénération des Saints".

Tant qu'à être au Nigeria, profitons-en pour saluer aussi les IBOS, pour qui le chef des Dieux s'appelle "Ikenga", son adjoint direct se nommant "Chiuke"

Et puisqu'au Bénin nous sommes encore, sachant qu'il y a une caste de prêtres "sorciers" VAUDOUS dans ce pays profitons-en également pour les découvrir.

Comment est-elle leur religion à ceux-là ? Très simple : ils vénèrent depuis toujours des petits êtres venus du Ciel ; ils les reconnaissent comme les créateurs de l'humanité, les appellent les "Azizas" et déclarent que leur chef est "Yéwé" (presque Yahvé !). Tiens, Tiens, intéressant aussi tout ça !

Puis, gardant un pied chez les Béninois, voyons chez eux et leurs voisins, du Togo et du Ghana, ce que pensent les EWES. Eux, ils appellent les Dieux du ciel "Trowo" [la terminaison en "wo" indiquant le pluriel], le chef des Dieux du ciel "Nana Bouclou" (Yahvé), et le Dieu Serpent "Anyiewo" (Lucifer).

En restant au bord du Golfe de Guinée, on découvrira une autre chose passionnante, chez les AKANS du Ghana : le chef des Dieux, le Dieu suprême a cohabité à proximité de l'homme sur terre, il était bel et bien physique, vivait parmi les hommes, et ceux-ci pouvaient l'approcher librement, il était homme/femme (androgyne donc) et s'appelait "Oboadee", ou parfois "Brekyirihunuade".

Partons vers le Sud-Est, et arrêtons-nous chez les Rwandais (TUTSIS, TWAS et HUTUS), là où la Religion Monothéiste des colonisateurs a commis sciemment tant de crimes, plus horribles les uns que les autres, il reste encore cependant des traditions anciennes connues et indiquant ceci : l'ensemble des génies venus du ciel se nomment "Imandwa" et le Dieu suprême s'appelle "Imana". Ce Dieu est un être tout à fait physique qui s'entretenait jadis avec les hommes ; ses interlocuteurs, eux, pouvaient le voir, le sentir, le toucher, lui parler, tandis que lui, en présence de nombreux témoins, il accomplissait des prodiges, il ressuscitait des morts ou donner un nouveau corps jeune à des malades âgés. Pour les Rwandais, c'est Lui, Imana, qui a créé le premier homme, II l'a créé à son image et à sa ressemblance, puis II l'a appelé "Kazikamuntu" (Adam).

Avant de descendre la côte Ouest, traversons la forêt équatoriale, quand nous parviendrons chez les PYGMEES, eux nous expliquerons ceci : "Arebati" est le chef des petits êtres venus du ciel, c'est Lui qui a créé l'homme à partir de l'argile, puis II a mis le sang dans l'homme, et a insuffler la vie en lui.

Parvenus à l'Atlantique nous ferons une halte chez les FANGS, au Gabon, où on nous enseignera que les trois Dieux principaux sont "Nzame", "Mebere" et "Nkwa".

Et pour terminer notre périple nous mettrons le cap... sur LE CAP...
Et dans ce riche pays nommé "Afrique du Sud", ce seront d'abord les ZULUS qui retiendront notre attention car ils voient leurs ancêtres comme des anges gardiens venus du ciel ; ils prient "Amazulu", ce qui veut dire dans leur langage : "le peuple du ciel" et pour eux, le chef des Dieux du ciel est "Ukulunkulu" (Yahvé), son assistant pour œuvrer à la création - celui qui apporta la connaissance aux hommes - c'est "Unwaba" (Lucifer) ; mais dans leur cosmogonie existe aussi un troisième créateur important : "Umvelinqangi".

