La Légende au sujet du Tarot et du Livre de Thot:

Le Dieu Thot

Le Dieu THOT.

LE PRÉTENDU LIVRE DE THOT:

Jusqu'au XVIIIème siècle, le tarot ne fut envisagé que comme le vestige dénué d'intérêt d'une époque barbare. Nul n'y prit garde avant 1781, date du publication du Monde Primitif de Court de Gebelin, ouvrage où parurent au tome VIII, page 365, les lignes suivantes:

" Si l'on entendoit annoncer qu'il existe encore de nos jours un Ouvrage des anciens Egyptiens, un de leurs livres échappé aux flammes qui dévorèrent leurs superbes Bibliothèques et qui contient leur doctrine la plus pure sur des objets intéressants, chacun seroit, sans doute, empressé de connoître un livre aussi précieux, aussi extraordinaire. Si on ajoûtoit que ce livre est très répandu dans une grosse partie de l'Europe, que depuis nombre de siècles il est entre les mains de tout le monde, la surprise iroit certainement en croissant; ne seroit-elle pas à son comble, si l'on assuroit qu'on n'a jamais soupçonné qu'il fut égyptien, qu'on le possède comme ne le possédant point, que personne n'a jamais cherché à en déchiffrer une feuille: que le fruit d'une sagesse exquise est regardé comme un amas de figures extravagantes qui ne signifient rien par elles-mêmes? Ne croirait-on pas qu'on veut s'amuser, se jouer de la crédulité de ses auditeurs? Le fait est cependant très vrai: ce livre Egyptien, seul reste de leurs superbes Bibliothèques, existe de nos jours: il est même si commun, qu'aucun savant n'a daigné s'en occuper; personne avant nous n'ayant jamais soupçonné son illustre origine. Ce livre est le jeu de TAROT..."

Sources: Oswald Wirth "Le tarot ds imagiers du Moyen- Age pages 38 , 39.

Le livre des morts.

Fragment du livre des morts; "La Psychostasie ou pesée du coeur".

LE LIVRE DE THOT II:

Sechat.

Et sa parèdre Sechat.

( Sources: " Les livres Maudits de jacques Bergier- J'ai lu -l'aventure mystérieuse n° A 271" )

Les livres maudits.

Sir Mortimer Wheeler, célèbre archéologue anglais, a pu écrire: "L'archéologie n'est pas une science mais une vendetta". Nulle part, cette affirmation n'est plus vraie que dans le domaine de l'archéologie égyptienne où s'affrontent férocement archéologues romantiques et archéologes classiques. Pour les archéologues classiques, l'archéologie égyptienne ne présente aucun problème et l'on y découvre un passage continu du néololithique à une forme de civilisation plus avancée, passage qui s'effectue de façon absolument naturelle. Pour les archéologues romantiques au contraire, et pour les chercheurs indépendants qui n'appartiennent pas au clan de l'archéologie officielle, l'antiquité de l'Egypte est beaucoup plus importante et les problèmes qui ne sont pas résolus beaucoup plus nombreux qu'on ne le croit. Parmi ces adversaires de l'archéologie classique égyptienne, je vais choisir deux noms, René Schwaller de Lubicz et C.Daly King. Le premeir, né en 1891 et mort en 1961 a écrit notamment, Aor, Adam, l'homme rouge (édition privée hors commerce, 1925); l'appel du feu (éditions privée hors commerce); Aor, sa vie, son oeuvre (Paris, Editions de la Colombe, 1963); Le roi de la Théocratie pharaonique ( Paris, Flammarion, 1963); le temple de l'homme Apel du Sud à Louksor ( en dépot chez dervy, Paris, 1957, 3 vol.) Propos sur ésotérisme et symbolisme ( Paris, la Colombe , 1960 ) ainsi que divers articles dans les cahiers du sud à Marseille, notamment dans le numéro 358. Il fut d'abord peintre, élève de Matisse. Pendant la grande guerre, il fut chimiste aux armées, et la chimie le conduisit à l'alchimie. Il forma alors un groupe baptisé la Fraternité des Veilleurs.

