La CGPME Nationale

Présentation de la CGPME

 

AVANT PROPOS, QUELQUES CHIFFRES CONCERNANT ...

 

... LA CGPME

Date de création : Octobre 1944

Nombre de fédérations adhérentes : 220

Nombre d’entreprises membres : 550 000

Nombre de permanents : 35 au siège

Mandats occupés : 20 000.

 Nombre de mandataires formés par nos instituts : 5800/an

 

... LES PME

 

Les PME sont les vraies forces vives de la Nation. Elles réalisent 97% des entreprises françaises, 55% des salariés du privé (chiffres de 2003) , 45% de l’export. Seulement 5 100 entreprises ont plus de 250 salariés.

Les hommes et les femmes PME ou TPE doivent pouvoir disposer d’un syndicalisme qui leur permet d’être enfin clairement identifiés ; un syndicalisme qui ne soit pas seulement revendicatif mais force de proposition pour la nation et qui les accompagne dans leur quotidien. C’est pourquoi la CGPME est seule légitime pour représenter les PME et TPE.

 

| Qui sommes-nous ? |

 

La CGPME, Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises, est une organisation patronale interprofessionnelle, privée et indépendante, dont la représentativité est officiellement reconnue. Elle assure la représentation et la défense de l'ensemble des petites et moyennes entreprises, tous secteurs confondus (industrie, commerce, services, artisanat), au niveau national, tant auprès des pouvoirs publics que des partenaires sociaux, ainsi qu'au niveau international. Elle regroupe à la fois des fédérations professionnelles et des structures territoriales interprofessionnelles.

 

La CGPME défend les intérêts d’1,6 millions de PME et TPE.

Nous sommes présents sur toute la France, y compris les Départements et Territoires d’Outre-mer.

Nous sommes organisés en 123 unions départementales et régionales.. Ainsi, les entreprises qui veulent adhérer à la CGPME peuvent le faire par exemple au niveau de nos représentations locales.

Nos structures assurent des services d’assistance et de conseil pour leurs membres dans différents domaines : économique, social, fiscal… Ils bénéficient d’échanges d’expériences et de partages de savoir-faire à l'occasion de l'organisation de séminaires et rencontres diverses.

En outre, parmi nos membres, nous comptons 200 fédérations professionnelles très diversifiées comme la métallurgie, le BTP, la coiffure, le tourisme, l'informatique… Ce sont les Unions Nationales.

Nous couvrons tout le territoire français grâce à nos Unions Territoriales qui connaissent parfaitement le tissu économique et social local. Elles peuvent ainsi défendre les intérêts des PME du département et de la région. Elles proposent aussi de nombreux services à leurs adhérents. Cette organisation nous permet de connaître dans le détail les centres d’intérêt et les préoccupations de nos membres. De ce fait, nous pouvons cibler de façon plus pertinente nos actions de lobbying, au service des PME.

Enfin, nous nous reconnaissons tous dans les valeurs de la CGPME : travail, effort, initiative et partage.

 

| Organisation |

 

 Unions Nationales :

- L’Union Nationale des PME du Commerce (UNPMC)

- L’Union Nationale de la Petite et Moyenne Industrie (UNPMI)

- L’Union Nationale des Prestataires de Services (UNPS)

- L’Union Nationale de l'Artisanat (UNA)

 

Unions Territoriales :

- L’Union Territoriale de la Petite et Moyenne Industrie (UTPMI)

- L’Union Territoriale des PME du Commerce (UTPMC)

- L’Union Territoriale des Prestataires de Services (UTPS)

 

Une présence en France et à l’international :

 

Nous travaillons avec différents organismes sur tous les thèmes qui concernent nos PME/TPE.

En fait, nous sommes présents au travers de 400 mandats différents dans les instances ayant trait à l'emploi, à la formation, à l'assurance-maladie, au logement, les instances consulaires, prud'homales, conseils économiques et sociaux régionaux, régime de retraite, de prévoyance… Ainsi, 20 000 chefs d'entreprise nous y représentent, mandatés par la Confédération au niveau international, européen, national, régional, départemental et local.

Au niveau international, nous participons au BIT (Bureau International du Travail), au CES (Conseil Économique et Social) de l’Union Européenne et à l’UEAPME (Union Européenne de l'Artisanat et des PME). Voix des PME françaises à Bruxelles, par sa présence au sein de L’UEAPME (Union Européenne de l’Artisanat et des Petites et Moyennes Entreprises) la CGPME permet d’assurer la défense des intérêts, au niveau européen, de l'artisanat et des PME françaises en Europe.

