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Patrice Ekwe Edimo Silo lance un appel aux peuples du Cameroun pour une constituante .

28 Mars 2024 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

APPEL AUX PEUPLES DU CAMEROUN POUR UNE CONSTITUANTE

Résistance à l’exogène ! Affirmons notre souveraineté !

Peuples du Cameroun,

Aujourd’hui, la classe politique camerounaise découvre les dysfonctionnements du système Institutionnel du Cameroun et engage une course pour savoir qui sera porteur de la meilleure réforme.

Peut-on donc prendre pour argent comptant, comme le font tant de commentateurs médiatiques, leur réformisme soudainement débridé ? Il ne faut d’ailleurs pas chercher bien loin pour voir dans les positionnements des uns et des autres la simple volonté de survie dans un Cameroun qui s’écroule et l’ambition plus ou moins mal dissimulée de prendre la tête d’une alternance qu’on pressent inéluctable en octobre 2025, de remplacer son excellence Monsieur Le Président Paul BIYA, quitte à en déformer le cours pour qu’il permette de conserver l’essentiel de l’existant ou de coller à un chemin personnel.

Que le système Institutionnel camerounais soit en crise est une évidence. Mais ce qui est nouveau, c’est d’entendre certains personnages politiques critiquer un système dont ils s’accommodaient jusqu’alors et dans lequel ils déployaient consciemment leurs stratégies politiciennes.La crise politique que nous traversons n’est pas seulement une crise de régime. Elle exprime une inquiétude sur le sens des mots, sur la nature même des Institutions, sur la vie publique. Elle concerne en fait le devenir des Peuples du Cameroun au sens de la capacité à maîtriser leur propre destin.

Les Peuples du Cameroun ne sont évidemment pas portés à défendre la caricature de démocratie que sont actuellement les Institutions camerounaises. Mais cela ne justifie en aucune façon la propagande destinée à faire croire que la crise de la démocratie résulte de l’emploi du suffrage universel. Bien au contraire, celui-ci est systématiquement détourné par les Institutions et les partis politiques.

Voilà plusieurs décennies que le régime de Yaoundé se fragilise. Il est fondé sur un pilier présidentiel sans contrôle, d’ailleurs renforcé depuis l’an 1972 par la réunification et la prééminence de l’élection du Président de la République.

La vie politique, au Cameroun, se résume désormais, plus ou moins, à l’élection, tous les 7 ans, d’un Président de la République qui concentre tous les pouvoirs. La séparation des pouvoirs n’est plus qu’illusion. Le Parlement ne sert pratiquement plus à rien, l’Assemblée nationale et le Sénat étant totalement soumis à l’exécutif qui transforme les parlementaires en dévoués, fidèles de la Présidence de la République. La justice n’a pas son indépendance.Les Institutions camerounaises représentent la caricature de ces dérives occidentales.

N‘en déplaise à ceux qui jouent le jeu des Institutions d’aujourd’hui en espérant tirer les marrons du feu, nous sommes face à une double Illégitimité : celle de la classe politique et celle des Institutions imposées par la colonisation.

Nous pouvons imaginer l’objection des légalistes : « la démocratie n’a jamais été parfaite ». C’est vrai, mais une société vit aussi en fonction des valeurs, pour le Cameroun, c’est avec les « US et COUTUMES ». Avant la colonisation, la foi, la confiance dans les valeurs coutumières ont été les référents, force est de constater qu’aujourd’hui notre société s’est fixée comme points de mire des non-valeurs telles que l’argent, la concurrence, l’apparence.

Ces critiques sont peut-être utiles. Mais touchent-elles à l’essentiel ? Le fossé qui s’est creusé entre la classe politique et les Peuples, l’absence quasi-totale de lien entre les Instituions coutumières et les Constitutions exogènes mises en œuvre justifient bien entendu une remise à plat des règles du jeu Institutionnel actuel. Mais par qui et comment ?

La crise qui pèse sur la vie publique est aujourd’hui, quoi qu’on en dise, celle de la légitimité, celle des partis comme celle des principales personnalités politiques qui en sont le produit.

Il n'est plus temps de se demander s'il faut que l'imprévu se produit. Des voix s'élèvent depuis quelques mois, quelques années de tous les partis politiques et de la société civile pour dénoncer les insuffisances sur le code électoral ou sur la Constitution du Cameroun.

Arrêtons donc de nous étriper sur tel ou tel article du code électoral ou de la Constitution. Il n'est plus temps de se demander ce que nous ferons le lendemain de la présidentielle de 2025 et il ne suffit pas de proposer des alternatives. Le code électoral consensuel n'apporterait rien de mieux que des ajustements à la marge alors qu'une CONSTITUANTE donnerait toute sa crédibilité à l'engagement dans un processus constituant de tous, seule issue de la crise ouverte aujourd’hui. Nous sommes sûrs que l'appel à une constituante peut rassembler tous les Peuples du Cameroun convaincus.

Qu’on le veuille ou non, l’appel aux Peuples du Cameroun ne peut se faire que dans sa signification globale, au-delà du clivage majorité présidentielle-opposition politique, et c’est pourquoi nous pensons que les Peuples du Cameroun doivent se retrouver au-delà des partis politiques.

Le dialogue doit retrouver ses droits et partout on ne parle plus que de cela, de notre destin commun, des règles qu'on veut se donner.Le besoin des Peuples du Cameroun est de plus en plus aujourd’hui une évidence pour faire face aux défis du développement. Un pays sans peuples n’a pas d’avenir.

