‘La prise de conscience de la gravité des violations de droits humains au Maroc est l’émanation de tant de sacrifices consentis dans une lutte de longue haleine des prisonniers politiques et des organisations humanitaires. Parfois au péril et au prix de leurs VIES…’. Ainsi débute Abdelkarim El Ouassouli, professeur universitaire à Tour, la préambule de son œuvre ‘Entre le discours et les réalités’, parut en Mars 2006 et publié par ‘Annahj Addimocrati’ (la voie démocratique).Vous l’aurez assurément compris, le contexte historique de son ouvrage est celui des années de plomb, ces années où droit et démocratie étaient sérieusement effacées du répertoire marocain, et où le peuple subissait une répression au quotidien tablée sur terreur et obéissance.
Les violations graves des droits humains au Maroc et depuis l’indépendance ont été multiformes et systématiques. Elles n’ont épargné aucune forme de contestation qu’elle soit politique, syndicale ou sociale, qu’elle soit individuelle ou collective. Les victimes se comptent par dizaines de milliers. Des hommes et des femmes qui ont choisi de ne pas accepter l’inacceptable en relevant le défi, un défi qui leur a coûté très cher…
Abdelkarim est le frère d’Omar, l’un des disparus et victimes des violations des droits humains, et qui mène acharnement, ainsi que sa famille, un combat depuis bientôt 25 ANS, pour connaître la vérité et rien d’autre: Omar est-il mort ou vivant ? Une question qui me fait chagriner chaque fois que j’y pense, moi qui ne suis que voisine de leur frère Abdelhak, je me demandais alors qu’elle serait la souffrance et l’affliction dans laquelle serait plongée celle qui l’a enfanté… ‘Le pire des supplices qu’une mère puisse vivre est celui de la disparition de l’un de ses enfants, dit Abdelkarim. L’attente de revoir ce présent absent est interminable. Serait-il encore en vie ? Serait-il en train d’être torturé et humilié ? A-t-il encore sa raison ? Le verrai-je avant de mourir ? …’ Elle espérait ardemment le voir avant son décès, c’est peut-être même ce qui la maintenait toujours en vie. Malheureusement, son souhait ne fut point comblé, elle s’est éteinte l’année précédente avant même le moindre signe de vie.
Qui est Omar ?
(Ce texte a été rapporté de l’ouvrage ‘Entre le discours et les réalités’, dans ‘Chroniques d’une lutte pour la vérité, la justice et contre l’impunité’).
Né en 1955 à Jorf, province d’Errachidia au sud-est du Maroc… Omar a eu son bac en 1975 option Sciences expérimentales, s’inscrit ensuite à l’ENA (école nationale d’agriculture à Meknes), pour obtenir en 1979 le diplôme d’ingénieur agricole… Membre actif au sein de l’association des étudiants de l’ENA et militant pour la levée de l’interdiction de l’UNEM au sein du courants des étudiants progressistes (les Basistes) proche de la nouvelle gauche… il a été nommé ingénieur agricole à la Direction Provinciale à Kenifra… Il a été sujet à plusieurs menaces policières… En 1983, il a pu obtenir un emploi au bureau d’études ITECO à Agadir ou il est resté jusqu’en 1984 date de sa disparition… Rien après.
Je voudrais bien, et c’est ce que j’espère sérieusement, en rédigeant ce billet, que vous ayez une petite pensée pour les familles des victimes, disparus, exilés ou torturés, ces familles ballottées entre espoir et désespoir et qui continuent à attendre et à lutter, et qui ne demande que de disposer des dépouilles des leurs, afin de les enterrer dignement. Certains ont prit la relève, d’autres ont préféré lutter. Une lutte qui va de la simple protestation jusqu’à l’organisation de manifestations et grèves de la faim pour revendiquer d’une part, l’amélioration des conditions de détention ainsi que la reconnaissance du statut de prisonniers politiques ou d’opinion et le regroupement des détenus. Alors qu’à l’opposé des tortionnaires occupent toujours et gaiement leurs postes et certains dans les hautes sphères du pouvoir. Juste ? …
P.S : Prière de porter un œil critique sur mon article, je viens d’entamer la blogoma, je ne suis donc que novice, vos conseils et critiques me seront de grande aide, vous qui avez été nourri dans le sérail. Et merci d’avance.