Faisaient notamment partie de ce groupe Henri de Régnier, Paul Fort, André Spire, Henri Barbusse, Vincent d'Indy, Antoine Bourdel, Fernand Léger et Georges Polti. A l'intérieur de ce groupe, un cercle ésotérique fermé, les frères de l'ordre Mystique de la Résurrection, étudiait un certain nombre de problèmes dont celui des civilisations disparues. Schwaller de Lubicz, fixé à Saint-Moritz puis à Palma de Majorque, puis à Louksor, étudia les secrets de l'Egypte. Un certain nombre d'égyptologues comme Alexandre Varille se rallièrent à son point de vue; d'autres au contraire, s'y opposèrent violemment et une vendetta s'installa qui dure encore. Quant à C. Daly King, c'est un savant tout ce qu'il y a de plus officiel, psychologue matérialiste, auteur de trois traités classiques utilisés dans l'enseignement des pays anglo-saxons, Beyond Behaviourism ( 1927 ), Integrative Psychology ( en collaboration avec W.M. et H.E.H. Marston ) ( 1931 ) et the psychology of consciousness ( 1932 ). C. Daly King passa en 1946 à Yale une thèse de doctorat en physique sur les phénomènes électromagnétiques qui se produisent pendant le sommeil. Puis il se pencha sur les états au cours desquels on est plus éveillé que dans l'éveil normal, ce qui aboutit à un autre livre classique, The states of human consciousness ( university Books, NY 1963 ). Il mourut lorsqu'il corrigeait les épreuves de ce livre et qu'il préparait un important ouvrage sur les sciences de l'esprit dans l'ancienne égypte. ::

Le seul point commun peut-être entre Schwaller de Lubicz et C.Daly King, c'est le niveau élevé de leurs connaissances scientifiques.Or ces deux esprits très différents se rejoignent sur deux conclusions essentielles. D'abord, la considérable antiquité de la civilisation égyptienne, au moins 20000 ans, peut-être 40000; d'autre part, l'état avancé des connaissances en Egypte ancienne, aussi bien en ce qui concerne l'univers extérieur que l'esprit humain. Confrontons ce point de vue avec celui de l'archéologie officielle. D'après celle-ci, il y a 6000 Ans les Egyptiens étaient encore membres de tribus sauvages. Un interprète sérieux et reconnu des archéologues officiels, leonard Cottrell dans The Penguin book of lost worlds, page 18, écrit: "Quelque chose arriva qui, en un temps remarquablement court, transforma ce conglomérat de tribus semi-arabes vivant au bord du Nil en un état hautement civilisé qui dura 3000 ans. Quant à la nature de ce qui arrive, nous ne pouvons que chercher à deviner. Mais les preuves archéologiques nous fournissent plusieurs indices et l'on peut espérer que des découvertes futures vont combler les lacunes."

Les archéologues romantiques et les archéologues dissidents rétorquent à cela que cette transformation brutale n'a jamais eu lieu. Selon eux, la civilisation égyptienne n'a absolument rien à voir avec les primitifs qui furent ses contemporains, comme les primitifs de la Nouvelle-Guinée sont les nôtres. Selon eux, les origines de la civilisation égyptienne sont ailleurs et on ne les a pas encore retrouvées. La plupart des archéologues de l'Afrique libérée sont de cet avis et certains d'entre eux pensent même que les anciens égyptiens étaient des Noirs, et qu'il faut rechercher en Afrique les origines secrètes de l'Egypte. C'est dans cette hypothèse d'une très ancienne civilisation pré-égyptienne qu'il faut se placer pour examiner le problème du livre de Thot. Thot est un personnage mythologique plus divin qu'humain qui, d'après tous les documents égyptiens que nous possédons, a précédé l'Egypte. Au moment de la naissance de la civilisation égyptienne, les prêtres et les pharaons auraient possédé le Livre de Thot constitué très probablement d'un rouleau ou d'une série de feuillets qui aurait contenu tous les secrets des divers mondes et qui aurait donné de considérables pouvoirs à ses détenteurs.

