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Réunion de chantier sur la route menant à Lusinga
Réintroduction de pangolins dans la nature
Pangolin à écailles tricuspides
Pangolin (bis)
Aide à la réfection de la piste d'aviation de Mitwaba
Réunion BAK-COOPI à Lusinga
Plaque commémorative des martyrs du parc Upemba
BAK participe à un programme d’éducation environnementale en chefferie Kayumba
Nos écogardes obtiennent des résultats en chefferie Kayumba
éléphants en chefferie Kayumba
Impala du Katanga
Education environnementale en chefferie Kayumba
Cocktail à la résidence du Consul général de Belgique
Projet BAK-UICN-ICCN
Première observation du Gravelot mongol au Katanga
La rivière Luvilombo à sec !
Visite de BAK au PNU Nord
BAK organise des rencontres entre les autorités coutumières et l'ICCN
Signature d'un contrat entre BAK et UICN
Mise à jour de la base de données sur les vertébrés
BAK offre plus de 50,000 cartes postales au Zoo de Lubumbashi
Bill Kasongo promu Docteur en sciences Agronomiques
Lutte contre la déforestation sauvage au Katanga
Prix Goldman 2017 au conservateur du parc Upemba
Multiplication d'essences végétales rares du Katanga
Monographie sur le Haut-Katanga
BAK offre 20,000 cartes postales à une école de la Ruashi
Redécouverte de l'Alouette éperonnée au Katanga
Sortie du livre "Arbres et arbustes du Haut-Katanga"
La nomenclature des chanterelles katangaises enfin clarifiée
Un étudiant finaliste du DEA entame une carrière internationale
Parution du livre Katanga. Des animaux et des hommes
Volumes 1 & 2
Mission du Professeur Meerts au Katanga
BAK lance un appel pour la protection des derniers lambeaux de forêt dense sèche de la Plaine de Lubumbashi


Réunion de chantier sur la route menant à Lusinga
date : 13/11/2018
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  Les travaux de réhabilitation de la route reliant Lusinga à l’axe Luambo-Mitwaba continuent malgré les difficultés engendrées par l’arrivée des pluies. Les buses devant servir à remplacer les petits ponts en bois sont arrivées à destination et seront installées dans les prochains jours.
Quant au lit de pierres devant permettre de rigidifier la bande de roulement il continue à être mis en place par les cantonniers.
Ce mardi 13 novembre les principaux acteurs de cette réhabilitation, à savoir Cooperazione, Internazionale (COOPI), l’Institut Congolais pour la Conservation de la Nature (ICCN) et Biodiversité au Katanga (BAK) se sont réunis sur le chantier pour constater l’état d’avancement des travaux.
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date : 13/11/2018
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Réintroduction de pangolins dans la nature
date : 12/11/2018
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  Pour la deuxième fois en un mois, BAK a racheté à des braconniers des pangolins à écailles tricuspides pour les relâcher dans un biotope qui leur convient à la périphérie du Parc National de l’Upemba.
Ces animaux sont vendus au bord de la route à l’entrée de la ville de Lubumbashi sur le pont enjambant le chemin de fer et à Kapolowe.
Nous encourageons fortement les autorités à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour faire cesser ce trafic d’animaux protégés par la loi congolaise.
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Pangolin à écailles tricuspides
date : 12/11/2018
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Pangolin (bis)
date : 12/11/2018
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Aide à la réfection de la piste d'aviation de Mitwaba
date : 21/07/2018
 