Revaloriser les valeurs coutumières, qu’on appelle communément communauté ethnique, peut encore permettre d’éviter la catastrophe vers laquelle l’absence de volonté collective nous conduit.

Nous pensons que les Peuples du Cameroun devraient œuvrer à l'unification des efforts de la société civile et politique pour la défense des valeurs coutumières du Cameroun qui sont "les garants de la transition démocratique de demain".

Nous pensons aussi que l'absence de la reconnaissance des droits coutumiers et des valeurs coutumières ont été, sous les régimes UC, UNC et RDPC, à l'origine des crimes de corruption, du pillage des biens publics et des problèmes fonciers, l’exemple du « scandale de Dikologate » à Douala-Bali.

Pour cela nous devons appeler dès maintenant, avec le plus grand nombre des Peuples du Cameroun, à la mise sur pied d'une CONSTITUANTE qui donnerait tout son sens en redonnant la parole aux Peuples et une ambition pour l'avenir de notre pays, le Cameroun.

MAIS EN FAIT C’EST QUOI UNE CONSTITUANTE ?

Une Constituante est un arbre à palabres où on rassemble les Peuples de toutes les communautés ethniques du Cameroun pour écouter, dialoguer et échanger sur les problèmes du village, de la République, et où se prennent des décisions. Elle a aussi pour fonction de concevoir une nouvelle CONSTITUTION. Elle consiste en une réorganisation des Institutions et des règles du jeu politique jugées défaillantes. C’est aussi une réaffirmation de la volonté des Peuples du Cameroun, alors confisquée. Elle consiste à remettre le pouvoir politique dans les mains des Peuples et des communautés coutumières.

En général, une constituante intervient lorsque les Institutions du pays ont perdu toute légitimité, la situation politique est bloquée. Nous pensons qu’aujourd’hui, la politique au Cameroun est BLOQUEE.

Une Constituante signifie aussi, plus particulièrement, l’exercice du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, en restaurant la séparation des pouvoirs. Pour le Cameroun, entre l’Exécutif, le Parlement, et la Justice. Surtout, en redonnant le pouvoir aux Instituions coutumières, nous pensons aux Chefferies.

Une Constituante n’appartient pas à une fraction particulière de la société, mais veut représenter toute la société. Elle vise, de façon générale, unanime, à redonner au peuple sa SOUVERAINETE légitime.

Aujourd’hui, soyons clair, avec le modèle de la République occidentale, nous vivons dans un CADRE POLITIQUE LÉGAL MAIS ILLÉGITIME. Nous sommes dans l’impossibilité de continuer à se situer dans un espace politique qui se dit démocratique et qui l’est de moins en moins. Le choix va inévitablement se situer entre la continuationd’une forme autoritaire de Gouvernance, caractérisée comme "occidentale", et la reconnaissance des valeurs coutumières camerounaises.

POUR RAPPEL : la Nation du Cameroun, notre pays, est composée de groupes ethniques.

CONCLUSION

La Nation camerounaise est détruite. D’abandons en compromissions, les pouvoirs publics depuis le premier Gouvernement en 1958 jusqu’à aujourd’hui, n’ont plus qu’un rapport théorique avec les Peuples, les autochtones. Les pays occidentaux ont usurpé le pouvoir des Peuples du Camerounau nom des Traités ou Accords internationaux qui leur servent de masque. En particulier, la place des experts techniques occidentaux dans les sphères du pouvoir et de leurs méthodes, est centrale dans les prises de décision, l’exemple des Institutions de Brentwood complètement hors de portée des Peuples, grand aspirateur des souverainetés africaines, apparait au grand jour et s’oppose aux Peuples qui ont l’audace de vouloir affirmer leur souveraineté, leurs valeurs coutumières pour le développement de la République du Cameroun.La destruction méthodique des valeurs coutumières par la colonisation a engendré la décomposition de la société camerounaise, son effondrement sur le plan des Institutions et du développement. Pire, les Présidents de la République successifs nient la souveraineté des Chefferies coutumières et des Rois dont les Pouvoirs sont pillésau profit d’une nébuleuse « constitution occidentale ».

Aujourd’hui, les Peuples du Cameroun n’ont pas renoncé à la République des « VALEURS COUTUMIERES », sachant que le but de toute communauté est la conservation des droits autochtones, des droits coutumiers et imprescriptibles de l’homme : ces droits sont les valeurs coutumières, la confiance, le territoire, la terre et la résistance à l’oppression.

Les Peuples du Cameroun ne sauraient être méprisés, manipulés, pris pour des demeurés analphabètes, sans que la République ne soit méprisée elle aussi.

Alors que l’état de paralysie avancé de notre système Institutionnel est chaque jour plus manifeste, nous ne pouvons attendre autre chose que l’immobilisme ou la crispation autoritaire de ceux qui osent encore se dire nos représentants. C’est donc à nous, Peuples du Cameroun, qu’il appartient d’affirmer haut et fort notre SOUVERAINETE, en cessant de laisser penser que ces classes prétendument dirigeantes peuvent légitimement parler en notre nom. En mettant en commun nos analyses, nos propositions et nos initiatives, nous ferons la démonstration que nous pouvons faire RENAÎTRE LES VALEURS COUTUMIERES sans avoir à leur prêter allégeance.

La crise actuelle au Cameroun n'est pas seulement celle de la majorité politique, mais aussi celle de toute une organisation politique ; c'est pourquoi la confiance entre les Peuples et responsables politiques se dissout année après année, élections après élections.