Le peuple Zulu, est un fameux peuple guerrier, dont un des rois célèbres fut jadis "Shaka Zulu", mais quand on pose à un anthropologue blanc la question : « que signifie le mot "Zulu" ? » on reçoit généralement comme réponse : « "Zulu" veut dire "le ciel"... c'est pour cela que "les Zulus" s'appellent "le peuple du ciel" » Bon, réponse habituelle ! Mais l'ennui c'est que... c'est tout faux et en plus c'est injuste à leur égard ! En langue zulu le mot indiquant le ciel est "sibakabaka", il y a un autre mot pour indiquer l'espace inter-planétaire, c'est "izulu", puis un autre encore pour indiquer le cosmos infini : "weduzulu" et ce dernier peut aussi bien être employé pour signifier des "voyages cosmiques" ! On comprend bien qu'il ne s'agit pas du tout de la même chose que ce que prétend "l'anthropologue de service" et ça n'a pas du tout la même portée ! Cela nous indique clairement que les zulus étaient conscients qu'on peut faire des voyages interplanétaires, qu'ils étaient, depuis longtemps, au courant que les voyages cosmiques existent, d'ailleurs ils ne clament pas, eux : "les Zulus sont le peuple du ciel", pas du tout, ce qu'ils clament, c'est que, voici des millénaires, un peuple est venu du ciel pour créer la vie sur terre. Plus fort encore, les zulus, dans leurs traditions, parlent aussi du fait que ce peuple du ciel s'est mélangé ici sur terre avec certaines des filles qu'ils avaient créées et que les descendants issus de ces unions "sexuelles" fondèrent alors une race de Rois et de Chefs de tribus.

Ce système solaire inclus dans notre galaxie et d'où sont venus les créateurs, est désigné par les zulus du nom de "Ingiyab", et le soleil de la planète qu'occupent habituellement les créateurs est désigné par le nom de "IsoneNkanyamba". Les zulus, depuis toujours, connaissent et ont adopté un concept de l'infini dans le temps et dans l'espace : pour eux, temps et espace sont infinis et "un"; leur mot pour désigner l'espace infini est "umkati" et pour désigner l'infini dans le temps ils emploient "isikati".

Ne vous laisser pas bercer... ni berner par un anthropologue blanc qui viendrait vous dire que le mot "zulu" signifie "ciel", et que, de par leur nom les zulus sont "le peuple du ciel" ! Ce n'est pas vrai, "Amazulu" désigne un peuple qui est venu du ciel, un peuple venu d'un... "ailleurs" : d'une autre planète habitée, ce mot désigne en fait les dieux-créateurs du peuple "zulu" et de l'humanité entière.

Enfin, avant de quitter cette belle Afrique, ce continent qui nous est si cher, nous irons au cœur de ce dernier pays visité, pour trouver en "Afrique du Sud Centrale", les BUSHMEN qui nous informeront, eux aussi, des noms qu'ils connaissent pour les plus importants d'entre les Dieux venus du ciel, à savoir : "Cagn" (Yahvé), "Dxui", "Mantis" et "Kwammanga".

Voyage terminé, nous aurions envie de quitter le Sud... de l'Afrique du Sud... par bateau, histoire, en passant le Cap du même nom, de garder au cœur la "bonne espérance" qu'un jour - on le souhaite le plus proche
possible ce jour - se réveillent enfin la conscience et la Sagesse de tous les habitants de cette superbe Afrique, si miséreuse actuellement alors qu'elle est si riche de potentialités humaines et matérielles, mais aussi de celles dont sa paix et son bonheur dépendent en premier lieu : les potentialités religieuses.

On l'a constaté au cours de notre agréable voyage, partout en Afrique on voit que les ethnies, les tribus, les clans sont polythéistes. Il y a une pluralité de Dieux, de Divinités, d'Etres Célestes venus du ciel, d'Etres Cosmiques venus du lointain.

Toutefois, au cœur de la majorité des mythes et légendes de tous ces peuples africains il y a un Dieu principal, il y a comme... un Président de tous les Dieux, comme le Président-Chef d'un peuple venu du Ciel, on sent qu'il y a véritablement un dirigeant responsable de l'œuvre de création de la vie sur Terre, tout comme il y en a un dans la Bible originale en Hébreu, et il se trouve qu'il y est justement appelé "Yahvé".