  Afin de permettre aux avions de se poser à nouveau à Mitwaba, BAK a confié un subside au responsable du projet Upemba de Cooperazione Internazionale (COOPI) afin de faire réaliser les réparations indispensables à la réouverture de la piste. Ce dernier nous a promis des photos du premier avion qui se poserait à nouveau sur la piste.
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Réunion BAK-COOPI à Lusinga
date : 21/07/2018
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  BAK et COOPI ont tenu une réunion de coordination à Lusinga dans le cadre de la réhabilitation de la route d’accès au PNU. Les travaux qui commenceront incessamment seront réalisés conjointement par Cooperazione Internazionale (COOPI) et BAK, avec un financement de l’Union Européenne. Ils permettront de désenclaver la station qui est actuellement très difficilement accessible en saison des pluies. Cette réhabilitation, ajoutée à celle de la route Kiubo-Mitwaba actuellement réalisée par une entreprise chinoise, mettra le PNU à portée raisonnable des habitants des grands centres urbains du Haut-Katanga, favorisant ainsi la relance du tourisme. Les populations riveraines du parc seront les premières bénéficiaires en termes d’emploi. Le désenclavement de la région devrait également permettre l’évacuation des produits agricoles et inciter les populations à en produire plus.
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Plaque commémorative des martyrs du parc Upemba
date : 20/07/2018
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  BAK a remis aux autorités de la station de Lusinga dans le secteur Nord du Parc national de l’Upemba une plaque commémorative à la mémoire des martyrs tombés lors de l’attaque de la station en 2004. Une stèle portant cette plaque sera érigée en leur mémoire.
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BAK participe à un programme d’éducation environnementale en chefferie Kayumba
date : 20/06/2018
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  Notre agent revient de la chefferie Kayumba où il a participé à une action de l’ASBL Mikembo dans le domaine de l’éducation environnementale. Cette action subsidiée en partie par l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique (IRSNB) consistait à former les professeurs des écoles à l’enseignement des principes élémentaires de la protection de la nature et à l’utilisation durable de ses ressources. 48 écoles étaient concernées par ce programme. Un important matériel didactique a été distribué à cette occasion.
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Nos écogardes obtiennent des résultats en chefferie Kayumba
date : 09/06/2018
 
  A l’occasion de son séjour dans la chefferie Kayumba, notre agent a suivi le travail effectué par les écogardes que nous avons mis en place. Les résultats sont plus que satisfaisants. Nos écogardes ont pu suivre les déplacements des éléphants dans la région et ont pu observer des pélicans et des becs-en-sabot. Si même les photos qu’ils ont prises sont de piètre qualité, elles attestent néanmoins de la réussite de leur travail sur le terrain. Ces résultats sont très encourageants et nous tenons ici à féliciter les écogardes pour leur courage et leur persévérance.
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éléphants en chefferie Kayumba
date : 09/06/2018
 
 
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Impala du Katanga
date : 04/05/2018
 
  En 1914, dans la « Revue Zoologique Africaine » le Dr Schouteden a décrit l’impala du Katanga comme une sous-espèce. Ce classement se basait essentiellement sur des caractères ostéologiques. L’impala du Katanga comparée à ses congénères d’autres pays était plus petite de taille. Ce caractère avait paru suffisamment constant dans les collections du Musée de Tervuren pour décider Henri Schouteden à la décrire comme une sous-espèce.
BAK a voulu en avoir le cœur net et a envoyé des échantillons d’ADN d’impalas du Katanga et d’impalas de Zambie au Professeur Michaux de l’université de Liège. La comparaison des échantillons a donné une similitude telle que la conclusion semble indubitable : l’impala du Katanga n’est pas une sous-espèce distincte génétiquement de l’impala de Zambie. Donc l’appellation Aepyceros melampus katangae doit être abandonnée en faveur de Aepyceros melampus melampus
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Education environnementale en chefferie Kayumba
date : 10/03/2018
 
  En mars 2018, l’ASBL Mikembo a initié un programme d’éducation environnementale destiné aux écoles de la chefferie Kayumba. Cette action qui est sponsorisée par l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique vise à former les enseignants des écoles de la chefferie à la sensibilisation des enfants à la protection des ressources naturelles. Un agent de BAK participe à cette action en assurant la formation des enseignants à l’utilisation du matériel didactique fourni par Mikembo.
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Cocktail à la résidence du Consul général de Belgique
date : 24/01/2018
 