Le pire, c’est qu’elles ont continué même dans la « nouvelle ère ». De la répression de militants syndicalistes, à celle des émeutes de Sidi Ifni, en passant les émeutes de Sefrou, la liste des exactions des droits de l’homme pendant ses dernières années, est longue…
Mais cela reste incomparable à la foultitude de violations du passé, toutes aussi horribles les unes que les autres. Je trouve que tu as excellé en allant recueillir toi-même un témoignage de cette époque sombre. Rares sont les blogueurs qui sont dotés d’une capacité d’investigation pareille. Essaie d’aller plus dans cette direction (un blog d’investigations) et je pense que tu te trouveras une place au soleil dans la blogoma. N’empêche que tu peux aussi poster parfois des billets personnels, des billets d’humeur… Laisse libre cours à ton imagination !
A bientôt 😉
@ Spy Jones : Absolument Younes, le plus grand malheur c’est que çà continue…
Merci infiniment pour tes précieux conseils, je tacherais au maximum de les suivre.
je ne connais malheureusement pas l’Histoire de ton pays, mais je suis heureuse de part ton écrit d’en apprendre des brides…
Très bon article… sur un sujet qui ne parait pas des plus faciles !!
très intéressant de venir dans ta bulle !
à bientôt.
on a tous le devoir de mémoire. tu me redonnes espoir parce que beaucoup de jeunes gens semblent sombrer dans l’oubli et choisir la facilité. bises
Trés delicate attention de ta part Salma (k) !! Ton article est vraiment trés passionant , c’est pas tous les jours qu’on évoque ce sujet malgrés son importance 😦 :S !!! Continue comme ça tu iras trés loin … 😉
@ Fata: Bien heureuse que j’aie pu t’être utile…
@ Moony: Merci pour ta visite et tes bises ont été toutes reçues.
@ Fdiwa: Oui, on n’y parle pas parce qu’on dit que çà fait parti du passé, pourquoi en parler alors? Ils ne savent pas que ce passé-ci a résulté tant de choses…
t sure que tu as 16 ans?
Drole de question Si Mounir! Pour assouvir ta curiosité et pour dire vrai, je n’entamerais mes 16 ans qu’au mois de Décembre :). Ma date de naissance a pourtant été citée dans le premier billet.
Salam frikissa
Il a raison Mr Mounir, tu t’es attaqué à un sujet qui n’interesse guère votre génération
la logique des choses veut que vous soyez plus branchés tecktonik, ps2 et xbox
Ach jabkom l siyassa ? :p
@ Islah
et
@ Mounir :
La politique n’a pas d’age, dois-je vous le rappeler? Je ne pense pas qu’on va arrêter un vieillard parce qu’il chante du Roling Stoon. La musique c’est tout comme la politique et tout deux, n’ont pas un age précis pour les pratiquer
j’ai pas dit ça pour que tu te sentes offensée. C’est jste que j ‘ai été émerveillé par ton niveau de rédaction, ton tour d’horizon sur une question sensible.
Merci Mounir et saches que je ne me suis point senti offensée.
Et bienvenu a toi dans ma bulle 😉 . A+:).
Ok, maintenant que tu veux pas être jugée sur ton age, je me permets modestement de te recommander des lectures sur le sujet :
Moumen Diouri ( à qui appartient le Maroc, lettre à un potentat ), c’est témoignage des années de plomb économique et politique que nous retrace ce dur opposant dans ces deux écrit. Il est à consommer sans modération, car il fait partie des rares peronnes qui n’ont pas utilisé leur souffrance dans ces années horribles comme fond de commerce contre des rentes de la nouvelle ère. Les autres témoignages, qui me paraissent aussi utiles, sont ceux de Allal Elfassi, Abderrahim Bouabid, abdellah ibrahim, … pour ce qui est de la période qui a précédé les années de plomb, je veux dire l’indépendance, et le post indépendance.