Alors que le monde se trouve en mutation profonde, la République du Cameroun s'enferme dans des certitudes - affaiblissement systématique de l’Etat - qui ôtent toute aptitude d'action spécifique. Le soutien actif des Peuples du Cameroun aux choix politiques est nécessaire face aux défis de la période, à la fois pour mobiliser sur le terrain national et pour configurer de nouvelles solidarités panafricanistes.

Aujourd’hui, une seulevoie s'ouvre à nous : la Constituante. Un chemin qui sollicite les Peuples du Cameroun.

C'est dans cette volonté que doit résider l'issue pacifique et démocratique à la crise actuelle que traverse la République du Cameroun. Et la création d’une constituante en offre un aboutissement. C'est là l'objectif principal de la Constituante, cette refondation de la société autour de la réappropriation de ce bien collectif que sont les valeurs coutumières. Elle ne prendra son sens démocratique qu'en laissant s'exprimer les divergences d'où doit émerger à nouveau l'intérêt général. Elle permet d'œuvrer à la reconstruction de nouvelles bases, nouvelles fondations, nouvelles Institutions, en un mot, une nouvelle Constitution pour le Cameroun.

C’est pourquoi nous faisons APPEL à vous, aux Peuples du Cameroun, du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, et aussi de la Diaspora, à se réunir partout où c’est possible, afin de participer à la rédaction des cahiers d’exigences, premier acte de la résistance à une oppression de l’Occident devenue insoutenable pour notre « DEVELOPPEMENT », pour notre « SOUVERAINTE ».

Y a-t-il encore au Cameroun des groupes ethniques ? La question pourra étonner. Elle est pourtant le cœur de la crise politique actuelle.

 

Patrice EKWE EDIMO SILO

Union Coutumière et Solidaire de la Résistance

 

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AFFAIRE MARTINEZ ZOGO : POINT DE PRESSE DES AVOCATS DE JEAN PIERRE AMOUGOU BELINGA TENUE LE 17 FEVRIER A YAOUNDE. Me Tchougand et son équipe démasque une enquête parallèle à celle initiée par le président de la république.

18 Février 2023 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

AFFAIRE MARTINEZ ZOGO : POINT DE PRESSE DES AVOCATS DE JEAN PIERRE AMOUGOU BELINGA  TENUE LE 17 FEVRIER A YAOUNDE. Me Tchougand et son équipe démasque une enquête parallèle à celle initiée par le président de la république.

AFFAIRE MARTINEZ ZOGO : POINT DE PRESSE DES AVOCATS DE JEAN PIERRE AMOUGOU BELINGA  TENUE LE 17 FEVRIER A YAOUNDE.

Me Tchougand et son équipe démasquent une enquête parallèle à celle initiée par le président de la république.

 

Il ne s’agit pas d’une conférence de presse, il s’agit d’un point de presse. Il n’y aura pas d’échanges entre vous et nous à ce stade de l’enquête.

Depuis le début de cette affaire la défense n’a jamais exprimé son point de vue de quelques manières que se soit. Nous avons observé avec beaucoup de déception une campagne internationale de presse savamment orchestrée tendant non pas à rechercher les véritables coupables de ce terrible assassinat, mais plus tôt à désigner notre client comme étant le commanditaire de ce crime.

Je vais essayer d’être extrêmement  synthétique et éviter des discours.

 

17 janvier 2023 : enlèvement, séquestration, torture, et assassinat du journaliste Martinez Zogo.

22 janvier 2023 : Découverte du corps de Martinez Zogo au lieu-dit Ebogo3 par SOA, et ouverture immédiate d’une enquête sous l’autorité du Procureur de la République près les tribunaux de première et grande instance de Mfou et de la Mefou Afamba suivit d’une autopsie du dit Procureur de la République.

02 février 2023 : Mise en place d’une commission d’enquête mixte Police-gendarmerie par le secrétaire général à la présidence de la république Mr Ngoh Ngoh Ferdinand sur haute instruction du Président de la république Paul Biya. Il convient de dire que la légalité de cet acte pose et posera des problèmes.

06 février 2023 : Irruption des dizaines de gendarmes et policiers au domicile de Mr jean pierre Amougou Belinga pour procéder à son arrestation à 5 heures du matin, sans convocation préalable. Il y a également perquisition sans mandat de perquisition.

En vertu des dispositions de l’Article 103 du code de procédure pénale, les perquisitions effectuées ce jour là à son domicile n’avaient rien donné.

Le même 6 février 2023 dans la nuit, Mr Jean Pierre Amougou Belinga a été entendu dans le fond. Il a répondu à toute les questions qui lui ont été posées, et à lui imputées, et de dénoncer toutes les questions qui lui faisait apparaître comme étant le supposé commanditaire de l’assassinat de MZ.

07 février 2023 : dans la journée du 7 février 2023 plusieurs perquisitions ont eu lieu en  lien à nouveau à son domicile de MVan lieu dit entrée Complexe BEAC chez sa deuxième épouse et sa troisième épouse au siège du  groupe l’Anecdote au quartier Warda et à la télévision VISION 4 à Nsam. Il es à noter que s’agissant de la perquisition chez sa deuxième épouse l’avocate générale, les gendarmes se sont introduit de forces, par effraction défonçant les portes à la hache et arrache-clous après 18 heures en l’absence de la composante policière de la commission mixte en embarquant manu militari tous les occupants des lieu qui ont été relâchés que 24 heures plus tard sous garants.