  En date du 24 janvier 2018, BAK a organisé un cocktail pour la présentation du livre « Champignons comestibles du Katanga » réalisé en collaboration avec le Jardin Botanique de Meise.
Le Consul général de Belgique a accepté de sponsoriser l’évènement qui s’est tenu à sa résidence.
Deux des trois auteurs étaient présents. Cette publication vient couronner la collaboration initiée en 2013 entre les mycologues du Jardin Botanique, l’université de Lubumbashi et BAK.
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Projet BAK-UICN-ICCN
date : 15/09/2017
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  Dans le cadre de sa participation à un projet visant à protéger les derniers éléphants du Katanga, BAK a mené une action en chefferie Kayumba. Une première mission d’un agent de BAK a eu lieu en septembre suivie d’une deuxième de décembre à février.
A cette occasion BAK a pu organiser la formation d’écogardes. Ces observateurs de la faune ont été équipés de GPS et d’appareils photos et sont chargés de documenter les déplacements des éléphants.
Par la même occasion, des cantonniers ont été engagés sur base journalière pour réaliser la piste d’atterrissage de Mukanga, chef-lieu de la chefferie. Vu l’état totalement impraticable des routes en saison des pluies, nous avons accepté de répondre à la demande du Grand Chef Kayumba de créer cette piste afin de désenclaver la chefferie.
Des négociations ont été initiées avec les envahisseurs du parc installés au village de Mbwe pour tenter de les amener à sortir pacifiquement du PNU. Le chef a promis de les accueillir et de leur donner des terres à cultiver et BAK voit avec les bailleurs de fonds comment leur fournir des animaux qui leur permettraient de démarrer des petits élevages.
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Première observation du Gravelot mongol au Katanga
date : 01/09/2017
 
  Dans le numéro de septembre du bulletin de l’African Bird Club, un article est consacré à nos observations d’un oiseau migrateur à Pweto. C’est la première fois que le Gravelot mongol est observé au Katanga.

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La rivière Luvilombo à sec !
date : 29/08/2017
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  Lors d’une visite éclair à Kiubo, un administrateur de BAK a constaté que la rivière Luvilombo était complètement asséchée.
Au-delà de l’impact négatif sur le site touristique de la chute et sur sa biodiversité, cet assèchement risque de provoquer des problèmes de santé publique. Alors que nous nous approchons des grandes chaleurs du mois d’octobre, les flaques d’eau croupie sont des éléments dangereux pouvant provoquer des épidémies de diarrhées, voire de choléra.
Or ce phénomène n’a rien à voir avec le réchauffement climatique. Il s’agit de barrages effectués en amont pour l’irrigation des cultures.
Le code civil congolais est clair à ce sujet, nul ne peut bloquer l’écoulement d’une rivière.
Nous espérons que les autorités réagiront rapidement et trouveront un compromis satisfaisant tout le monde.
Lors de ses recherches botaniques dans la région, BAK a pu constater que la galerie forestière de la Luvilombo près de son embouchure, était d’une très grande richesse du point de vue de la biodiversité.
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Visite de BAK au PNU Nord
date : 17/08/2017
 
  Durant 4 jours, BAK a organisé une visite au secteur nord du PNU. Le Professeur MEERTS de l’Université libre de Bruxelles accompagnait la mission. Des prélèvements botaniques ont été effectués dans le cadre des recherches menées par le professeur en partenariat avec l’Université de Lubumbashi (UNILU).
Sur la photo: Symbiose entre une plante et des fourmis. Ces dernières habitent les tiges creuses de la plante et protègent cette dernière contre des agresseurs éventuels. Lusinga 19/08/2017
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BAK organise des rencontres entre les autorités coutumières et l'ICCN
date : 01/07/2017
 
  BAK organise plusieurs rencontres entre les représentants des bailleurs de fonds internationaux, l’ICCN et les autorités coutumières de la périphérie du Parc Upemba.
Un terrain d’entente a été trouvé pour organiser le développement des communautés rurales tout en assurant la protection de la biodiversité
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Signature d'un contrat entre BAK et UICN
date : 15/06/2017
 
  BAK signe un contrat de collaboration avec l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature, section Pays-Bas (UICN NL).
Cette ONG internationale a alloué un budget à BAK pour réaliser de la conservation communautaire en chefferie Kayumba au nord du Parc National de l’Upemba. En échange d’une aide au développement, la chefferie s’engage à ne pas pourchasser les éléphants qui traversent ses terres.
Des écogardes seront formés aux techniques douces de refoulement telles que l’usage du pilipili ou des abeilles.
Un agent de BAK partira sous peu dans la chefferie pour y organiser les activités.
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Mise à jour de la base de données sur les vertébrés
date : 06/06/2017
 
