Aménagements Vivants est une société de conseil en innovation et d’ingénierie système, qui s’adresse aux entreprises et organismes publics qui veulent créer, aménager ou mieux utiliser des espaces de travail et de vie, afin qu’ils soient mieux adaptés aux humains et à la technologie de notre 21ème siècle.
L’objectif est de produire des espaces et des possibilités de vie et de travail plus humains, plus performants et plus économiques. Qui améliorent les relations, et donc le bien-être et la performance professionnelle, et qui soient évolutifs par construction.
Une approche systémique structurée permet d’approfondir, développer et intégrer dans ces espaces les quatre dimensions humaine, naturelle, numérique et physique. C’est le couplage de ces quatre dimensions qui produit la performance.
Clients visés :
- Propriétaires ou maîtres d’ouvrage, publics comme privés, d’espaces à créer ou à aménager.
- Utilisateurs d’espaces voulant optimiser leur usage.
- Fournisseurs de services, dans des espaces donnés, voulant optimiser ou enrichir leurs moyens et process, pour des services existants ou nouveaux.
- Entreprises du numérique voulant valoriser leurs produits en les intégrant dans des espaces adaptés.
- Financeurs de services voulant réduire leurs dépenses en optimisant les environnements concernés et leurs usages.
Espaces concernés :
Logements, bureaux, entreprises, écoles, structures de santé, centres culturels ou de loisirs, centres de travail à distance, campus universitaires, parcs d’activités, quartiers, villages, territoires…
Nos Produits & Services :
- Analyse et expression des besoins, et exploration de solutions innovantes, avant les appels d’offres et autres décisions engendrant des dépenses importantes.
- Recherche de partenaires et de ressources.
- Accompagnement des acteurs concernés jusqu’à l’optimisation de l’usage effectif des lieux.
- Intégration de compétences et gestion de projet.
L’originalité et la valeur du service d’Aménagements Vivants reposent sur :
Une méthodologie innovante :
- Une approche systémique structurée pour à la fois mieux approfondir, développer et intégrer en ces espaces les quatre dimensions humaine, naturelle, numérique et physique. La dimension humaine (individuelle et sociale, relations personnelles et professionnelles) est placée au centre ; le couplage avec les nouveaux outils et services numériques est recherché en priorité ; de même que l’intégration avec l’environnement naturel. Tout ce qui n’est pas imposé dans la dimension physique (des constructions encore à réaliser ou aménageables, des équipements lourds et onéreux encore à acquérir, etc) est abordé comme une catégorie de moyens à adapter et à coupler aux dimensions précédentes pour apporter les services recherchés au meilleur coût ; ce qui est imposé est intégré dans l’approche système pour optimiser son usage et sa valorisation.
- Un processus participatif et collaboratif pour impliquer concrètement les diverses personnes concernées par les espaces créés, à tous niveaux, permettant d’accroitre l’adaptation aux besoins et aux objectifs, les innovations efficaces et leur appropriation
Qui s’appuie sur l’usage de ressources rarement utilisées dans le secteur de l’aménagement d’espaces :
- Les méthodologies de gestion de projet des secteurs défense-aéronautique-espace, notamment pour aider le client à analyser les besoins et identifier des solutions permettant de maîtriser les coûts et les performances
- Les réseaux d’innovation tels que les pôles de compétitivité, permettant d’identifier, sur un très vaste spectre de thématiques, des solutions nouvelles plus performantes
- Les connaissances en matière d’aménagement du territoire développées par la DATAR, contribuant à créer des espaces associant attractivité, innovation, performance économique et cohésion sociale
- Les recherches en matière de systèmes complexes, car les environnements de travail et de vie sont, de facto, des systèmes complexes humains et matériels
Pour chaque projet, Aménagement Vivants agit en ensemblier-intégrateur à deux niveaux :
- D’une part, elle analyse la problématique du client et rassemble progressivement, dans la mesure du nécessaire, un consortium de compétences pour assurer les prestations de conseil visant à approfondir besoins et solutions : elle choisit dans son réseau de partenaires les acteurs utiles et adaptés dans les quatre domaines humain, numérique, nature et physique (dont architecture/urbanisme si nécessaire).
- D’autre part, elle explore l’existence de briques de solutions innovantes, non identifiées par une démarche déductive classique, que le client sera libre d’utiliser ou non : par exemple, identifier des innovations numériques non habituellement utilisées car inexploitables dans une conception architecturale classique. La méthodologie utilisée permet de repenser suffisamment tôt la conception des espaces de vie et de travail afin de pouvoir exploiter le potentiel du numérique ou d’autres champs innovants au service d’une meilleure ou nouvelle satisfaction des besoins des usagers, de manière économiquement intéressante.
Quelques illustrations des problématiques abordées
Le travail de la 27° Région sur la création d’une maison de santé (télécharger le livret) ou celle d’un lycée (télécharger le livret « Le campus ouvert »), met bien en évidence la nécessité pour répondre aux besoins, et l’intérêt économique en terme de coûts, d’une approche qui soit à la fois services, systémique et participative/collaborative.
La salle de classe n’a pas changé depuis plus d’un siècle. On constate que pour mettre en œuvre des pédagogies collaboratives et utiliser des outils numériques nouveaux, il faut revoir la salle physique elle-même. (Cf exemples fournis lors de la Journée Education Microsoft du 5 avril 2012, dont l’exemple du projet de l’Ecole internationale de Bruxelles.)
Aujourd’hui, lors de la construction d’un établissement d’enseignement supérieur et de recherche, un chercheur est converti en un besoin de surface, typiquement de « X » m²/personne. Comme il y a plus d’un siècle. La vie du chercheur n’a-t-elle pas évolué depuis ? De nos jours, plutôt que d’avoir un petit bureau où il peut à peine recevoir un collègue ou un étudiant, le besoin du chercheur n’est-il pas d’abord celui de disposer d’un environnement numérique lui permettant de travailler où qu’il soit dans le monde, et d’avoir, dans l’établissement, des lieux conçus pour collaborer efficacement avec les autres chercheurs, les étudiants et les entreprises présents ?
Les logements pour jeunes étudiants et travailleurs, familles nombreuses et personnes âgées sont quasiment sur le même modèle. Pourtant, ils ont besoin de services différents. Et l’on peine à intégrer des équipements et des services numériques dans les logements actuels. Revoir comment répondre aux besoins par un mix de moyens humains, numériques et physiques (bâtiment et mobilier) semble relever du bon sens. C’est aussi une nécessité économique et sociale, les besoins étant de plus en plus coûteux à satisfaire avec les modalités actuelles.
L’architecture/urbanisme collaboratif nécessite d’associer deux compétences : celle des architectes-urbanistes et celle du numérique. Cela est encore rare alors que c’est possible (cf travaux de l’agence R+P dont Unlimited Cities et son blog.) Il y a donc place pour un potentiel d’innovation, d’applications et de diffusion d’outils numériques.
De nombreux équipements numériques ne peuvent être vendus et diffusés si les espaces de vie et de travail ne permettent pas de les intégrer. Par exemple, les équipements de télétravail ont besoin d’être inclus dans des centres de travail à distance attractifs pour les utilisateurs ; les objets communicants peuvent servir à l’accueil, à la sécurité, à la vie sociale… dans les écoles ou entreprises, si les locaux et la conception de ces services l’ont pris en compte dès le début ; de même pour les bulles numériques dans les établissements de formation…
Découvrez ici pourquoi et comment nous avons construit cette offre.