Alors, voyons en résumé, comment "Yahvé" est désigné chez tous les différents peuples d'Afrique que nous connaissons :
" Ngaï" chez les MASSAÏS du Kenya et de la Tanzanie, "N'Kosi Yama'kosi" chez les "NDEMBELES" du Zimbabwe, "Mahrem" chez les "AXUMITES" d'Ethiopie, "Nana Bulukus" chez les "FONS" en Afrique de l'Ouest, "Akuj" chez les "TURKANAS" du Kenya, "Akongo" chez les "NGOMBES" du Congo, "Nzokomba" chez les "MONGOS" du Congo, "Kalumba" chez les "LUBAS" du Congo, "Katavi" chez les "NYAMWEZIS" de Tanzanie, "Amma" chez les "DOGONS" du Mali, "Astar" chez une grande partie des PEUPLES EN ETHIOPIE ET SOMALIE, "Mbotumbo" chez les "BAULES" de Côte d'Ivoire, "Ndriannahary" chez les MALGACHES, "Ajok" chez les "LOTUKOS" du Soudan, "Quamta" chez les "XHOSAS" d'Afrique du Sud, "Ka Tyeleo" chez les "SENUFOS" d'Afrique de l'Ouest, "Musisi-Kalunga" chez les "NDONGAS" d'Angola, "Chiuta" chez les "TUMBUKAS" du Malawi, "Rock-Sene" chez les "SERERS" de Gambie, "Massim-Biambe" chez les "MUNDANGS" du Congo, "Huveane" chez les "BASUTOS" du Lesotho, "Kyala" chez les "NYAKYUSUS" de Tanzanie, "Bumba" chez les "BOSHONGOS" d'Afrique du sud, "Muluku" chez les "MOCOUAS" du Zambezi, "Faro" chez les "BAMBARAS" du Burkina Faso et du Niger, "Wenna" chez le Mossis" du Burkina et du Niger, etc.

II est encore appelé "Marcadit" chez les DINKAS du Soudan, et pour eux, le premier homme et la première femme qu'il créa formant ainsi le premier couple (Adam & Eve) y sont appelés "Garang & Abuk"

Nous avons donc nos mythes et légendes à nous qui relatent la création, nous avons toujours eu nos Religions à nous, qui relatent la genèse de l'Homme. Les Dieux de nos ancêtres étaient des Dieux humanisés, avec des traits et caractères humains, ils étaient physiques, de chair et de sang, ils étaient descendus du ciel dans leurs engins. Ils étaient plusieurs, ils étaient un peuple, avec à leur tête le Dieu suprême qui a dirigé la création. Dans tous les mythes et toutes les légendes des peuples d'Afrique la terre existait déjà, les Dieux l'ont trouvé, et y ont implanté la vie, les animaux, la nature, et l'homme qu'ils ont créé à leur image et à leur ressemblance.

Les chérubins de la Bible originale en Hébreu, nous les connaissons très bien dans nos traditions et cultures anciennes. Ce sont les Dieux humanisés de nos ancêtres, la plupart du temps décrits comme des êtres célestes de petite taille, et souvent de type androgyne.

Nos anciens dans les villages ont gardé ce savoir, ils connaissent encore les histoires des petits génies qui sont venus du ciel dans des pépites argentées, dans des bols d'argent, dans des calebasses brillantes qui volaient. Ils connaissent encore les histoires des esprits-génies qui sont dans les forêts et qui aident et guident les hommes, qui viennent dans les grottes pour les initier et enseigner leurs connaissances aux chefs, ou à ceux à qui ils ont choisi de la donner.

En Côte d'Ivoire, ces grottes, ces cavernes des anciens, ont une entrée qui est le dessin de ces "engins des Dieux", car elle a la forme d'une cloche aplatie... comme si la roche avait été coupée au couteau dans du beurre mou, les formes étant parfaites et représentant tout à fait celles d'une cloche aplatie !

En Ethiopie, les histoires du Roi Salomon venant visiter la Reine de Sabah et arrivant de Jérusalem dans son char volant sont connues de tous, la durée du voyage à bord de son engin était... celle d'un éclair et parfois même il envoyait tout simplement son char volant avec, à l'intérieur, des présents pour la Reine de Sabah, sans que lui-même soit à bord.