  BAK est heureux d'annoncer que la base de données sur les vertébrés du Katanga de notre website a entièrement été mise à jour.
Ce sont ainsi plus de 2000 vertébrés qui figurent maintenant dans nos différentes listes faunistiques.
Toutes ces listes ont été établies en collaboration avec des spécialistes du Musée royal de l'Afrique centrale de Tervuren.
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BAK offre plus de 50,000 cartes postales au Zoo de Lubumbashi
date : 15/05/2017
 
  BAK a remis ce jour un lot de plus de 50.000 cartes postales figurant la faune du Congo au Zoo de Lubumbashi. Ces images seront utilisées lors des animations organisées à l'occasion des visites scolaires pour promouvoir la protection de la faune.
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Bill Kasongo promu Docteur en sciences Agronomiques
date : 05/05/2017
 
  BAK est fière d’annoncer que Bill Kasongo, qui avait entamé une thèse de doctorat après avoir réussi brillamment le DEA de 2011-2012, vient de présenter sa défense de thèse à l’Unilu et s’est vu octroyer le titre de docteur en sciences agronomiques.
Bill nous aidera à mettre au point une méthode de « mycorhisation » des jeunes arbres destinés au reboisement, afin qu’au pied de ceux-ci poussent des champignons comestibles.
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Lutte contre la déforestation sauvage au Katanga
date : 03/05/2017
 
  « Lubumbashi, 03 Mai 2017(ACP) Le directeur de cabinet du chef de l’Etat, M. Néhémie Mwilanya Wilonja a annoncé mercredi au gouvernorat de province, à l’issue de la réunion qu’il a présidée dans la salle de banquet du gouvernorat de province, la suspension des directeurs provinciaux de la DGDA, de la DGM et du coordonnateur provincial de l’Environnement sur instruction de la haute hiérarchie.
Il a fait cette annonce en présence des responsables des services impliqués dans l’exploitation du bois rouge, de la justice et des services de sécurité ainsi que les membres de la délégation gouvernementale venue de Kinshasa, à savoir MM. Henri Mulang, Authis Kabango Kalonji, Basile Olongo, respectivement ministres des Finances et de l’Environnement, vice-ministre de l’Intérieur ainsi que les responsables des différents services de sécurité et de douane.
Après la descente sur terrain et l’analyse du dossier ainsi que le rapport présenté par la commission venue de Kinshasa au Président de la République, il a instruit son directeur de cabinet et chef de la délégation d’annoncer cette mesure pour conserver et protéger l’environnement et l’écho système de la nature qui donnent la vie à l’homme et pour les générations futures.
Outre la suspension des directeurs provinciaux de la DGDA, M. Eric Hata Kafota, de la DGM, M. Omer Benza Piotu et du coordonnateur de l’Environnement, le directeur de cabinet du Chef de l’Etat a également annoncé la suspension de la délivrance des autorisations d’exploitation forestière, de la coupe des bois, de l’exportation et la commercialisation des bois sur toute l’étendue de la province jusqu’à nouvel ordre.
Tous les bois se trouvant dans les dépôts sont placés sous le régime de saisi judiciaire, les enquêtes sont ouvertes à charge des toutes les personnes civiles, militaires et policière impliquées de près ou de loin dans l’exploitation du bois rouge afin d’établir les responsabilités des uns et des autres.
A ce sujet le directeur de cabinet du Président de la République a souligné que le gouvernement national va introduire au Parlement une loi pour modifier le code forestier afin de conserver la nature et sauvegarder l’écho système. »

BAK se réjouit de cette initiative des plus hautes autorités de l’état. Nous espérons que les enquêtes permettront d’établir les responsabilités de chacun et que les recettes qui auraient du alimenter le Fonds Forestier National seront récupérées et affectées à qui de droit.
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Prix Goldman 2017 au conservateur du parc Upemba
date : 23/04/2017
 