Dans la nuit du 7 février 2023, une première confrontation avec le Lieutenant-colonel Danwe Justin a lieu, au cours de laquelle, il a été demandé à Mr JPAB s’il maintenait sa première déclaration selon laquelle il connaissait bien le Lieutenant-colonel Danwe. IL A RÉPONDU PAR L’AFFIRMATIVE. En indiquant que ce dernier venait souvent le voir pour le dépannage et lui filait des informations sur les activités sécuritaires frontalières avec la Centrafrique et la Guinée Équatoriale.

Au Lieutenant-colonel Danwe, la commission a posé la question suivante : Dans votre précédente déposition, vous avez déclaré ne pas connaître  Mr JPAB. Maintenez-vous cette déposition ? CE DERNIER A FINALEMENT RECONNU QU’EFFECTIVEMENT IL CONNAISSAIT Mr JPAB a-t-il indiqué.

La commission lui a posé la question suivante qu’est ce qui justifie que précédemment vous aviez nié le connaître ?

Lieutenant-colonel Danwe répond : COMPTE TENU DE L’ENVIRONNEMENT, DANS UN PREMIER TEMPS, JE NE VOULAIS PAS ÊTRE MÊLÉ A CA.

Fin de citation

09 février 2023 : deuxième perquisition à l’immeuble siège à Warda. La particularité de cette seconde perquisition au siège du groupe l’Anecdote, est que elle s’est faite en présence du Commissaire du gouvernement, qui souhait vérifier le contenu des coffres-forts et des deux serveurs de surveillance intérieure et extérieure de l’immeuble.

En dépit de l’absence du mandat ce qui est contraire à la loi.

Vu la présence physique du Commissaire du gouvernement, les conseils ont acceptés que la perquisition se déroula sous la condition que la Police scientifique et technique soit présente pour procéder au scellé dans les règles de l’art et constatation des  objets saisis dans le cadre d’un procès contradictoire établi séance tenante.

Le Commissaire du gouvernement a fait appel donc à la police scientifique et technique et l’on a procédé à la perquisition.

On a été surpris de voir que la police scientifique et technique était équipée en outils et elle a procédé à la perquisition conformément à l’article 119 du code de procédure pénale.

Le même 9 février 2023, les collaborateurs de Mr JPAB ont été illégalement arrêtés par le groupe territorial de la gendarmerie après qu’ils aient été entendu dans le cadre de l’assassinat de Mr Martinez Zogo.

Ils ont été conduits en suite manu militari au service de la recherche judiciaire de la gendarmerie où ils ont été incarcérés sans titre de détention ni bon de garder-à-vue.

10 février 2023 : les auditions des collaborateurs de Mr JPAB illégalement arrêtés la veille, illégalement détenus ont débutés les auditions au service central de recherche judiciaire pour se poursuivre le samedi 11 février 2023 dans les mêmes conditions et qualité.

Le même jour (le 10 février 2023) a lieu la deuxième confrontation entre le Lieutenant-colonel Danwe Justin et Mr JPAB.

Lors de cette seconde confrontation caractérisée par son surréalisme digne d’un scenario de film américain, cette dernière a été caractérisée par des VOLTES-FACES du Lieutenant-colonel Danwe contrairement à ses premières déclarations. Il affirme avoir reçu ordre de Mr JPAB de faire taire le journaliste Martinez zogo pour ensuite dire que la mission consistait à lui donné une bonne correction pour enfin indiquer qu’après l’avoir enlevé, et torturé, son équipe l’a abandonné vivant.

Sur interpellation du Commissaire du gouvernement, Lieutenant-colonel Danwe indique que la mission était évaluée à 23 millions de FCFA (35.500euros), et qu’il avait reçu une avance de 2 millions FCFA (3000euros) par la suite il indique après la réussite de la mission et le compte rendu fait à son prétendu commanditaire, il n’a rien reçu jusqu’à ce jour.

Selon ses propres dires, il n’a jamais pensé réclamer le reliquat.

Lorsque l’on sait que selon ses propres déclarations ses équipes de surveillance, de filature et d’exécution étaient constituées de plus de 10 personnes. L’on peut s’interroger sur la pertinence de ses déclarations et sut la répartition de l’ensemble des intervenants, sauf pour dire que les hauts cadres de nos services ont pu mettre en péril leur carrière pour les sommes inférieures à 100.000FCFA (150euros).

En tout état de cause les différents scenarii proposés par le Lieutenant-colonel Danwe sont caractérisées par des rétractations, des aveux contradictoires et légers. Qui ne peuvent pas résister à une analyse sérieuse car il donne l’impression d’être à tout moment sous influence.

A contrario Mr JPAB est apparu serein, cohérent, et constant dans ses déclarations de bout en bout. IL A TOUJOURSAFFIRME QU’IL ÉTAIT INNOCENT DE TOUTES LES ACCUSATIONS PORTÉES A SON ENCONTRE. Ce qui est en réalité l’objectif poursuivi par les auteurs est la Cabale, la destruction de l’œuvre d’une vie et les atermoiements du Lieutenant-colonel Danwe justifie à eux seuls cet objectif.

Ensuite le Lieutenant-colonel Danwe a suggéré à l’enquête une nouvelle piste avec un nouveau scenario, selon lui il est fort possible qu’il eut deux équipes.

La première , la sienne qui aurait enlevé et molesté Martinez Zogo, lequel aurait été laissé vivant et qu’une seconde équipe dont il ignore la composition aurait assassiné le supplicié.

Il a conclu par un ton imagé par je cite : J’ai l’impression qu’il y a eu un coup dans le coup.