En Ancienne Egypte, les lieux autour du Mont Sinaï étaient connus des Anciens sous le nom de "pays des vaisseaux flamboyants" !

Les pépites argentées volantes... les calebasses d'argent volantes... les bols d'argent volants... tous ces véhicules célestes que nos ancêtres voyaient et décrivaient dans nos traditions comme les "engins des Dieux", comme "l'engin de Yahvé" - pour nos ancêtres Yahvé était le dirigeant de la création et Président des Dieux - apportent des descriptions équivalentes à celles de la "Merkabah" dans la Bible originale en Hébreu [le Chariot volant qui transporte le trône de Yahvé], des Vimanas [les vaisseaux spatiaux des dieux décrits dans le Mahabarata et le Ramajna Hindous], ou encore de "la nuée" ou de "la gloire de Yahvé" deux expressions employées de nombreuses fois dans la Bible Hébraïque. Toutes ces appellations laissèrent la place dans les langues occidentales - il n'y a pas si longtemps de ça - à la tournure "Soucoupes volantes", remplacée depuis quelques années, par celle d'OVNIs ("Objets Volants Non Identifiés"), ["OVNI" devient "UFO" en Anglais].

Mais nous, africains, il faut absolument que nous retrouvions nos anciennes traditions qui sont belles et qui gravitent autour de la vérité, que nous retrouvions nos "Dieux" (au pluriel), ceux de jadis, nos Dieux humanisés, physiques, qui existent bel et bien, vivent et demeurent naturellement dans le ciel ; alors nous pourrons à nouveau être dans la vérité et la pureté totale.

C'est dans cette voie-là que réside notre "vraie" spiritualité, que se trouve le chemin de la compréhension, le chemin de la conscience et d'une harmonieuse ouverture d'esprit sur l'infini - l'infini dans le temps et dans l'espace - car, aujourd'hui, nous sommes immergés dans le concept inventé d'un "Dieu unique", immatériel, tout puissant, omniprésent, une façon de concevoir le monde que nous imposent nos colonisateurs et leur Religion : un Christianisme... défiguré, dévoyé jusqu'à agir à l'extrême opposé du message de Paix et d'Amour délivré par "Jésus, le Christ"... dont les "Prélats" de cette religion ont le culot de se prétendre les représentants officiels.

Et pour nous, à partir de ce concept-là, toutes les soi-disant "valeurs" qui nous sont inculquées (par la force !) ne font que nous éloigner de la vérité et endorment notre esprit ; de surcroît, elles font prier "Jésus, le Sauveur" par des masses d'Africains... qui ne pourront jamais trouver leur salut" en suivant cette voie imposée par l'Occident !

Si l'Afrique veut réellement se sauver, elle doit se débarrasser de ces concepts amenés et imposés par le colonisateur, se "décoloniser spirituellement", elle doit retrouver les concepts polythéistes, dont elle est instruite depuis des siècles, retrouver ses Dieux humains venus du ciel, et enfin, elle doit analyser tout ceci sous la lumière, et de la science d'aujourd'hui, et des technologies du futur. C'est là que réside, pour l'Afrique la clé de sa propre et heureuse réalisation... et non pas dans la Religion du colonisateur qui est venu pour nous aliéner nous-mêmes, annihiler notre identité, s'emparer de notre patrimoine, et qui, par une suprême malignité, a fait de chacun de nous un être facile à dompter, à modeler, à mater, à domestiquer... mais ce, toujours dans le même "esprit colonial", afin que le "néo-colonisateur" qu'il est, puisse encore à notre époque, maintenir "le noir" sous contrôle, en être dépendant, obéissant, servile et surtout jamais révolté envers le "Père blanc" en soutane et son livre "saint", le Nouveau Testament.

J'aime bien ce nom de "Nouveau" Testament, il est révélateur ! Bien évidemment, cette Institution a dû créer quelque chose de nouveau... au profit de sa cause, afin d'accomplir sa mission impérialiste et mercantile : écarter les masses du bon chemin, les "égarer" et pour parvenir à ses fins, il lui fallait se faufiler comme berger (hélas un "faux berger" !) au milieu du troupeau des brebis soi-disant égarées. Elles ne l'étaient pas jusqu'alors, mais elles le sont devenues depuis... et rien qu'à cause de lui !