En 2500 av. J.C. Les Egyptiens écrivaient déjà et faisaient des livres. Ces livres sont écrits sur du papyrus. Le mot Bible qui veut dire livre dérive du nom du port de Byblos au Liban qui était le principal port d'exportation des rouleaux de papyrus. Dans la littérature égyptienne de 2500 av. J.C. on trouve déjà des traités de science et de médecine, des textes religieux, des manuels et même des ouvrages de science-fiction! En particulier, l'histoire des aventures du pharaon Snofru, père de Chéops, est un véritable roman d'anticipation avec des inventions extraordinaires, des monstres et des machines. Il pourrait être publié de nos jours. Le livre de Thot devait donc se présenter comme un papyrus très ancien recopié secrètement à plusieurs reprises et dont l'antiquité remonterait à 10000 ou peut-être même 20000 ans. Mais un objet matériel n'est en aucune façon un symbole. Objet matériel donc pouvant notamment être détruit par le feu. Nous allons voir que c'est ce qui lui arriva.

Venons-en d'abord à Thot lui-même. Il est représenté comme un être humain ayant la tête d'un oiseau ibis. Il tient à la main une plume de roseau et une palette de cette encre que l'on utilisait pour écrire sur le parchemin. Ses deux autres symboles sont la lune et le babouin. D'après la tradition la plus ancienne, il inventa l'écriture et servit de secrétaire à toutes les réunions des dieux. Il est associé à la ville d'Hermopolis dont on sait peu de chose et à des royaumes souterrains sur lequels on sait moins encore. Par la suite, Thot sera identifié avec Hermès.

RAPPEL: N'oublions pas que Thot est

associé à : Hermès chez les Grecs

Henoch chez les Juifs et à:

Idris chez les Arabes.

Il transmit à l'humanité l'écriture, et il écrivit un livre fondamental, ce fameux livre de Thot, livre antique entre tous les livres antiques, et qui contenait le secret du pouvoir illimité. Une première allusion à ce livre apparaît dans le papyrus de Turis déchiffré et publié à Paris en 1868. Ce papyrus décrit une conspiration magique contre le pharaon, conspiration qui visait à le détruire par envoûtement ainsi que ses principaux conseillers au moyen de statuettes de cire forgées à leur image. La répression fut féroce. Quarante officiers et six hautes dames de la Cour furent condamnés à mort et exécutés. D'autres se suicidèrent. Le livre Maudit de Thot fut alors brulé une première fois.

Ce livre apparaît plus tard dans l'histoire de l'Egypte entre les mains de Khanuas, fils de Ramsès II. Celui-ci aurait détenu l'exemplaire original écrit à la main même de Thot, et non pas de celle d'un scribe. D'après les documents ce livre permettait de voir le soleil en face. Il donnait le pouvoir sur la terre, l'océan et les corps célestes. Il donnait le pouvoir d'interpréter les moyens secrets qu'utilisent les animaux pour communiquer entre eux. Il permet de ressusciter les morts, d'agir à distance. tout ceci nous est rapporté dans les documents égyptiens d'époque. Bien sûr, un tel livre est un danger insuportable. Khanuas brûle le livre original ou prétend le faire. Le même texte disant que ce livre jailli du feu est indestructible par le feu, l'aventure est donc contradictoire. Mais cette "disparition" n'est que provisoire, si elle a lieu. Le livre reparaît dans les inscriptions sur la stèle de Metternich, stèle ainsi nommée car elle fut offerte à Metternich par Mohamed Ali Pacha. Elle avait été découverte en 1828 et date de 360 av.J.C. A l'échelle de l'histoire égyptienne, c'est donc un document moderne. Il paraît en outre qu'elle protège contre la morsure des scorpions, vertu difficilement vérifiable, les scorpions étant rares en Autriche. Cette stèle représente en tout cas plus de trois cent dieux des planètes tournant autour d'autres étoiles-je n'invente rien, la plupart des déchiffreurs modernes de la stèle Metternich disent qu'elle intéresserait les auteurs de science-fiction.

Thot, lui-même, annonce sur cette stèle qu'il a fait brûler son livre et qu'il a chassé le démon Seth et les sept maître du mal. Cette fois-ci la question paraît réglée. En l'an 360 av.J.C. le livre de Thot est solennellement détruit. mais cependant l'histoire ne fait que commencer. A partir de 300 environ av.J.C, on voit apparaître Thot identifié cette fois avec Hermès Trismégiste, le fondateur de l'alchimie. Tout magicien qui se respecte, en particulier à Alexandrie, prétend posséder le livre de Thot, mais on ne voit jamais apparaître le livre lui-même: chaque fois qu'un magicien se vente de le détenir, un accident interrompt sa carrière. ( ... ) O.c pages 8 à 11.