A ce stade de l’évolution de l’enquête, vu les multiples violations de la loi, des contradictions qui ne font que s’accentuer le doute, en l’absence de toute évidence, ce dossier ne comporte à ce jour que deux certitudes :

La première certitude est que Mr Martinez Zogo a bel et bien été torturé et assassiné.

La seconde certitude est que , il ya une vaste campagne médiatique nationale et internationale avec l’appui de Reporters Sans frontières (RSF), et nourrie par une main noire d’informations orientées qui a été mise en place, avant, pendant et après l’assassinat de Martinez Zogo pour accréditer un scenario criminel tendant à faire croire que les principaux commanditaires sont Mr JPAB et Mr le Ministre d’État de la justice garde des sceaux Laurent Esso.

Noter bien, il convient de faire remarquer que dans ses multiples contradictions, lors de la seconde confrontation le Lieutenant-colonel Danwe ne désigne plus le garde des sceaux comme l’un des éventuels commanditaires. Mais plus tôt le ministre des finances Louis-Paul Motaze qui devait lui payer le reliquat de sa forfaiture.

Mes dames, Messieurs, les journalistes, je voudrais en venir à la cause factuelle.

Votre présence ici. Lorsque une escouade d’une soixantaine de gendarmes envahit , c'est le mot ici où nous sommes actuellement. Nous étions en audition à la commission mixte mise en place par le chef de l’État, on nous indique que ce lieu avait été complètement encerclé en bas, envahit de gendarmes. Nous nous sommes précipités ici en salle. A la question de savoir que faites-vous ici ? Ils répondent, nous sommes venue porter les convocations.

Et nous avons rétorqués, si vous devez apporter des convocations à un citoyen camerounais, vous devez porter des armes de guerre ?

Ces convocations étaient adressées précédemment à 6 collaborateurs de Mr JPAB. Six collaborateurs choisis pour leur poste clef dans ses différentes structures.

Je vous cite quelques exemples :

La responsable de la banque qui est la seule au niveau de la banque pour sortir de l’argent, Inès qui est s directrice de communication, qui exprime le point de vue du groupe et un certain nombre de collaborateurs.

Il se trouve qu’ils étaient convoqués par la commission mixte d’enquête mise en place par le président de la république. On les y a accompagnés. Ils ont été reçu par la commission on les a remis leur carte d’identité et on les dit de partir. Mais lorsqu’ils ont pris les escaliers, il y a un groupe de gendarmes qui les attendit en bas.

On les a d’abord enfermé sans une salle qui  s’appelle , la salle des opérations pour les transférer par la suite vers une destination inconnue de nous.

Il a fallut qu’on fasse quelque démarches pour savoir leur lieu de détention qui était en fait le Camp Yeyap où se trouve les cellules du SED.

Ils ont été auditionnés. Moi je ne ne savais pas qu’on distrubait les t-shirt aux garder-à-vue. On les a fait porter des t-shirts jaune des prisonniers.

Ensuite ils ont été placés en cellule de détention. Ils y sont rester pendant 3 jours avant d’être re-auditionnés sur le fonctionnement du groupe et les malversations financières qui s’y dérouleraient, c’est comme cela qu’ils ont été entendu.

Évidemment que nous Avocats, qu’avons-nous fait ? On a introduit le 13 février une requête en HABEAS CORPUS  près du président de tribunal de grande instance du Mfoundi pour arrestation arbitraire, et détention illégale. Cette affaire aurait du être appelé le mardi. Mais il s’est trouvé que le texte oblige, le président du tribunal de grande instance a ratifié une injonction à se présenter devant lui avec les personnes détenues, et les titres d’arrestation et de détention. Cela a pris 2 à 3 jours. Cela a été fait.

Quand ils ont vu l’injonction du président et notre requête, nuitamment ils ont libéré un à un les six personnes.

Le 17 février 2023 à 7h30, on m’indique que le service central de recherche judiciaire du SED demande la comparution de Mlle Diane qui est la secrétaire particulière du Président du groupe l’Anecdote. Nous nous sommes posés la question de quoi s’agissait il ? Ils nous ont répondu, noh noh nous voulons avoir des précisions sur ses précédentes auditions. Alors cela devrait se passer devant la commission mixte Police gendarmerie. C’est plus tôt le contrôle cela va se passer uniquement devant la gendarmerie qui le demande.

Alors j’ai décidé de proposer à ma consœur Me Essono d’aller l’assister, Elle s’y est rendue. Lorsque ma consœur arrive là-bas en bon professionnel, elle vérifie les motifs de la convocation, alors qu’elle pensait y aller pour les malversations,, elle constate que sur le papier est marqué : Enquête assassinat Martinez Zogo et autres.

C’est alors qu’elle demande aux enquêteurs, dans quel cadre et procédure elles sont ?

Ils répondent noh noh, c’est dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de Martinez Zogo.

Elle leur demande si l’autorité judiciaire concerné est au courant ? Puisqu’ils ont déjà été déférés, renvoyés pour complément d’enquête. Est-ce que le commissaire du gouvernement est il au courant ? SILENCE RADIO et puis on a reçu le message de notre consœur, et nous nous sommes transportés rapidement.

Lorsque j’arrive là-bs je trouve une situation incroyable, je n’ai jamais vu mon client dans cet état, il ne comprenait pas qu’une jeune fille de 21 ans à peine, qu’on l’amène dans des choses qui dépassent son entendement elle-même.

Mais cette fille a été d’un stoïcisme  qui m’a étonné. Elle me dit que lorsqu’elle est arrivé, on l’a menacé avant l’arrivée de Me Essono, en lui disant que vous êtes jeune, si vous ne dites pas la vérité, vous allez pourrir en cellule comme tous les autres.