Moi je préfère l'Ancien Testament, leur "Nouveau" je n'en veux pas, car cela sent trop le coup monté. Mon Ancien Testament ce sont les "Dieux humanisés" de mes ancêtres, c'est la genèse, l'histoire de la création racontée par mon peuple, par les Anciens et je ne peux la comparer uniquement qu'à la Genèse du véritable "Ancien Testament" : la Torah.

Il y a une vérité commune dans toutes les traditions religieuses de nos ancêtres en Afrique, que ce soit au Sud, à l'Ouest, à l'Est ou en Afrique Centrale ; à travers ces traditions, c'est énorme le nombre de points communs qu'il y a entre toutes les religions de par le monde. Partout on parle d'êtres célestes qui avaient la faculté d'apparaître et de disparaître aux yeux des humains comme ils le souhaitaient, tout comme Yahvé pouvait, selon les Hébreux, apparaître soudainement à Moïse, dans un "buisson ardent" par exemple... à une époque rappelons le, où seuls les oiseaux volaient... pour les humains cela viendra aussi, mais beaucoup plus tard dans leur Histoire !

Dans la majorité des traditions religieuses bantoues il est dit que Yahvé et ses autres Dieux, après avoir créé l'homme, s'éloigna de lui et qu'il ne se préoccupa plus de lui, donc, que les créateurs et leur dirigeant sont à un moment donné partis, qu'ils ont laissé l'homme seul sur la Terre. Et les traditions disent aussi qu'avant ce départ des Dieux, il y avait des échanges faciles et aisés entre eux, les créateurs et nous, les humains qu'ils avaient créés.

A titre d'exemple, dans les traditions religieuses des pygmées de Semang il est dit :
« autrefois, un tronc d'arbre reliait le sommet de la montagne cosmique, le centre du monde, avec le Ciel ; les communications avec le Ciel et les relations avec les dieux étaient alors faciles et naturelles ; à la suite d'une faute, ces communications ont été interrompues et les dieux se sont retirés encore plus haut dans les cieux. »

Mais scrutons aussi d'autres traditions, chez d'autres humains à la peau noire, tels que les Arandas d'Australie centrale :
« au Ciel, il y a l'Eternel jeune "altjira nditja", avec les autres Dieux, ils vivent là-bas dans un pays perpétuellement vert, plein de fleurs et de fruits, traversé par la voie lactée. Ils sont tous éternellement jeunes, le grand-père ne se distinguant ni de ses enfants, ni de ses petits-enfants, ils sont immortels comme les étoiles, car la mort n 'a pas réussi à pénétrer chez eux ». Et, chez les Arandas aussi la communication avec les Dieux fut facile, puis fut, de la même façon, brusquement interrompue, à un moment donné.

Et dans ce cas aussi, le lien est facile à faire avec la Bible des hébreux, la Torah, où Yahvé signifie étymologiquement parlant, "celui qui était, qui est, et qui sera", donc "l'Eternel" et forcément... "Eternellement jeune". Comment ? Grâce à la science bien évidemment, science, donnant accès à la vie éternelle, que nous terriens commençons petit à petit à découvrir grâce au clonage, le secret de la vie éternelle.

Maintenant venons au Grand Envoyé Prophète Simon Kimbangu pour nous référer à son enseignement réel. Mais pour cela il nous faut faire appel au Mouvement qu'il a créé lui-même et appelé "Kintuadi" (ce qui veut dire Union) ; et non à l'Eglise nommée pourtant "Kimbanguiste", car celle-ci fut créée après sa mort par son fils cadet, lequel a choisi de collaborer avec l'Administration coloniale et par conséquent a trahi le Prophète son père, pire cette "Eglise Kimbanguiste" a même été plus tard jusqu'à collaborer en R.D.C. (au Congo Kinshasa) avec un certain "Mobutu Sese Seko", l'horrible dictateur sanguinaire que l'on sait.