Sinon, tu peux aussi consulter les denses rapports et littératures de : CCDH, IER, OMDH, AMDH, FJV, le rapport de 50 ans de dév. au Maroc, … mais surtout, prendre ses distances et essayer de recouper pour sortir avec sa propre vision de ce qui s’est passé.
Bon courage 🙂
Bonsoir frikissa
Oh, loin de moi l’idée que vous êtes censés ne pas vous interesser à la politique.
Au contraire,je pense que les plus jeunes devront de plus en plus être politisés ou du moins être au courant de ce qui se passe dans la scène politique et surtout avoir un avis critique sur celle-ci
Vous êtes les futurs hommes et femmes de demain et preneurs de décisions et fort possible les futurs politiciens du Maroc
@ Mounir :
Je te remercie infiniment pour ses recommandations. Je viens de lire la préambule de l’œuvre ‘A qui appartient le Maroc’ et je le trouve fort intéressant, une fois finie, j’entamerai inchalah la lecture de celui-la. Encore une fois merci.
@ Islah :
Je voudrais te dire que si j’ai abordé ce sujet c’est qu’il me touche énormément, et non pas parce que je suis une férue de politique.
Tu ne pourras savoir combien ai-je pleuré en lisant cet œuvre (Entre le discours et les réalités).
El Ouassouli sont nos voisins pendant plus de 18 ans, et pendant chaque anniversaire, chaque festin, chaque événement, sinistre ou heureux soit-il, qui réunissait la famille ( parce qu’on était une unique et seule famille), Omar était lui aussi présent. On ne cessait de parler de lui. On ne cessait de pleurer pour lui. On ne cessait de lui en vouloir, même si au fond de chacun de nous, on était fière de lui…
Depuis maintenant un quart de siècle, (Oh! que le temps passe vite!), Omar n’est jamais mort et ne mourra jamais.
Bonsoir frikissa
Je comprend mieux ton implication et ton intérêt au sujet.
@ Islah :
Saluuut Ma puce !
Je voulais te remercier pour le lien qui renvoit à mon blog sur ton message perso, tu ne peux imaginer le plaisir indicible que çà m’a fait une fois l’avoir lu. Merci infiniment ma chère!
Je t’adoooore énormement ! Gros bisous, sucrées et parfumées !
Bonsoir Frikissa
Héhé,
Quand je créerai le mien je compte sur ton message perso pour me faire de la pub gratos :p
Mais tu sais, à mon rythme, c’est mouuut ya 7mar 😀
@ Islah :
Bonjour ma poule !! ^^
Tu peux compter sur moi en se qui concerne la pub de ton blog !!!
Mouah !!
Il y a un malentendu dans les propos entre toi et islah à savoir que ton texte ne reléve pas de la POLITIQUE mais bel et bien des violations graves de droits de l’Homme au Maroc, hier et encore aujourdhui à moindre échelle.
Mes Félicitations pour ton écrit à presque 16 ans. Chapeau la Jeunesse marocaine !
Mes sincéres pensées pour Omar et sa famille.
Tout d’abord, je vous remercie pour votre visite, votre commentaire, et vos encouragements. Ce sont Mille Merci que je vous présente .
Ensuite, je ne comprends pas pourquoi y a-t-il malentendu. Les violations graves des droits de l’homme au Maroc ne rentrent pas, selon vous, dans le volet ‘Politique’ et ‘Social’? Ces pauvres détenus, dont Omar, n’ont pas été massacrés parce qu’ils refusaient, de fond en comble, cette POLITIQUE économique makhzanienne basée sur soumission et terreur?
Simplement parce que tu écris sur un cas de violation des droits l’Homme tu n’es pas en train de faire de la politique. Certes le respect des droits de l’Homme est une condition nécessaire entre autres pour l’établissement d’une démocratie et d’un Etat de droit où la Justice est indépendante et équitable mais cela ne reléve aucunement de la pure politique où il est question des types de gouvernance et des couleurs politiques des gouvernants.
Réflexion faite et en se basant sur la notion de la politique explicitée chez nos aieuls les grecs à savoir que c’est une notion qui a trait à la gestion des choses de la cité et qui dit cité dit habitant de la cité : donc gestion de tout ce qui concerne l’individu en commençant par ses propres droits. Oui là je peux te concéder que c’est politique que de parler des droits de l’Homme.
