Traduction de Ralph Anzarouth
BS"D
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Morceaux choisis - tirés du film:
Avec l'aide de D-eu nous
ferons et nous réussirons,
et Il nous fera profiter
de Sa bonté.
Quand un homme réfléchit
à la finalité
de sa venue dans ce monde,
si un homme réfléchit
à son destin,
il peut comprendre
ce qu'est sa vie.
Dans les dernières Parachot,
nous avons appris la mort des
deux fils d'Aharon le Cohen:
"Quand ils se sont rapprochés
de D-eu et ils sont morts."
Pendant les sept jours
dits de 'Miluyim',
notre maître Moïse
prépare Aharon le Cohen
à sa grande mission.
Le huitième jour,
Aharon le Cohen accomplit
tout le travail nécessaire
pour que la Présence Divine
s'étende sur le Peuple Juif,
et pour lui montrer que
le Saint, béni soit-Il
a pardonné
le péché du veau d'or.
La Présence Divine descend
sur la Tente du Rendez-vous,
le peuple se prosterne,
chante la louange de D-eu béni
et se réjouit intensément.
Il s'agit d'un jour de grande
joie pour Aharon le Cohen.
Le pardon est
une grande chose,
Le pardon pour le veau d'or
est une chance énorme:
un peuple entier, qui était
passible de destruction,
voit expiée
la faute du veau d'or.
Mais au même moment
ses deux fils entrent,
offrant un feu étranger
devant D-eu,
et ils sont morts.
Les 2 fils de Aharon le Cohen
meurent à cette occasion,
au moment où lui
se réjouissait profondément.
Lors de la joie du Peuple
Juif, ses deux fils meurent.
Deux fils,
dont notre maître Moïse dit
qu'ils sont plus grands
que lui et qu'Aharon.
Comment réagit Aharon le Cohen
à cet événement?
"Et Aharon se tut."
Aharon le Cohen est pétrifié.
Que signifie l'expression
"Et Aharon se tut"?
***
Lorsqu'un homme vit comme ça,
et comprend la finalité,
il sait que tout ce que
nous avons dans la vie,
ce ne sont que des outils
pour servir D-eu béni.
Tous les dons
que nous avons reçu du Ciel,
sagesse et connaissance,
tout nous a été donné
en honneur de D-eu béni,
et ces outils doivent servir
à diffuser la gloire de D-eu.
Rabbi Meïr Baal Haness:
deux de ses fils sont morts
en un seul Shabbat.
Ils avaient renoncé
à la leçon de Shabbat
pour aller manger à la maison,
pendant l'heure de la leçon.
La Providence
leur en a tenu rigueur,
et ils sont morts
le même Shabbat.
La femme de Rabbi Meïr,
qui était droite et sage,
ne lui en a pas parlé,
afin de ne pas l'attrister
le jour de Shabbat.
A la fin de Shabbat
elle lui dit: "Rabbi Meïr,
"si on a déposé
chez nous un gage,
"et son propriétaire
vient le reprendre,
"faut-il le lui rendre?"
Il lui répondit: "Bien sûr!"
Elle souleva le drap
qui couvrait les deux fils
et elle dit:
"Le propriétaire du gage
est venu le reprendre!"
Les enfants sont un gage.
Notre vie est un gage.
Nous avons tout reçu en prêt.
Le sage utilise ce qu'il
a reçu selon sa finalité.
Heureux celui qui connaît
le but de sa vie
Mais malheureusement
il y a de nombreuses personnes
qui vivent avec l'impression
que la vie est un acquis.
Tout est naturel, sans
une vraie intervention Divine,
sans une vraie Providence,
et la vie dépend
de l'effort personnel;
elles croient que leurs actes
stimulent leurs affaires.
Evidemment, les choses ne
fonctionnent pas de la sorte.
Le roi Salomon dédie
tout un livre, l'Ecclésiaste,
qu'il ouvre, en tant qu'homme
le plus sage de l'humanité:
"Vanité des vanités,
dit Kohélet,
"Vanité des vanités,
tout est vanité."
Le roi Salomon,
la paix soit sur lui, dit:
tout ce qui se trouve dans
le monde n'est que vanité.
"Quel avantage tire l'homme
de tout son labeur,
"sous le soleil?"
Que reste-t-il à l'homme
de tous les jours de sa vie,
sous le soleil?
Après 70-80 ans,
l'homme est amené à sa tombe,
où on l'enterre.