Ce qu'il faut garder à l'esprit, constamment, c'est que le Prophète Simon Kimbangu parlait de "Dieux" au pluriel, c'est indéniable : il parlait d'un peuple vivant dans les cieux... et quand il parlait de "nos créateurs" (au pluriel, toujours !)... de "nos pères qui sont dans les cieux" il en parlait avec les termes précis suivants : « Batata Nzambi' A Mpungu », or ce sont les colonisateurs qui nous ont contraints à traduire le terme "Nzambi" par "Dieu", obligeant ainsi notre subconscient à se référer à un Dieu unique, immatériel et omniprésent (... tel ce faux "Dieu" qu'ils ont inventé et auquel ils veulent, à tout prix, nous faire croire !).

Or le mot "Batata" est d'une importance plus que capitale, car dans toutes les langues Kongos, ce mot "Batata" est forcément pluriel sans aucune contestation possible ; littéralement il signifie "les Pères" ou "nos Pères" (au pluriel, une fois encore) c'est donc l'équivalent de "Adonaï" et de "Elohim" en hébreu, qui sont, eux aussi, deux pluriels incontournables et incontestables.

Quand le Prophète Simon Kimbangu emploie les mots suivants : « Mpeve Ya Batata Nzambi' A Mpungu Tulendo » il ne peut jamais, en aucun cas, s'agir d'un singulier. Ce fait tous les Kongos honnêtes doivent l'admettre et admettre aussi que la traduction française de cette expression, telle qu'on peut la lire aujourd'hui dans les écrits de l'Eglise Kimbanguiste est entièrement fausse, honteusement fausse, écrire : « car l'esprit de notre Dieu tout puissant », c'est complètement en défigurer le véritable sens, car le vrai message de Simon Kimbangu est ici adressé en même temps à plusieurs personnes (encore et toujours "au pluriel") et non pas à un "Dieu" unique !

Voilà, la vérité des choses ! Face à cela, tout "vrai" Kimbanguiste devrait se révolter contre l'EGLISE DE JESUS-CHRIST SUR LA TERRE PAR LE PROPHETE SIMON KIMBANGU (EJCSK). Quelle trahison pour l'Afrique... quelle soumission de la part des opprimés que nous sommes et restons... quel abandon de cette vigoureuse et salutaire lutte prônée par le Prophète Simon Kimbangu, qui, lui, était bel et bien un "polythéiste" puisqu'il parlait de dieux... au pluriel et priait des dieux... au pluriel !

D'ailleurs il convient de noter que le mot "Nzambi" est aussi utilisé chez les peuples du Gabon, où, dans certaines langues on dit aussi "Nzame" ou encore "Nzambe". Par exemple chez les Fangs du Gabon l'histoire de l'origine de la vie sur Terre est racontée dans le Mvett : on y parle de gens venus du ciel et ayant une haute technologie, disant que leur chef est "Nzame", dont un des frères est "Zong" et une des sœurs "Ngigone". "Zong" y est un peu considéré comme le "Satan" ! Le Mvett raconte par ailleurs que ces dieux (au pluriel, une fois de plus) ce peuple, sont des êtres "physiques" qui ont une vie comme les humains, qu'ils sont tous des dieux créateurs suprêmes et qu'ils savent faire des choses qui dépasse l'entendement des humains. On ne peut être plus clair, de nos jours, parlant de ces êtres-là, on dit tout simplement "des Extra-Terrestres" hautement avancés !

Je ne peux pas oublier dans ce chapitre, d'évoquer mes amis les Dogons, ce peuple magnifique vivant sur le plateau aride, desséché de Bandiagara au Mali. Pourquoi ne surtout pas les oublier ? Parce que leur cosmogonie est absolument formidable, en effet ils sont depuis qu'ils existent détenteurs de connaissances cosmiques extraordinaires qu'ils se transmettent de générations en générations et ceci en n'ayant pas eu de télescopes ou de microscopes à leur disposition depuis le début de leur existence et également sans une quelconque application de mathématiques supérieures.