Alors que Me Essono arrive, qui voit-elle arriver à sa grande surprise : Le Lieutenant-colonel Danwe Justin.

Le Lieutenant-colonel Danwe Justin a eu une nouvelle inspiration. Il a rechangé le scenario. Il ne dit plus qu’il avait donné les images à Mr JPAB, il dit avoir transféré les images dans le téléphone de la petite Diane. La jeune fille tombe des nus.  Elle dit tant qu’on y est, voilà mon téléphone, si ce monsieur à  transféré à la date du 17 ou 18 janvier 2023 des images.. Après vérification on ne trouve absolument aucune trace des photos.

Alors je pars du S.E.D vers le commissaire du gouvernement. Je lui dit ce qui se passe est très grave. Il y aurait une enquête parallèle qui a été ouverte qu service central judiciaire du S.E.D. Est-ce que le cadre juridique de l’affaire a changé ? Est-ce que vous avez donné des instructions qu’une enquête parallèle soit ouverte ? J’AI VU UN MONSIEUR DÉCONTENANCÉ.

En fait je lui donnais l’information. Pour le reste je n’ai pas le droit de dire les choses qui se passe derrière. Mais voilà la situation dans laquelle nous nous trouvons.

Le président de la république prescrit une enquête le 22 janvier 2023, et le 17 février on se retrouve avec une enquête parallèle, avec un nouveau scenario qui véritablement est celui de Reporters Sans frontières (RSF). Qui est loin du scenario de mes amis d’Equinoxe Tv.

Parce que je voulais ici démentir avec la dernière réserve le direct fait par le journaliste Guy Zogo d’Equinoxe Tv dans lequel il affirme que le Colonel Nsoé, colonel à la retraite aurait négocié la sécurité de sa famille et qu’en contrepartie il aurait fait des déclarations confirmant la déposition du Lieutenant-colonel Danwe Justin. C’EST FAUX, INADMISSIBLE ET INACCEPTABLE.

Je le dit avec autant de vigueur que ce sont mes amis, ils ont mon téléphone. Guy Zogo que je connais très bien aurait dû m’appeler pour me demander d’infirmer ou de confirmer sa thèse.

J’ai dit au Commissaire du gouvernement que je comprends son mutisme. Mais je puis accepter que mon client soit traîné dans la boue par des gens qui font DU JOURNALISME DE CANIVEAUX.

Qui au lieu de venir à la source de l’information cherche la bonne information, préfèrent inventer des scenarii.

Nous même Avocat, on a été violemment pris à partie, attaqués, alors que nous ne faisons que notre métier.

Mais nous avons décidé que nous allons nous battre et communiquer.

Et dire que ce détournement de la procédure est un acte de rébellion vis-à-vis de l’institution judiciaire. Le président de la république a mis en place une commission mixte d’enquête Police-gendarmerie. Mais nous constatons que c’est devenu une affaire de la gendarmerie. Des Non-membres de la commission mixte gèrent une enquête parallèle.

Sommes-nous encore au Cameroun ? C’est la question et nous attendons une réponse. Ceux qui s’amusent avec la vérité ne perdent rien pour attendre. Parce qu’aujourd’hui, demain, ou après-demain nous tirerons les conséquences des actes que les uns et les autres posent.

Si vous saviez ce que nous savons sur ce dossier ! 90% de ce qui est écrit, ou dit n’est pas la vérité.

Je vais terminé pour dire ceci : Est-ce que vous trouvez normal pour un crime qui est commis le 17 janvier 2023, et au 17 février 2023 on continu de parler de flagrance pou arrêter des gens avec des armes de guerre ?

Est-ce que vous trouvez normal  que rendu à ce jour le 17 février 2023 nous Avocat que nous ne sachions même pas où se trouve la scène de crime ?

Par Paul Iya

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Dr. Mankollo Tethe Olga Yvonne Epouse Bassong, Une Dame de fer pour le Renouveau de l’ordre des Médecins du Cameroun

28 Décembre 2022 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Dr. Mankollo Tethe Olga Yvonne Epouse Bassong, Une  Dame de fer pour le Renouveau de l’ordre des Médecins du Cameroun

L’ordre des Médecins du Cameroun voit le jour en 1957, il ya de cela 65 ans. L’ordre a pour mission  la régulation de la profession médicale au Cameroun, il est sous tutelle administrative du Ministère de la santé publique.

Son pouvoir est juridictionnel et réglementaire sur l’exercice  de la profession médicale. En 2022 l’ordre regroupe environs 10.065 membres tous médecins.

Avec la naissance des régions au Cameroun, la numérisation de la médecine moderne, l’ordre des médecins du Cameroun doit faire face à un défi de taille.

Pour relever un tel défi, il faut des individus ayant une expérience multidimensionnel.

Il  Faut des personnes ayant, non seulement une expérience de la pratique médicale, mais aussi un passé administratif, et une vison technologique.

Le Dr Mankollo Tethe Olga Yvonne Epouse Bassong est un médecin chevronné, ayant une longue et solide expérience dans  la pratique de la médecine, des relations avec l'administration  camerounaise, l’enseignement, les ONG et les Organisations œuvrant dans le cadre de la santé.

Par conséquent, La présidence du Conseil sera pour elle une opportunité pour accompagner  l’Emergence 2035  de  Monsieur  le Président  de la République  du Cameroun  son Excellence Paul Biya.

Pour la présidence de l’ordre un tel profil exceptionnel est souhaitable pour le renouveau de l’ordre.