  Le prix Goldman 2017 qui récompense les individus ayant pris de très grands risques pour protéger l’environnement a été attribué à Rodrigue Mugaruka Katembo, actuel conservateur du Parc National de l’Upemba.
Cet ancien enfant soldat s’est illustré au parc des Virunga en confondant des officiels corrompus qui tentaient de faciliter l’exploitation du pétrole par la société Soco International. Cela a fait l’objet du film « Virunga » qui a été primé par un Emmy award.
Après la tentative d’assassinat du Conservateur des Virunga en 2014, Rodrigue Katembo fut considéré comme trop exposé, raison pour laquelle il fut muté au Parc Upemba. Depuis son arrivée à son nouveau poste, il a déjà fermé plusieurs mines illégales.
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Multiplication d'essences végétales rares du Katanga
date : 01/04/2017
 
  BAK a initié un projet de multiplication et réintroduction de quelques essences végétales devenues très rares au Katanga. Parmi celles-ci, Tessmania burtii, Entandophragma delevoyi et Erythrina excelsa. D’autres espèces autrefois disséminées par les éléphants font également l’objet de culture (Sclerocarya birrea par exemple).
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Monographie sur le Haut-Katanga
date : 29/03/2017
 
  Dans le cadre du projet « Provinces-Décentralisation » qui prévoit de publier une monographie pour chacune des 26 provinces de la République Démocratique du Congo, le Musée royal de l’Afrique centrale de Tervuren nous a contactés pour solliciter du matériel iconographique.
C’est avec grand plaisir que nous avons fourni les photos demandées pour la publication à paraître prochainement sur le Haut-Katanga.
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BAK offre 20,000 cartes postales à une école de la Ruashi
date : 08/03/2017
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  BAK offre un ensemble de 20,000 cartes postales à l’école « Eau vive » de la commune Ruashi qui compte 400 élèves. Ces cartes postales illustrant la faune du Congo, éditées il y a 70 ans par l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique, continuent à faire des heureux aujourd’hui.
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Redécouverte de l'Alouette éperonnée au Katanga
date : 01/03/2017
 
  Un article décrivant la redécouverte de l’Alouette éperonnée aux Kundelungu est publié dans le bulletin de l’African Bird Club Vol 24 N°1 ( 2017). Cet oiseau connu d’un seul exemplaire au Katanga et complètement en dehors de son aire de distribution (Afrique du Sud et Namibie) posait un problème aux ornithologues depuis 50 ans. L’énigme est aujourd’hui résolue.

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Sortie du livre "Arbres et arbustes du Haut-Katanga"
date : 26/01/2017
 
  Le Haut-Katanga, dans le sud de la République Démocratique du Congo, présente une flore riche et diversifiée. La végétation naturelle comprend différents types de forêts : forêts claires (« miombo »), forêts denses sèches (« muhulu »), galeries forestières (« mushitu »)...
Arbres et arbustes du Haut-Katanga, par Pierre Meerts et Michel Hasson (386 pages), propose, pour la première fois, un aperçu global de la flore ligneuse du Haut-Katanga. Il comprend des clés de détermination pour l’ensemble des espèces d’arbres et arbustes qui y sont connues (près de 700 espèces). 214 espèces sont décrites en détail et illustrées de photos originales en couleurs (silhouette, écorce, feuilles, fleurs, fruits). Leur écologie, leur distribution géographique et leurs usages sont précisés.
L’ouvrage comble une lacune importante, puisqu’il n’existait aucun livre de référence en français pour la flore forestière de l’Afrique centro-australe.
L’ouvrage s’adresse autant aux naturalistes expérimentés, auquel il apportera des outils d’identification rigoureux, qu’aux amoureux de la nature, qu’il séduira par la beauté des illustrations.
Beaucoup d’espèces du Katanga ayant une distribution afrotropicale large, l’ouvrage intéressera donc les naturalistes actifs dans toute l’Afrique subsaharienne.
Informations pratiques :
Arbres et arbustes du Haut-Katanga
Pierre Meerts & Michel Hasson
Editions Jardin Botanique de Meise, 2017
28.5 cm x 21.5 cm
386 p.
Prix indicatif : 39 €
Pour se procurer l’ouvrage :
Le livre peut être commandé en ligne, au prix de 39 euros (hors frais de port), sur la boutique du Jardin botanique de Meise (Belgique)
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La nomenclature des chanterelles katangaises enfin clarifiée
date : 15/11/2016
 