Ceci étant, les Dogons ont leur propre Genèse à eux et selon leurs ancêtres Dogons, leurs dieux créateurs seraient venus de la constellation Sirius. Les Dogons disent avoir connaissance, depuis des millénaires, du fait que l'étoile Sirius a deux autres étoiles satellites ou autrement dit deux étoiles "sœurs" qui l'accompagnent. A l'œil nu on ne peut apercevoir qu'une seule étoile et ce n'est qu'en 1862 qu'un astronome américain, Alvan Clarke, a découvert grâce à un télescope puissant qu'il y avait une deuxième étoile tournant autour de Sirius, cette deuxième étoile fut nommée Sirius B. Hors, les Dogons savaient ceci depuis des millénaires déjà...disons "depuis toujours" ! Comment pouvaient-ils savoir cela ? Qui plus est, en fonction des informations qu'ils possèdent, ils ont toujours prétendu qu'il y avait, de surcroît, une "Sirius C" ! Leurs ancêtres, leurs dieux-créateurs seraient, selon eux, venus d'une planète qui est en orbite autour de cette troisième étoile, la Sirius C, que nous ne connaissons pas encore.

Mais cela va encore plus loin, les Dogons sont depuis toujours en possession de données et de connaissances tout à fait précises sur Sirius.

Ainsi, ils affirment savoir depuis toujours que Sirius possède une étoile satellite plus petite qu'elle-même, Sirius B donc, mais ils précisent que cette deuxième étoile, bien que plus petite que Sirius (A), est plus lourde qu'elle, c'est pourquoi ils la nomment depuis toujours "Po Tolo" ou "Po-Digitaria" d'après le nom d'une graine de céréale africaine qu'ils utilisent et qui est tout à la fois très petite et très lourde. Ils savent aussi que cette "Sirius B" boucle son orbite elliptique autour de "Sirius A" en 50 ans, raison pour laquelle ils célèbrent tous les 50 ans leur grande fête, la "fête de Sigui".

Maintenant ces données au sujet de Sirius B se trouvent être confirmées par la science de notre époque, mais eux, les Dogons, possèdent ces données et cette connaissance depuis le début de leur histoire : ils ont conservé tout ceci de génération en génération sur des cartes célestes du ciel et de Sirius, cartes gardées par leurs Prêtres initiés. Or, en 1960 nos astronomes ont pu calculer exactement, avec une précision remarquable, la période de révolution de Sirius B autour de Sirius A et constater que cette révolution s'effectue en... 50,090 années !
Les Dogons, eux, savaient cela depuis toujours !

Et les Dogons vont même plus loin, ils affirment qu'il y a encore une autre étoile... disons "Sirius C" qu'ils nomment "Emma Ya" ou "Sorgo", et que cette étoile-là a une révolution de 32 ans autour de Sirius A, tournant sur une orbite elliptique très excentrique et qui serait perpendiculaire à celle de Sirius B ! Ils possèdent des dessins et des cartes de ces orbites, mais surtout, ils disent que cette étoile Sirius C (Emma Ya) possède plusieurs planètes en orbite autour d'elle et qu'une de ces planètes est la maison de leurs dieux-créateurs, de leurs ancêtres, lesquels seraient venus sur terre, il y a très longtemps à bord du Nomo, selon leurs traditions un vaisseau inter-stellaire dont la forme serait très proche de nos fusées lunaire actuelles, type "Apollo".

De nos jours, beaucoup d'astronomes commencent à soupçonner qu'il devrait effectivement y avoir une "Sirius C" tournant autour de Sirius A, car ils peuvent constater, avec leur appareillage actuel, des changements de couleur du système et, de ce fait, ils pensent que cette "Sirius C", dont parlent les Dogons, pourrait avoir une orbite très aplatie, un peu comme une comète ; en utilisant un coronographe occultant la forte lumière de Sirius A, ils peuvent à présent apercevoir deux corps voyageurs, mais n'arrivent pas encore à déterminer lequel de ces corps présente un mouvement propre au système de Sirius (publication dans la publication revue "Astronomy & Astrophysics"). Les astronomes Jean-Louis Duvent et Daniel Benest de l'observatoire de Nice ont utilisé des simulations numériques d'ordinateurs et leurs observations renforcent également la probabilité d'existence d'un troisième corps de faible masse dans l'environnement de Sirius (Publication dans la Revue "Ciel et Espace", 1995).