Par contre si on prend l’exemple de la famille d’Omar qui n’oublie pas ce dernier et cherche à tout prix ce qu’il est devenu : est-ce qu’on peut dire que cette famille fait de la politique ? à mon modeste sens je dis Non et je dis Non aussi quand Salma Cherqaoui parle dans son blog du cas d’Omar le malheureux disparu…
Encore une idée qui fonde mon premier com :
C’est ton humanité ou ton humanisme qui ont fait à ce que tu t’intéresses au cas d’Omar et par suite cas d’autres de disparus marocains victimes de la période de ce que d’aucuns appellent la période noire marocaine des années de Plomb.
Ce n’est pas ton intéret pour la politique qui a fait que ce que tu écrives sur Omar.
Prière de lire « …et par suite à d’autres cas de disparus… »
Pardon pour ma non-relecture et Très bonne journée Salma.
Salut encore une fois G.H. !
Je pense avoir déjà dit dans un commentaire s’adressant à Islah que c’est parce que ce sujet me touche amplement que je l’ai traité sur mon blog personnel et rien d’autre. Je suis donc bien consciente que c’est mon humanité et mon humanisme qui m’ont poussé à aborder le sujet des violations des droits de l’Homme. On est tous les deux d’accord sur ce point là. Je partage d’avantage votre point de vue quand vous me dites que la famille d’Omar ne pratique pas de politique, mais ce que je ne comprends pas, pourquoi ce n’est un sujet politique. C’est bel et bien dans le volet ‘Politique’ et ‘Social’ comme je vous l’ai déjà dit au paravant quand l’archivera. Et je pense que traiter un sujet politique est l
Salut encore une fois G.H. !
Je pense avoir déjà dit dans un commentaire s’adressant à Islah que c’est parce que ce sujet me touche amplement que je l’ai traité sur mon blog personnel et rien d’autre. Je suis donc bien consciente que c’est mon humanité et mon humanisme qui m’ont poussé à aborder le sujet des violations des droits de l’Homme. On est tous les deux d’accord sur ce point là. Je partage d’avantage votre avis quand vous me dites que la famille d’Omar ne pratique pas de politique, puisque le but de leur lutte n’est que de retrouver leur enfant disparu, mais ce que je ne comprends pas, pourquoi ce n’est un sujet politique. C’est bel et bien dans le volet ‘Politique’ et ‘Social’ comme je vous l’ai déjà dit au paravant quand l’archivera. Et je pense que traiter un sujet politique c’est la pratiquer.
En atendant votre réponse, où vous alliez m’expliquer pourquoi ce n’est un sujet politique, parce que vous ne l’avez pas fait dans vos commentaires précédent, jevous souhaite bonne soirée.
😦
Je croyais l’avoir déjà fait ou du moins essayé :
« Certes le respect des droits de l’Homme est une condition nécessaire entre autres pour l’établissement d’une démocratie et d’un Etat de droit où la Justice est indépendante et équitable mais cela ne reléve aucunement de la pure politique où il est question des types de gouvernance et des couleurs politiques des gouvernants. »
Mes sincéres respects Salma.
Revenons cher(e) G.H aux causes profondes des violations des droits humains au Maroc. C’est bien à cause de la lutte politique acharné entre la gauche et le pourvoir que la plupart des militants ont été séquestrés, torturés parfois jusqu’à la mort et ont été l’objet de procès fabriqués pour ensuite être jetés en prison pour les longues années.
Ce n’est pas des violations que connaissent les bonnes ou les enfants maltraités par leur parents dont je parle, pour que vous me disiez ‘Certes le respect des droits de l’Homme est une condition nécessaire entre autres pour l’établissement d’une démocratie et d’un Etat de droit où la Justice est indépendante et équitable mais cela ne relève aucunement de la pure politique’, mais de violations qu’a connu les militants politiques qui ont refusé d’accepter l’inacceptable et qui ont lutté contre le mode de gouvernance que connaissait notre cher pays après l’indépendance.
Ce sujet reste pour moi un sujet politique et j’en ai le moindre doute.