  Le Dr De Kesel nous fait parvenir un article sur les chanterelles katangaises. Cette clarification de la nomenclature acceptée internationalement va enfin nous permettre de terminer notre livre sur les champignons comestibles du Katanga

Cryptogamie, Mycologie, 2016, 37 (3): 283-327
© 2016 Adac. Tous droits réservés
doi/10.7872/crym/v37.iss3.2016.283
New and interesting Cantharellus from tropical Africa
André De Kesela*, Mario Amalfia, Bill KASONGO WA NGOYb,
Nourou Soulemane YOROUc, Olivier Raspé a, d,
Jérôme Degreefa, d & Bart BUYCKe
aBotanic Garden Meise, Nieuwelaan 38, 1860 Meise, Belgium,
email: andre.dekesel@botanicgardenmeise.be
bFaculty of Agronomy, University of Lubumbashi, 1825 Kasapa Road,
Lubumbashi, DR Congo
cFaculty of Agronomy, University of Parakou,
Dept. of Natural Resources Management, BP 123, Parakou, Bénin
dFédération Wallonie-Bruxelles, Service Général de l’Enseignement universitaire
et de la Recherche scientifique, rue A. Lavallee 1, 1080 Bruxelles, Belgium
eMuséum national d’Histoire naturelle, Département Systématique et Évolution,
CP 39, ISYEB, UMR 7205 CNRS MNHN UPMC EPHE,
12 rue Buffon, F-75005 Paris, France, email: buyck@mnhn.fr
Abstract – This paper deals with some of the larger, more or less yellowish or orange
Cantharellus species from the tropical African woodlands and rain forests. Four new species
with clamp connections are described: Cantharellus guineensis, C. mikemboensis,
C. pseudomiomboensis and C. stramineus. The new taxa show moderate to strong resemblance
to either Cantharellus rufopunctatus or C. miomboensis. A two-locus phylogeny, based on
part of the protein coding genes rpb2 and tef-1, resolved them as a highly supported clade
within Cantharellus subgenus Rubrinus, a subgenus still exclusively composed of tropical
African species. This monophyletic clade is here described as a new section within subg.
Rubrinus. As the subgenus was previously defined as being composed of chanterelles lacking
clamp connections, the definition of the subgenus is here amended. Illustrations and new
records are also presented for Cantharellus afrocibarius, C. defibulatus, C. miomboensis,
C. rufopunctatus and C. sublaevis. This paper provides first sequences for C. defibulatus,
C.rufopunctatus and C. sublaevis, all of which are here epitypified, as well as new sequences
for more than a dozen other Cantharellus. Cantharellus cibarius var. latifolius is considered
a synonym of C. afrocibarius. An identification key to all mainland African Cantharellus is
proposed.


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Un étudiant finaliste du DEA entame une carrière internationale
date : 09/11/2016
 
  Pacifique KIZILA, finaliste du DEA en gestion des ressources naturelles organisé par l'Unilu en collaboration avec BAK, vient d'être nommé conseiller régional en gestion des aires protégées au parc national de la Comoé en Côte d'Ivoire.
Nous lui souhaitons plein succès dans ses nouvelles fonctions
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Parution du livre Katanga. Des animaux et des hommes
date : 05/07/2016
 
 

Réunis dans un même coffret, ces deux volumes, différents dans leur présentation, traitent tous deux de la relation qui a toujours existé au Katanga entre la faune et la société des hommes.

Dans le premier volume, après avoir brossé un aperçu du contexte géographique et historique de la province, l'auteur explore les coutumes et croyances relatives à la faune. Il aborde ensuite les activités liées au monde animal que sont la chasse et la pêche pour terminer par celle, plus moderne, de la conservation de la nature.