Il va vers les soupirs,
et sa famille vers les fêtes.
Que lui reste-t-il de tout
son labeur sous le soleil?
***
Béni sois-Tu Eternel
notre D-eu, Roi du monde,
qui a tout créé par sa parole.
Mais nous nous sommes habitués
au fait que le doigt bouge.
A l'hôpital, des gens ont des
membres qui ne bougent pas.
"Est-ce un miracle
ou un fait naturel?"
***
Il y avait une nation
avec une tradition bizarre.
Ils choisissaient tous les ans
un nouveau roi.
Il n'était pas choisi parmi
les citoyens de la nation,
mais uniquement parmi
les visiteurs de l'étranger.
Un jour, ils attendaient
à la frontière,
un gars est passé,
ils l'ont attrapé,
lui ont mis
une couronne sur la tête,
l'ont placé dans un carrosse,
et lui ont dit:
"Vive notre seigneur le roi!"
***
Il y avait une ville,
avec un cimetière à l'entrée.
Un jour un visiteur
arrive en ville,
à travers le cimetière.
Il regarde une des pierres
tombales et s'étonne:
Ici repose le juste Untel,
âgé de 3 ans.
Un juste âgé de 3 ans?
Il se dit: "Certainement,
le chiffre 0 est tombé."
Il regarde une autre pierre:
Ici repose le divin kabbaliste
Untel, âgé de 4 ans.
Où sommes-nous?
***
Et depuis ce jour,
il lui répète
qu’elle doit lui acheter
un grand Séfer Torah blanc,
comme celui de la synagogue.
On pensait que ça passerait.
De temps à autre,
il nous rappelle
qu’on doit lui acheter
un grand Séfer Torah blanc,
et pas un petit pour enfant.
A propos du Séfer Torah!
Qu'est-ce qu'il y a,
à propos du Séfer Torah?
J'en ai rêvé.
Quand j’ai raconté cette
histoire, les gens ont dit:
"Bon, les parents veulent
un Séfer Torah
"pour la guérison
de leur enfant..."
Il y a trois jours,
son médecin, qui est juif,
lui a demandé:
"Eliah Yoav, que veux-tu
que je t’apporte?"
Il pensait lui apporter
un jouet quelconque,
mais pendant une demi-heure
il lui a décrit le Séfer Torah
qu'il désire et il lui a dit
que c'était pour sa guérison.
Ensuite, il l'a dit aussi
au Dr. Wexler.
On n'y a plus pensé,
mais deux jours après
il a redemandé la même chose.
Dr. Wexler a demandé ce que
nous allions faire à ce sujet.
Nous avons dit que, hélas,
nous ne pouvons rien faire:
nous ne pouvons pas
nous le permettre.
Il y a un organisme juif
qui s’appelle "Chai Lifeline".
Le médecin lui a dit:
"Je ne te promets rien,
mais j’essaierai".
Il a passé quelques
coups de téléphone
et à 23h30,
une famille juive de Brooklyn,
que je ne connais pas,
lui a offert le Séfer Torah,
et a fait un manteau...
Il a demandé un manteau blanc.
Il n’a accepté aucune autre
couleur, seulement le blanc.
Ils lui ont fait
le manteau blanc
et ils ont apporté
le Séfer Torah à l’hôpital.
Ils lui ont montré le Séfer
Torah et ils le lui ont donné.
Qui n'était pas présent dans
la pièce ne peut comprendre.
Il était toute la journée dans
le lit, sans pouvoir bouger.
***
Brooklyn College 9 Juin 2002.
Puis-je te poser une question?
Est-ce que tu fixes des heures
pour l’étude de la Torah?
Non!
Quelle est ton occupation?
Je travaille
comme tout le monde.
En ce moment
je ne travaille pas,
car je passe la plupart
du temps à l’hôpital.
Es-tu prêt à t’engager à
étudier la Torah 2h par jour?
Oui. -Avec l’aide de D-eu!
Celui qui bénit nos pères
Abraham, Isaac et Jacob,
Moïse, Aaron, David et Salomon
et toutes les saintes assemblées
bénira
Eliah Yoav fils de ‘Haya,
que D-eu lui envoie
une prompte guérison,
parmi tous les malades
de Son peuple, rapidement,
qu’Il lui enlève la maladie,
et qu’Il la plante
dans la tête d’Arafat, Amen!
Amen!
***
Qui d’autre,
parmi ce saint public,
est prêt à prendre sur lui
le joug des Mitzvot
pour la guérison
de cet enfant spécial?