 

L’UEAPME est un Partenaire Social Européen reconnu; elle compte 78 organisations membres, qui sont, soit des fédérations nationales intersectorielles, soit des fédérations sectorielles européennes, soit d'autres membres associés qui soutiennent les PME.


| Vocation de la CGPME, nos ambitions pour les PME |

 

Notre vocation est de mener des actions de lobbying à tous les niveaux de l’Etat français, mais aussi des instances européennes. Nous aidons les PME à faire entendre leur voix. Ainsi, en France, nous avons été à l’origine :

De la prime de 1 000€ dans le cadre du contrat de professionnalisation,

Plus récemment, en 2006, nous sommes intervenus pour limiter la TVTS pour les PME.

Fin 2007, nous avons gagné la bataille sur l’IFA qui devrait être supprimée en 2009.

Nous sommes aussi une force de proposition sur de nombreux dossiers. Nous venons, par exemple, de faire des propositions sur l'intéressement et la participation.

Nous nous battons pour obtenir des baisses de charges pour nos TPE et PME.

 

Il est grand temps de penser PME d’abord. Les PME doivent être la règle, pas l’exception.

 

Les travaux engagés tant sur le plan national que sur le plan européen doivent permettre aux PME d’accéder :

 Aux Financements

Aux Marchés publics

Aux Simplifications administratives

A la "2ème chance"

A La sérénité par plus de liberté d’entreprendre.

 

Ce que les PME demandent le plus souvent :

 

C’est la réduction des charges de toutes sortes qui pèsent sur nos TPE et PME et qui les empêchent de se développer dans de bonnes conditions. Sans une réduction des taxes qui pèsent sur nos entreprises, elles auront du mal à rester compétitives, voire à survivre.

Nous souhaitons, par exemple, qu’il y ait une harmonisation sociale et fiscale dans tous les pays d’Europe afin de pouvoir rétablir l’équilibre et redevenir compétitifs.

Nous militons pour réduire les effets de seuil qui freinent notre expansion. Ainsi, aujourd’hui lorsqu’une entreprise passe la barre des 50 salariés, elle est soumise à 34 obligations administratives supplémentaires et voit sa masse salariale augmenter de 4,16%.

Nous voulons donc obtenir un lissage des seuils sociaux afin d’encourager nos PME à recruter par un amortissement des coûts inhérents à ce franchissement. Ces seuils sont, en fait, l’un des freins à la croissance, ce qui explique pourquoi il y a 2 à 3 fois plus d’entreprises de 200 personnes en Allemagne qu'en France.

Actuellement, nous travaillons pour que l’intéressement se généralise dans les PME. Nous avons résolu deux problèmes : la complexité de sa mise en œuvre et la réduction de son coût. Nous agissons pour bénéficier d’incitations fiscales et pour que les dirigeants puissent en profiter. L’entreprise, c’est le travail d’une équipe et non d’une seule personne. Il est donc normal que tout le monde puisse jouir des fruits de son travail. Nos actions de lobbying sont souvent couronnées de succès.

Nous travaillons pour limiter les impacts de l’IFRS sur les PME et proposer des solutions intelligentes et pragmatiques.

Nous militons en faveur du transfert des cotisations de la branche famille vers une TVA dite « sociale », même si je trouve cette expression impropre.

Concernant les 35 heures, nous demandons que soit libéré le travail en augmentant le contingent d'heures supplémentaires à 220 heures pour tout le monde, en attendant de rentrer dans le cadre européen.

Nous voudrions obtenir un abattement de charges sur les 200 premiers euros de charges salariales par salarié et, en contrepartie, serions prêts à réexaminer les allégements existants.

 

| Les moyens  de la  CGPME |

 

Nos unions départementales et régionales qui nous accompagnent dans le travail de lobbying et de soutien au quotidien des PME.

Nous répondons aux besoins exprimés par les PME  adhérentes par la multiplication des actions de lobbying à tous les niveaux :

Assemblée Nationale, Sénat, Europe : Nous avons des auditions avec les parlementaires afin de leur expliquer nos positions.

Notre  Amicale Parlementaire : nous réunissons les députés et sénateurs autour d’un thème et par exemple en mars 2008 avons débattu avec eux sur le commerce de proximité. Il est essentiel de pouvoir maintenir le commerce de proximité afin de conserver les liens sociaux dans les centres villes et les villages.

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