 Rajouter le fait que depuis sa création, une femme n’a jamais occupé cette position. Nous pensons que cette élection est une opportunité exceptionnelle pour le genre.

Par Paul IYa

(English version)

Dr. Mankollo Tethe Olga Yvonne Wife Bassong, An Iron Lady for the Renewal of the Cameroon Medical Council.

Cameroon Medical Council was created in 1957, 65 years ago. The mission of the Council is the regulation of the medical profession in Cameroon; it is under the administrative supervision of the Ministry of Public Health.

Its power is jurisdictional and regulatory over the practice of the medical profession. In 2022 the Council has about 10,065 members, all doctors.

Meeting such a challenge requires individuals with multidimensional experience.

You need people with not only experience in medical practice, but also an administrative background, and a technological vision.

Dr. Mankollo Tethe Olga Yvonne Espouse Bassong is a seasoned doctor, with a long and solid experience in the practice of medicine, relations with the Cameroonian administration, education, NGOs and organizations working in the field of health.

Therefore, the Presidency of the Council will be an opportunity for it to accompany the Emergence 2035 of the President of the Republic of Cameroon His Excellency Paul Biya.

For the presidency of the Council such an exceptional profile is desirable for the renewal of the Council.

 Add the fact that since its creation, a woman has never held this position. We believe that this election is an exceptional opportunity for gender.

 

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Essai sur la définition du terme FranceAfricain....Essay on the definition of the term FranceAfrican.

24 Décembre 2022 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Essai sur la définition du terme FranceAfricain.

Le mot FranceAfrique  est mot majoritairement utilisé aujourd’hui pour décrire les relations entre la France et l’Afrique en général. Ici nous allons essayer de faire un rappel historique de sa naissance et donner une définition. Comprendre pourquoi il existe des FranceAfricains et pas des Afriquefrançais.

L'expression « France-Afrique » semble avoir été inventée en 1955 par le président ivoirien Félix Houphouët-Boigny, pour définir les relations entre les pays francophones d’Afrique avec la France leur accession à l'indépendance.

La « Françafrique » est un système politico-financier opaque et lucratif » en faveur de la France et des Africains qui y sont impliqués et en défaveur de l’Afrique dans les domaines suivants :  

 La politique étrangère :

La politique étrangère française vis-à-vis des pays Africains ne relève pas du ministère des Affaires étrangères mais de la cellule africaine de l’Élysée, sur un mode discrétionnaire et largement occulte;

Une présence importante des fonctionnaires :

Une présence très importante de fonctionnaires français ou d'attachés techniques (AT) dans les pays africains concernés ;

Une ingérence dans le domaine de la sécurité :

Une ingérence, y compris militaire, dans les affaires intérieures des pays concernés (défense ou renversement d'un gouvernement) ;

Liens occultes avec les partis politiques français :

Des liens financiers occultes entre le régime du pays et les partis politiques français. Ces liens financiers concernent la corruption des élites politiques africaines par les classes dirigeantes françaises ;

CE QU’IL FAUT RETENIR :

 

Il existe des France-africains, mais il n’existe pas des Afrique-français.

 

Le mot France-Africain qui nous intéresse ici  la composition de deux mots France et Africain.

La France est un pays de l’Europe et ses ressortissants sont des français.

Africain  est un ressortissant du continent Afrique, ce dernier est différent de l’Africain-Américain qui vient du continent Amérique ou l’Africain-Caribéen qui vient de la Caraïbe.

 

Donc la bonne définition qu’il faudra retenir est la suivante :

Un France-Africain est un Africain peut importe ses origines qui a choisit de servir les intérêts de la France et ses intérêts personnel. C’est l’incarnation de l’individualisme.

Par Paul Iya

 

 

Essay on the definition of the term FranceAfrican.

 

The word FranceAfrica is a word mostly used today to describe relations between France and Africa in general. Here we will try to make a historical reminder of its birth and give a definition. Understand why there are FranceAfricans and not AfricanFrance.

The expression “France-Africa” seems to have been invented in 1955 by the Ivorian President Félix Houphouët-Boigny, to define the relations between the French-speaking countries of Africa with France during their accession to independence.

“Françafrica” is an opaque and lucrative politico-financial system” in favor of France and the Africans involved in it and against Africa in the following areas:

 foreign policy:

French foreign policy vis-à-vis African countries is not the responsibility of the Ministry of Foreign Affairs but of the African cell of the Elysée Palace, in a discretionary and largely hidden mode;

A significant presence of French civil servants:

A very significant presence of French civil servants or technical attachés (TA) in the African countries concerned;

Interference in the field of security:

Interference, including military, in the internal affairs of the countries concerned (defense or overthrow of a government);

Occult links with French political parties:

Hidden financial links between the regime of the country and the French political parties. These financial links relate to the corruption of African political elites by the French ruling classes;

WHAT YOU MUST REMEMBER:

There are France-Africans, but there are no Africa-french.

The word France-African which interests us here is the composition of two words France and African.

France is an European country and its nationals are French.

African is a national of the African continent; the latter is different from the African-American who comes from the American continent or the African-Caribbean who comes from the Caribbean.

So the correct definition to keep in mind is the following:

A France-African is an African regardless of his origins who has chosen to serve the interests of France and his personal interests. It is the embodiment of individualism.