Qui veut mettre des Tzitzit
et démarrer une nouvelle vie
pour la guérison de l'enfant?
Quelqu’un d’autre veut bien?
Békhavod! Viens, Tzaddik!
Où est la musique?
***
Bonsoir.
Je voudrais partager avec vous
toute l'histoire,
comment je me trouve ici,
ce soir.
Je m'appelle
Ariel Sharon Moyal.
Mon grand-père était le Rabbin
d'une petite Synagogue,
"Maguèn Avraham", à Akko,
en Terre d'Israël.
Mes parents ont grandi
dans la Terre d'Israël,
et sont venus en Amérique
en tant que jeune couple.
Je suis né et j'ai grandi
à San Diégo, en Californie,
dans un foyer traditionaliste:
Kiddouche le vendredi soir,
Synagogue pour les fêtes,
et parfois même Shabbat.
Comme on dit en hébreu,
"'Hafif" (insouciants)
J'ai étudié
à l'école publique,
où presque tous mes amis
étaient Goyim.
En grandissant j'aimais
la musique Rock,
et je rêvais de devenir
une étoile du Rock.
J'ai commencé à jouer
de la guitare,
et j'ai fondé
mon premier groupe, au lycée.
Après le lycée,
mon groupe est devenu connu
dans la région de San Diégo.
Après des années de fatigue,
d'exercices, de répétitions,
d'enregistrements,
nous sommes passés
de presque rien à un groupe
avec un public énorme.
Les enfants demandaient
mon autographe,
partout où j'allais.
A ce moment, nous avons signé
avec une compagnie
multimillionnaire,
et nous avons commencé
à faire de grandes choses.
Dans mon intérieur, je savais
que quelque chose manquait.
A ce moment,
ma mère a fait Techouvah.
Je me souviens de la première
vidéo d'Amnon Yitz'hak,
que j'ai vu avec elle.
Nous étions tous les deux
collés au poste,
je n'en avais jamais assez.
Je dédiais tout mon temps à
ces cassettes audio et vidéo.
Ce fut un dur réveil,
et une grosse claque à tout ce
que je pensais être important.
Après mon enquête personnelle,
selon le conseil que Rav Amnon
donne dans ses cassettes,
je ne pouvais plus dire que je
ne connaissais pas la vérité.
Accro à mon mode de vie
matérialiste,
j'ai continué comme avant,
mais ma conscience
ne me laissait pas tranquille.
J'étais prisonnier
d'une contradiction:
d'une part, je réussissais
dans la vie dont je rêvais;
d'autre part, je savais
que tout cela serait inutile.
J'ai décidé d'écrire à Shofar,
en Terre d'Israël,
pour essayer d'en obtenir
des conseils pratiques.
Ils m'ont vite répondu et mis
en contact avec Shofar NY,
qui m'a renvoyé à Rav Bakhrakh
chef de la Yéchivah Or Israël,
à Monsey, New York.
Je lui ai expliqué
ma situation,
et mon impossibilité
de respecter Shabbat
et la plupart des Mitzvot,
dans mon milieu actuel.
J'ai continué et expliqué
que la semaine suivante
j'avais prévu une première
de vidéoclip et une rencontre
que notre manager
avait fixé à Los Angeles
avec une grande et très
motivée maison de disques.
Rav Bakhrakh m'a expliqué
que je venais de recevoir
une très grande épreuve
de la part de la Providence,
et que si
je ne quittais pas maintenant,
probablement je signerais un
contrat et ne quitterais plus.
A ce moment il m'est arrivé
quelque chose.
***
M. le Rabbin,
nous sommes une communauté
du quartier de Mill Basin,
et voici huit mois, ou un an,
un de nos enfants,
qui étudie en Yéchivah
a attrapé
une très grave maladie.
Tout ce qui a été fait...
nous avons prié,
on a même fait un jeune
il y a deux semaines,
on a dit des Psaumes,
des Séli'hot,
et tous les Shabbat on ouvre
des rouleaux de Torah,
et des bénédictions...
Jusqu'à Shabbat dernier,
au moment de l'annonce
la plus dure du monde,
rien ne sert.
M. le Rabbin,
que peut-on faire,
après que
des juifs comme nous,
'croyants fils de croyants',
comme on dit...
Rien n'y fait!