Mais, nos fameux Dogons possèdent encore beaucoup d'autres connaissances astronomiques qui paraissent étonnantes pour une tribu africaine vivant repliée sur elle-même depuis toujours, sans contact avec l'extérieur. Pour les DOGONS le patron, le chef, le leader des Dieux-créateurs se nomme "Amma", et pour eux l'univers est infini, mais tout de même mesurable, ils disent aussi qu'existent dans l'univers des mondes infinis habités et qu'ils s'éloignent de la terre à des vitesses très grandes dans un mouvement spirale ; ils ajoutent que ces mouvements spirales et structures élémentaires se trouvent également dans l'infiniment petit qui compose les hommes, ce qui revient à dire que l'infiniment grand (les planètes, systèmes solaires, galaxies, voies lactées) a la même configuration que l'infiniment petit (les cellules, molécules, atomes qui composent nos corps).

Les Dogons connaissent depuis toujours les différentes phases de Vénus, ils divisent le Ciel en 22 parties égales et en 266 constellations et disent que Vénus possède un "compagnon" (ce pourrait être l'astéroïde Toro, récemment découvert entre la Terre et Vénus), ils connaissent aussi les 4 plus gros satellites de Saturne pourtant invisibles à l'œil nu, mais ils ne connaissent pas les planètes qui sont au-delà de Saturne (Uranus, Neptune, Pluton)...

Ils disent avoir reçu les connaissances qu'ils possèdent d'un peuple venu du ciel et qui les a créé, que les membres de ce peuple du ciel sont descendus sur terre il y a très longtemps, qu'ils ont amené avec eux des fibres végétales provenant de plantes du "champ du Ciel" et qu'après avoir créé la vie sur terre, les plantes, les animaux, ils ont créé le premier couple humain, qui engendrera par la suite les huit grands ancêtres de l'Humanité, et qu'une fois leurs tâche terminée Amma et les autres dieux regagnèrent le Ciel à bord de Nomo (leur Vaisseau).

On ne peut être plus clair ! Le Polythéisme - croyance en des dieux (au pluriel) physiques, de chair et de sang, voyageurs de l'espace - est source de la vérité. L'Eglise Chrétienne Catholique cache cette vérité et nous maintient dans l'ignorance afin de continuer à exercer son Pouvoir sur les hommes, un pouvoir qui s'appuie sur l'ignorance des masses, sur la croyance aveugle des masses, sur une croyance supraoc-culaire obscurantiste, sur le mysticisme, sur le mystère de dieu, un dieu immatériel omnipotent qui, en fait, n'existe pas.

La vie dans l'univers est un phénomène banal, il y a dans l'univers infini une infinité de mondes habités par des "humanoïdes", fruits d'une création humaine ; ce sont à chaque fois des hommes qui, grâce à la science, créent d'autres hommes, ceci partout dans l'univers infini... à l'infini ! Et cela, en Afrique noire, on l'a toujours su, mais l'esclavagisme, l'assimilation religieuse et notre colonisation par l'Occident chrétien, usant... et abusant sans scrupule de la force, nous ont enlevé nos "religions authentiques" qui parlaient toutes de ces êtres, de ce peuple venu du ciel qui a créé toute vie sur terre avec science et art.

 

Ce texte vient de ce magnifique livre

A lire absolument....


POISON BLANC

LA SEULE DECOLONISATION SPIRITUELLE POSSIBLE POUR LES NOIRS CHRETIENS : APOSTASIER

Bien que ce livre concerne en premier chef les noirs d'Afrique et leur diaspora, ouvrez le,
consultez sa table des matières et vous percevrez très vite qu’il est aussi d’un vif intérêt pour les populations des autres continents
et particulièrement pour celles issues des anciens pays colonisateurs européens ...

- Commander
- En savoir plus ...

 

 

 

 

 


info@extraterrestres.ch

 
 

 

- free of copyrights -
Veuillez simplement citer la source de ces documents si vous les utilisez, Merci !!