Le second volume se présente comme un guide des vertébrés du Katanga. Pour chaque espèce étudiée, outre les caractéristiques biologiques, les aspects relatifs au folklore, aux croyances ou à la chasse sont abordés.
Les invertébrés ne sont cependant pas oubliés et leur interaction avec le monde des hommes est évoquée dans des domaines aussi variés que la médecine, l'agriculture ou le folklore.
En fin de volume, le lecteur trouvera des listes faunistiques établies par les spécialistes du Musée royal de l'Afrique centrale. Tous les vertébrés connus du Katanga y figurent.
Cela fait de cet ouvrage le premier guide complet des vertébrés du Katanga.
L'ouvrage est en vente en Belgique dans toutes les librairies. Il est également disponible à Lubumbashi. il suffit de nous contacter à info@bakasbl.org
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Volumes 1 & 2
date : 05/07/2016
 
 
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Mission du Professeur Meerts au Katanga
date : 20/05/2016
 
  Dans le cadre de ses recherches sur le miombo katangais, le Professeur Pierre MEERTS a effectué un séjour au Katanga.
Cela a été l'occasion de peaufiner les derniers détails de notre publication à venir sur les "Arbres et arbustes du Haut-Katanga".
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BAK lance un appel pour la protection des derniers lambeaux de forêt dense sèche de la Plaine de Lubumbashi
date : 21/02/2016
 
  Urgence de la conservation des derniers lambeaux de forêt dense sèche (muhulu)
dans la Plaine de Lubumbashi (Haut-Katanga, R.D. Congo)

1. Les forêts de la Plaine de Lubumbashi
La Plaine de Lubumbashi appartient à la Région zambézienne. Le climat, avec une pluviosité supérieure à 1000 mm, répartie sur 6 mois, permet le développement d’une végétation forestière.
Trois types principaux de végétation forestière existent dans la Plaine de Lubumbashi : les forêts claires, les forêts-galeries et les forêts denses sèches.
1.1. Les forêts galeries (mushitu)
Les forêts-galeries sont des peuplements forestiers très étroits, strictement localisés aux abords immédiats des cours d’eau. Il n’en sera plus question dans la suite de cette note.
1.2. Les forêts claires ou miombo
Les forêts claires sont actuellement le type forestier le plus répandu dans la Plaine de Lubumbashi. La strate arborescente ne dépasse pas 15-20 m. Elle est dominée par les arbres de la famille des Césalpiniacées, tout spécialement les genres Brachystegia (noms vernaculaires : Musamba, Muputu), et Julbernardia (J. globiflora : Sandwe), accompagnés notamment de Marquesia macroura (Museshi), Pterocarpus angolensis (Mulombwa), etc. Les arbres perdent partiellement ou complètement leurs feuilles en saison sèche. L’intensité lumineuse au niveau du sol est toujours élevée (d’où l’appellation de « forêt claire »), permettant le développement d’une strate herbacée graminéenne relativement dense. C’est la raison pour laquelle le miombo est parfois décrit comme une « savane boisée ».
Au Katanga, il est établi que le miombo est généralement une forêt secondaire, c’est-à-dire dont la grande extension actuelle s’explique largement par l’action humaine. La forêt primaire (= naturelle) d’une grande partie du Katanga est, en réalité, une forêt dense sèche (voir ci-dessous). Depuis l’occupation du Haut-Katanga par les bantous, la pratique de l’agriculture sur abattis-brûlis et les feux courants allumés en saison sèche ont progressivement entraîné la régression de la forêt primaire (forêt dense sèche) et son remplacement par la forêt claire.
1.3. Les forêts denses sèches (muhulu)
Les forêts denses sèches sont des forêts dominées par des arbres de grande taille (20-25 m), verts durant toute l’année (sempervirents). Quelques arbres typiques sont Dialium englerianum, Diospyros hoyleana, Entandrophragma delevoyi, Erythrophleum suaveolens, Parinari excelsa, Teclea nobilis, … La structure et la physionomie du peuplement est très différente de celle de la forêt claire. La strate arborescente est dense et très riche en lianes : Landolphia div. sp., Strychnos div. sp., Combretum div. sp. . Le sous-bois est très sombre, ce qui explique que la végétation herbacée y est très clairsemée. Presque toutes les espèces conservent leurs feuilles en saison sèche.
Le muhulu se présente parfois sous la forme de fourrés denses à Rothmannia whitfieldei, Cremaspora triflora et diverses lianes.
Les forêts denses sèches, lorsqu’elles sont intactes, offrent un obstacle à la progression des feux.
Les forêts denses sèches occupaient jadis au Katanga des surfaces beaucoup plus étendues qu’aujourd’hui. Leur très forte régression s’explique par la pratique de l’agriculture sur brûlis. Une fois la forêt dense sèche abattue, un champ est installé pendant quelques années. Quand les nutriments du sol sont épuisés, la culture est abandonnée et une savane arbustive se développe. La pratique des feux ne permet pas la reconstitution de la forêt dense sèche. C’est la forêt claire qui s’installe dans ces conditions.
Des expériences ont montré que la protection contre le feu favorise effectivement la réinstallation du muhulu.
Il est établi que les grandes termitières à Macrotermes, tellement caractéristiques du paysage de la Plaine de Lubumbashi, se sont édifiées dans des forêts denses sèches. Quand celles-ci sont remplacées par le miombo, les grandes termitières sont progressivement abandonnées (termitières mortes) ou réoccupées par d’autres termites.