Un article très intéressant de l'excellente REVUE:

( Stargate Magazine N ° 4 Juin / Juillet 2004 sous la direction de Anne-Marie Givaudan et Antoine ACHRAM )

Anne GIVAUDAN et Antoine ACHRAM.

Stargate

Article: "Les trace de Chilbolton - La signification Alchimique"

Deuxième Partie.

A partir du glyphe de la petite ville anglaise de l'Hampshire, analyse de la structure fractale de Mandelbrot, de l'arbre de le vie hébraïque et du symbolisme de certaine tribus amérindiennes-au sujet desquelles on transmet des legendes qui les décrivent comme étant en contact étroit avec le petit peuple d'extraterrestres avec lesquels ils auraient partagé non seulement une partie de leur vie, mais aussi de leur ADN.

Quand Watson et Crick dessinèrent pour la première fois l'ADN, ils le virent tout d'abord dans leur cerveau, qui avait tranformé en image une série de symbolismes chimiques longuement élaborés. Ainsi, le SETI trouva aisé de dessiner l'ADN à envoyer dans l'espace en 1974. Enfin, il a été facile pour les extraterrestres d'y répondre de la même façon, en décrivant leur ADN. Mais ainsi faisant, non seulement ils nous fournirent une information technique sur le chimisme, mais ils nous ont aussi fait remarquer que d'autres millieux culturellement différents et détachés du millieu scientifique au cours des siècles avaient reproduit les mêmes iconographies quand ils parlaient de la vie dans l'Univers. Le monde ésotérique tout entier, en effet, fait allusion à l'arbre de vie et au dessin qui le représente. A commencer par Thot, que nous voyons offrir à l'humanité sa lance ou sa coupe, contenant les informations de la vie; et voici le dessin du caducée-devenu aujourd'hui le symbole de la médecine. Rappelons que Thot est Mercure et qu'Hermès Trismégiste est le chimiste, créateur de la vie et médecin de l'Univers. Mais le Caducée, divisé en ses archétypes fondamentaux, est constitué de deux serpents qui s'enroulent autour d'une baguette centrale qui soutient une roue ailée. Donc, ce que beaucoup identifient comme arbre de la vie serait une chaine d'ADN avec quelque chose au centre de très important, dont l'origine est liée à l'élément ( les ailes ) qui permet de voler et qui est associé à un disque ( le disque solaire représentant la vie?)

Dans la tradition védique nous trouvons schématisée, par ce même symbolisme, la kundalini, l'énergie vitale qui, du bas du dos, à partir du dernier chakra de la tête, celui de la glande pinéale, que l'on peut mettre en rapport avec le troisième oeil et la vision réelle de l'Univers. Les anciens ésotéristes européens liés à la Franc-maçonnerie, à la Gnose, aux mystères du cosmos connaissent très bien le symbolisme de l'arbre de la vie, celui dont Adam et Eve ne purent manger, vu qu'ils ont été chassés du Paradis terrestre (cg.Egène Conseiller, editions Jean-jacques Pauvert, 1964 Paris ). Et c'est précisément dans le Paradis Terrestre qu'est représenté l'arbre de la vie comme une fontaine à quatre plans.

Les Racines de l'arbre de la vie:

En haut, et ce n'est pas par hasard, Mercure, c'est à dire la transfiguration du Créateur Thot, se met en vue. Des deux côtés il y a une figure masculine et féminine, auxquelles on offre à boire dans une coupe symbolisant le Saint Graal, ou mieux, le sang Royal de la descendance divine, comme le soutiennent certains experts en la matière. Sous terre, où l'arbre de la vie a ses trois racines, représentées par trois épées, il y a les symboles des planètes connus à l'époque. C'est comme si l'on voulait dire encore une fois: VOTRE ADN VIENT DU CIEL. ( ... ) o.c pages 6 à 8.

 

 

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