By Paul Iya

 

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LETTRE OUVERTE DES ORGANISATIONS DE LA DIASPORA CAMEROUNAISE A L’ATTENTION DES INFLUENCEURS ET INFLUENCEUSES

27 Septembre 2022 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

 

Stop à la dépravation des mœurs sur les réseaux sociaux

Un groupe d’influenceurs Camerounais basé principalement en Europe a pris d’assaut le réseau social Facebook ;

Des Camerounais d’origine ayant acquis une certaine notoriété sur internet et supposés influencer les habitudes des personnes qui les suivent de par le monde entier à travers le contenu des messages qu’ils véhiculent.

Mais, malheureusement pour des raisons connus : recherche des « Buzz » ou des « étoiles », ce groupe d’influenceurs web, pour la plupart au chômage en Europe, propose à longueur de journée un contenu qui va à l’encontre des bonnes vertus et ouvre la porte aux vices de tout genre : insultes, consommations d’alcool et de substances illicites, incitation à des pratiques sexuelles d’un autre genre ,et à la dépravation des mœurs.

Ces contenus allant à l’encontre du respect de la dignité humaine et des valeurs républicaines ternissent l’image de marque de notre pays.

Par conséquent:

Nous, Comité des Camerounais de l’Extérieur,

Réseau des Patriotes Camerounais,

L'ensemble des Patriotes Républicains Monde du Cameroun,

Groupe de défense des droits de l’enfant & de la femme de la diaspora dénommée par Marie Irène Nyangono,

Dénonçons fermement l’activité nocive et malsaines de ce groupe d’influenceurs dans les réseaux sociaux : Nous devons être une diaspora constructive et force de proposition, et non une diaspora de déstabilisation de notre pays le Cameroun en polluant sa jeunesse, donc son avenir.

Invitons le groupe d’influenceurs au respect des valeurs Républicaines du Cameroun dont ils se réclament être des portes voix, de son image et de l’avenir de notre jeunesse.

Lors de son dernier discours à la jeunesse du 10 février 2022, on se souvient encore que le Chef d’État son Excellence Paul Biya, mettait en garde les jeunes contre « les dérives » des réseaux sociaux.

Fort de ce qui précède, chers compatriotes influenceurs du web, il est venu le temps de mettre un terme à tous ces agissements contre-productifs pour notre pays, proposez à vos communautés des contenus élaborés, instructifs pour notre jeunesse et valorisants pour notre pays, à défaut trouvez-vous un autre métier. Ne soyez pas des influenceurs de destruction !

NB : Nous restons vigilants face à vos basses manœuvres, et n’hésiterons pas le cas échéant à passer à une autre ét

 

CHANGEONS LA DONNE !

Contact

CCE : +336 26 29 43 29/ RPCam : +1 581 980-1233

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FECAFOOT : Samuel Eto’o Fils demande la suspension en urgence de SEIDOU MBOMBO NCHOUWA NJOYA et ABOUBAKAR ALIM KONATE de la FECAFOOT pour corruption.

1 Décembre 2021 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

LETTRE  ACCUSANT LES DEUX MEMBRES DU COMITE EXÉCUTIF PROVISOIRE DE LA FECAFOOT DE CORRUPTION

 

                               

 

 

LES TEXTES DE LA FECAFOOT

 

Par Paul Iya

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GUINEE: DADIS CAMARA l’ancien président du CNDD BIENTOT DE RETOUR.

1 Décembre 2021 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

LE CAPITAINE DADIS CAMARA

ANCIEN président DU CDD

 

L’équipe des grandes gueules d’Espace Fm Guinée, a effectué le déplacement pour Ouagadougou le samedi 02 octobre 2021, afin de rencontrer une énième fois l’ancien président du CNDD.

À en croire nos confrères du site Guinée panorama, le capitaine Moussa Dadis Camara serait bientôt de retour en Guinée après 11 années d’exil au Burkina Faso.

« J’ai l’accord des nouvelles autorités, tout dépend de moi. Je me prépare pour revenir. Je vous ai dit une fois, au cours d’une interview (dans les GG) que le jour où Dieu décidera que je rentre, je rentrerai. Et rassurez vous, ça va se faire officiellement et c’est pour très bientôt».

Depuis sa chute en 2009, et l’avènement d’Alpha Condé à la tête du pays, l’homme fort du CNDD, n’a pu fouler le sol guinéen qu’à l’occasion des obsèques de sa mère.

Durant cette interview avec nos confrères, La Capitaine Dadis Camara avoue avoir tenté de rentrer au pays, deux fois de suite mais sans succès .

Source : https://www.guinee360.com

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Press release of the Committee of Cameroonians Abroad following the death of the journalist and television producer AMOBE MEVEGUE

9 Septembre 2021 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #ACTUALITES, #Press release

Amobe Mevegue  Tv producer and Journalist

Amobe Mevegue Tv producer and Journalist

 

A worthy son of Cameroon and Africa has just left us today at the prime of his life, 53, ambassador of Cameroonian and African culture throughout the world. His name was AMOBE MEVEGUE.

Journalist and radio and television host since the 1980s. He left his mark on his time, his generation and his discipline.

AMOBE and I have known each other since Radio Tabala in the 80s, his love for Cameroon was unwavering and his simplicity legendary.

Whenever we asked for him for Cameroon, he always responded.

I still remember the launch of the UBIZNEWS news channel, an original idea that combined news and entertainment.

On behalf of the Committee of Cameroonians Abroad and on my own behalf as a long-time friend, I send our most saddened condolences to all of his family. May the land of our ancestors that he cherished so much be light to him.

AMOBE leaves, you fought the good fight. We will never forget you !!!!!

To great men the nation forever grateful.

Paris on September 08, 2021

Luc B. Banemeck

President

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