2. Le muhulu, conservatoire d’un patrimoine naturel de grande valeur
Il n’y a pratiquement aucune espèce en commun entre la flore du muhulu et la flore du miombo. La flore du muhulu présente des affinités fortes avec celle des forêts denses de la Région guinéo-congolaise.
La flore du muhulu de la Plaine de Lubumbashi comprend un nombre important d’espèces à distribution géographique restreinte. Certaines espèces sont même endémiques des muhulus du Haut-Katanga et des territoires adjacents de Zambie. Citons notamment :
Aulacocalyx laxiflora, Grewia katangensis, Grewia schmitzii, Ritchiea quarrei,Tessmannia burttii, Tricalysia longituba, Tricalysia revoluta.
Les muhulus de la Plaine de Lubumbashi abritent également des espèces médicinales très recherchées : Tabernaemontana pachysiphon, Voacanga africana.

3. Les muhulus dans la Plaine de Lubumbashi
Les menaces qui pèsent sur ces reliques de muhulu sont nombreuses. Les feux tardifs et répétés, pratiqués dans les savanes arbustives qui les entourent, dégradent progressivement leurs lisières. La fabrication de makala emporte les arbres les plus grands.
Le muhulu n’occupe plus, actuellement, dans la Plaine de Lubumbashi, que des surfaces extrêmement réduites. Ces surfaces sont très fragmentées et isolées les une des autres. Il s’agit souvent de massifs ne dépassant pas quelques hectares.
Lorsque la surface de ces taches de muhulus devient trop faible, les effectifs populationnels des espèces les plus caractéristiques deviennent trop faibles pour assurer une survie à long terme.
Les quelques éléments de muhulu subsistant dans la Plaine de Lubumbashi prennent ainsi une valeur d’autant plus grande qu’ils sont les ultimes témoins d’un paysage autrefois caractéristique.
Le muhulu de la « Ferme du Lac » est l’un des mieux conservés des environs de Lubumbashi.
Sa flore comprend encore de nombreuses espèces devenues rares dans la Plaine de Lubumbashi ; citons spécialement :
Aulacocalyx laxiflora, Craterispermum schweinfurthii, Cremaspora triflora, Empogona ruandensis, Grewia schmitzii, Pauridiantha paucinervis, Pyrostria lobulata, Tarenna pavettoides, Tricalysia revoluta, Voacanga africana. Zanthoxylum trijugum, espèce nouvelle pour la R.D. Congo, y a été récemment notée.
Il occupe une surface de 254 ha. Il se présente comme une mosaïque de fourrés lianescents et de taches de forêt denses, entrecoupés de savanes secondaires. L’influence humaine est omniprésente : abattages récents, ouvertures de clairières, feux… Il est évident que les surfaces occupées par le muhulu dans ce site sont en voie de diminution rapide si des mesures énergiques de conservation ne sont pas prises.

Références
Schmitz A. 1963. Les muhulus du Haut-Katanga méridional. Bulletin du Jardin botanique de l'État 32 : 221-299.
Schmitz A. 1971. La végétation de la plaine de Lubumbashi. INEAC. Série scientifique, n° 113.
Schmitz A. 1974. L’homme et la végétation du Haut-Shaba (Zaïre). Les Naturalistes belges 55 : 374-414.

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