Pourquoi dois-je venir
à une soirée comme celle-ci
et parvenir
à cet état effroyable,
à verser des larmes,
emmener tous nos membres,
seulement pour dévoiler
ça au public
et crier au Maître du monde
de nous aider?
Nous n'avons
aucun autre pouvoir.
De quoi souffre-t-il?
***
Pour conclure, je veux
vous montrer quelque chose:
L'Organisation Shofar cherche
à faire des films d'animation
afin que les gens qui sont
loin de Torah et Mitzvot
puissent connaître
les principes de la foi.
Un des sujets
que nous avons déjà réalisé
est la résurrection des morts:
comment sera
la résurrection des morts.
Un des 13 principes,
et on y voit
la résurrection des morts,
pour renforcer la foi
de ceux qui sont lointains.
Nous vous montrerons cela ici,
avec l'aide de D-eu,
pour conclure, SVP.
La main du Seigneur
se posa sur moi,
et le Seigneur
me transporta en esprit
et me déposa dans la vallée,
qui était
pleine d'ossements.
Et Il me fit avancer
près d'eux, tout autour,
et voici, il y en avait un
grand nombre dans la vallée,
et ils étaient très desséchés.
Et Il me dit:
"Fils de l'homme,
"ces ossements,
peuvent-ils revivre?"
Je répondis:
"Seigneur D-eu, Tu le sais."
Et Il me dit:
"Prophétise sur ses ossements
"et dis-leur:
'Ossements desséchés,
écoutez la parole du Seigneur.
'Ainsi le Seigneur D-eu
a parlé à ces ossements:
'Voici, Je fais passer en vous
un souffle, et vous revivrez.
'Et Je mettrai sur vous
des nerfs,
'et Je poserai sur vous
de la chair,
'et Je vous envelopperai
d'une peau,
'et Je mettrai en vous
un esprit et vous vivrez.
'Et vous reconnaîtrez
que Je suis le Seigneur.'
Et j'ai prophétisé comme
cela m'avait été ordonné,
et il y eut un bruit,
lorsque je prophétisais,
puis une rumeur, et les
ossements se rapprochèrent,
un os vers l'os correspondant.
Et j'ai regardé, et voici
il y avait des nerfs sur eux
et de la chair sur eux,
et une peau s'est développée
par dessus,
et ils n'avaient pas d'esprit.
Et Il me dit:
"Prophétise à l'esprit,
"prophétise, fils de l'homme
"et dis à l'esprit: 'Ainsi
a parlé le Seigneur D-eu:
'Des quatre coins,
viens, ô esprit,
'souffle sur ces cadavres,
et ils revivront.'
Et j'ai prophétisé,
comme Il me l'avait ordonné,
et l'esprit les pénétra,
et ils revécurent.
Et ils se dressèrent
sur leurs pieds,
une multitude
extrêmement nombreuse.
Et Il me dit:
"Fils de l'homme,
"ces ossements, c'est
toute la Maison d'Israël,
"voilà qu'ils disent:
'Nos os sont desséchés,
'notre espoir est perdu,
notre décret est scellé.'
"Donc, prophétise et dis-leur:
'Ainsi parle le Seigneur D-eu:
'Voici, J'ouvre vos tombeaux,
'et Je vous ferai remonter
de vos tombeaux, ô Mon peuple,
'et Je vous ramènerai
à la Terre d'Israël.
'et vous reconnaîtrez
que Je suis le Seigneur,
'lorsque J'ouvrirai
vos tombeaux,
'et lorsque Je vous ferai
remonter de vos tombeaux,
'Mon peuple, et Je mettrai
Mon esprit en vous,
'et vous revivrez.
'Et Je vous poserai
sur votre terre
'et vous saurez
que Moi, le Seigneur,
'J'ai promis et J'ai maintenu,
parole du Seigneur.'
Merci beaucoup à tous.
Bonne soirée,
Que vous méritiez
toutes les bonnes choses,
que le Peuple Juif revienne
à son Père qui est au ciel,
rapidement.
Cher juif, chère juive,
nous venons de vous présenter
une dégustation
de notre sainte Torah.
Si vous souhaitez continuer
à vérifier la foi,
vous êtes invités
à visiter Shofar,
Rehov Mattatiahou 10 Bné Berak
www.shofar.net
Nous avons une ample offre de
cassettes audio, vidéo et CD.
Tout homme qui prétend
être un homme de vérité
doit vérifier, afin que son
choix de vie soit objectif.
Traduction française:
R. Anzarouth