J’attendrai votre réponse où vous alliez m’expliquer si vous le voulliez bien, pouquoi vous dites Non à Salma Cherq quand elle parle dans son blog du cas d’Omar [et je dis Non aussi quand Salma Cherqaoui parle dans son blog du cas d’Omar ].
D’ici là portez vous bien !
« mais de violations qu’a connu les militants politiques qui ont refusé d’accepter l’inacceptable et qui ont lutté contre le mode de gouvernance que connaissait notre cher pays après l’indépendance. »
Tout à fait d’accord et Mille fois meme. Ceci étant dit on est en train d’évoquer une certaine cause qui a amené l’effet de violation des droits de l’Homme. Il y a d’autres causes certainement. Les diplomés chomeurs qui sont tabassés par les « mroud » de Laanigri quand ils font leur sitting devant le parlement à Rabat. Ces diplomés chomeurs ne font pas de la politique quand ils quémandent un emploi aux autorités marocaines. La réponse de cette dernière est la repression et par suite la violation des droits de l’Homme. Les manifestants de Sefrou et de Sidi Ifni ont été tabassés par les « mroud » de Laanigri alors qu’ils ne faisaient que manifester leur colére contre la cherté de la vie et le chomage qui les gangréne. Ils ne faisaient de la politique. Leurs droits en tant que des Hommes ont été violés quand meme. Certaines citoyennes à Sidi Ifni ont été injustement arrétées et amenées aux poste de commissariat. Elles ont été dénudées, battues, et l’association de l’AMDH posséde des témoignages de viol de certaines d’entre elles. Elles ne faisaient de politique à ce que je sache et pourtant dans leurs cas les droits de l’Homme n’ont pas été respectés. On peut prendre meme des exemples de vie courante dans les commissariats. Des citoyens marocains, certes soupçonnés d’avoir commis un délit ou un crime, un vol ou un meurtre, sont aussi battus pour qu’ils avouent. Dans les postes de police européens, les citoyens européens soupçonnés d’avoir commis un délit ou un crime voient leurs droits protégés en toute circonstance et ne sont guére battus. Tout cela pour te dire, Salma, que la violation des droits de l’Homme reléve uniquement de l’humanité et de l’humanisme et ce n’est nullement une question politique. La cause peut etre parfois politique comme dans le cas des disparus politiques comme Omar et bien d’autres dont le deuil n’a pas encore été accompli par leurs familles malheureusement.
« Par contre si on prend l’exemple de la famille d’Omar qui n’oublie pas ce dernier et cherche à tout prix ce qu’il est devenu : est-ce qu’on peut dire que cette famille fait de la politique ? à mon modeste sens je dis Non et je dis Non aussi quand Salma Cherqaoui parle dans son blog du cas d’Omar le malheureux disparu… »
La question est peut etre mal formulée dans le paragraphe sus-mentioné et devrait etre :
Est-ce qu’on peut dire que la famille d’Omar et Salma Cherqaoui font de la politique quand ils évoquent le souvenir et la disparition d’Omar ?
Ma réponse est Non aux deux. Dans les deux cas, cela reléve pour moi de l’humanité ou de l’humanisme.
Bon week end Salma
je trouve ce texte tres interressant moi aussi mes j’ai po compris grand chose
Il est normal que tu ne comprends pas grand chose, tu a à peine 12 ans :).
Merci Lina pour ton commentaire.
Même une empreinte sous forme d’un petit com me fait réjouir.
Bon séjour ya Lala à Asfi ! Et passe mon salut à touute la famille (et spécialement à Khalti Hafida et Jamila)
[…] Maestro Amadeus : Ton deuxième billet a traité les années de plomb. A vrai dire je n’ai pas osé le lire, pour des raisons […]
Bjr,
Moi,je vis plus que la torture,et depuis dix huit ans.Mes études supérieures furent anéantis,mes projets furent mis à terre,et le plus controverse,mon Journal fut parti en éclat.Ceci fait dix huit ans que je souffres vingt quatre sur vingt quatre,de voix dans ma tete,voix émanant de prostitués,qui,malheureusement sont le pilier incontestable de la pourriture,et qui de nos jours,sont considérées par ce maudit régime,dont les mères étaient elles-memes prostituées,des personnalités.